« D’où venons-nous ? », « que faisons-nous ? » et « où allons-nous ? »

Publié le par imagiter.over-blog.com

« D’où venons-nous ? », « que faisons-nous ? » et « où allons-nous ? »

Nous sommes infiniment plus que ce que la société prétend. Société si peu fiable et confiable, d’ailleurs, qu’elle semble devenue comme incapable de dire la vérité sur quoi que ce soit. Ainsi, nous dit-elle vous êtes entièrement libre. Mais, à peine le sourire commence à s’épanouir, qu’elle rajoute, acariâtre jusques aux coudes, vous êtes libres de prendre la file. Traduit en langage normal, ceci veut dire ? Que si vous montrez une servilité outrancière face une économie irrationnelle, exagérément inéquitable, profondément injuste et cruelle en, plus que d’être si inutile (une autre organisation sociale est possible) vous aurez la…liberté de « choisir un rôle prêt à l’avance » parmi sa quincaillerie avariée. D’un côté, cette histrionne va vous taxer de « suicide social » alors que ses comportements déplorables, à cette société, se montrent vraiment antisociaux, irrespectueux, voire voyous. Oui, pour elle, être et rester sociable n’est pas bien. Tous contre tous et soi seul écrase les autres (remarquez que de généraliser cette image rendrait la vie collective impossible – carambolages partout, accidents aux portes, ascenseurs en lambeaux, magasins piétinés, etc. pas très futés les grands arriérés capitalistes !). Ce n’est pas bien d’être sociables, gentils, attentionnés et attentifs aux autres. Normal ? Pour ces échecs ambulants de vie (déguisés en succès par les médias si faux jetons) il n’a PAS DE SOCIÉTÉ associété, juste des rôles factices à mentir sans cesse.

Bien que faire, alors, parmi ces destructeurs sordides ? Passer son temps à décrire leurs déchéances ? Contester mais sans ne rien vivre d’autre ? Ne jamais proposer une existence radicalement différente ? Ne pas préparer l’arrivée d’une nouvelle civilisation ? Ne pas caviarder leurs minables activités de nos créativités astucieuses et débordantes ? Bref, ne pas tranquillement, et chaque jour, démontrer que nous sommes les véritables responsables du monde. Que nous le dirigeons effectivement dans ses moindres concepts et dans son architecture du futur (qui ne laisse d’autres possibilités à ces illusionnés qui se croient au pouvoir que de…copier…ce qui va les abolir !]. Oui trois chemins, à chaque seconde, nous permettent d’échapper à la moindre emprise de leur part, sur nos vraies vies. Ce sont les « d’où venons-nous ? », « que faisons-nous ? » et « où allons-nous ? ». Répondre différemment à ces trois « grandes » questions c’est vivre une gigantesque liberté que ces piteux et miteux (non)dominants se montrent bien incapables de seulement imaginer. Imagiter encore moins. Vivre la liberté intégrale peut vous offrir jusqu’à mille ans d’avance sur eux. Alors qu’une année suffira…

Le défaut, alors, c’est que face à ces « d’où venons-nous ? », « que faisons-nous ? » et « où allons-nous ? » - il faudrait des pages et des pages afin de répondre à la taille de ces questions. Impossible lorsque nous devons le faire en 2 pages. Oui sans cesse des défis, des challenges et des prouesses sur internet. Comment trouver la solution ? Par un conte existentiel, un texte philosophique, de l’expérience volcanique partagée. Mais qui doit répondre à ceci : nous pensons que les religions sont inutiles puisqu’elles répondent…à côté de la question. Mais que ce qui soulève les humains à y aller voir de près mérite le respect. Et que nôtre tâche c’est de reprendre tout ce gigantisme existentiel que ces religions se sont permises de détourner, de monopoliser et d’empêcher les autres de le ressentir et d’en parler. Et – alors que les mots blasphèmes ou profanateurs n’ont de sens qu’à « l’intérieur » de leurs discours – c’est ainsi que nous pourrions sembler procéder. Puisque l’athéisme c’est encore une religion – et que le seul athéisme qui mérite le respect c’est de devenir, quotidiennement, un(e) athée de l’inadmissible « religion capitaliste » et ceci bien peu…l’assument - Donc …hors des religions, ailleurs, mais récupérant tout ce qui vibre, vit, s’élève, devient immense sous ces langages inadaptés. Donc le texte de ce jour. Hors religion, laïque mais joyeusement laïc pas comme ces gueules d’enterrements qui ne donne guère envie de participer aux laïcités en berne…Nous prenons juste le mot « âme », âme qui se trouve dans âmour. Dans cet acte radical de l’amour gratuit, qui n’attend rien en retour, qui demeure la posture la plus incompatible avec l’avidité de la barbarie capitaliste. Comme l’ont prouvé surréalismes et autres situationnismes. Cet âmour qui dit ceci : si tu veux être aimé rend toi…aimable (à découper selon les pointillés). Oui pour désarmer, il faut être…désarmant. Etc. Partout il faut donner de soi ceci est âmour gratuit qui change le monde…Nous avons urgemment besoin de ces êtres spontanés, naturels, frais, ne parlant du passé que comme tremplin pour le « saut quantique » qui nous fera trouver l’esprit du futur…dont nous parlons (déjà) sous le vocable « le cerveau sensualisé où chaque pensée devient sensations ». Et donc ? Juste afin d’éviter les malentendus, les pertes de temps à s’égarer dans de « faux » procès, et de se propulser dans le vrai élan du texte suivant (court… alors qu’il résume plus de 100 pages)…

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« La personnalité animée – c’est-à-dire dotée d’une âme – foisonne dans toutes les formes animales. Nous sommes animal, et comme tel, une âme animée. Ceci répond au « d’où venons-nous ? ».

Le simple fait que cette réponse qui, en passant, vient d’un mot grec qui signifie « verser une libation aux dieux », mérite donc une grande question, cette queste gigantesque qui vise le but de la réponse complète (de la racine « telos » qui désigne la fin ou le but, le terme des termes !). Ce qui, déjà, nous indique fortement que, pour beaucoup, l’univers, la Terre, la Nature sont devenues totalement étrangers. Tous hors sols.

L’idée de l’anima mundi, le monde animal, le monde animé, paraît, ainsi, bien décalée. La psyché n’est plus qu’un appareil chimique, le corps une machine et le monde manufacturé un produit de la technologie et du cerveau humain. Bref, tout sera devenu inanimé, « sans âme » - sans anima mundi. Nous avons perdu notre origine. L’animal dont nous venons a été éradiqué et, avec lui, beaucoup d’individualités irréductibles. Seulement en apparence…

C’est que l’animal animé révèle cette âme dans son apparence formée et formante, ses habitudes de vie et son style. L’âme animée du monde affecte toute chose, qu’elle soit naturelle ou de fabrication humaine. Que faisons – nous ?

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Que faisons-nous ? Tant et tant de choses. Le listage serait bien trop long. Mais beaucoup trop d’erreurs qui nous font errer. Dont la moindre n’est pas que nous ne faisons plus de distinction entre l’âme et le « moi », alors que l’âme n’est surtout pas l’égo. Voilà ce que nous savons tenir de l’anima, l’anima sous forme animale, l’animal animé. Mais nous gardons, conservons sous clef, hors de l’action cet animé, au lieu de trouver le mariage avec l’animus.

Nous avons remplacé la sagesse secrète par l’information. Or l’information se convoque par la paternité et n’affecte pas l’initiation. Elle ne participe d’aucune genèse, d’aucune queste et ne peut donc répondre à aucune question.

L’animus, cette paternité de l’âme, qui peut très bien être l’esprit paternel de l’homme, de la femme, de la famille, de l’organisme de la région ou du pays – qui n’entreprennent plus d’Odyssées afin de rejoindre le principe paternel qui donnerait son autorité et sa direction. Sans animus nous nous privons de toute possibilité de poser des questions et, évidement, d’y répondre. Cette machination vient du déni et du refus des origines – donc de la réponse au « d’où venons-nous » ; ce refus s’ancrant dans ce que nous nous faisons à nous-mêmes, à nous prendre le corps pour une machine, le cerveau pour un ordinateur et l’âme pour de la chimie. Comme toute machine possède son « inventeur », un créateur, un ingénieur, un horloger, cette machination de nous comme machine a bien eu son inventeur. Notre refus de la question, et de la queste qui y est obligatoirement incluse aboutit, de la sorte, à un monde matérialiste qui repose tout entier sur l’idée d’un créateur expulsé de ses créatures. Ce n’est absolument pas cela du tout ! La Nature est en nous et tout autour de nous – la même !

Puisque nous vivons, alors, dans un monde où les choses ont perdu leur corps et, conséquemment, leur individualité insoumise. Toutes éparpillées leurs qualités sensibles pour n’être plus que produits séparés et irresponsables. « L’épouse » de la queste, de l’odyssée poursuivant sa recherche, « l’épouse » séparée de sa genèse. L’anima (l’épouse) éloignée de l’animus. L’anima, l’image, l’histoire ou le rêve, scindés de leurs incarnations possibles, ne peuvent vivre le hieros gamos, l’union mystique aboutissant au voyage de la fabrication de l’âme…par les corps tout entiers.

Comment faire afin de retrouver le but ? Le trajet de la queste, la direction pointée par la question et, donc, le sens porté par le fait qu’une direction existe bien ? A décrire le « que faisons-nous ? », impossible de s’extraire de ce magma. Il faut brandir le «où allons-nous?».

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Où allons-nous ? « Pour sa plus grande part l’âme est hors du corps», imprime Jung. Ainsi Narcisse rencontre l’amour lorsqu’il découvre que la partie de l’âme qui se trouve en dehors de lui-même – l’âme du monde – complète sa nature. Si ce n’était ceci, veuillez expliquer comment l’amour serait un silence bien intérieur qui ne se ferait savoir à personne ? Cette reconnaissance harmonique, chromatique, odoriférante, tactile de l’autre, se love dans le fait d’admettre, de reconnaître, qu’à l’intérieur de soi, l’écho est, enfin, accepté. Le Narcissisme ne pouvant se terminer qu’en fleur.

L’inflorescence de la vie dépend, alors, de ce que nous trouvons notre reflet dans le monde. Où allons-nous ? Au lieu de stagner dans l’émetteur sourd et aveugle qu’est l’égo narcissique – nous allons parvenir à toujours plus de réception.

La réception étant bien l’accueil le plus somptueux prodigué à la vie. La réception devenant d’admettre, de reconnaître et de d’ouvrir, de beaucoup offrir. La dernière question opérative (de opus, le travail alchimique, ce qui nous travaille) devient, ainsi, réception. Mais réception de quoi ? De ce que Rilke appelle « le muscle d’une réception infinie » ? Ou bien, tout simplement, l’imagerie de la structure de la fleur ? La capacité d’émotion se fait voir telle une force, une motion animée et le travail d’un muscle puissant. Le mot passion ne signale-t-il pas « l’état de celui qui est affecté » ? C’est-à-dire que, si la beauté peut nous toucher, notre âme vit et grandit parce que l’âme est très douée pour tout ce qui la touche. Elle acquiert, alors, la force de la fleur et accomplit le même labeur – le plus difficile – dans nos vies. La fleur, l’arbre sont les reflets pleins, entiers, musclés, gorgés de réceptivités. Quand l’âme se présente, la nature vit.

L’égo qui abandonne son narcissisme, devient souple et beau, comme la fleur ; il a pris racine. Il accueille donc le fait que nous soyons le monde et que le monde soit nous. Enracinés de racines. Oui que nous ne soyons pas les maîtres de ce monde, mais que nous participions à sa vie. Où allons-nous ? A la réception toujours plus joyeuse, gorgée de gratitudes, de ces reconnaissances qui permettent de tout connaître, de cette vérité même. Cette vérité qui est, déjà, inscrite dans tous les mots, dans chaque mot, tous prêts, chacun prêt à la transmutation.

Ainsi, le présent devient un présent. Un magnifique cadeau à toujours mieux présenter. Puis recevoir. Où allons-nous ? Vers l’apprentissage de l’unité de tout et que l’amour nous permette bien de sortir de nous-mêmes

………. afin d’entrer dans l’infini du présent partout partant offert.

…………………………La paix définitive sur Terre »

Soit le temps complètement libre et serein pour toutes les sensualités rêvées

……………… et…en cours de réalisation.

 

 

.............………(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

…les anti-élites actuelles (…celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 400 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

« D’où venons-nous ? », « que faisons-nous ? » et « où allons-nous ? »
La balance (signe qui fut inséparable du scorpion dans la haute antiquité). Toute seule elle se débrouille très bien.

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durant des siècle personne n’écoute – aucun vrai délice n’entre en lice ni en calice.

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symbole puissant qui n’a rien à voir avec un drapeau. C’est hieros gamos, une rencontre pas un conflit.

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Sphinx ou la question qui écrase la réponse

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Le "Caducée" symbole du hieros gamos pour l’ancienne Sumer

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« D’où venons-nous ? », « que faisons-nous ? » et « où allons-nous ? »
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un fil qui parcourt tous les siècles...

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la physique quantique et la spire spirituelle rituelle sans religion c’est la même chose…

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« D’où venons-nous ? », « que faisons-nous ? » et « où allons-nous ? »
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l’âme est à l’extérieur et c’est l’anima mundi – le monde entier veut, ardemment, nous rencontrer. Les religions n’ont rien à y voir…

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une âme de diamant

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Mother plus qu'impeccable sur ce coup...

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c’est de la vie intérieure dont il est question – celle qui ne plie devant aucune simagrée antisociale…et se montre la plus sociable qui soit.

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l’univers est nettement en avance sur nous oui, il est tout uni vers…

vision bien trop sommaire mais rassemblant l’iconographie

l’homme futur serait alchimiquement complet…rejoignons-le

bon envol...

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