Voir la société par le trou de serrure ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Voir la société par le trou de serrure ?

C’est ce à quoi nous engage un document qui ose affirmer que « tout le monde ment », mais sans jamais pouvoir éclaircir au nom de qui une telle « vérité » serait proférée ? Qui ne clarifie pas, non plus, le passage entre décrire des données banales et sauter, à des kilomètres de là, sur des conclusions très pointues. Ce pourquoi nous devons examiner une telle démarche qui poursuit bien trop les efforts du behaviorisme afin de rabaisser l’être humain dans sa totalité. Et pourquoi maintenant ?

Dire « tout le monde ment » n’est-ce pas le clair chemin afin de ne jamais rien comprendre aux causalités ? Donc aux solutions à notre portée ? Cette société censure, très stupidement, nombres de bons esprits dont nous avons véridiquement besoin afin d’alimenter, concrètement, nos sociabilités. Il ne s’agit pas de théories de développement personnels ou autres – mais bien de pratiques et de comportements qui s’inscrivent dans toute la trame des vies quotidiennes. Donc - les mêmes qui sont à la source de ces censures insensées vont reprocher aux couples, aux amis, aux moindre des citoyen-ne-s…l’incommunicabilité collective. Ou la simple difficulté de communiquer dans le chaos des inégalités explosives (tout dialogue paisible nécessite tellement plus d’égalité et ce jusque dans le…langage corporel !). Clair que si des textes et comportements comme les nôtres étaient plus largement diffusés et connus (mais d’autres nous que nous, tout aussi crétinement passés sous silence…) – la société serait infiniment moins malade. Et ces Grands tapageurs n’auraient pas à examiner la société par le trou de serrure – afin d’écrire des textes comme le suivant ?

Le contenu de nos recherches en dit beaucoup, à l’échelle d’une société, sur les angoisses, les préjugés et les stéréotypes qui travaillent cette société et qu’elle ne veut jamais voir en face. Et toujours infiniment plus sur cette société que sur nous : c’est bien elle qui, par ses multiples et sournoises instrumentalisations, tente toujours de nous faire passer pour ce que nous…ne sommes pas …et jamais l’inverse ! Un recadrage préalable reste donc une démarche de santé mentale imparable. Comme ceci.

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« Tout le monde ment [[strictement faux, c’est cette société morbide qui « contraint » à jouer des rôles, donc à trafiquer ses mots et à déguiser ses attitudes. Ces mêmes personnes s’enchantent, en effet, des vérités partagées avec les êtres en qui elles ont confiance – faut sortir dans TOUTE la société pour le savoir. La vie s’apprend…sur le terrain, surtout pas en calfeutrant dans les préJugés, qui jugent sans jamais rien savoir !]]. A son mari, à sa femme, à ses amis, à ses parents, à soi-même [[que tout le monde mentirait ! Ceci arrange qui que de corrompre ainsi, dans leur dos, « tout le monde » ? ]]. C’est ce que révèle l’analyse [[faux, elle dit, précisément, que c’est la société viralisée par le haut qui incite aux mensonges – mais il y a, face aux prétendus dirigeants, de fantastiques résistant-e-s qui nous inspirent tant !]], conduite par un économiste américain, des recherches sur Google de millions d’Américains. Elles révèlent nos craintes les plus profondes, nos secrets, nos questions embarrassantes. Toutes les choses que nous n’osons dire qu’à notre moteur de recherche. [[Vu par un autre lieu qu’un trou de serrure, nous pouvons y ressentir des humains qui s’inquiètent pour leurs entourages, veulent savoir, veulent comprendre et se montrent plutôt très sincèrement attentionnés et surtout pas …menteurs. Graves erreurs…d’interprétations provenant d’un fatal manque de respect pour l’humain. La seule certitude qui s’en extrait (de ce livre) en devient que, qui se prétendent « élites », se démasquent, en fait, de tristes sires, des humains peu recommandables ayant de sales mentalités ! Les véritables élites sont ailleurs que dans le rabaissement généralisé !]].

Ce-que-l'analyse-des-recherches-sur-Google-nous-apprend-sur-la-psyché-humaine

Seth Stephens-Davidowitz, ancien salarié de Google, a passé au peigne fin ces données, ensuite anonymisées. Ses conclusions sont rassemblées dans un livre qui vient de paraître outre-Atlantique et dont le Guardian publie les bonnes feuilles : Everybody lies : big data, new data, and what the internet can tell us about who we really are (« Tout le monde ment : le big data, les nouvelles données, et ce que l’internet peut nous apprendre sur qui nous sommes vraiment »).

A la base de cette expérience, on trouve un constat bien connu : les gens mentent dans les sondages. [[et il a été démontré que c’est 1)- la faute aux sondages bien trop directifs2) – aux attentes de la société, bien trop lisibles derrière, avec la clarté qu’il y a de « mauvaises » réponses, alors que toutes devraient paraître « bonnes »…et, enfin, 3) – la non neutralité du sondeur qui « désire » telle réponse plus que telle autre…]]. Dans une étude datant de 1950, des chercheurs ont analysé ce phénomène à l’échelle de la ville de Denver : le nombre de gens déclarant anonymement posséder une carte de bibliothèque et donner régulièrement à des œuvres de charité était plus important que les données disponibles sur la zone, suggérant que certains répondants avaient menti, dans un sens valorisant. On a appelé ce phénomène le « biais de désirabilité sociale ». [[et qui sème tant les préJugés, qui jugent avant tout examen, sinon la société bien trop entêtée ?]].

Depuis, les choses n’ont pas vraiment changé [[la société s’obstinant dans son inertie…]]. On continue à surévaluer ses performances scolaires ou professionnelles en répondant aux sondages, ou à ne pas déclarer sa préférence sexuelle réelle, ou à mentir sur sa consommation d’alcool… Mais pas toujours consciemment : on se ment d’abord à soi-même, avant de mentir aux autres. « Comment ne pas mentir dans un sondage, quand on s’illusionne soi-même ? », s’interroge Seth Stephens-Davidowitz. [[dans ce cas précis, c’est bien plutôt la société et surtout ses hautes sphères qui s’illusionnent sur elles-mêmes : pourquoi ne pas le dire ?]].

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Google, « sérum de vérité numérique » : Un lieu révèle qui nous sommes vraiment : Google, et les questions que nous lui posons. Car on ne parle pas à un moteur de recherche comme à un institut de sondages [[et le tort en vient à ces instituts de sondages qui ne paraissent jamais… neutres mais porteurs de jugements subliminaux ]]  : on ose lui poser les questions embarrassantes [[pour qui ?]], et lui révéler ses secrets, en pensant que personne ne nous voit. [[ qui est trompé ici : qui croit que personne ne le voit ou qui, perversement, profite de cette croyance de ne pas être vu ? Et qui (évidemment) va refuser de révéler ses motivations et ses intentions profondes à profiter de cette dissymétrie instrumentale ?]] 

Le contenu de nos recherches en dit beaucoup, à l’échelle d’une société [[et infiniment plus sur cette société que sur nous : c’est bien elle qui, par ses multiples et sournoises instrumentalisations, tente toujours de nous faire passer pour ce que nous…ne sommes pas ]] – ici les États-Unis – sur les angoisses, les préjugés et les stéréotypes qui travaillent la plupart d’entre nous. Google agit comme un « sérum de vérité numérique ». [[qui semble refuser de répondre à ceci : si les humains mentent tant dans les sondages, pourquoi continuer à nous assaillir de sondages ? A qui cela sert ? Est-ce que ce haut de la société, peu légitime,  ne règne pas surtout par « ses mensonges ? Donc de tels sondages lui…conviennent à la perfection]];

Après quatre ans de recherches, Seth Stephens-Davidowitz en conclut que « les recherches Google constituent la plus importante base de données jamais collectée sur la psyché humaine ». Il en tire de nombreux exemples qui restituent, bien mieux qu’un sondage classique, la vérité sur qui nous sommes, et en particulier sur les sujets tabous, dont l’orientation, la performance et le plaisir sexuels. L’une des conclusions essentielles de son travail concerne en effet l’orientation sexuelle. Il prend l’exemple de l’État du Rhode Island, un des plus en faveur du mariage gay, qui compte plus d’hommes se présentant comme gays que le Mississippi, État farouchement opposé et qui compte trois fois plus d’habitants.[[ et alors ? Nous, nous y lisons plutôt une carte des préjugés et des condamnations dissymétriques – pas des curiosités malsaines !]]

L’analyse des données Google montre pourtant que, dans l’ensemble des recherches de sites pornographiques par des hommes, 4,8 % de ces recherches concernent des contenus gays dans le Mississippi, pour 5 % de moyenne nationale. Mesurer l’orientation sexuelle par la consultation de contenus pornographiques peut faire débat, mas elle est néanmoins révélatrice, puisqu’elle est quasiment la même [[grande découverte !]] dans le Mississippi que partout ailleurs : on peut donc estimer que, dans cet État, de nombreux hommes ne peuvent assumer au grand jour leurs préférences.

L’autre grand enseignement de cette analyse concerne les complexes sexuels des hommes américains. Ils font plus de recherches sur Google au sujet de leur pénis que sur n’importe quelle autre partie de leur corps. « Plus que sur leurs poumons, foie, oreilles, nez, gorge et cerveau combinés ».[[mais qui a bien pu leur visser une telle idée en tête ? Sinon les assauts de marchands trop intéressés n’agissant que par culpabilisations et dénigrements ? Cette manière de toujours décrypter DE TRAVERS en devient lassante. Le parti-pris, en filigrane, est bien que les institutions et les pouvoirs ont toujours raison ! ]].

« Les hommes font plus de recherches pour savoir comment rendre leurs pénis plus gros que pour savoir comment accorder une guitare, faire une omelette ou changer une roue. »[[ ce qui démontre surtout la …grande misère des rapports humains dans une société d’argent sale…nous n’y pouvons parler, en profondeur, de rien sinon de l’argent pour le trop petit nombre…]]. Une réalité [[non décryptée ici…]] d’autant plus frappante que les femmes, elles, s’en moquent plus ou moins complètement. Pour une femme faisant une recherche sur la taille du pénis de son partenaire, 170 hommes tapent une recherche sur leur propre organe.

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« Ma fille est-elle en surpoids ? » : Google en dit long également sur les stéréotypes de genre associés aux enfants. Les parents ont 2,5 fois plus de chances de rechercher « mon fils est-il un génie » que « ma fille est-elle un génie ». [[normal, les attentes sociales sont démesurées pour les hommes et plus normales pour les femmes. Aussi, ces parents sont donc très présents. C’est un donc,ici, bon point, non une recherche honteuse !]] Proportion inversée pour l’apparence physique, puisqu’on trouve deux fois plus de « ma fille est-elle en surpoids » que de « mon fils est-il en surpoids ». Des angoisses liées à des représentations sociales [[qui devraient donc CHANGER tellement elles font de mal !]] plus qu’aux réalités de l’obésité infantile : aux États-Unis, 28 % des filles sont en surpoids, pour 35 % des garçons. Cette disparité fille/garçon se retrouve uniformément aux États-Unis, quelle que soit la coloration conservatrice ou progressiste de l’État dans lequel les usagers se trouvent.

De même, les données de recherches sur Google peuvent aider à comprendre les ressorts de la haine raciale. Certains groupes ethniques sont associés à certains adjectifs, de façon quasiment exclusive. Si « musulman » va avec « terroriste » et « réfugié », « Noir » ne va jamais avec « terroriste », mais très souvent avec « malpoli ». L’adjectif « maléfique » peut suivre « Juif », « gay », ou « musulman », mais jamais « asiatique », « chrétien », « Noir » ou « Mexicain ».

Sans surprise, le nombre de recherches à connotation raciste dépend de l’actualité. Après la tuerie de San Bernardino, le 2 décembre 2015, lorsque les noms à consonance moyen-orientale des deux suspects sont diffusés dans la presse, les recherches associant « musulman » et « tuer » explosent. Un cinquième des recherches sur les musulmans leur associaient un message de haine avant l’attaque, elles dépassent la moitié immédiatement après.

Le mot « nigger », une insulte raciste, apparaît dans 7 millions de recherches Google chaque année. Les recherches de « nigger jokes » sont 17 fois plus fréquentes que l’expression haineuse équivalente pour les homosexuels ou les Asiatiques (« fag jokes » ou « chink jokes »). Elles connaissent également des variations avec des pics de recherches. « Quand ? A chaque fois que les Afro-américains sont dans l’actualité », constate Seth Stephens-Davidowitz.

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Influence des discours : De ce tableau plutôt sombre [[puisqu’il se trompe entièrement de cible ! ; ce sont les pouvoirs qui glissent tan de préJugés afin de diviser au maximum la société…]], Seth Stephens-Davidowitz tire pourtant plusieurs enseignements positifs. D’abord, un premier bon point : vous n’êtes pas seul à vous poser des questions inavouables et à ne confier vos angoisses qu’à Google [[sauf que cet « argument » ( !) signifie « les classes supérieures peuvent être très corrompues puisque, à la base, tout le monde l’est un tout petit peu » : sauf que c’est Faux ! La santé affective existe bien à la base…). Ensuite, cette enquête a le mérite de mettre le doigt sur des souffrances, celles, notamment, de ceux qui ne peuvent assumer leur orientation sexuelle. Enfin, ce que ces données révèlent de l’ancrage des idées racistes aux États-Unis n’est pas une fatalité. [[ surtout si nous n’exigeons rien des bonnes personnes, aucuns changements réels. « L’individualisme méthodologique » est un scandale social puisque sa thèse est : tout est de la responsabilité de l’individu lambda, tout ce qui lui arrive est entièrement de sa faute et il ne peut s’en prendre qu’à lui-même. Et que donc la société n’existe nulle part, n’exerce aucune pression, ne fait pas circuler des stéréotypes et ne manipulent pas grandement et illégalement les humains. Les contraignant à ne pas …être eux-mêmes. Cette étude en demeure, en effet, au stade du behaviorisme, comportementaliste. La conscience et la sensibilité restent des boîtes noires – ne sont décrites que les entrées et sorties, input et output, un tel dit ceci à un sondage et demande cela à un moteur de recherche. Mais sans jamais rechercher (contextes) les pourquoi de telles attitudes. Le but demeure de salir à fond tout le monde afin que le système continue : avec un tout le monde « ment » qui prétend s’afficher comme …une vérité (tiens donc un qui ne mentirait pas !) mais se démontre mentir grandement par immenses plages…d’omissions. Donc – d’après nous – ne jamais dire…l’essentiel, sur rien ! Ce qui représente …fuir les solutions à notre portée]].

Après la tuerie de San Bernardino, le président de l’époque, Barack Obama, a prononcé un discours appelant à la tolérance et au vivre ensemble. Les recherches négatives sur les musulmans n’ont pas faibli pour autant. Mais une phrase a déclenché d’autres recherches, lorsque le président a dit : « Les musulmans sont nos amis, nos voisins, nos collègues de travail, nos champions sportifs et, oui, ils sont aussi nos femmes et nos hommes en uniforme qui sont prêts à mourir pour défendre notre pays. »

Ce jour-là, pour la première fois depuis « au moins un an », selon le chercheur, les mots « athlète » puis « soldat » étaient en tête des recherches associées au mot « musulman ». Deux mois plus tard, dans un discours sur l’islamophobie prononcé dans une mosquée, Barack Obama a entièrement calibré son discours pour changer les perceptions sur l’islam, en évoquant les médecins, architectes, enseignants, policiers, sportifs… « Mon analyse des recherches Google suggère que ce discours a été plus efficace que le précédent, car les recherches haineuses ont faibli dans les heures qui ont suivi », conclut l’économiste. [[ce qui a réussi une fois, si limpidement, ne sera donc pas reproduit…il est bien décelé une mauvaise volonté permanente des médias…domonants qui veulent empester plus la société que l’assainir ]]. »

>>>>>> -  Une très juste notation de méthodes qui mérite d’être ajoutée : « Ceux-ci ont demandé à 70 000 volontaires de télécharger leur profil Facebook, y compris les " like " qu'ils cliquaient. Conclusion publiée en décembre 2014 : à partir de 10 " like ", un ordinateur comprend ( ?) le profil psychologique d'une personne mieux qu'un de ses collègues de bureau ; à 70 " like ", la machine le comprend mieux qu'un ami ; à 300 " like ", elle excède la compréhension de son conjoint........ »…en effet, cette « géométrie des importances » nous crée sous nos yeux, de toutes pièces, une fausse hiérarchie provoquée uniquement par du…chiffre. Sans langages non verbaux, sans sentiments, sans ressentis, etc. Bref le « comprendre » se rétrécit juste à des données…externes et ahumaines ! Excusez du trop peu ! Et donc ? Perdre la sale habitude de « détecter infailliblement » l’importance d’un texte au nombre de like (mesures plus qu’aléatoires et très incertaines)…mais bien dans son…contenu réel ! Gare aux instrumentalisations trop faciles (le contenu ne se perçoit qu’en y entrant et détectant tous ses impacts, les « like » ont l’air présents mais ne répondent à aucune règle…universelle ! Et sont plus volatils que tout…).

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Lorsque le local parvient à nous globaliser – Voir la réalité bien en face – Pour bien dormir il faut avoir des rêves dans la journée – L’entêtement global à ne pas changer de style de vie – Des aliments présentés pour les vendre pas pour les manger ?, oui ce sont les titres de nos derniers textes. Où se trouve une unité flagrante : ce sont les prétendues élites qui ont provoqué tous les dégâts sociaux immenses auxquels nous recherchons des solutions immédiates (et qui d’autres, qu’eux, en auraient eu les moyens…matériels ? Allons, allons, du bon sens, avant tout !). Dont les analyses de ces élites détectent… 1)- des erreurs préalables de diagnostics (si dès le départ, ils se trompent sur la réalité du problème, « leurs » solutions vont déraper en de…nouveaux problèmes !)…2)- un manque évident de connaissance de la société complète : ces personnages ne sortent pas de leur cercle minuscule, n’ont pas l’honnêteté d’aller partout, d’écouter, in situ, tous les participant-e-s de al société, de semer leurs empathies et donc de parvenir (comme nous !) à une véritable connaissance hors tout préjugés de la société entière3)- d’imposer (sans jamais des débats de fond) de fausses solutions très inadaptées,  sourdes et aveugles qui ne font que…désorganiser dramatiquement la société. Oui nous disons, clairement, que ces faux dirigeants sont les véritables fauteurs de troubles qui pourraient rendre tout…insoluble, si « tout le monde » suivaient leur trop grand échec de vie.

Ce qui traverse tous ces textes ? La présence pernicieuse d’humains pas à leur place. Avec tous, oui tous les raisonnements corrompus. Des exemples. Ce n’est pas parce qu’un être s’enrichit par trop que la Terre va mieux. Souvent c’est l’inverse. Elle irait bien mieux s’il y avait des limites rationnelles et raisonnables aux enrichissements. Le fait que nul n’ai bondi à entendre un « Mon intérêt privé devient celui  des USA tout entier » aura conduit à tant de corruptions morales qui ont suivi. La grave tragédie c’est de se tromper à ce point sur les PRIORITÉS. Cette erreur révèle une méconnaissance complète de la réalité, une désastreuse anarchie dans ces têtes, bref, le désordre intégral, et dans la reconnaissance et l’obéissance aux hiérarchies essentielles. Qui sont 1)- ** de protéger la vie collective et non l’argent du petit nombre. Puisque si la vie commune est menacée, cet argent trop fantasmé ne leur servira à rien. A eux ni à personne… 2)- ** d’avant tout, de Protéger la Nature puisqu’elle est le nid protecteur et conducteur de la Vie sur Terre. Et que, sans elle, la vie ne continuera pas pour les humains qui, en rien, ne sont des extraterrestres. Cette vie qui est la même dans tous les règnes vivants. Nous ne vivons pas d’une vie différente de celle de la nature – nous ne sommes pas sur une « autre » (alter, alien) planète mais sur la même. 3)- ** C’est la Terre la vraie richesse collective et pas les billets de banque, de trop banals instrulents de…mesures. Sans cette nature non dangereusement polluée l’excès de richesses pour presque personne ne pourra se poursuivre, ne servira à rien, et ces marginaux ne pourront pas poursuivre leurs vies de parasites en marges. Tout ceci « représente » le vrai réel que…tous les lunatiques en costards-cravates fuient toujours plus, tels des dératés !

Les priorités absolues c’est bien 1- ) la vie universelle, la même partout sur Terre… 2) – la protection très amplifiée de la nature - le berceau terrestre de cette vie même… 3) – empêcher que certains humains, ayant quitté tout sens du réel, ne puissent nuire ni à la vie ni à la nature. Une fois ces priorités calmées, nous nous apercevons que de limiter énergiquement les richesses et patrimoines sont les réelles sagesses. Le capitalisme est trop pervers, ce pourquoi il ne veut participer à aucun débat ce qui prouve à quel point il est, intimement, convaincu d’avoir tort. Mais, lâchement, il veut faire durer son escroquerie tant qu’elle le pourra.

Le capitalisme exclut de ses préoccupations la majorité de l’Humanité. Des pratiques passées sont parvenues à empêcher les trop riches de nuire trop dangereusement aux pauvres. Cet État providence de vraie sécurité sociale doit durer. La représentativité doit jouer à fond. Ni culturellement, ni politiquement, ni informationnellement, ni professionnellement ces marginaux ne sont plus représentatifs. Nous sommes en « démocratie …représentative », en état de Droit…

……………………… ils doivent donc être remis à leur juste place !

 

……….……(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

…les anti-élites actuelles (…celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 400 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

il y a aussi le recadrage qui fait quitter les certitudes...jamais revisitées...

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ne plus jamais omettre qui regarde...et ne pas se contenter de ce qui...est regardé !

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Voir la société par le trou de serrure ?
Les préJugés c'est toujours dans le dos - jamais bien en face !

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Dans une campagne contre « les stéréotypes, la discrimination et les préjugés » c'est la porte entière (et derrière...) qu'il s'agit de voir. Non que la seule serrure...

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analyse exhaustive du trou de serrure...eh oui !

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Voir la société par le trou de serrure ?
Voir la société par le trou de serrure ?
tout se tient...

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les apparences paraissent ne jamais dépasser les 10 %. La sagesse empathique elle atteint, parfois, les 90 %. Pourquoi la société obtuse stagne dans ces seuls 10 % ?

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A quoi sert une serrure sans clé ? La réalité inclut tout et n’exclut rien. Le préJugé n’est même pas une serrure, mais un rejet enfantin de…tout !

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Publié dans qui fuit le réel

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V
Vraiment sympa ce site web
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