Ce que nous ne pouvions pas savoir

Publié le par imagiter.over-blog.com

Ce que nous ne pouvions pas savoir

En prolongation du « shut up » (ferme là) le shutdown ( nous fermons le Public) – les symboles sont très forts. Dénis avoués de toute démocratie par le jeu des élus dés ? Oui – mais « derrière » le vacarme que se passe-t-il « en vrai » ? Pour les États-Unis, il a annoncé le plus grand cambriolage de l’histoire, 10 000 milliards de dollars d’actifs, assez pour acheter toute l’Europe, ont simplement « disparu ». Oui c’est ainsi que commence une démonstration imprévisible, puissamment ancrée dans les faits et dans les chiffres, et que diverses coïncidences de recoupements nous avaient fait déjà frôlé, mais sans jamais entrer dans le très vif du sujet

Qui est ?...« Quelques jours avant le 9/11, on apprenait que 2 400 milliards de dollars manquaient au budget militaire, selon le secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld. Ce que peu de gens savent, c’est que le groupe qui a enquêté sur cette affaire a été tué, dans son intégralité, le 9/11 lors de l’incident au Pentagone [[ ces faits, millions de dollars de l’armée « disparus » et dizaines de milliards de dollars « introuvables » à la Féd. se sont encore produits en 2017…c’est dire – un fonctionnement récurrent dans l’anti-démocratie étasunienne ?]].

Les-Etats-Unis-sont-battus-à-terre-pour-le-compte-et-tout-le-monde-le-sait

Nous appelons ça un incident [[nous citons…]] parce que le qualifier d’attaque terroriste ou même d’accident d’avion est insupportable sans abandonner totalement son intelligence. Ensuite, nous nous interrogeons : qui ferait une telle chose, qui détruirait l’Amérique et son gouvernement, écraserait son économie comme en 2008, et permettrait à une nation d’être dirigée par un leader connu pour être si peu crédible ? Pourquoi ne nomme-t-on jamais les coupables, qui sont les « suspects habituels » ? Examinons ce qui s’est passé en Amérique alors que le monde regardait les invasions de l’Afghanistan et de l’Irak, deux guerres que l’Amérique a techniquement perdues, au delà de toute mesure, chacune faisant de la débâcle du Vietnam un parangon de la raison. À la fin de 2007, les cinq principales banques d’investissement américaines étaient en faillite, ayant « égaré » des milliers de milliards d’actifs [[encore…en tout cas, ces cohérences factuelles nous tirent des têtes si superficielles de Paris qui ne parlent plus jamais sérieusement de rien de sérieux ! Face à l’Histoire mondiale, ils/elles font vraiment plus le poids !]]. La plupart des grandes entreprises étaient dans le même état, brisées, désespérément, jusqu’au point où l’indice Down Jones Industrial Average avait dû être reconfiguré [[le réel est « déguisé » parce qu’il est devenu …insupportable pour ces chochotes !]] car les grandes entreprises américaines n’étaient plus viables.

Si vous suivez des choses telles que la dette sur les cartes de crédit ou la valeur de l’immobilier, vous voyez une histoire différente. Entre 2008 et 2010, le chômage en Amérique a augmenté à plus de 10 %. L’épargne personnelle s’est effondrée et la dette personnelle a atteint des niveaux inimaginables  [[ en effet, voyez nos textes de l’époque…]] alors que des industries clés comme les armes, le pétrole et les produits pharmaceutiques, connues officieusement pour avoir un pouvoir immense sur le gouvernement, ont fait des profits records [[Très bizarres…coïncidences, en effet. Selon le principe des vases communicants, si  la nature a horreur du vide…disparitions ici et réapparitions là !]]…Alors que les taux d’intérêts chutaient à presque rien avec Bush junior, des millions de familles américaines cherchant à protéger leurs actifs achetaient imprudemment des maisons trop grandes, inabordables, vendues par les médias sur l’idée d’un marché immobilier en hausse.

En 2008, ces maisons se sont vidées. De nombreuses maisons à un million de dollars ont vu saccager leurs murs, leurs câblages, leur plomberie alors que les propriétaires en colère faisaient leurs valises pour emménager chez des parents ou simplement rejoindre les millions de sans-abri. La plupart des maisons ont perdu 60 % de leur valeur en Amérique et ceux qui ont été obligés de vendre ont contracté une dette à vie. De même, l’épargne-retraite a généralement perdu 72 % [[ pas perdu pour tout le monde semble-t-il…incorrigibles classes moyennes qui ne « donnent » le pouvoir qu’à qui va les dépouiller ? Jamais à qui pourrait les protéger ?]]. Un plan de retraite par capitalisation de un million de dollars, dans le cadre du 401K, qui devait rapporter 5 000 dollars par mois à vie sur la base des taux de l’ère Clinton et de la performance du marché, valait maintenant un peu plus de 200 000 dollars avec un potentiel de revenu de 200 dollars par mois. La classe moyenne des États-Unis aura travaillé entre le milieu et la fin des années 1970, pour voir des retraités, managers et qualifiés, condamnés  à une décennie de travail servile par la grâce des banques qui ont organisé le crash. [[ et qui n’ont pas vécu une seule des journées de prison au 13 000 ans qui leur avaient été méritées ? Et dont les dirigeants si indignes restent même en place ?]].

Ceci, bien sûr, a poussé la jeune génération vers le service militaire. Avec peu d’emplois disponibles,  payés bien en dessous du seuil de pauvreté, les salaires militaires étaient plus élevés avec une garantie de déploiement en Irak et en Afghanistan année après année [[ mais à qui profite tant de destructions d’un peuple quasi entier ?]]  En fait, il est devenu clair que presque tout le terrorisme mondial, les attentats de Paris, Boko Haram en Afrique, certainement ISIS, tout cela a profité à Israël aussi bien qu’à l’Arabie saoudite. Alors on peut aussi formuler l’hypothèse selon laquelle les intérêts de l’État israélien bénéficieraient plus à la famille Rothschild qu’à Israël lui-même.

Les-milliardaires-se-sont-enrichis-de-1 000-milliards-de-dollars-en-2017

Si les résultats sont un indicateur fiable, Israël fait face à une Syrie unifiée, à l’Irak et à l’Iran avec le puissant Pakistan, la Turquie et la nouvelle quasi-superpuissance, la Russie, qui évolue rapidement vers la formation d’une alliance régionale de pouvoir. Israël est loin d’être en sécurité, tant s’en faut, mais ce qui reste ce sont des milliards de milliards de dettes, la promesse de guerres pour une autre décennie ou au-delà, le chaos, la méfiance, la balkanisation du monde, la pauvreté et la maladie, les signes sont clairs [[ et « incachables » : voyons ce reportage d’un média très…conservateur !]].

Quand-la-réalité-dépasse-la-fiction-:-voyage-dans-l'amérique-de-Trump

C’est le modèle économique du système bancaire mondial [[ cette non-pensée radicale aveugle à toute réalité collective comme à toute réalité autre qu’hyper paranoïaque…ce sont eux qui, clairement, veulent du mal au monde mais leur maladie est si virulente que toute critique constructive et  tout total têtu des chiffres est perçu…comme un complot contre ces banques, ce qui « interdit » donc toute remise en question, donc en réponses ! Ainsi, l’infantilisme de nommer complotiste qui démontre si sérieusement, SERT qui, au final ? Et pourquoi entrer, si bêtement, « dans le complot » ? Le paranoïaque crée toujours un monde mille fois pire que celui de ses craintes de départ…]]. 

C’est ce que l’on entend par « globalisme » anti-globalités concrètes » (Gordon Duff)pour hyper-centralisme et hyper-hiérarchisations comme jamais vus auparavant !

…bref, le retour le plus archaïque vers les heures sombres du féodalisme.

L’oligarchie c’est plus que ringard, une vieille photo sépia, c’est tout défraîchi, hors date de péremption, cela sonne moisi, ceci n’a plus cours, n’est plus naturel, n’a plus à ressortir de son trou…non, non…

……………………………………………plus personne n’en VEUT !

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« Vers un "shutdown" ? Trump brandit la menace d'une paralysie "dévastatrice" de l'administration. Un blocage du budget va-t-il entraîner un nouveau "shutdown" [[autre forme de « ferme-là », shut up, se taire est le seul « dialogue » autorisé, un seul parle et c’est la démocratie mondiale qui triompherait ?]], avec la fermeture peu légale de nombreux services publics [[ prétendus ne servir…à rien, par l’égaré libéralisme !]] ? »…Nous sommes là en face de nouvelles présidences qui ne respectent plus l’état de Droit, se dressent Contre leur propre pays dont ils se prétendent tout de même « élus », veulent museler les médias surtout alternatifs, éteignent toute parole sous des flots d’insultes si peu…rationnelles ! Et ?

Vers-un-shutdown-Trump-brandit-la-menace-d'une-paralysie-dévastatrice-des-services-publics

Donald Trump a brandi ce jeudi 18 janvier la menace d'une paralysie de l'administration pour pousser les parlementaires américains à conclure un accord sur le budget fédéral, qui achoppe sur les questions d'immigration. "Il est bien possible" que l'Etat fédéral ferme vendredi, a lancé le président, en arrivant au Pentagone. Le Congrès a jusqu'à vendredi minuit pour s'entendre sur un projet de budget assurant le financement du gouvernement, qui risque le "shutdown", ce dérivé du shut up– la fermeture d'un grand nombre d'agences fédérales – si les négociations échouent. Ce serait la première fois depuis 2013 – la fermeture avait alors duré 17 jours.

Le "shutdown" américain expliqué à ceux qui ont raté le début

 

La majorité républicaine souhaite voir adopter un budget 2018 qui dope les dépenses militaires, une promesse de campagne de Trump, qui estime les forces armées sous-équipées après plus de 16 ans de guerre ininterrompue. La minorité démocrate veut, en échange, régler le sort de 690.000 "Dreamers", des jeunes arrivés illégalement aux Etats-Unis quand ils étaient enfants. Ils sont désormais à la merci d'une expulsion après l'abrogation du programme Daca datant de l'administration Obama, qui leur offrait un statut de résident temporaire. Les démocrates veulent aussi un financement à long terme du programme public d'assurance maladie pour les enfants pauvres (Chip), menacé par la réforme de l'assurance santé.

 

Les républicains ont proposé un nouvel accord budgétaire temporaire, jusqu'à la mi-février, et la poursuite du "Chip" pour six ans, sans inclure de mesures sur l'immigration, et un vote pourrait intervenir dès ce jeudi, selon les médias. Les républicains sont globalement d'accord pour régulariser les "Dreamers". Mais Donald Trump exige aussi en échange le vote de crédits pour ériger le fameux mur promis à la frontière avec le Mexique, ainsi que d'autres mesures anti-immigration, dont la fin de ce qu'il appelle "l'immigration en chaîne" (le regroupement familial) et la suppression de la loterie annuelle de cartes vertes.

Mais dans une série de tweets matinaux [[ est-ce une façon très rationnelle et contrôlable par les deux autres…pouvoirs, que d’agir par les tweets performatifs – donc supprimant par rhétorique toute démocratie ?]], le président américain a mis la pression sur le Congrès et sur les démocrates, accusés d'obstruction : "Une paralysie du gouvernement aura des conséquences dévastatrices sur nos forces armées... dont les démocrates se fichent".  Il a aussi pris les élus républicains à contre-pied en estimant que le Chip "devrait faire partie d'une solution à long-terme, pas d'une extension de 30 jours ou à court-terme". Le projet de financement négocié au Congrès "comprend une extension du Chip pour six ans, pas 30 jours", lui a répondu le sénateur républicain John Cornyn sur Twitter [[ c’est donc « cela » leur progrès que de tweeter? Il régresse seulement ne progresse plus jamais !]].

Donald Trump, qui a fait de la lutte contre l'immigration clandestine une priorité de son gouvernement, a également réaffirmé ce jeudi que la construction du mur anti-immigration devait faire partie de l'accord budgétaire. "Pas de mur, pas d'accord", a clamé le président dans un autre message sur Twitter [[ la problématique est qu’un « accord » se prend, au minimum, a DEUX…pas tout seul. Si la corde s’acCorde c’est qu’il y a deux bouts – et si un bout fout les bouts, il ne sème plus que des désaccords. Semer partout les conflits par les insultes – autre dérivé des procédés mafieux – n’aime pas du tout la vraie démocratie !]].

Les parlementaires ont déjà reporté trois fois depuis septembre (la dernière fois, le 21 décembre) la date-butoir pour adopter un budget de plusieurs centaines de milliards de dollars pour l'exercice 2018. "Nous allons devoir faire quelque chose à court terme", a reconnu Paul Ryan, chef républicain de la Chambre des représentants, lorsqu'on l'interrogeait la semaine dernière sur la possibilité que le Congrès parvienne à un accord d'ici la date-butoir du 19 janvier. Donald Trump avait de son côté déjà renvoyé la responsabilité d'un arrêt des activités gouvernementales sur les démocrates, en les accusant [[ ce qui est, évidemment, le sommet des pourparlers, des discussions multilatérales – si les concessions ne sont que d’un seul côté ce sont des…extorsions ! ]] le 12 janvier : en effet, rapporte le "New York Times", pour passer au Sénat, le texte de financement provisoire doit être voté par au moins 9 élus démocrates (en plus des républicains) ; or deux sénateurs, élus de Virginie – où il y a des centaines de milliers d'employés fédéraux, qui seraient donc affectés par un shutdown – qui étaient vus comme les plus prêts à voter oui, ont annoncé qu'ils s'y opposeront. »

Tout ceci de si pitoyable parait une magistrale (mais peu géniale) leçon de…

…………………………………. non-démocratie…appliquée ?

 

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https://www.planetoscope.com/comptes-publics/1332-le-compteur-de-la-dette-publique-americaine-le-deficit-budgetaire-cumule-des-etats-unis.html

La dette publique américaine en 2017 :

20 000 000 000 000

En septembre 2017, la dette publique américaine a dépassé le montant de 20 000 milliards de dollars (20 trillions en américain). Elle était précisément de 20 467 milliards de dollars le jeudi 7 septembre 2017

 L'Amérique a passé en novembre 2011 un cap : la dette  publique dépassait 15'000 milliards de dollars. Cela correspond à 99 % du PIB américain prévu par la Maison Blanche pour l'ensemble de l'année 2011. 

Mais de ceci il en est quasiment pas parlé : comme si c’était secondaire, accessoire, dérisoire, pas important, anecdotique, sans…intérêt. D’où les difficultés à dénicher les informations qui se recoupent et de dresser un tableau qui tienne debout de l’ensemble. Pendant que le « temps collectif » est gaspillé pour des foutaises inconsistantes de fake nouiller et autres gamineries…dans ces mots sui flous qu’ils ne sont jamais clairement définis (nul besoin puisque c’est juste afin – de très illégalement (ne jamais oublier que ce sont les fomentateurs de ces antisocialités qui « osent » calomnier autrui de fake nouiller et complotismer les véritables…accusés. A sanctionner ) – d’empêcher tous les débats.

Comme si la société se suicidait en faisant un vacarme contre-productif afin de fermer…

…………………. ….  .toutes les issues de secours ! 

 

…....…(à suivre)

 

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toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

 

                        Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 600 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Ce que nous ne pouvions pas savoir
Falaise de la dette (16 ans de guerres illlégales ininterrompues).

Falaise de la dette (16 ans de guerres illlégales ininterrompues).

Public fermé et privé qui l’ouvre ?

Public fermé et privé qui l’ouvre ?

Dette sur les cartes de crédit ou la valeur de l’immobilier ? Le chiffre actuel bat le record précédent, enregistré avant la crise économique de 2008, durant laquelle la baisse des prix de l'immobilier aux États-Unis avait provoqué un effondrement financier mondial. Le montant cumulé des dettes contractées par cartes de crédit a atteint le « niveau critique » de mille millards de dollars.

Dette sur les cartes de crédit ou la valeur de l’immobilier ? Le chiffre actuel bat le record précédent, enregistré avant la crise économique de 2008, durant laquelle la baisse des prix de l'immobilier aux États-Unis avait provoqué un effondrement financier mondial. Le montant cumulé des dettes contractées par cartes de crédit a atteint le « niveau critique » de mille millards de dollars.

Ce que nous ne pouvions pas savoir
Après une crise aussi destructrice, on aurait pu s’attendre à ce que les gens hésitent à emprunter davantage. Étonnamment, ce n’est pas le cas : depuis 2008, l’endettement des ménages, en pourcentage du PIB, a largement augmenté dans les 80 pays analysés. Dans les pays avancés, le ratio médian de la dette atteignait 63 % l’an dernier, contre 52 % en 2008. Dans les pays émergents, il est passé de 15 à 21 %.

Après une crise aussi destructrice, on aurait pu s’attendre à ce que les gens hésitent à emprunter davantage. Étonnamment, ce n’est pas le cas : depuis 2008, l’endettement des ménages, en pourcentage du PIB, a largement augmenté dans les 80 pays analysés. Dans les pays avancés, le ratio médian de la dette atteignait 63 % l’an dernier, contre 52 % en 2008. Dans les pays émergents, il est passé de 15 à 21 %.

En septembre 2017, la dette publique américaine a dépassé le montant de 20 000 milliards de dollars (20 trillions en américain). Elle était précisément de 20 467 milliards de dollars le jeudi 7 septembre 2017  L'Amérique a passé en novembre 2011 un cap : la dette  publique dépassait 15'000 milliards de dollars. Cela correspond à 99 % du PIB américain prévu par la Maison Blanche pour l'ensemble de l'année 2011.   La dette publique américaine par habitant       56.000 $ La dette publique américaine représente  plus de 48'000 dollars par citoyen Américain en 2011 et 56.000 $ en 2015.

En septembre 2017, la dette publique américaine a dépassé le montant de 20 000 milliards de dollars (20 trillions en américain). Elle était précisément de 20 467 milliards de dollars le jeudi 7 septembre 2017 L'Amérique a passé en novembre 2011 un cap : la dette publique dépassait 15'000 milliards de dollars. Cela correspond à 99 % du PIB américain prévu par la Maison Blanche pour l'ensemble de l'année 2011. La dette publique américaine par habitant 56.000 $ La dette publique américaine représente plus de 48'000 dollars par citoyen Américain en 2011 et 56.000 $ en 2015.

Qu'est-ce que la théorie de Dow en Bourse? Tutoriel analyse technique

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