L’évolution existe car notre corps en témoigne (-rait) ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

L’évolution existe car notre corps en témoigne (-rait) ?

Différentes parties du corps humain constituent, en quelque sorte, des marqueurs flagrants de l'évolution. Bien que ne remplissant plus leurs fonctions primaires elles demeurent, cependant, présentes. Comme le rappel d’un vestige ! Des parties de corps qui existaient chez nos ancêtres mais ce sont atrophiées ensuite. L’évolution a, ainsi, marqué nos corps ?

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« Un exemple: lorsque vous étendez votre bras sur une surface plane, avez-vous déjà remarqué un tendon lorsque vous joigniez votre pouce et votre auriculaire? Si non, pas de panique, vous faites partie des 10 à 15% de la population qui ne possède pas de tendon du muscle long palmaire. Cette absence ne constitue en aucun cas un handicap.

On retrouve le tendon du muscle grand palmaire chez de très nombreux mammifères, mais il est plus développé chez les espèces qui utilisent leurs pattes avant pour se mouvoir. Traduction? Si vous possédez ce muscle, vous êtes une preuve vivante que l'Homme est le cousin du singe. A titre indicatif, l'Homme est un singe à 90,4%, selon les estimations des biologistes américains. »

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Notre-corps-est-la-preuve-de-la-théorie-de-l-évolution

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Autre fait remarquable ?

Notre oreille essaye de bouger, sans y parvenir

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« Et les preuves ne s'arrêtent pas là. Lorsqu'une nuisance sonore se fait entendre, "l'oreille de l'Homme essaye inconsciemment de se mouvoir vers la direction de ce bruit, sans y parvenir", indique les journalistes scientifiques. L'Homme possède en effet trois muscles situés autour du pavillon de l'oreille. Les muscles auriculaires antérieur, supérieur et postérieur sont tous atrophiques, c'est-à-dire que les cellules de ces muscles ont perdu, au fil de l'évolution, leur poids et leur volume. C'est la raison pour laquelle, nous ne pouvons pas mouvoir nos oreilles, comme le chien ou le chat.

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(...) image illustrative dans l'article cité... (...)

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Continuons dans les découvertes du grand passé commun en nos corps ? Les poils du corps et les muscles érecteurs du poil ? Plus communément, la « chair de poule » qui ne fait pas que nous alerter que nous avons froid…En effet, chez de nombreuses créatures, la peur et la confrontation provoquent, identiquement, une activation des fibres musculaires qu’on appelle les muscles érecteurs du poil (pensons donc au chats qui se toisent avant de se battre), ce qui oblige les poils à se dresser pour faire apparaitre l’animal plus gros et plus menaçant. Cela aurait été utile à nos lointains ancêtres, ces bêtes poilues ! Nous avons conservé la trace de cette utilité.

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Enfin plus connu - « Le coccyx, reliquat d'une queue

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Le coccyx. Cet os situé à l'extrémité de la colonne vertébrale résulte de la soudure de quatre vertèbres atrophiées, et constitue en réalité le vestige d'une queue. Une partie du corps qui existait chez les ancêtres de l'Homme, mais qui une fois de plus, s'est amoindrie au cours de l'évolution.

"Dans le cas de l'Homme, les cellules de cette 'queue' sont programmées pour disparaître quelques semaines après leur apparition, au stade embryonnaire", explique encore Vox. "Dans des cas extrêmement rares cependant, une mutation permet aux cellules de l'emporter sur l'évolution naturelle". Résultat, un enfant peut naître avec une excroissance dans le bas du dos. »

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Autre exemple grandeur Nature de l’évolution en actes : ici, seulement sur une dizaine d’années des modifications très significatives. Lisibles sur le lien suivant…

Théorie-de-l-évolution-la-preuve-par-les-lézards

L’article préfère s’intéresser à ceci : Les incrédules. Rien de ce que nous avons parcouru ne prouve rien. Les vestiges corporels ne prouvent pas l’évolution. Ces refus persistent – il vaut mieux aller les voir en face ! Oui, commençons par un lien qui ne va pas avec le dos de la cuillère !

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Comment la théorie de l'évolution est complètement fausse ?

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Cela offre dans le détail..

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Pourquoi-la-dent-de-sagesse-ne-constitue-t-elle-pas-une-preuve-de-la-théorie de l'évolution ?

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« Les évolutionnistes prétendent la perdition de certains organes, de leur utilité et leur avenir à disparaître. En partant de cette hypothèse, ils essayent de refléter le message suivant à la population: "Si le corps des êtres vivants avait été créé, il ne comporterait pas d'organes inutiles."

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Cet excès d’anthropologisation, somme toute puéril, ne peut être pris en compte. Seulement ceci : « Les problèmes liés aux dents de sagesse ne sont pas la conséquence de l'atrophie de ces organes, mais des habitudes alimentaires de notre époque.

Au début du 20ème siècle, les revues évolutionnistes présentaient près d'une dans le corps humain, dont l'appendice, le coccyx, l'amygdale, la glande pinéale, le pavillon, le thymus et les dents de sagesse. Or, dans les dizaines d'années suivantes, la médecine a fait de grands pas. Nos connaissances sur les organes et les systèmes présents dans le corps humain se sont affinées. En conséquence, l'aspect mythique de l'affirmation des organes atrophiés est désormais compris. La longue liste préparée par les évolutionnistes rétrécit rapidement avec le temps. Les chercheurs ont découvert le rôle du thymus dans le développement des cellules de notre système immunitaire et la responsabilité de la glande pinéale dans la production d'hormones vitales pour notre organisme. De plus, le rôle d'appui du coccyx aux muscles environnant le bassin a aussi été mis à jour. L'importance du rôle joué par le pavillon dans la localisation de la provenance des sons a été définie. En résumé, le seul fondement de la prétention des organes atrophiés n'est autre que l'ignorance.



Finalement, la science moderne a mis au jour d'innombrables fois l'inexactitude de la logique des organes atrophiés. Malgré cela, certains évolutionnistes essayent de faire survivre cette affirmation en trouvant de nouvelles matières à penser. Malgré la démonstration du monde médical actuel des fonctionnalités de presque tous les organes supposés atrophiés, la spéculation évolutionniste continue sur un ou deux organes.

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L'un des plus populaires de ces organes est la dent de sagesse. Dans certaines sources évolutionnistes, il est possible de rencontrer la thèse qualifiant cette dent, aussi dénommée "troisième molaire", d'une partie du corps humain ayant perdu sa fonction. Les arguments utilisés pour défendre cette thèse sont les problèmes posés par cette dent à un nombre important de personnes, et la non-influence sur la mastication de son extraction par intervention chirurgicale.

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Beaucoup de dentistes influencés par la suggestion des évolutionnistes qui présentent la dent de sagesse comme non fonctionnelle, ont fait de l'extraction de la dent de sagesse une intervention de routine. D'ailleurs, ils ne font pas le même effort pour les protéger, comme ils le font pour d'autres dents. Or, certaines études, menées ces dernières années, montrent le rôle joué par cette dent lors du processus de mastication, qui n'a aucune différence avec celui joué par les autres dents.

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Des études ont même montré l'erreur de la croyance selon laquelle cette dent altère la disposition des autres dents. Par ailleurs, de nombreuses critiques sur le choix d'extraction de cette dent, qui soutiennent une résolution des problèmes liés à la dent de sagesse par voie médicamenteuse ont été publiées.



Mais alors, d'où provient l'incommodité auprès d'un nombre de personnes non négligeable, suscitée par ces dents? Les chercheurs qui ont étudié le sujet, ont relevé une variation des problèmes liés aux dents de sagesse en fonction des populations ayant vécu à différentes époques. En particulier, la faible fréquence de ce problème chez les populations antérieures à l'industrialisation a été décelée. La raison en était le délaissement de la consommation de matière alimentaire dure pendant ces derniers siècles, en faveur de matière alimentaire plus tendre, qui a entraîné une influence négative sur le développement de la mâchoire. Le mauvais développement de la mâchoire dû au mode alimentaire serait donc la source des problèmes liés aux dents de sagesse.

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L'influence du choix du mode alimentaire des populations sur les autres dents est connue. Par exemple, durant le dernier siècle, la préférence de consommation d'aliments sucrés et acides a augmenté le taux et la vitesse de putréfaction des autres dents. Une atrophie ou une inutilité de ces organes découlant de cette situation est bien évidemment impensable.

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Le même raisonnement est valable pour les dents de sagesse. La source des problèmes liés à ces dents ne prend pas son origine dans une atrophie produite par une quelconque évolution, mais découle des habitudes alimentaires des populations actuelles.


53 Leonard M.S., 1992. Removing third molars: a review for the general practitioner. Journal of the American Dental Association, 123(2): 77-82
54 M. Leff, 1993. Hold on to your wisdom teeth. Consumer reports on Health, 5(8): 4-85.
55 Daily.T 1996. Third molar prophylactic extraction: a review and analysis of the literature. General Dentistry, 44(4): 310-320. »

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La nette impression de deux discours parallèles qui ne se rencontrent jamais contraint à y poser un regard très neuf. En effet, le mot sélection naturelle parait en lui-même un jugement orienté. Est-ce que la formule « les choix naturels » aurait pu éviter, à elle seule, toutes les équivoques ? Puisque c’est tautologique : l’évolution aura conservé le « meilleur ». Sauf que ce « meilleur » c’est ce qui aura été choisi, retenu et poursuivi jusqu’à aujourd’hui. Cela ne prouve pas que ce soit le… « meilleur ». Seulement ce qui a subsisté ! Ce sont les seuls chocs des sensibilités qui se blessent sur ces mots.

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Et donc, en très précis – évolution. Là, des preuves d’une transformation s’admettent, déjà, dans un vecteur temporel – un avant, un après et donc la formule « organe vestigiel » (qui ne sert plus mais demeure en trace résiduelle) se comprend sans équivoque. De simples planches de… variations orientées d’un ancêtre animal à un animal existant aujourd’hui montrent et démontrent une unité de formes dans ces modifications. Qui, de transitions en transitions successives, laissent voir leurs transformations par paliers.

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Ce qui peut bloquer le sens de l’analyse (voir les faits comme ils sont non comme nous les rêvons) c’est cette simple évidence : tout ce qui change peut être taxer…d’évolutif. C’est juste, au départ, un changement mais un changement qui devient…orienté. Mais orienté implique deux chemins d’interrogations – par qui ? et vers quoi ? – orienté…oui…mené, dirigé, piloté, conduit, voire dirigé. Avec la sensation d’une volonté derrière, une volonté qui impulse. D’où le désir de couper en segments tous ces liens causaux et de les ramener à des trivialités de l’ici et maintenant…sauf que l’ici et maintenant ne permet pas d’expliquer « toute » l’histoire de la nommée évolution. C’est le grave défaut de l’antiévolutionnisme.

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Cependant, même si la légitimité de ces interrogations s’admet – le fait de répondre à côté de la plaque, hors sujet en somme – parvient à faire des antiévolutionnistes surtout des aiguiseurs d’arguments. En effet, afin de leur répondre, il faut affûter, rendre plus futés les raisonnements.

Cet article propose plusieurs séries d’arguments en…images, textes ou vidéos – afin qu’il ne puisse être fuit dans l’imprécisé et le flou des généralités sans suite.

>>>>> - Ainsi, l’ascendance animale de l’homme saute aux yeux. La vie est UNE – toutes les créatures vivantes participent de la même vie. Ce qui se déroule c’est les débuts de la vie (les bactéries), la vie aquatique, les premiers végétaux terrestres, les premières sorties animales des océans et la diversification terrestre de nouveaux animaux permise par l’exubérance de la végétation…ceci aboutit à une Histoire que l’on peut dire de…évolutive puisqu’il y a complexification. Un avant simple un après complexe : donc un sens vectoriel directionnel…Mais de là à inférer un obligatoire progrès vers un obligatoire mieux il y a, effectivement, exagération de point de vue. S’il y but (mot inclus dans évolution) il n’a jamais, encore, été perçu globalement et clairement. Seulement par des flashes très intermittents…et par certains esprits affûtés. La vision d’une vie sans but et sans sens particulier peut envahir tout l’écran de nos attentions. Mais, tout comme la marée qui se retire, cette vision sur le sable nu, ne parait pas convaincre à 100 %. D’où une position d’attente très rationnelle : genre… «Il doit y avoir un but et nous ne semblons pas le connaitre»…

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…mais le mieux c’est d’accumuler les preuves de l’existence de ce but par le fait de faire voir des changements, des variations, des transformations ou des…mutations, qui dessinent à chaque fois (ou presque ?) une amélioration du pool global. Et donc une…évolution…par manque flagrant…d’autres concepts

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Ne pas pouvoir le formuler, avec 100 % de clarté, n’infirme pas la persistance de ce qui évolue…

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Simplement, le manque d’incarnation du savoir dans VIVRE que la réalité est une et mêle tous les savoirs sans en séparer aucun - fait perdre la succulence des arguments. Lorsque nous voyons un oiseau « évoluer » dans le ciel, où un poisson fulgurer dans l’eau – nous saisissons toute la grâce d’évoluer. La précision de feu du vol de l’oiseau peut être mise en trajectoire. Tracée. Et prolongée dans un vers quoi. C’est parce que le vol de l’oiseau est orienté que ses « évolutions » sont si éblouissantes de beauté. Pour les poissons, voir le banc qui « pense » comme un seul…homme, dépasse toutes les questions possibles. L’unité du banc est indiscutable. Que leur « volonté » vienne de l’instinct (mais qui l’aurait programmé cet instinct alors), des gènes, des processus de l’évolution (ce processus même qui permet de trouver les traces du…processus) qui auront uni les poissons vers un même but (survivre en se défendant ensemble), etc.…oui quoi qu’il en soit… « l’évolution » du banc de poissons est très fascinante et très émouvante. Au point de tracer une évidence en nous : s’il y a évolution, ses représentations imagées (qui concentrent des millénaires de millénaires) sont ainsi…Le « but » ( !) de l’évolution est alors de…devenir comme ces poissons ? Unis instantanément dans un mouvement commun, unifiés sans discussions dans les mêmes démarches…

Sans trop bien savoir le dire nous ressentons que si nous « évoluions » (évoluer plus une abstraction mais un vécu hyper sensuel qui prouve une présence…évolutive) oui évoluions, naturellement, comme le banc de poissons…

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………ce serait, dans la conscience, un niveau SUPERIEUR !

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

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(à suivre)

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre", onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" et "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou, encore, "Présent !", onglet 3 "La diction du dictionnaire" ou comment rendre tous les mots physiques", et "Rien de plus solide que le solidaire", sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Plus il y a d’opinions très différentes moins le monde risque de se tromper ………………………

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 000 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

l'homme ne descend pas du singe il remonte dans le...même arbre...

l'homme ne descend pas du singe il remonte dans le...même arbre...

l'évolution par les gènes...

l'évolution par les gènes...

ce qui semble caché peut apparaitre - si nous avons la patience de chercher le bon angle de...vue.

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unité des formes qui trans-forment...

unité des formes qui trans-forment...

un résumé seulement

un résumé seulement

indices, hypothèses, convergences ...quelque part il n'y pas d'arrogance...même si de mauvais représentants de l'évolution semblent effacer cette impression...

indices, hypothèses, convergences ...quelque part il n'y pas d'arrogance...même si de mauvais représentants de l'évolution semblent effacer cette impression...

L’évolution existe car notre corps en témoigne (-rait) ?
L’évolution existe car notre corps en témoigne (-rait) ?

notre corps avoue l'évolution ?

comme si la science monopolisait le prouver ? Et l'éprouver alors ?

pas d’évolution du tout, enclenche cette vidéo

les preuves les plus flagrantes se situent - comme souvent - dans... l'invisible (pour notre vue grossière)...

J’en ai eu assez d'expliquer pourquoi l'Intelligent Design et le créationnisme ont tort, pourquoi ils sont réfutés par les données, comment leurs partisans déforment la réalité ou mentent, et pourquoi ce n'est pas de la science. Donc j'ai maintenant décidé de montrer des preuves de l'évolution. Dans cette simple expérience j'analyse l'utilisation des codons dans les chaînes alpha et bêta de l'hémoglobine. Les séquences ADN des génomes complétés sont disponibles online, tout le monde peut y accéder. Donc allez-y. Regardez par vous-mêmes.

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In some journals, it's a separate section; in others, it's the last paragraph of the Discussion section.
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