Le plastique enfin vaincu ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Le plastique enfin vaincu ?

Est-ce que nous sommes en train de vivre un monde où les pollutions vont, enfin, diminuer ? Ou n’est-ce qu’un rêve ? Tout le potentiel existe pour que ce ne soit pas qu’un rêve. Le coût du remplacement du nocif plastique-pétrole est similaire à l’existant. Mieux, vu tous les avantages induits que le bioplastique offre – c’est moins cher ! La sécurité écologique ? La découverte existe depuis 12 ans, tout a été vérifié et la production industrielle a même commencé depuis 2015. Mais insuffisante pour détrôner le pétrole plastifiant. Faute des profondeurs des prises de consciences et du grand sommeil indifférent des médias et des institutions qui ne sont plus au courant de la réalité. C’est un des cas rencontré déjà dans l’histoire (avortement, contraception, etc.) où c’est l’opinion, qui a changé complètement les choses. En agissant ensembles. Mettons-nous y  donc !

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Comme si nous allions – tout d’abord - vivre la vie intime des algues bioplastiques pendant quelques instants ?....«  Une partie de l’innovation d’Algopack a été de trouver une molécule naturelle dans l’algue qui se comporte comme les molécules utilisées dans les matériaux pétro-sourcés habituels », affirme Rémy Lucas, fondateur et président d’Algopack. Voilà comment est né un matériau digne du plastique. En plus, « on ne rajoute aucun plastifiant ou aucun autre produit, le matériau est composé à 100 % de cette molécule d’algues naturelles ».

Techniques-ingénieur: - des-algues-pour-remplacer-le-plastique

Une solution mondiale pour remplacer le plastique ?

« On a sécurisé les ressources au niveau mondial : on n’utilise pas d’algues invasives, mais des algues déjà présentes sur les zones », nous précise R. Lucas. « On a testé la matière au Japon, aux États-Unis, en Irlande et les algues qui poussent là-bas sont tout à fait compatibles avec notre process ».

Le process est donc développable partout dans le monde, avec des algues locales non invasives. L’intérêt est aussi d’avoir des unités de production à proximité de la ressource. Beaucoup de pays seraient d’ores et déjà intéressés. « Dans de nombreux pays, la filière pêche souffre, il y a aussi des zones où le poisson commence à se raréfier. Des pays sont en train de réfléchir à la diversification des filières pêches pour faire travailler les pêcheurs qui restent à quai. Développer des filières d’algues permet d’apporter des solutions à l’emploi, tout en respectant la biodiversité des zones », analyse le fondateur d’Algopack. « Le potentiel est vraiment mondial », se réjouit-il.

R. Lucas rêve de voir un jour l’ensemble de l’industrie du plastique passer au plastique à base d’algues. Mais ce ne sera pas pour tout de suite. « Le plastique a mis 50 ans avant d’être vraiment compatible à tous les domaines », rappelle-t-il. Néanmoins, la chimie du végétal va avoir une part de plus en plus importante. « La chimie traditionnelle en Europe est en déclin ; à mon avis, le seul moyen de maintenir l’emploi tout en préservant la biodiversité, c’est d’agir en faveur de la chimie du végétal ».

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La transition plastique ?

L’entreprise propose, pour le moment, deux matériaux : l’Algoblend, matériau composé à 50 % d’algues et 50 % de plastique et l’Algopack, matériau composé à 100 % d’algues. La capacité de production de l’entreprise est actuellement de 2 400 tonnes par an pour l’Algoblend. Sur l’Algopack, la start-up passe tout juste à une production industrielle : elle devrait avoisiner les 500 tonnes en 2015 et les 2 000 tonnes en 2016.

L’Algopack se développe actuellement sur de petits marchés : horticulture, pots à crayon, pots à bougies… L’Algopack ne possède pas encore l’aptitude au contact alimentaire, mais « on est en train de travailler dessus », assure R. Lucas. « Pour empêcher que le matériau se dégrade au contact de la nourriture, on met des laques végétales (coating), comme pour le carton, mais sans plastique ».

En fin de vie, l’Algopack est biodégradable et compostable : « La matière se dégrade en 12 semaines en terre. Cela permet de retrouver l’une des fonctions historiques de l’algue : c’est un fertilisant naturel », se réjouit R. Lucas. Ainsi, en fin de vie, l’objet fertilise la terre, plutôt que de la polluer ! Et s’il finit dans l’eau, il se dégradera en quelques heures, sans polluer.

Côté prix, l’Algoblend demeure plus cher que les matières plastiques habituelles. En revanche, l’Algopack est à un prix similaire. La tonne de granulés d’Algopack est vendue 1 200 €, lorsqu’une tonne de PVC ou PET est vendue 1 000 € et une tonne de polyéthylène ou polypropylène environ 1 300 €.

Comment sont cultivées ces algues ?

Les algues utilisées pour fabriquer ces produits sont des algues brunes. À croissance très rapide, l’algue brune capte du CO2 qu’elle transforme en sucres pour grandir, et ne rejette en mer que de l’oxygène. « On n’utilise ni pesticide, ni engrais, très peu d’eau, alors que beaucoup de « bio-matériaux » issus de ressources agricoles telles que le maïs ou la canne à sucre sont consommateurs d’engrais, de pesticides, d’eau et empiètent sur le foncier agricole ».

En amont de la culture en mer, les algues grandissent en écloserie, en partenariat avec la société C-Weed Aquaculture. « Au bout de 3 semaines environ, les algues sont mises en mer sur de grandes cordes, comme des lignes de piscine et sont tenues par des bouées à la surface ». Les algues peuvent alors se développer par photosynthèse. Pour la récolte, il suffit de retirer les cordes de l’eau et de couper les algues. « Il n’y a aucune opération de nettoyage : les cordes sont mises à sécher dans des champs, les algues pourrissent et les cordes peuvent ensuite être réutilisées ».

Outre la culture de ces algues, il est également possible de valoriser en Algopack les déchets d’algues issus de l’industrie agroalimentaire, cosmétique ou d’ailleurs ! »

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« Cette chimie bleue serait-elle une solution écologique pour un avenir soutenable ? Plusieurs arguments vont en ce sens. D’origine organique sa matière est biodégradable mais peut également servir d’engrais. Ce plastique possède ainsi la capacité de se décomposer en seulement 12 semaines, contre 400 ans pour ses homologues à base de pétrole. Par ailleurs, contrairement aux plastiques d’origine fossile, ces algues réalisent l’exploit d’absorber, lors de leur culture, 960 kg de CO2 par tonne d’algues produites, précise l’entreprise. Ainsi, produire du plastique non-polluant aiderait également à lutter contre le changement climatique même à petit échelle.

Mr.mondialisation/- algopack-: du-bioplastique-made-in-france-à-partir-d'algues

Parfait exemple de ce que l’on nomme l’économie circulaire, Algopack prélève un minimum de matière première pour réaliser un produit beaucoup plus sain, qui, après son utilisation, pourra retourner à la terre. Mais cette invention est loin d’être unique aujourd’hui. Nombre d’alternatives sont à l’étude. Des chercheurs de l’ingénierie biologique, rattachés à l’université d’Harvard, ont notamment mis au point un plastique composé de glucide (la chitine), présent dans les carapaces des crevettes. Citons également Eduardo San Martin Martinez et Horacia Vieyra Ruiz, deux chercheurs mexicains, qui utilisent l’amidon contenu dans la peau de la banane pour élaborer un polymère à l’origine d’un agroplastique naturel. Citons enfin, parmi tant d’autres, ce cuir végétal d’ananas créé par Carmen Hijosa et lancé à Londres en 2014.

Une difficulté à introduire ces alternatives dans des économies d’échelle. Combien de temps encore s’écoulera-t-il avant que ces révolutions n’atteignent réellement nos foyers ? On peut pendant se réjouir, depuis 2014, l’ONG écologiste Seashepherd fait imprimer ses gobelets 100% biodégradables via Algopack ! »

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Y a-t-il mieux que l’algue brune pour se défaire définitivement du plastique-pétrole ? « Une trop grande partie du plastique se perd dans la nature. Selon une étude publiée dans la revue Science, entre 4,8 et 12,7 millions de tonnes de plastique ont été déversées dans les mers en 2010, soit entre 150 et 400 kg par seconde  Il se transforme alors en microparticules, qui sont ingérées par les poissons et se retrouvent ensuite dans la chaîne alimentaire. Et de nombreux animaux s’étouffent également à cause des sacs plastiques.

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C’est pourquoi on recherche des solutions depuis plusieurs années pour fabriquer du plastique sans pétrole. Une seconde génération de plastique a été développée, notamment à partir de maïs. Mais utiliser des denrées agricoles pour fabriquer du plastique est un non-sens à mon avis, dans la mesure où ces denrées sont parfois rares et que la population ne cesse d’augmenter.


J’ai donc souhaité développer une troisième génération de plastique, à partir d’algues. Cette idée m’est venue en raison de mes racines familiales et de mon expérience professionnelle. Je viens d’une famille du nord du Finistère,  qui a travaillé dans la récolte des algues marines pendant 200 ans. Par ailleurs, j’ai travaillé dans la plasturgie durant quinze ans, dans le développement des biomatériaux.

C’est dans mon garage que j’ai commencé à analyser les constituants de différentes algues, avant de les transformer grâce à des appareils utilisés dans la plasturgie. Puis, j’ai créé mon entreprise et breveté cette invention. »

Observers.france/ -France-Bretagne-exit-le pétrole-plastique ? L'environnement et la mer sauvés par les algues ?

Depuis plusieurs mois, de nombreuses îles des Caraïbes sont envahies par les sargasses, ces algues brunes à l’odeur nauséabonde lorsqu’elles se décomposent sur les plages (voir notre reportage "Ligne Directe" sur le sujet ici). Ces algues pourraient trouver leur utilité grâce à la chimie bleue [transposer les concepts de la chimie verte – respectueuse de l'environnement – à la biomasse végétale marine] »,  comme l’explique Rémy Lucas :

Nous avons travaillé sur le sujet et nous savons désormais qu’il est possible de fabriquer du bioplastique entièrement à partir de sargasses. [nous avons donc vécu les péripéties internes qui font que, maintenant, nous savons que l’algue vaincra le pétrole !].

La prochaine COP devrait se l'approprier pour réduire l'émission de CO2 à travers la culture d'algues et faire balancer le plastique de l'or noir aux oubliettes…[la 21 ne la pas fait – alors que nous étions en…France. Et la 22 ?]. »

« Algopack s’inscrit dans la stratégie de Croissance bleue de l’Union Européenne, qui vise à soutenir la croissance durable dans les secteurs marin et maritime. Pour les industriels, l’utilisation du bioplastique diffère très peu de celle du plastique issu du pétrole. D’où une demande exponentielle à échelle internationale alimentée par des entreprises conscientes de leur responsabilité sociale.

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Courant positif./- le-bioplastique-100-biodégradable-issu-des-algues ?

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Quel a été l’impact de la campagne « My positive impact » sur votre entreprise ?

 Après 12 ans d’existence et de multiples développements à l’international, nous commençons enfin à être reconnus en France ! La campagne a créé autour de nous une communauté de personnes sensibles à l’intérêt de notre innovation et qui ont voté pour nous. Nous avons reçu de nombreux messages de soutien sur notre site Facebook, émanant de particuliers, de politiques ou d’acteurs institutionnels comme la Ville de Paris (une cinquantaine de messages par jour ) qui soulignaient le rôle crucial de notre matériau 100% végétal à base d'algues brunes pour l'avenir pour la planète, et s’interrogeaient sur la relative discrétion des médias à notre sujet.

Nous sommes sollicités par cinq pays d’Amérique latine, les États Unis, l’Asie, mais en France nous étions encore « mal éclairés » médiatiquement…

My positive impact/- solution/ l'algopack

Nous avons tous en tête, et à juste raison, ces amoncellements de particules de plastique non biodégradables dans les océans, avec leur cortège de tortues étouffées et de poissons contaminés. Par ailleurs, nous savons que la fabrication d’une tonne de plastique classique requiert des ressources pétrolifères polluantes et engendre 0,5 à 1,6 tonnes d’équivalent carbone émetteur de gaz à effet de serre. La société malouine Algopack a décidé de proposer une alternative à ce triste constat en remplaçant le plastique par des algues brunes issues de fermes aquacoles situées à proximité de Saint Malo. Le bilan écologique de cette innovation mondiale est très positif : un cycle vertueux très représentatif du principe cradle to cradle, fondé sur la réutilisation de la matière première dans une économie circulaire. » 

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Combien de temps encore s’écoulera-t-il avant que ces révolutions n’atteignent réellement nos foyers ? Après avoir pris connaissance que le futur de la fin du plastique-pétrole est vraiment à notre portée, comment accélérer sa survenue ? 2 pans : nous – les institutions à bousculer !

NOUS ? :

 « Chacun-e peut se saisir d’un bout de résistance » oui 2-3 actions par humain : et l’addition finale obtient carrément que TOUT a changé. Ce petit bout : uniquement ce qui « touche » dans le sens proximité spatiale et ce, qui son petit cœur, a touché. Ensuite - choisir de garder ses buts hors des cochonneries des multinationales, de l’argent sale et de la corruption du non- politique déguisé en professionnels de la…politique !

** Ne plus acheter du neuf (mais se socialiser avec des Sels, les humains de la récup’ et de la réparation tous azimuts, etc.) c’est une résistance qui gagne 400 % de matières premières en réserve

** Ne plus manger de viande c’est une résistance de 60 % de déforestation en moins.

** Le vélo, à pied, en covoiturage (…plus jamais une voiture avec une personne seule !) c’est 3/ 4 en moins de CO2 nuisible. Et, en ville, les « enfants peuvent enfin respirer » - ce qui n’était plus le cas.

…et désormais…***lutter pour que, partout, nous ayons vite du bioplastique de substitution !

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Les INSTITUTIONS ?

Nous avons donc un matériau de remplacement au plastique polluant qui défigure tant la planète, est un si grand danger pour la vie animale, végétale et humaine, tout en n’étant pas biodégradable. Mais ce matériau n’est pas devenu l’URGENCE PLANÉTAIRE. Parce qu’il coûterait soi-disant plus cher. Toujours cette rengaine malsaine pour ne pas laisser passer la vie. Ici, fiasco…c’est MOINS cher que l’existant ! Alors si ce n’est pas l’argent l’obstacle c’est le poids morts de ces organismes qui ne visent que leur survie morne et pas la résolution des problèmes ? Plutôt !

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Qu’est-ce à dire ? Si nous incluons les coûts mondiaux pharamineux du « 7 ème continent » son coût global et collectif serait extrêmement moindre. C’est pourtant leur excitant unique ! Ce qui pointe lourdement du doigt ceci : en cas de grave danger, d’urgence planétaire le privé ne peut absolument pas remplir une fonction d’union. Il est trop dispersé, trop « ailleurs », trop loin des problèmes communs,  trop lent de réaction ou, si assez rapide, il ne prend en considération que les aspects qui l’intéressent. Ce qui n’est pas le sérieux « complet » dont nous avons besoin. Donc le plastique va encore faire souffrir parce que nous sommes trop PRIVATISÉS. Trop empaquetés, trop emmêlés, trop ligotés. Sans libertés de mouvements. Dans l’inertie que crée l’absence d’esprits…déliés ! Trop émiettés et égarés dans les intérêts particuliers. Inopérants et inefficaces.

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Ensuite si tout n’existe que pour que trop peu y arrache des profits – le champ du possible se montre aussi mortellement restreint. Trop de privé aveugle et ne libère plus la vision. Cela chute même dans l’impossibilité DE RIEN CHANGER – à partir du haut. Uniquement par la base. La solution de mise en bien commun accélérée de tout ce qui peut répondre aux besoins essentiels de la vie de l’Humanité – devient la seule accessible. Et qui sinon l’O.N.U. et tout ce qui en représente divers satellites peut accélérer le mouvement ? Déjà en impliquant que les guerres soient définitivement interdites. Nous avons bien d’autres choses infiniment plus sérieuses et constructives à accomplir. Et nous devons bien cela aux enfants du futur : plus de guerres ! Fermées définitivement.

 

Et juste avec ces 2 grands mouvements : 1) - mutualisation des biens communs.

**2) -  et reconnaissance mondiale des limites si restreignantes du privé : en aucun cas, il ne peut s’occuper de ce qui est commun, urgent et immédiat. Seules des structures entièrement publiques le peuvent. Le politique doit soumettre d’urgence le financier – l’incompétence de celui-ci hors de son petit monde n’est plus à décrire !

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………………………….…Juste à contrer !

 

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>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>- ANNEXES - <<<<<<<<<<<<<<<

Grâce-a-cette-astuce-on-peut-tous-manger-bio-sans-dépenser-plus !

 

Cop22-:quel-scénario-pour-l'océan-après-l'accord-de-Paris ?

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Pourquoi-les-oiseaux-marins-se-gavent-de-plastique à en mourir ?

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……..(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

 

………tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre", onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" et "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou, encore, "Présent !", onglet 3 "La diction du dictionnaire" ou comment rendre tous les mots physiques", et "Rien de plus solide que le solidaire", sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 200 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

ceci n’est plus du pétrole – mais des algues !

ceci n’est plus du pétrole – mais des algues !

la fin définitive du plastique mortel implique que nous nous y mettions tous...

la fin définitive du plastique mortel implique que nous nous y mettions tous...

enfin plus de plastiques – terminés – le paradigme ce sont des algues

enfin plus de plastiques – terminés – le paradigme ce sont des algues

Les granules de bioplastique (algoblend) et les algues fabriqués par Algopack.

Les granules de bioplastique (algoblend) et les algues fabriqués par Algopack.

2016 ? 40 % des océans atteints par l’ homme  dont son plastique

2016 ? 40 % des océans atteints par l’ homme dont son plastique

que du nature

que du nature

le potentiel actuel...

le potentiel actuel...

l'ennemi : 269 000 tonnes pour tuer la VIE dans les les océans ?

l'ennemi : 269 000 tonnes pour tuer la VIE dans les les océans ?

avec ses habitants

avec ses habitants

cela est bien le réel danger des « vrais migrants » - ceux dus à nos seuls comportements d’alcooliques de la consommation

cela est bien le réel danger des « vrais migrants » - ceux dus à nos seuls comportements d’alcooliques de la consommation

comme un iceberg – 9 fois plus de réelles pollutions que celles aperçues !

comme un iceberg – 9 fois plus de réelles pollutions que celles aperçues !

Le plastique enfin vaincu ?
Le plastique enfin vaincu ?
et le vainqueur est…

et le vainqueur est…

Zéro plastique sur la planète : ici, les données scientifiques qui le prouvent.

Zéro plastique sur la planète : ici, les données scientifiques qui le prouvent.

Le plastique enfin vaincu ?

enjeux de transition écologique – tellement tièdes appuis de ceux qui sont supposés les mettre en œuvre ?

Attitude du consommateur trop exigeant tout du haut de son trône, mais sans remuer son petit doigt, uniquement la langue de ses caprices ? Savoir comment produire les millions de tonnes nécessaires au remplacement de ceux qui sont utilisés dans la pétrochimie ? Pensez-vous pouvoir organiser une plantation sous-marine à l'échelle des besoins de la France et plus encore de la planète ? Aider à la réponse aide réellement tout le monde. Se plaindre des progrès de progressions rapides de certain-e-s n’est utile à personne même pas à soi. Alors pourquoi encore préférer ces attitudes si négatives ?

Le 7ème continent enfin vaincu ? C'est bien connu, le plastique est l'un des ennemis les plus redoutables des océans. Sauf si ce plastique était constitué... d'algues biodégradables.

cette algue aide à résoudre l’équilibre de la biodiversité, le dérèglement climatique et le futur des…océans. Rien que sur les clés USB c’est 120 tonnes de plastiques d’évités comme fardeaux pour la Nature.

sauf que cette idée reste dans le sillage du...pétrole !

Plus de plastiques que de poissons dans les océans ? Un camion d’ordures plein de plastique jeté dans la mer et les océans à chaque…seconde.

pas la fin « que » des « sacs » plastique non... mais de TOUT le plastique sur Terre.

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V
Merci pour le partage. Félicitations pour un très beau site
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