Mieux vaut la loi de la jungle que le capitalisme ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Mieux vaut la loi de la jungle que le capitalisme ?

Des interrogations peu habituelles sur les possibles dérives dictatoriales des États-Unis et ce que leur législation pourrait permettre afin de l’empêcher ou de l’atténuer, le cas échéant. Oui, après ces interrogations – nous nous trouvons nez à nez avec des éléments de réflexions que nous pouvons formuler en « le capitalisme est terrifié à l’idée de revenir à la loi de la jungle ». Donc la loi de la jungle c’est bien mieux, plus progressiste et plus humain que le capitalisme ? Capitalisme toujours volontairement dirigé à maintenir le maximum de sauvagerie dans la société ?

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Voici qui change des écrits anesthésiques, des articles clones des médias vendus. Où rien n’est dit qui nous implique à fond. Nous transforme et nous remue du sol au plafond. Gageons que l’apport existentiel de ces poils à gratter va s’avérer plutôt gigantesque…Nous commençons par les risques dictatoriaux et continuons par le fait que la «loi de la jungle» continue d’être très en avance sur nous !

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«(…) le Congrès, la Cour suprême et la Constitution américaine protègent-ils suffisamment les États-Unis contre une “Présidence Folamour” ?

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Donald Trump a quitté mercredi dernier le bling-bling kitsch de sa Trump Tower sur la prestigieuse 5e avenue, qui lui fait office de bureau de campagne, pour se rendre dans les locaux du FBI à New York. La première d’une série de réunions où le candidat républicain sera briefé sur des informations top secrètes, principalement en matière de sécurité intérieure. Un rituel commun à tous les candidats à la présidentielle, mais qui inquiète lorsqu’il concerne Donald Trump, un candidat qui, il y a quelques mois, aurait demandé à trois reprises à l’un de ses conseillers en politique étrangère pourquoi les États-Unis ne peuvent faire usage de leur arme nucléaire. Les contre-pouvoirs que sont la Constitution, le Congrès et la Cour suprême protègent-ils vraiment le peuple américain d’un président autoritaire ? Plus la campagne avance, plus le candidat Trump paraît impulsif, plus les grands experts américains se divisent sur les limites du pouvoir du président aujourd’hui.

Neal Devins, professeur de droit et spécialiste des questions de constitutionnalité et de pouvoir, n’est pas convaincu que Donald Trump essaiera de mettre en place ses mesures les plus controversées. Mais il s'inquiète aussi de la capacité des contre-pouvoirs à faire front, face un président insoumis au régime constitutionnel américain : « Les pouvoirs de l’exécutif ont été fortement renforcés par George W. Bush et Barack Obama, au détriment des pouvoirs législatif et judiciaire. La population n’y prêtait pas trop attention car jusqu’à présent, les présidents étaient ancrés dans le monde réel. Si autant de personnes ont peur aujourd’hui, c’est qu’on ne sait pas vraiment ce qu’est capable de faire Donald Trump avec le système d’hyper-présidence qui est actuellement en place. Il est impossible aujourd’hui de connaître les limites du pouvoir du président américain car elles n’ont jamais vraiment été testées. »

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L'amérique-est-elle-immunisée-contre-la-dictature ?

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Donald Trump peut-il entrer en guerre de son propre chef ?

Lors des débats sur la rédaction de la Constitution en 1787, il était notamment question que cette dernière empêche le président « de devenir un César, Caligula, Néron, et Domitien en Amérique ». Mais depuis le 11-Septembre, les pouvoirs de chef de guerre du président ont considérablement augmenté, et le président ne se déplace jamais sans une valise qui contient les codes nucléaires et une carte des missiles américains. En théorie, une résolution votée en 1973 impose au président américain de faire approuver toute action militaire par le Congrès. Cela n’a pas empêché l’administration Bush de pratiquer la torture sans aucune autorisation préalable. Et son successeur Barack Obama s’est lui aussi affranchi de cette résolution en faisant usage, par le biais de décrets présidentiels (executive orders), de drones pour abattre des suspects terroristes américains à l’étranger, là encore sans qu’aucun débat n’ait eu lieu au Congrès.

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« En théorie, le président peut aujourd’hui lancer une opération militaire d’envergure sans aucune autorisation pendant soixante jours », précise Corey Brettschneider. « La résolution de 1973 impose ensuite l’approbation du Congrès. » Mais le contre-pouvoir législatif, miné par la division grandissante et irréconciliable du pays entre républicains et démocrates, a montré une inquiétante incapacité à jouer son rôle depuis une décennie. « Aujourd’hui, pour qu’un sénateur républicain s’oppose au président Trump aux côtés des démocrates, il faudrait que la décision de Donald Trump soit si décriée dans le pays que l’élu se dise qu’il sera plus populaire dans son État s’il s’oppose au président. Reste à savoir jusqu’où peut aller Donald Trump tout en continuant à avoir le soutien d’une majorité de l’électorat républicain et donc des élus de son parti. Tant que le Congrès n’arrivera pas à s’entendre, le contre-pouvoir législatif n’existera pas et ne pourra pas bloquer le président. » Le dernier obstacle à des mesures militaires insensées – comme tuer les familles des terroristes, une idée que Donald Trump a défendue – serait un refus des forces armées américaines d’écouter ses ordres, ce qui plongerait le pays dans une crise constitutionnelle comme il n'en a jamais connue. « Et si la justice s’en mêle et désavoue une action militaire, rien ne dit que Donald Trump n’ignorera pas l’avis de la cour, et que l’armée ne se rangera pas du côté du président. On ne peut que spéculer car la situation ne s’est jamais produite et personne n’a poussé les limites du système jusque dans ses retranchements. »

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Donald Trump peut-il interdire l’entrée du pays aux musulmans ?

Proposition phare et controversée de son programme, l’interdiction d’entrée sur le territoire américain aux musulmans suscite de nombreuses craintes et ne serait pas impossible à mettre en place, estime Corey Brettschneider. Néanmoins, Donald Trump ne pourra pas interdire aux musulmans américains et à ceux qui ont le statut de résident de rentrer chez eux. « La Constitution empêche de cibler un groupe ethnique ou religieux au sein de nos frontières. Mais sa proposition d’interdire l’entrée aux musulmans s’adresse surtout à l’immigration étrangère. Cette mesure pourrait être constitutionnelle et validée par la Cour suprême. Il y a un désaccord chez les experts sur ce que dit le Premier amendement sur la protection de la liberté religieuse des potentiels immigrants. »

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Donald Trump peut-il limiter la liberté de la presse ?

« Nous allons changer les lois sur la diffamation. Pour que quand le New York Times écrit un article honteux, nous puissions poursuivre ce journal en justice et gagner de l'argent. Alors qu’il n’y a aucune chance de l'emporter aujourd’hui devant les tribunaux parce que ces journaux sont très protégés. » Depuis le début de sa campagne, Donald Trump – pourtant bien aidé par l’importante couverture médiatique dont il bénéficie – n’hésite pas à s’en prendre directement aux médias, le New York Times et le Washington Post en tête, et leur refuse parfois l’accès à certains de ses meetings. « Donald Trump pourrait essayer de faire passer une loi qui limiterait la liberté d’expression et la liberté de la presse, confirme Corey Brettschneider. J’espère que le Congrès et la Cour suprême seraient en mesure de l’empêcher d’appliquer ces restrictions anticonstitutionnelles, mais la capacité de la Cour à s’opposer au président pourrait être compromise par des juges nommés par Trump et partageant les mêmes idées que lui. »

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« Quand au Congrès, son plus grand pouvoir est celui du porte-monnaie, explique Neal Devins. Si Donald Trump fait passer une mesure inconstitutionnelle sur la liberté de la presse en contournant le Congrès, ce dernier peut faire obstruction en empêchant le financement de la présidence, car tout l’argent mis à disposition de l’État est d’abord validé par les deux chambres. » Mais l’arrêt du financement de la présidence requiert l’approbation des deux-tiers du Congrès et donc un terrain d’entente entre démocrates et républicains. Là encore, la profonde division entre les élus des deux partis laisse très peu d’espoir à une super majorité.

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Donald Trump pourrait-il être destitué ?

« Il y a un processus de destitution, mais une simple désapprobation de sa politique ne suffirait pas à lui enlever la présidence », note Corey Brettschneider. Pour être destitué, « la constitution exige qu’un président commette un acte de trahison, de corruption, ou un acte de haute criminalité ». Et seul le Congrès peut décider de la destitution du président. L’application d’une loi, même si celle-ci est discriminante, dangereuse et anticonstitutionnelle, ne peut amener à la destitution du président tant que le Congrès ne se saisit pas du dossier. Et si plusieurs démocrates ont annoncé qu’ils n’hésiteraient pas à demander la destitution de Donald Trump s’il bafoue la Constitution, dans les faits cela pourrait s’avérer plus compliqué. « La Chambre des représentants pourrait essayer de le destituer au motif qu’il a enfreint la Constitution de manière flagrante et que cela constitue un acte de haute criminalité », précise Corey Brettschneider. Mais si la majorité est républicaine au Congrès, il faudrait une fois de plus que certains républicains rejoignent le camp démocrate. « Il a fallu le Watergate pour que les partis tentent d’arrêter la présidence de Nixon. Si l’on regarde les deux dernières décennies, le Congrès manque de volonté pour contrôler le président. L’équilibre des pouvoirs aujourd’hui est un échec lamentable. »

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Seul espoir : le manque de soutien actuel du parti envers Donald Trump laisse penser que certains élus pourraient se retourner contre ce dernier plus facilement qu’il ne l’aurait fait contre George W. Bush. « Si il est élu président, Donald Trump sera sans doute conscient que le parti républicain, qui ne l’a jamais soutenu dans sa totalité, serait capable de voter sa destitution. Ce qui le rendra sans doute prudent, explique Neal Devins. Mais tant que certains juges conservateurs de la Cour suprême, certains élus républicains du Congrès, ou certains juges d’une Cour fédérale ne lui tiendront pas tête, Donald Trump pourra continuer à repousser les limites d’une hyper-présidence jusqu’à l’extrême. »

Ce genre de préoccupations n’avait pas existé. Mais s’avère, malheureusement, entrer dans le domaine du plausible. Et s’il était dit, alors, que ce serait, de nouveau, la « loi de la jungle » - voyons pourquoi ce serait une grande erreur de dénomination ! Voyons pourquoi !

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« En 1991, George Bush père, dans au moins deux discours distincts, a annoncé la fin de la partie géopolitique pour la stabilité mondiale; ce qu’il a appelé le "nouvel ordre mondial – NWO" Ce n’était pas la première fois que la notion de NWO était utilisée par un personnage important. Le socialiste fabien H.G. Wells a écrit un livre entier sur cette idéologie des décennies auparavant, en 1940, intitulé « Le nouvel ordre mondial », et a même scénarisé un film de propagande à peine voilée sur la montée du globalisme, intitulé « Ce qui va venir ». Le noyau de cette idéologie est l’institution d’une gouvernance mondiale et l’effacement des États-nations souverains, apparemment dans le but de mettre fin à la menace persistante de la guerre mondiale. […d’où l’ambition de créer une fausse menace et "d'inventer" une fausse guerre mondiale ! ].

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Une citation clé de la Maison Blanche, dans le discours de Bush à la nation à la veille de l’opération Tempête du désert en Irak, explique bien ce qu’il y a derrière le concept de NWO :

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« Nous avons devant nous l’occasion de forger pour nous-mêmes et pour les générations futures un nouvel ordre mondial – un monde où l’État de droit, et non pas la loi de la jungle, régit la conduite des nations. Lorsque nous réussirons, et nous réussirons, nous aurons une vraie chance d’avoir ce nouvel ordre mondial, un ordre dans lequel une Organisation des Nations Unies crédible peut utiliser son rôle de maintien de la paix et remplir la promesse et la vision de ses fondateurs. »

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Les questions sont : qu’est-ce qu’il veut dire par l’État de droit, et qu’est-ce qu’il entend par la loi de la jungle ? Comme Bush le précise en outre, la règle du droit dans son esprit est la loi appliquée par un organe directeur globaliste (c’est-à-dire l’ONU). La loi de la jungle serait invariablement tout ce qui représente l’opposé du globalisme (à savoir une souveraineté sauvage et sans entraves).

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La-loi-de-la-jungle-est-de-loin-supérieure-à-l'idéologie-du-mondialisme/

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[ Pourquoi, en fait, tant d’équivoques ?]. La loi de la jungle sonne comme étant dure et impitoyable, et elle l’est, pour les personnes qui ne poursuivent pas de plus grands objectifs et qui ne travaillent pas plus dur pour atteindre leur potentiel ultime. Cette idée est souvent interprétée comme fasciste dans ses origines. Autrement dit, les gens prennent souvent la loi de la jungle comme simplement l’assujettissement des faibles par les forts. Voici comment les globalistes VEULENT vous voir visualiser la souveraineté, l’identité nationale ou tribale, l’individualisme, etc. ; ils veulent que vous voyiez ces principes comme semblables à la sauvagerie.

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En vérité, ce sont les élites qui favorisent la sauvagerie comme noyau du globalisme, qui est pour sûr une forme hautement stérilisée et scientifique de la sauvagerie. Leur primauté du droit est tout à fait arbitraire – elle ne repose pas sur la lumière de la conscience, mais sur les désirs les plus sombres de l’avantage artificiel pour la classe dirigeante et l’oppression de tout le monde. Une meilleure interprétation de la loi de la jungle serait qu’elle est une description plus colorée de la loi naturelle, le droit inné à l’autodétermination guidée par la conscience intrinsèque. En vertu de la loi naturelle, la gouvernance bureaucratique ne sert à rien. Elle devient obsolète. [« L’invention » d’une’ loi de la jungle n’existant pas est alors un cheval de Troie afin d’empêcher l’exercice le droit supérieur des peuples à l’autodétermination ? Ce qui serait bien plus « barbare » que toute loi de la jungle !]

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Alors que la loi de la jungle n’est pas facile ou insouciante ou éternellement sûre, je pense qu’il y a beaucoup de vertus à vivre d’une façon naturelle, un mode de vie sans entrave et décentralisé bien meilleur que l’homogénéisation aveugle et le collectivisme de l’idéal globaliste.

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Voici quelques exemples de raisons pour lesquelles l’humanité ferait bien mieux de vivre à l’état sauvage et libre, plutôt que de vivre une existence inhibée et micro-gérée sous une autorité mondiale.[cela signifie que l’unitéralisme hyper violent d’imposer une fausse définition d’une vie naturelle ne tient pas devant un véritable débat !]

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Survivre dans la jungle exige de la force et de l’intelligence

Une interprétation superficielle de la loi de la jungle ferait valoir que seuls les forts survivent. Les collectivistes prétendraient que c’est injuste pour les faibles et que ce serait finalement barbare par principe. Je ne suis pas d’accord. L’hypothèse de ces gens est que le faible ne peut pas améliorer sa situation et nécessite donc un baby-sitting constant par une autorité centrale. Toutefois, si vous permettez effectivement aux gens d’être contestés plutôt que dorlotés, il peut être surprenant de voir à quel point ils deviennent forts.

Le globalisme détruit les conditions environnementales qui inspirent l’excellence et, à la place, récompense et protège la médiocrité. Prenons, par exemple, les problèmes concernant les banques too big to fail ; ces institutions sont vraiment des échecs à tous égards et, comme des gazelles blessées, il devrait leur être donné une mort rapide. Mais, selon la théorie de la globalisation, la stratégie a (jusqu’à présent) été de garder en vie ces canards boiteux. En d’autres termes, l’incitation à la réussite a été ébranlée et la faiblesse a été récompensée.

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De cette façon, non seulement dans le monde des affaires, mais aussi dans le monde social, le globalisme encourage les gens à n’accomplir que le strict minimum [nous en voyons les résultats, notamment pour la non- mise en place d’une résistance globale mondiale au système : si nous ne fournissons pas plus d’efforts cela ne se produira même jamais !] et les conforte avec des promesses d’être à jamais nourris par l’État nounou mondial. Si ce genre de monde devient un absolu, la société se désintègrera et reviendra à quelque chose de moins qu’humain. Tous les progrès de l’évolution seront perdus.

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Survivre dans la jungle se mérite

Vous devez être utile dans la jungle ; vous devez produire, réparer ou enseigner quelque chose de vraiment précieux. Vous devez construire. Vous devez innover. Vous devez être inventif. Vous devez faire l’effort de prendre le contrôle de votre destinée. Vous devez prouver votre mérite si vous voulez réussir. Sous le globalisme, aucun de ces comportements n’est vraiment nécessaire ou récompensé.

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Quand vous donnez aux personnes les moins performantes les clés de la base de votre société, vous découragez le véritable succès qui est de poursuivre plus loin l’excellence. L’objectif pour une personne qui veut vraiment faire son chemin dans un tel monde serait alors de gagner autant que possible un statut de victime, afin d’obtenir le plus de récompenses. Le mérite devient superflu. […cette inversion des réalités est, en effet, un obstacle grave à la survie de tout le monde. La loi de la jungle, qui est donc bien le contraire de la sauvagerie, ne couvre pas de telles hypocrisies !].

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Telles qu’… « ils prétendent qu’ils sont trop faibles pour prendre des rôles masculins traditionnels de production et de protection et donc optent pour la paresse et la sécurité de la collectivité plutôt que de s’améliorer. »

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Survivre dans la jungle nécessite une volonté d’auto-défense

L’idéal globaliste est enraciné dans le pacifisme. Cela veut dire qu’une défense agressive par l’individu moyen est traitée comme étant soit peu scrupuleuse [..double discours - alors que la lâche finance internationale est bien l’acté d’agression le plus agressif qui se puisse imaginer !], soit futile. Pourquoi apprendre à protéger votre propre vie et la vie des autres, quand vous pouvez garder vos mains propres et que l’establishment peut le faire pour vous ? Pourquoi ne pas soutenir la gouvernance mondiale, mettre fin à la [ prétendue ] loi de la jungle et mettre une sentinelle armée et une caméra de surveillance (…ce qui représente une loi de la jungle maximale alors ?] à chaque coin de rue, pour éloigner les prédateurs potentiels ? Pourquoi ne pas échanger toute détermination par soi-même, pour la promesse d’un confort sans fin et d’une existence insouciante ?

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Le problème est, comme nous l’avons vu dans de nombreux cas dans des environnements d’auto-défense très restreints en Europe, que l’État ne peut pas et ne sera jamais en mesure de remplir ses promesses vides de protection constante. Au fond, la seule promesse que les autorités peuvent tenir est qu’elles vont rapidement nettoyer le bordel laissé par votre corps ensanglanté, après qu’une attaque a déjà eu lieu. Et, comme nous l’avons vu dans d’autres cas aux États-Unis, les autorités sont parfois aussi les assaillants.

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Dans la jungle, il n’y a pas de pacifistes exagérés. Ils sont tous morts, ou ils se sont convertis à un état d’esprit d’auto-défense. Les pacifistes ont donc besoin d’un troupeau collectiviste pour s’y fondre et s’y cacher ou pour faire en sorte que ce soit le gars à côté d’eux qui soit avalé pendant qu’ils s’échappent.

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Le globalisme exige la dilution d’une population active vigilante, parce que la philosophie de la légitime défense conduit naturellement à une appréciation de l’action individuelle. Un gouvernement centralisé ne peut pas prendre le contrôle des citoyens qui ont la volonté de riposter par eux-mêmes contre les prédateurs.

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Toute personne qui favorise une réponse pacifiste aide simplement les prédateurs, et cela inclut les personnes qui favorisent une réponse pacifiste envers les gouvernements prédateurs. Si une personne moyenne vivait par la loi de la jungle, plutôt que d’attendre qu’une autorité civilisée la protège ou morcelle les libertés avec lesquelles elle est née − comme si elles n’étaient que des privilèges − les gouvernements prédateurs cesseraient d’exister. […un point de vue qui n’est sensé que si le système dérape et se veut une main mise sur tout le monde avec suppression concrète des choix. Dans d’autres contextes ce n’est plus le bon état d’esprit !].

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La loi de la jungle exige la liberté en toutes choses

Vous ne pouvez pas agir dans la jungle, si vous êtes limité par la bureaucratie et les subtilités collectivistes. Et si vous ne pouvez pas agir librement dans la jungle, alors vous allez mourir dans la jungle. Par conséquent, la jungle et le système globaliste sont des environnements mutuellement exclusifs. […et qui pourraient dériver ans des abus de pouvoirs en chaine !]

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Cela ne signifie pas que, dans la jungle, il n’y a pas de conséquence pour la prise de mesures injustifiées qui nuisent à d’autres. Comme dans le concept libertaire du principe de non-agression, il est de loin préférable de laisser les autres poursuivre seuls leur propre prospérité, d’abord parce que c’est une bonne chose à faire, mais aussi parce qu’ils peuvent avoir des moyens d’autodéfense comme vous. Essayer de contrôler la vie des autres, les pensées des autres, la langue des autres, les associations personnelles des autres, les droits de propriété des autres, va susciter une réaction justifiée et la perte de votre propre vie. […la dissuasion forte par l’escalade des agressivités ne semble pas avoir réfléchi à ses limites ! ]

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Être un prédateur dans la jungle n’est pas sans grand risque, la plupart des animaux vont se défendre quand ils sont acculés et blessés par un prédateur, qui pourrait finir par être un prédateur mort. Mais être un prédateur dans un monde peuplé de moutons globalistes désarmés signifie peu de risques. [ dans cette optique le système cumule donc le pire de la prédation sans risques et la sauvagerie du fonctionnement hyper inégalitaire jamais sanctionné, non plus. ].

La jungle est un lieu où des progrès significatifs au service de l’individu sont essentiels, car même une tribu dans la jungle n’est aussi forte que des individus qui composent ses rangs. Le monde globaliste est un lieu où des progrès significatifs sont étouffés et les individus forts sont traités comme une menace. Le globalisme nécessite une machine collectiviste, un esprit de ruche dans laquelle l’individu est seulement un piston dans l’appareil. Le globalisme déplace la pensée créative au nom de l’efficacité, et tue l’innovation.

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Une société globaliste serait une société statique, figée dans un cycle sans fin de conformité et d’uniformité. Les seuls bénéficiaires seraient ceux qui sont au sommet de la pyramide, qui, comme dans toutes les entreprises pseudos collectivistes, récoltent la majorité des récompenses, parce qu’ils sont les gens qui arrivent à redistribuer la richesse de la production, de la manière dont ils l’entendent.

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Dans la jungle, ces redistributeurs seraient considérés comme des intermédiaires inutiles, des parasites entravant la production et la prospérité, buvant leur part de sang sur chaque transaction et chaque invention ; volant la richesse gagnée du succès afin d’alimenter une autre armée de personnes qu’ils ont encouragées à devenir aussi des parasites, à travers l’idéologie de l’anti-mérite. [celle qui permet que de très médiocres pompent tout l’argent des autres !]

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Dans la jungle, dans un monde libre, les gens mettraient en doute immédiatement l’existence de ces intermédiaires se présentant comme des figures d’autorité et des financiers. À quoi servent-ils ? Ils n’ont certainement aucun mérite. Ils ne réussissent pas parce qu’ils sont meilleurs que quiconque à quoi que ce soit de nécessaire. Ils ne sont pas des chasseurs-cueilleurs, ils ne sont pas des producteurs, ils ne sont pas des défenseurs, ils ne sont pas des enseignants, et ils ne règlent aucun problème. Ils se nourrissent du reste d’entre nous, mais ils ne sont pas des concurrents actifs et honnêtes. Ils ne sont pas des lions ou des tigres ou des ours. Ils sont des charognards vicieux ou des voleurs. Ils sont des hyènes et des chacals enragés, qui cherchent à grignoter un morceau au moment où nous sommes distraits.

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Dans la jungle, ces vermines sont souvent présentes, mais certainement pas les bienvenues. À la moindre occasion, elles sont écrasées.

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Pour cette raison, il est tellement compréhensible que les capitalistes…

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…………………… aient tellement peur de la jungle. »

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Clair retournement de situation ! La jungle, la vie naturelle, le sauvage qui sauve sont des antidotes protectrices contre l’envahissement sournois et si déloyal du capitalisme rampant. Qui masque toujours ses buts, tend à empêcher toute réflexion comme tout débat afin de voir clair, veut se faire passer pour ce qu’il n’est pas et impose sinueusement et insidieusement des décisions néfastes à quasiment tout le monde. Sauf pour la poignée des médiocres hyper centralisés qui ne font que voler l’argent d’autrui ! Aussi - ces personnages ont vraiment peur de la jungle (bien moins sauvage qu’eux !) – tout simplement parce qu’il n’y est pas sans risque que d’y être un…prédateur. Combien d’exemples de fauves tués par leurs prétendues victimes ? Et que ce système – à force de soi-disant protéger, materner et prétendre imposer des pensées à tout le monde…pour sa sécurité, etc. a inventé le pire : la grande prédation sans risque.

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La jungle limite tous les pouvoirs, du fait qu’ils se contrent tous l’un l’autre. Le système aura imposé (toujours à l’aide de discours trompeusement déguisés) des pouvoirs sans limites. (voir la première partie de ce texte !) Mais pas si « intelligents », perspicaces, imbattables, irréversibles, etc. que cela…et ce, malgré les assauts exagérés d’éloges des conformistes à leur égard (dans la jungle le conformisme ne survit pas vraiment). C’est qu’ils n’ont jamais réfléchi à leurs limites, à leur futur, à la situation réelle de leur acceptation par les têtes et les cœurs. Et que, donc, seuls qui les voient comme ils sont – le regard décillé – passe vraiment à travers les gouttes. C’est un monstre froid à qui indifférent éloges, trahisons, aides, etc. – seuls le réveille les mouvements browniens (donc très antérieurs à l’’existence de la jungle) de se faire plus d’argent dans l’irresponsabilité et l’inconscience les plus incohérentes. Dans ce contexte -

……………….mieux vaut la loi de la jungle que le capitalisme !

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Pourquoi en ont-ils si peur d’ailleurs ? « Si les pleureuses se lamentent de la persistance d'idées rétrogrades d'un autre temps et récupèrent volontiers les manifestations éducatives et civiques qui s'y opposent, la majorité, pas plus que l'opposition, n'a daigné mettre en œuvre la politique d'éducation à long terme qui, seule, pourrait contrebalancer la persistance d'idées et d'attitudes remontant à la sinistre période d'endoctrinement des guerres coloniales. Pire, les cohabitants sont tombés d'accord pour détruire le musée de l'Homme, musée de l'Éducation nationale, qui a pour mission d'informer les enseignants, les scolaires et le grand public sur les origines des humains et l'histoire de leur diversité biologique et culturelle, ainsi que le musée des Arts et Traditions populaires et celui des Arts africains et océaniens. Le tout pour installer, avec plus de trois cents millions d'euros d'argent public, au Quai Branly, un musée caprice présidentiel d'art exotique, dont l'Europe et les " grandes " civilisations d'Asie sont exclues.

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On ne mélange pas sauvages et civilisés dans le musée des marchands d'art prétendu " primitif " ! »

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Ces tentatives désordonnées de supprimer toute traces concrètes, rationnelles et vérifiables de la…jungle en dit plus long que tout discours sur la « valeur » d’une anti-civilisation du…profit (cette aberration !) par rapport à la jungle

…………………qui, elle, au moins….a des lois... appliquées !

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>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>> - ANNEXES - <<<<<<<<<<<<<<<<<

Les-seize-étapes-de-la-vie-naturelle ?

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L'escalade de la vie naturelle

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Où sont les gestes...d'humanités ?

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que la jungle soit plus humaine et altruiste que nous - voici qui remet en cause "notre" civilisation !

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Le-mythe-erroné du-sauvage-brutal

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Le sauvage ventral

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Le sauvage :-ainsi-va-la-vie

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L’exemple d’un actuel sauvage qui pense ? C’est même le sauvage central !

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« (…) le devenir de la planète ? Ca ne l’inquiète pas trop. Il croit au progrès. Il croit au génie de l’homme.

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A part cela André Langaney est un redoutable redresseur de torts. Il exprime ses griefs dans Siné Mensuel, dans le Courrier de Genève, ville où il enseigne. Langanay est aussi anthropologue, généticien, éthologue et mieux encore un empêcheur de penser en rond. Jadis directeur du Musée de l’Homme à Chaillot. Il en défendit le démantèlement en tenant une conférence de presse, nu. Nu comme l’homme.

Il est l’auteur du « Sauvage central » (1991), ce qui nous flattait, de « l’Histoire naturelle de la sexualité » et de bien d’autres ouvrages définitifs ou provisoires.
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C’est un coriace pugnace. Il en fait à nouveau la démonstration dans son dernier livre : « Ainsi va la vie » publié par le Sang de la Terre. On y retrouve d’abord le « Sauvage central » mais aussi un sauvage des contre allées de la science, de la philosophie, de la vie.

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Langaney est un maître à penser. Il donne à penser à propos du darwinisme, du cerveau reptilien, de la douleur, de la télévision, de la pub, de la pédophilie, des tigres et de la mort du lapin…

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……………….C’est un mordant. On devient intelligent en lisant. »

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

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(à suivre)

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et"L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie", onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, LE ROMAN DE L'ECONOMIE, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 100 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

l'air l'eau le feu et la terre

l'air l'eau le feu et la terre

Mieux vaut la loi de la jungle que le capitalisme ?
Mieux vaut la loi de la jungle que le capitalisme ?
Mieux vaut la loi de la jungle que le capitalisme ?
inutile d’accuser la fatalité ou autre – c’est l’homme entêté qui a créé cet enfer !

inutile d’accuser la fatalité ou autre – c’est l’homme entêté qui a créé cet enfer !

Mieux vaut la loi de la jungle que le capitalisme ?
alchimies

alchimies

des incompréhensions répandues...

vie sauvage curieusement absente

...

…où est l’exploitation de l’homme par l’homme, la violence 24 h/ sur 24, la vraie vie interrompue, la sauvagerie malsaine, etc. ? Et non, presque tout ce qui est produit sur la loi de la jungle est donc…faux !

encore incompréhension sur les termes : ici c'est la brutalité si régressive du capitalisme...pas la jungle !

Que le spectacle ne continue plus – nous préférons la vraie vie…le show du business aura été trop…inhumain !

arroser les arroseurs d'eaux sèches...

l’incompréhension complète – lorsque un prétendu film n’est qu’un collage d’idées fausses, de préjugés et de stéréotypes, eh bien ! vérifiez, oui il, est strictement impossible de le regarder !

bizarre elle n’a qu’une journée la vie sauvage…la coupure avec la vraie vie serait-elle si complète ?

et lui c’est toute la vie la quête sauvage…la jungle rendrait-elle plus intelligent ? Au sens de s’adapter harmonieusement- à tout !

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T
Revision of Results and Discussion is not just paper work.
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V
Hey grand poste. Je dois apprendre beaucoup de choses de ce poste. Merci d'avoir partagé.
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