Moi moineau ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Moi moineau ?

Ou bien moi moindre ? Moi moignon, moi moire ? Reflet de toujours quelque chose d’autre ? Indécidable, indéfinissable et insaisissable ? Se trompant, à chaque fois, de logiciel. Mélangeant étourdiment la valence neutre et la valeur si orientée ? Le plus et le moins n’exprimant aucune préférence en mathématiques. Bref, se prenant les pieds dans les idéologies qui sont subsumées par l’imagologie (ces images qui nous empêchent vraiment de vivre !). Dont l’image «d’avoir » reste la plus nuisible.

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Milan Kundera dans « L’immortalité » (1990), dans les pages magistrales allant de 123 à 171 – nous y fait découvrir, aussi, l’étonnant différentiel de « l’être par la soustraction ou par l’addition ». Et donc…« Soustraire de son moi tout ce qui est extérieur et emprunté, pour se rapprocher ainsi de sa pure essence (en prenant le risque d’aboutir à zéro par ces soustractions successives) (…) ou bien « pour rendre son moi plus visible, plus facile à saisir, pour lui donner plus d’épaisseur, elle lui ajoute sans cesse de nouveaux attributs, auxquels elle tâche de s’identifier  (en courant le risque de perdre l’essence du moi, sous ces attributs additionnés) (p. 123). » L’addiction aux additions semblant la plus droguée. D’autant plus qu’elle nous ajoute, sans cesse, un épisode neuf qui nous ensevelit sous le trop d’avoirs. Le moi œuvre à suspense ? A ce point ? Ce qui fait bien entrer ces pages dans un humour de haute volée. Oui celui qui nous provoque un rire…inextinguible. Ce que la vulgarité sèche de la société spectaculaire-marchande ne pourra jamais offrir. Puisque ce rire de haute altitude répond aux critères du « poivre » qui déclenche – d’après nombres de témoignages - les dons shamaniques. Aussi nous auront le droit à ce rire salutaire qui masse si fort à l’intérieur (oui il trône des pages 123 à 171 – ce qui n’est pas courant) et qui ne pouvait s’attacher qu’au moi par additions !

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Ainsi, après le climax du rire – ce palier des cimes qui se prolonge… « (…) il vante un attribut [additionné aux autres], un attribut de son moi et met tout en œuvre pour que cet attribut soit reconnu et aimé de tout son entourage (p. 124). » Manque de bol ? Et cela vaut bien toutes les chutes des films muets et même plus. Oui manque de bol ?

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« Tel est l’étrange paradoxe dont sont victimes tous ceux qui recourent à la méthode additive pour cultiver leur moi : ils s’efforcent d’additionner pour créer un moi inimitablement unique, mais devenant en même temps les propagandistes de ces attributs additionnés, ils font tout pour qu’un maximum de gens leur ressemblent ; et alors l’unicité de leur moi (si laborieusement conquise) s’évanouit aussitôt (ibidem.). » Ce n’est pas unique que de faire imiter à ce point, devenant juste une marchandise interchangeable et insipide, parmi les autres... pour en devenir certain, il suffit de conjuguer la vie. Un bien…être cela se savoure…mais un avoir…être ? Ceci patauge dans le ridicule. En plus que l’avoir est démasqué dans un avoir…été. Passif et passible. Ce qui place l’avoir dans une arriération historique, l’ère à ploucs, l’époque des balourds, qu’il s’agit de dépasser rapidement – si nous voulons vivre en phase avec toutes les immensités !

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Ainsi, l’addition devient une dramatique…soustraction. Et qui ne poursuivrait que l’avoir (additions) y perd son être complet (par épurations des soustractions successives). Jusqu’à la pulpe incroyablement savoureuse de l’être authentique ! A laquelle il ne goûtera plus jamais. L’avoir n’a donc plus rien entre les mains. Plus de réalités palpables plus de matérialités tangibles. Que de la fumée avec laquelle il voulait enfumer l’Humanité ! Et il persiste à se tenir, benêt, sur le trône de ses privations trop visibles ! Il se sera placé volontairement en dehors de la vie réelle. Auto-exclu du gigantesque essentiel !

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Tout cela parce que la soif de l’avoir veut s’imposer aux autres, et ses forces vides de s’amonceler et se celer (qui aime l’être, lui, ne l’impose jamais, elle/il désirent le partager, mais discrètement, par émulations, admirations ou convictions successives). Puisque l’avoir se démasque, en réalité, à « avoir » si peu d’idées et comment, alors, différencier son moi cumulatif et avide ?... 1 ) – le Je n’a nul besoin de se différencier – il préfère s’amplifier et s’approfondir. Tellement plus réaliste… 2 ) – ce Je (qui aura dompté le moi si égarant) crée sans cesse de nouvelles idées…sa soif est sans discontinuer étanchée. C’est toute la différence des princes(ses) de la vie intérieure : nul besoin pour eux de s’affirmer (ces additions épaisses de ce qui ne confirme que leurs choix premiers), de s’affirmer « juste » oui en niant les autres. En les soustrayant au compte si truqué des gloires sociales. Ce minable système de réputations toutes …stipendiées. Donc achetées et n’ayant, pour cela, absolument aucune…valeur.  S’affirmer faisant juste entrer dans la firme de soi. Soi toujours mis au turbin et si harassé de devoir se prouver à chaque seconde en affichant des chiffres…qui n’existent tout simplement pas.

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Tandis que l’être qui appartient à l’abondance radicale de lui-même se trouve dans les filons de la générosité qui génère toujours plus de générosités. Avoir comme coincé dans un cagibi étroit, où mille personnes doivent se serrer, ne connaît jamais la plénitude, le bien-être et l’envol de l’été (ce que l’être aura toujours été, l’été !).  Aussi l’être restera infini et les avoirs toujours si enserrés d’insuffisances. Mieux vaut lâcher tous les avoirs et le moi néantisé. Puisque aucun Je n’empêche jamais tout le monde de briller tout autant. Ce qui représente, effectivement, la réelle concurrence aussi loyale que les lois (loyal venant de loi). Et qui nie, dénie et renie, paisiblement, l’escroquerie – cette gigantesque non-concurrence faussée et truquée du néolibéralisme. Aucun challenge régulier – tout est bafoué par les oligarchies et les mafias antidémocratiques… Oui, le but (très visible dans les multinationales) est d’imposer ses prix (pire qu’un état autoritaire) et de sortir de la loyauté équitable de toute compétition véridique. Le néolibéralisme est donc un leurre d’avoir qui se nique lui-même. Vivre hors de ce cloaque c’est connaître la véritable paix intérieure ! Pas mal, hein ?

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La preuve de ce refus illégal de la concurrence s’étale partout dans la… culture. Mieux que partout ailleurs Tant de milliards et de vacarmes de médias vendus – afin d’empêcher l’être d’un(e) seule(e) de…passer. Pris à leurs propres pièges (flagrants délits de piteux et miteux !) : ces médiocres voleurs et tricheurs ne peuvent emplir aucune « fonction » de la culture. Par exemple, comme l’écrivain qui, seul, peut tout dire et dire le tout de tout le monde. Cette fonction, séquestrée par des incapables, hurle de n’être pas remplie par…ses ayant-droits ! Et leur effrayante diffamation du « ne manque pas celui que nul ne donnait ! » s’effondre… Un peu qu’il/ qu’elle manquent : c’est leur fonction irremplaçable qui rugit. La carence bée d’autant plus visiblement. Cette diffamation est, en même temps, l’aveu de leurs rabâchées censures plus qu’illégales. L’avoir se fait toujours avoir par l’être. Vrai ou faux ? Le moi de la société de consommation ne…vaut rien du tout. Il s’auto-nuit. Impossible de lutter contre son obsolescence programmée. Solutions ? Voir en-dessous !

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Comment entendre ces mathématiques si poétiques ? Ces poésies plus mathématiques et logiques que les mathématiques ne pouvant (selon Gödel) prouver ni démontrer leurs propres postulats de base ! Déjà – en leur faveur – les mathématiques gardent la « valence » qui a plus de valeur que la…valeur. La valence est neutre, universelle, isotrope, accueillante, sans discrimination, sans sectarisme, sans hiérarchie, sans possibilité même d’être ni achetée ni vendue. La valeur, elle, reste en bien plus mauvaise compagnie. Ce pourquoi le Je (valence) a tout intérêt à laisser tomber son moi (de valeur dévalorisante et dépréciative). Dit autrement, ce moi ôte sa valeur à toute chose : rien ne s’y vit – tout fait semblant dans les apparences…Ce moi, d’ailleurs, qui ne connaît rien de la vie et de toutes les splendides expériences existentielles qui vont avec ! Ne dit-il pas – cet insurpassable crétin - « je m’ennuie » ? Le me, ce moi moite, qui ennuie le Je ? Ce Je vire le m’, le moi encombrant et inutile – plus jamais le Je ne s’ennuiera par lui-même. Sans le moi c’est le règne de… l’abondance. Le moi c’est la bestiale bêtise : croyant tout avoir pas son égoïsme, il ne  « retient » jamais  rien. Tout lui échappe. Lui glisse entre les doigts. Ses possessions sont des « possessions » maléfiques et vampiriques. Il est toujours oui plus dépossédé de tout. Ses possessions supposées le possèdent tellement – qu’il en sort dépossédé de tout. Même de ses fondations qui « retiennent » tous les avoirs utiles, par exemple ! L’être, lui, sait avoir mais sans se faire avoir !

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Oui de l’être vivons le Je - lorsque seuls s’appellent Je ceux et celles qui ont surmonté toute possibilité de défaites ? Ce Je survit à tout. Et n’obtient que des…bénéfices à ne jamais avoir participé (même une seconde !) à la société de consommation – celle qui avoue tous ses crimes dès son nom même. Comment cela ? Con-sommation, où sommation représente toutes les sommes ajoutées, additionnées, sommes volées à qui nous sommes, aux êtres comme nous – puisque sommation c’est sans le total final – le total restant monopolisé, illégalement, par la minable société de consommation. Cette dépouilleuse des êtres ! Qui ne dépouille, d’ailleurs, que qui s’adonne à la drogue dure société de consommation. L’être libre et autonome reste protégé de tout ceci. La société de consommation ne peut strictement rien contre lui. Seuls les « calculs » de ses non-calculs sont infiniment…payants. Il obtient tout d’une vie pleine, goûteuse, sensuelle et sensée, pleine de sens et d’extases, d’ardeurs et d’épanouissements. N’ayant jamais laissé un objet ou une chose…vivre à sa place, cet être libre reçoit tout de l’immensité de l’univers, de la vie et de la Nature. Tous trois trônant da la haute souveraineté de leur gratuité éternelle (ce hors prix qui embrasse toutes les valeurs à la fois – vous vous rendez compte, impossible de les enfermer dans « un seul » prix !). Le gigantisme de leur gratuité ne vit jamais dans l’exiguïté mesquine de l’étroitesse des trop limités prix. Mieux avoir tous les prix, qu’un seul. Oui ou non ?

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Ce pourquoi, le porteur d’avoirs (qui se fait toujours avoir) ne vivra jamais une seule RENCONTRE de sa vie. Tout empêtré, emprunté, balourd, ligoté, empoté, embarrassé, désorienté, gêné, penaud de devoir toujours emporter la muraille de ses avoirs avec lui./elle. Tout  embrouillé des préjugés, peurs, effrois, indécisions, embarras et des manques pleurant qui vont avec (oui plus de spontanéité, de sincérité, de joies simples, d’enthousiasmes qui transportent, de sentiments positifs qui nous transmutait, etc.) non ce moi n’est qu’un ridicule char d’assaut qui n’écrase que lui-même. Le Je léger de son être a (à chaque seconde) la rencontre au bout de chacun de ses doigts – empêtré de rien…

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…Puisqu’il n’a jamais besoin de transporter son être, il l’est déjà ! Combien nous nous sentons soulagés de ne jamais « avoir » à vivre dans les semblances ! Et de sacrifier – plus que stupidement – la pulpe jouissante de sa vie pour des apparences…qui n’existent pas. A part être toujours plus con, il sert à quoi le moi ? Le Je d’être plein, de bien…être, n’a aucun besoin des apparences insignifiantes. Il les a, bien évidemment, toutes traversées. Si peu nécessaires qu’elles sont, elles se traversent plus aisément, encore, que de se sentir à l’aise dans sa vie !

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Oui face, au moi moindre ? Au moi moignon, au moi moire ? Reflet de toujours quelque chose d’autre ? Qui ne se poursuit que comme le fantôme de soi-même…

….....Nous voyons triompher le moi moisson de l’abondance de l’être.

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Spontanéité + curiosité..

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capitalisme : tout y est calculé + l’obsession maniaque du gain aveugle = malheur complet de l’être

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La-créativité-ou-le-contrôle-continuum- il s'agirait de choisir

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Le meilleur du passé n’a jamais dit autre chose – et il aura fallu nombres de malsaines manipulations des occidentaux pour tenter de masquer ces trésors de l’été qui aura toujours été. A ressentir au second degré (c’est, d’ailleurs, déjà plus chaud…)

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La Pensée Juste (qui n’est pas juste de la pensée).

« Ahura Mazda a créé le monde et tout ce qui s'y trouve dans sa pensée. Cette pensée originelle imprégnée de la justesse qui a dessiné le monde est appelée : la pensée juste. Elle émane d'Ahura Mazda et continue à créer, à améliorer et à perfectionner tout ce qui existe ; sa mission est aussi de guider vers la justesse les pensées vagabondes et errantes circulant dans l'univers. L'erreur, qui s'oppose à la pensée juste, à la parole juste et à l'action juste n'est pas inhérente à l'homme ; elle se niche dans notre système de pensée. C'est en effet la pensée qui détermine la direction que nous voulons donner à nos paroles et à nos actions, c'est elle aussi qui détermine la manière dont nous regardons la vie et l'existence, c'est elle encore qui informe nos perceptions, nos attitudes mentales et nos croyances, c'est elle toujours qui conduit la façon dont nous interprétons les événements de notre vie . Par conséquent, il est extrêmement important que nous sachions, dés le départ, quelle direction donner à notre pensée et pour cela, il faut d'abord connaître l'objectif que nous nous sommes fixé dans la vie. Atteindre cet objectif consiste à mener une vie heureuse et sereine sur cette terre et si possible, la continuer dans la conscience au-delà du monde physique Ce bonheur doit être partagé avec les autres êtres humains mais également avec les animaux, les plantes, qui eux aussi s'épanouir. «Ô Mazda Ahura, je viens vers Toi par la pensée juste pour qu'à la lumière de la justesse, Tu me révèles la félicité des deux mondes, le matériel et le spirituel, afin que je puisse guider mes compagnons vers le bonheur » - Gatha I/2

Les-gathas-sont-les-17-chants-dans-lesquels-Zarathoustra-annonce...

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Cette attitude particulière de la pensée est juste quand elle correspond au but fixé dés le départ : qu'elle est en phase avec la pensée juste d'Ahura Mazda. La pensée juste forme sur le plan personnel le canal de communication par excellence avec Ahura Mazda .C'est dans cet état d'être spécifique, suite à de longs moments de réflexions, d'observations et de méditations combinés à un amour et à un désir brûlant que Zarathoustra rencontre Ahura Mazda, qu'il connaît par la pensée juste, l'issue du combat quotidien du bien contre le mal, de la justice contre l'injustice, de la vérité contre le mensonge, de l'amour contre la haine ; cette issue, c'est la victoire du bien sur le mal . « Peut-être une personne aux pensées malfaisantes peut elle obtenir la prospérité et la célébrité, mais Toi, Ahura Mazda, qui Te souviens de tout, Tu sais bien, par la pensée juste et à la lumière de Ta gouvernance, qu'à la fin les forces de la justesse et de la justice vaincront. » - Gatha V/6.

Extrait du livre, LES GATHAS, Le Livre Sublime de Zarathoustra de Khosro Khazai Pardis

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

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 (à suivre)

……………. tous ces posts sont bien reliés à une pensée globale

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et "L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie", onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, LE ROMAN DE L’ÉCONOMIE, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

…..Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la …..situation

….. Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

….les anti-élites actuelles (…celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 200 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

où est la simplicité d’être ?

où est la simplicité d’être ?

les tremblements de l’avoir à qui tout échappe ?

les tremblements de l’avoir à qui tout échappe ?

contre-feux : nos amis se sont toujours opposés au « système » et donc…

contre-feux : nos amis se sont toujours opposés au « système » et donc…

comment un ou très peu peuvent tout changer ?

comment un ou très peu peuvent tout changer ?

l'être s'appuie sur tout l'existant - l'avoir ne fait glisser sur chaque détail des possessions illégitimes !

l'être s'appuie sur tout l'existant - l'avoir ne fait glisser sur chaque détail des possessions illégitimes !

rien n’est plus sur sa tranche. Sur quoi donc est-ce que cela tranche ?

rien n’est plus sur sa tranche. Sur quoi donc est-ce que cela tranche ?

un seul but transfigure le chant

C’est l’ambiance globale de la société qui ne veut aucun futur pour l’Humanité, pas de Fête Mondiale pour la Terre – qui crée ce déni de soi-même du surdoué. Actuellement, il est INTERDIT d’être intelligent sous peine de le payer lourdement. On ne publie pas les génies, décrètent ces dictateurs fous…tout cela par ce que la société de consommation ne peut qu’avouer sa bêtise bestiale face à toute compréhension incarnée !

de qui on dit il est pas chez lui, prouve que c'est faux - sommes-nous, nous, vraiment dans un chez ?

essayons le courage....d'avoir soi (face au lumineux "être soi") ! Plus ridicule que la société de consommation, vous trouvez ?

ataraxie privé de troubles (taraxis, en grec)…toujours dans la tranquillité de l’âme. Impossible pour qui s’est éparpillé, gaspillé dans l’avoir jamais vraiment…présent !

Tentons le "engagez Je" !....

être juste être

Depuis des siècles, le temps est au centre des préoccupations de l'homme. L'homme vit en effet dans le temps pour un temps limité. Mais la complexité du temps l'amène à s'interroger sur la réalité psychologique. Le temps existe-t-il ? Ne s'agit-il que d'une illusion ? L'objectif de cette conférence est de définir le temps psychologique en présentant ses différentes facettes. Les récents travaux sur le sentiment que le temps passe plus ou moins vite et le jugement du temps seront également présentés. Un accent sera mis sur les distorsions temporelles provoquées par nos émotions et l'influence de notre conscience d'être sujet à ces distorsions sur nos propres jugements temporels.

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