surtout pas de diminution des dépenses publiques mais bien la diminution des seules dépenses privées
Lorsque la principale dépense publique c’est d’enrichir le privé il devient facile de voir où siège le bassin d’économies efficaces…afin de prendre conscience de l’importance de l’enrichissement du privé au dépens des dépenses publiques il n’est, d’ailleurs, que de lire le Olivier Toscer – Argent public, fortunes privées - histoire secrète du favoritisme d'état, octobre 2003 (pp.109 à 126 "Main basse sur l'épargne publique"). Et ses suites !
A mettre en parallèle avec l’austérité oui pas pour tous juste pour les plus pauvres – nous percevons les circuits de tous les enrichissements parasitaires :
1 - Pendant qu’une grande partie de la population se voit pressurée, d’autres visiblement, s’enrichissent grandement. L’austérité ce n’est pas pour eux en tout cas, mais les dépenses publiques, oui !!!
2 - De plus – vu la charge si énorme de leurs avoirs – il faudrait leur réduire, aussi, les impôts, d’illégitime manière. Ce qui représente bien une réduction putschiste des dépenses publiques …moins d’entrées représentent moins de sorties possibles !!! Inutile de refaire plusieurs fois ce qui a déjà été fait…si, depuis 40 ans, les diminutions des dépenses publiques restent les uniques compulsions obsessionnelles, nul ne voit le moindre résultat venir. Sinon l’enrichissement exagéré de la minorité…d’où la conclusion claire : diminution des dépenses publiques = enrichissement illégal des trop riches !!!
3 - Enfin, la loi « scélérate » du 3 janvier 1973 n’étant toujours pas abolie – l’autre source essentielle des dépenses publiques demeure béante…soit la dette « publique » de 1 800 milliards d’euros qui n’est due à strictement personne puisque ce décret- loi est anticonstitutionnel et antirépublicain. L’état reste supérieur au privé et il n’a pas la moindre « obligation d’airain » à emprunter chez des usuriers. Les banques centrales, BCE et Banque de France, nourrie par les impôts de tous, demeurent au seul service des états (et pas des banquiers) et peuvent donc lui « prêter » sans le plus petit intérêt. Majeures économies en tout cas !!!
Nous possédons bien là tous les leviers pour élaguer les trop inutiles « dépenses », d’atteindre à un chiffre d’économies hallucinantes …
……..Et D’AUGMENTER les dépenses publiques partout où il y a besoin…
……
…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
(à suivre)
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 " La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir " et "L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie", onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, LE ROMAN DE L’ÉCONOMIE, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
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