Lorsque les désintéressements ouvrent les yeux ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Lorsque les désintéressements ouvrent les yeux ?

Il n’y a que lui/elle qui paie dans sa chair sa méthode d’investigation (ne pas suivre d’intérêt personnel qui aveugle et rend si sourd aux rappels du réel) – le désintéressé. Mais, partout où il passe, des zones d’ombres dérangeantes sont débusquée. Et, grâce uniquement à ces désintéressés, tout le monde voit y plus clair. Il est comme la lanterne portée haut dans l’obscurité. Un des humains très nécessaire. Ceci nous allons le démontrer.

.....………………………………*****************************

« La réalité est une claque que nous prenons en pleine face. Si l'on regarde les faits à la lumière de l'histoire, que voyons-nous ? Au XIXe siècle, une toute petite minorité de citoyens lisait les journaux ; tous les autres, le peuple au sens très large, avait ses propres sources d'infos, très informelles, bouche-à-oreille, potins, ragots… Et ça ne gênait personne car tout le monde se fichait de ce que pensait le peuple… Au XXe siècle, deux révolutions : le «broadcasting», c'est-à-dire la diffusion à grande échelle et en même temps pour tous, et la mesure, parfois jusqu'à l'obsession, de l'opinion publique. Aspect positif : le travail des médias a longtemps permis, dans les démocraties en tout cas, la circulation d'informations vérifiées. Avec un effet immédiat sur l'opinion publique : quand les Américains ont été les témoins de l'offensive du Têt en 1968, ils ont voulu la fin de la guerre du Vietnam et l'ont obtenue… Nous voilà aujourd'hui au XXIe siècle, et à quoi assistons-nous ? D'abord à la mort du « broadcasting » : les sources potentielles se sont tellement multipliées que l'idée même de diffusion à grande échelle n'a plus cours. Nous revoici du coup dans un monde aussi fragmenté qu'au XIXe siècle [[sauf qui en fait l’effort quotidien, nous nous « (re)provincialisons », nous nous recroquevillons dans ce que nous ne savons pas – le retour massif des préJugés ]] – à chacun ses infos, ses potins, ses ragots –, mais avec une différence majeure : aujourd'hui, tout le monde aspire à donner son avis et être entendu. Alors comment concilier tous ces éléments ? Comment faire la démocratie quand les « faits alternatifs » contestent la vérité, et quand tout le monde [[faux : le tout le monde n’est jamais possible…]] publie sans filtre ? La démocratie, c'est réussir, collectivement, à rendre des arbitrages reposant sur une compréhension partagée de faits avérés [[ce pourquoi notre méthode c’est faire de chaque texte sur tous les sujets…une référence, une base solide comme…départ assuré de toute réflexion – ce sont souvent les actes discrets qui ont le plus de portée !]]. De moins en moins facile dans un monde où Internet occupe une place à ce point dominante, un monde où les « éditeurs » comme les « filtres » sont totalement dévalorisés. [[et à tort – ces sabotages viennent surtout des châtrés du cœur et des paresseux de la tête…]]..

Nous avons régressés au XIX ème. C’est que le capitalisme brise tout, saccage tout, sépare et désunit tout. C’est sa méthode bestiale et plus que stupide pour que – entre les fêlures et fissures – glisse, sournoisement, la monnaie. La « productivité » de cette non-méthode est désastreuse : genre détruire une montagne pour ne récupérer qu’une souris. Oui genre détruire une nature parfaite, dont les services demeurent insurpassables et les savoirs inégalées. Juste pour que, dans les ruines, il dérobe le cent millième de ce qu’il aurait pu obtenir (les capitalistes ne connaissent rien aux vraies affaires !). Mais c’est que cet obsédé maniaque, toujours plus psychopathe, veut « son » profit « à lui » (un peu à l’image de chacun « son » avis !). Plutôt qu’un bien commun et donc la prospérité collective. Il assèche toute la société juste pour lui seul. Son profit ce sont les autres qui en paient tous les…coûts. Rationnellement - sur Terre il n’y pas de profits séparés tout comme il n’y a pas de naissance à partir de rien : c’est bien cela le profit une supposée naissance surgie à partir de rien. Qui, évidemment, ne peut exister…Juste une affabulation de détraqué ? Exactement !

……………………******************************************************

http://www.imagiter.fr/2015/11/la-générosité-des-uns-fait-le-bonheur-des-autres.html

L’égoïsme, cette rétraction intérieure qui ressemble plus à de la douleur qu’à de la jouissance, ne jaillit que de la peur de manquer ajoutée à l’inintelligence crasse. L’égoïste croit que rien n’est abondant et, pour cette grave erreur, il gaspille énormément (ce qui prouve, par l’absurde, l’abondance). Les toltèques disent « l’égoïsme vient de la pauvreté du cœur, de la croyance que l’amour n’est pas abondant ». L’égoïste croit que l’égoïsme va le rendre riche – et tout son intérieur s’appauvrit dramatiquement. C’est qu’il s’est complètement trompé de stratégie. Il a emprunté la voie de la bêtise minable et de l’incompréhension bornée. Suivons-là. C’est celle de l’argent qui se stérilise lui-même, de mesquineries. Nous sommes si loin de la force instoppable de la prospérité collective (obligatoirement collective !)…C’est que les financiers sont sur leur Fin, leur fin-ancière, ils finassent mais ne financent plus. Se nourrissant de leurres malsains, et l’argent ne vit plus que dans sa peur. La peur de lui-même, de son ombre, des risques imaginaires. L’esprit n’y est plus que les aigreurs des égoïsmes rances. En effet, nous avons DES MOYENS comme jamais sur Terre, oui jamais nous n’avons eu AUTANT de moyens concrets réunis pour tout changer - et nous n’en faisons rien que de multiplier les obstacles, les auto-sabotages, les se faire brûler les terres brûlées, de détruire tous les trésors concrets. L’état du monde avoue, avec force, que les prétendus dirigeants ont tout faux dans leurs têtes. Ce sont eux…les catastrophes. Eux seuls ont défiguré à ce point la terre – personne d’autres ! Sans eux la raison revient ! Et sans leurs suiveurs de même : un peu de désintéressement nous offre une vue…d’ensemble du tous ensembles. Et toute l’abondance du collectif revient : il a pour nom la prospérité qui ne vient que des désintéressements tous unis et réunis !

Les moyens sont les moyeux qui font tourner la roue. Si nous en faisons une fin, c’est la fin. Une fin FIN-ance, Nous stoppons toutes les abondances naturelles. Aucune porte ne s’ouvre jamais devant le resserrement crispé de l’égoïsme, toutes claquent à son nez (à son exacte ressemblance) – les portes ne s’ouvrent, uniquement, que devant les générosités et leurs désintéressements. Au niveau social et psychologique – nous atteignons la certitude complète que le capitalisme maniaque est la BÊTISE incarnée. Fermer son cœur c’est éteindre l’abondance. L’amour est illimité en nous (chacun-e d’entre nous, sait que son amour vécu sincèrement, reste une abondance illimitée…plus nous en éprouvons, plus nous pouvons en éprouver plus encore…le fleuve grossit à chaque fois !). Et tant le savent, au moins confusément, dans sa propre vie – et pourtant la majorité fait comme si c’était une quantité très limitée, que cet amour radin qui se radine si avare de tout sauf de ses avaries. Cette cécité du cœur se paie au prix fort. Oui ? On peut être con de la tête, mais con du cœur c’est inexcusable…puisque c’est aller contre sa pente naturelle. Et cela est puissamment contre-nature. Une perversion monstrueuse ! Et donc ? Si le capitalisme n’est pas aboli c’est parce que la majorité a, en elle les structures mentales et affectives du capitalisme. Ils font donc « semblant » de le critiquer mais le font – en fait – durer chaque jour. Une piste sûre ? Tous ces traitres à eux-mêmes évitent soigneusement d’entrer dans des débats de fond qui peuvent aboutir à des décisions immédiates. Ou bien évitent de lire les textes déterminants : ceux qui mettent vraiment fin au capitalisme réel. La volonté de ne rien savoir est très forte…C’en est vraiment flagrant – ces enfantillages instantanés. Tant que la majorité sera double face (trahissant toujours la meilleure moitié d’elle-même) et – alors que toutes les conditions nous sont très favorables – rien ne bougera. Comme depuis 45 ans déjà. Être ainsi son propre ennemi : alors qu’un peu de …désintéressement de chacun-e aurait déjà tout…dénoué !

..........……………….*******************************************************

Oui nous pouvons (avec des efforts, évidemment !) tout savoir de l’ennemi réel (dont beaucoup ont internalisé ses ordres et les…exécutent !).

L'observatoire-des-multinationales

« Les crises nous ouvrent les yeux, mais elles ne nous donnent aucune solution. [[ faux – quitter le cadre des conformismes est le début des solutions ]]. L’autre soir, je participais à l’avant-première du film de Flore Vasseur, Meeting Snowden, et quelqu’un a posé une question incroyable lors du débat qui a suivi le film. « Vous ne pensez pas que le problème, aujourd’hui, c’est que trop de gens votent ? » Je suis resté sans voix, même si c’est quelque chose que l’on entend de plus en plus souvent : monsieur A, considérant que monsieur B est un ignorant, ne serait pas opposé à ce qu’on réduise le collège des électeurs. Après tout, l’idée n’est pas dénuée de bon sens : débarrassons-nous des ignorants et réservons le droit de vote aux gens informés ! Mais ça, ce n’est évidemment pas mon point de vue. La démocratie, ce n’est pas ça… Je vais me rendre dans quelques jours en Mongolie. Là-bas, le gouvernement a pris la décision d’investir cinq cents citoyens tirés au sort pour leur demander de réfléchir à des nouvelles règles de représentativité politique. Ça, j’ai envie de voir ! Des centaines de personnes qui vont travailler ensemble, être nourries par des experts qui vont leur donner des clés, des éléments de compréhension, puis vont être amenés à débattre ensemble, collectivement, du fonctionnement de leurs institutions : ça, c’est démocratique ! Je crois que notre planète a besoin de centaines d’expériences de ce type, partout dans le monde, avec une circulation des idées d’un pays à l’autre, un enrichissement des expériences. Et ne laissons pas les gens ignorants au bord de la route : trouvons un moyen de les faire venir à la table des discussions, écoutons-les et partageons avec eux [[ce qui demande UN EFFORT de leur part – ce que, la propagande leur a désappris de faire…donc commencer à vérifier qu’ils ont bien compris que « leur part d’effort » est indispensable, que rien, pour eux, ne peut se débloquer sans efforts ]]… Voilà précisément le genre de philosophie qu'Aaron Swartz portait.

Sur-le-net-où-l'argent-est-roi-l'attitude-désintéressée-d'aaron-swartz-...-tranchait

Aaron Swartz était-il, selon vous, un « hacker » ?

D'abord, il est important de redire qu’Aaron n’était pas du tout opposé à la notion de droits d’auteur. S’il est parti en guerre, c’est contre l’abus de pouvoir de certains détenteurs de « coyprights », mais pas contre le principe lui-même [[rappelons que le « copyleft » est une manière désintéressée d’offrir ses dons ]]. Son premier fait d’armes a été de faire sauter les verrous d’une immense base de données nommée PACER, qui recense des actes de justice auquel le public ne pouvait accéder qu’en payant une somme forfaitaire, minime, mais que rien ne justifiait. Pourquoi mettre un droit de péage pour des documents de ce type ? Alors Aaron, avec les méthodes d’un hacker, a « libéré » ces contenus. Puis il a remis ça avec la base de données JSTOR, au MIT à Cambridge, l’affaire qui lui a valu d’être arrêté puis mis en examen. Là aussi, avec la même candeur que nous lui connaissions, son projet consistait à partager avec le plus grand nombre de lecteurs des dizaines de milliers de textes universitaires antérieurement protégés par un protocole d’accès limitatif. L’objectif d’Aaron était on ne peut plus généreux, et évidemment, il n’a jamais été question pour lui de gagner quoi que ce soit à travers ces actions… Ses intentions étaient nobles – même si je désapprouve ces méthodes –, et le fait d’avoir été poursuivi et accusé de vol a été pour lui d’une grande violence. Les juges ont été très durs avec lui, sans doute avec l’intention d’en faire un exemple.

Quel aura été pour vous l’aspect le plus impressionnant de sa personnalité ?

Son désir d’entraîner autour de lui, d’alerter, de fédérer [[ sans Union et unité forte rien de…possible – ce pourquoi une majorité s’empresse de ne jamais …s’unifier et s’unir. Toujours l’effort, minime lorsque partagé par des millions, de refusé. Oui nous souffrons tant …à cause de tous ces refus incohérents …d’efforts qui rendent, pourtant, plus forts les mouvements !]] des gens autour de causes comme la lutte contre la corruption en politique. Je parle là des deux dernières années, au cours desquelles je l’ai vu mettre en chantier tout un tas de groupes de travail avec une énergie formidable. Il enregistrait des podcasts, il publiait sans cesse, il semblait infatigable. Aaron avait gagné beaucoup d’argent avec la revente de ses parts dans le site Reddit, il était à l’abri du besoin et consacrait donc son temps à militer pour les causes lui semblant les plus justes. Dans un milieu, Internet, où l’argent est roi et où l’espoir d’en gagner beaucoup est le moteur principal,

……l’attitude désintéressée d’Aaron tranchait dans le paysage. Je pense même pouvoir dire qu’il était unique en son genre. »

Quatre-ans-après-son-suicide-l'esprit-d-Aaron-Swartz-plane-toujours-sur-le-web

Non pas unique sûrement. Mais rare oui un être bien plus riche que ses besoins et s’occupant des nécessiteux, ceux qui ont des nécessités non reconnues par les ahumains insensibles de l’argent fou – oui. Mais les efforts (incroyable oui les efforts POUR sont très combattus mais pas les effets « contre ». Par exemple, énormes que rien à l’évidence, que rien n’est gratuit. Que personne ne donne ses œuvres vraiment gratuitement. Son temps et une partie de ses revenus. Donc tout gratuit pour les ingrats…Ces très graves insultes aux faits réels ne sont jamais rectifiées : pire, les conformistes se soûlent avec la phrase complètement stupide qui ose que le gratuit c’est payant. Aussi évident que la pluie est sèche et la glace un radiateur… Alors que la vérité nue c’est que s’il y a des parasites qui vivent sur la gratuité de certains d’entre nous c’est parce que cette gratuité existe fortement. Tout parasite honore qui il tente de dépouiller)…oui oui le refus absurde et si entêté du moindre effort rend INHUMAIN. Surtout qui refuse (aussi) de l’admettre que son refus n’a …aucun sens. Et le rend très ennemi de tous ses entourages !

Et comme le vice ne peut vivre sans la vertu (mais la vertu oui et superbement sans le vice) tout ce qui est fait contre le …désintéressement, lui offre ses meilleures lettres de noblesse. Le place au sommet de la pyramide du concret. Le socle de la société c’est non la cupidité (version des conformistes lâches et fainéants) mais bien …le complet désintéressement. Celui qui permet de toujours avoir une…vue d’ensemble ! Bien plus haute et…globale ! Qui refuse ces faits flagrants diffuse donc de la fake news, n’est-ce pas les médias mercenaires, ces faux monnayeurs de l’information !

Au point crucial où un Nobel d’économie (mérité celui-là) disait que « En France, si pendant 3 jours tous les bénévoles refusaient d’œuvrer…le pays s’effondrerait ». Ce ne sont donc pas les banquiers son armature solide et solidaire, à ce pays, mais bien le …désintéressement.

 

…………………Qui refuse les faits sera donc fait et refait

 

 

…..............…(à suivre)

.........…………………….%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%

toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 400 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Lorsque les désintéressements ouvrent les yeux ?
Lorsque les désintéressements ouvrent les yeux ?
Lorsque les désintéressements ouvrent les yeux ?
actuellement, quasiment aucun compliment ne parviennent à leurs réels destinataires. Pourquoi ?

actuellement, quasiment aucun compliment ne parviennent à leurs réels destinataires. Pourquoi ?

Lorsque les désintéressements ouvrent les yeux ?
toujours les « fautes de frappes » ? La vérité c’est hors DES, deS prix (manquait juste le s). Et non une posture déguisée pour faire monter les… enchères. La corruption est bien dans le regard de qui fait semblant de dénoncer – mais veut avilir. Le désintéressement existe parce que pour elle/lui le monde de l’argent n‘est qu’une petite bulle fermée qui secrète tant d’aliénations…et surtout pads la réalité, oui la réalité qui, elle aussi, reste désintéressée !

toujours les « fautes de frappes » ? La vérité c’est hors DES, deS prix (manquait juste le s). Et non une posture déguisée pour faire monter les… enchères. La corruption est bien dans le regard de qui fait semblant de dénoncer – mais veut avilir. Le désintéressement existe parce que pour elle/lui le monde de l’argent n‘est qu’une petite bulle fermée qui secrète tant d’aliénations…et surtout pads la réalité, oui la réalité qui, elle aussi, reste désintéressée !

ce qui explique pourquoi la générosité peut, parfois, se trouver en haillons...jamais l’inverse !

ce qui explique pourquoi la générosité peut, parfois, se trouver en haillons...jamais l’inverse !

les 3 G

les 3 G

Lorsque les désintéressements ouvrent les yeux ?
Lorsque les désintéressements ouvrent les yeux ?

on vous en dit un petit peu plus sur la manière d'aborder le broadcasting ou "Live Streaming". Bref, à vos Périscope ou Facebook Live parce que ça va swinger!

et alors....faudra se réorganiser...autour des vrais fondamentaux et des penseurs solides !

Vivre dans un minuscule espace ? Avec « leurs » seules images pour nos yeux ?

seul le mensonge a une démarche intéressée....

Mais c'est le travail révolutionnaire de Swartz autour des questions de justice sociale et d'organisation politique, combiné à son approche sans concession de l'accès à l'information pour tous, qui l'a pris au piège dans un cauchemar légal de deux années. Cette bataille s'est terminée par son suicide à 26 ans.

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article