Pourquoi la siesta c’est la fiesta ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Pourquoi la siesta c’est la fiesta ?

L’ennui est (aussi) un bienfait. Le cerveau se « repose » et le corps n’est pas contre. Seule l’idéologie morbide du productivisme-stakhanoviste ose que l’humain serait une machine. Absolument faux, l’humain n’a rien à voir avec les objets, seules les perversités libérales peuvent le dénaturer à ce point. Bien, nous allons découvrir que nous avons « besoin » de l’ennui et que la sieste anti-cupidités unilatérales nous rend, gratuitement, de biens grands services. De quoi décoiffer les chauves actionnaires des rendements des autres !

Quels, oui quels services gratos ? Nous obtenons la même énergie et les mêmes coups de fouets cognitifs qu’avec la caféine, sans ses effets secondaires, en faisant une sieste, dit une étude réalisée par une équipe de chercheurs de l'Université Flinders. L'équipe a également redécouvert que ceux qui font régulièrement une sieste se sentent plus éveillés après avoir fait cela dans l'après-midi que ceux qui ne font qu'une sieste occasionnelle. Et donc, commençons par le tout début : l’anti-civilisation occidentale actuelle ose que la sieste est « une perte de temps » (puisque que tout ce qui ne sert pas à les enrichir, eux et pas les autres, ferait perdre « son » temps ? Hého, stop, assez d’irrationalités, l’économie n’est pas une religion et il n’y a pas d’élus – « notre » sieste et « notre » ennui valent autant, et même plus, que leurs basses avidités…). Cette régression anti-humaine ose, aussi, que l’ennui « ne peut pas exister » puisque l’exploit si excitant de se faire exploiter demeure tant omniprésent. Eh bien, il se trouve (et retrouve) que, théoriquement, ils ont tort sur tout (et pratiquement, nous parviendrons bien à arracher toutes les mauvaises habitudes de la grave déchéance capitaliste-libérale). Donc…avant la sieste, qu’y eut-il ?

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« A l’heure des campus numériques et des pratiques pédagogiques « innovantes » à tout-va, une plaisante enquête sociologique, diffusée auprès des enseignants d’une grande institution académique parisienne, est venue calmer les ardeurs technophiles de nos contemporains. Elle étudie les effets de l’usage de l’ordinateur dans la qualité de la prise de notes pendant les cours. Il apparaît que les étudiants, atteints d’un « biais optimiste » [[disons les naïfs bien béants !]], croient pouvoir écouter, synthétiser et s’approprier le discours du professeur en même temps qu’ils poursuivent leurs petites affaires sur ­les réseaux sociaux. En réalité, leur travail en est négativement affecté. »…Alors que les autres (les soi-disant archaïques écrivant à la plume) vivent quelque chose de très différent : écoutant de tout leur corps, ils comprennent, soit font de leur cerveau une préhension tactile (com-préhension). Et la mémorisation s’inscrit, grâce au 5 sens, dans un espace réactif infiniment plus vaste que celui de l’écran toujours à cran. Ce qui l’éloigne, cet ex-archaïque, en toute justice, de l’acédie quasi morte.

Prêtons-attention-à-l'ennui-il-nous-le-rendra-magnifiquement

« Anticipant ce résultat, certains téméraires ont interdit les prothèses informatiques en cours [[ qu’ils paraissent si nu-e-s sans…]], rejoignant, sans le savoir, un mouvement plus général : « No ­Device ». La forêt d’écrans évanouie, comme par miracle, reviennent les visages et les paysages variés d’une attention [[ oui l’attention même capable de toute les attentions et prévenances !]] nouvelle, soutenue ou intermittente, perplexe ou goguenarde et parfois même la face longue de l’ennui, celui que Charles Baudelaire, dans son « Adresse au lecteur », appelait le « monstre délicat ». Surgit alors l’impression de renouer avec une figure répertoriée de notre imaginaire républicain – le bâillement scolaire – mais aussi un état de conscience bien oublié. Car la distraction vibrionnante que permet l’infinie navigation numérique apparaît comme le contraire de l’ennui – elle n’a pas son détachement désolé avec le monde –, à moins qu’elle n’en soit une nouvelle métamorphose ?

L’ennui est, en effet, un objet labile, mouvant et pourtant profond, une catégorie de la vie affective comme le montrent les historiens des sensibilités (avec notamment L’Ennui. Histoire d’un état d’âme : XIXe-XXe siècles, de Pascale GOETSCHEL, Christophe GRANGER, Nathalie RICHARD et Sylvain VENAYRE (dir.). ) »… Les outils numériques vont-ils nous priver de moments de vague-à-l’existentiel ? L’ennui fait partie de la  l’attrayante sensibilité et son histoire, dès lors, appartient à celle de la vie des sentiments. Si loin de cette indifférence générale provenant de la grande paresse du cœur, selon Walter Benjamin dans « Sur le concept d'histoire » ! Bigre, tout le contraire des faussetés qu’ils voulaient que nous gobions ? L’ennui peut être très productif si nous y oublions notre égo. Et entrons de plein pied dans l’expérience sans nous occuper de rien d’autre. Le spleen a toujours eu du panache, lui, après tout ! Cet « embêtement » nous replace du bon côté, en réalité !

Lorsque-ne-rien-faire-c'est-bien-faire

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Bon et la fiesta de la siesta ? « L'auteure principale de l'étude, Nicole Lovato, a écrit dans The Conversation qu'elle et son équipe ont constaté qu'environ 50 % des gens disent faire une sieste au moins une fois par semaine. Elle a également écrit qu'une autre étude a découvert que l'apprentissage moteur s'est considérablement amélioré après une courte sieste l'après-midi pour des siestes régulières que les non-nappeurs [[nappeur : de to nap – faire un petit somme…somme qui avoue, d’ailleurs toujours son total ! ]]. Les siestes ne sont pas seulement bénéfiques parce qu'elles nous rendent moins somnolents et plus alertes, mais aussi parce qu'elles accélèrent notre fonctionnement cognitif, nos temps de réaction, notre mémoire à court terme et même notre humeur ", a dit Lovato [[n’en jetez plus…]].

Dans leur étude, ils ont découvert que de longues siestes d'une à deux heures l'après-midi vous rendront moins somnolent et nécessiteront moins de sommeil le soir. Cependant, cela vous fera aussi vous endormir plus longtemps que d'habitude. Ainsi, Lovato a suggéré de limiter votre sieste à environ une heure et demie. C'est la durée d'un cycle de sommeil normal. Vous vivrez un sommeil profond pendant environ une heure, suivi d'un sommeil léger pendant la dernière demi-heure ", a-t-elle dit.  En vous réveillant pendant un sommeil léger, vous vous sentirez rafraîchi et éveillé. Cependant, se réveiller pendant un sommeil profond ne le fera pas ", explique Lovato.

La-sieste-booste-le-cerveau-selon-une-étude-scientifique-l'existentiel-avait-nettement-précédé

Par conséquent, Lovato a recommandé d'avoir une courte sieste de "puissance" de 10 à 15 minutes car elle peut grandement améliorer la vigilance, la performance cognitive et l'humeur presque instantanément après le réveil. De plus, ses bienfaits durent généralement quelques heures. Avec les siestes de puissance, vous ne vous sentirez pas léthargique ou somnolent après vous être réveillé parce que vous n'entrez pas dans un sommeil profond pendant cette courte période. De plus, les recherches indiquent qu'une courte sieste du début à la mi-après-midi est la période de recharge la plus abondante par rapport aux siestes à tout autre moment de la journée. Si vous avez de la difficulté à rester éveillé, faire une petite sieste en tout temps peut également vous aider à rester vigilant. [[ le tout-sécurité, si imprudemment, vanté, exige donc la…sieste. Tiens, ce n’est pas fait. Ce sécuritaire est donc une falsification. Ce qui nous est présenté ressemble trop à une fraude : la République naissante s’attachait à offrir toutes les précautions contre les…gouvernants non les gouvernés. Tiens, tu vois à quel point serviable demeure la sieste !]]. Maximiser les bienfaits de la sieste [[ un clic sur le lien fera tout connaître à qui est intéressé à ce…retour sur investissement- Pour nous, nous nous [[ que de nous ]] précipitons sur l’ennui de nouveau…]]. Notre sommeil (cette pratique très mathématique qui ajoute et ajoute et…) possède un ennemi radical, le même qui déteste notre santé, notre joie, notre humanité, notre autonomie de conscience : bref, vous l’avez reconnu, cet ennemi du genre humain – le libéral capitalisme. Voyons-le à l’œuvre…

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Aux États-Unis, la recherche militaire s’intéresse de très près à un certain oiseau migrateur, le bruant à gorge blanche. Sa particularité : pouvoir voler plusieurs jours d’affilée sans dormir. Les scientifiques qui l’étudient rêvent de façonner, demain, des soldats insomniaques, mais aussi, après-demain, des travailleurs et des consommateurs sans sommeil. Il leur manque un grain ou bien plus ?

24-sur-24-heures-sur-24-et-7-jours-sur-7-:-le-capitalisme-ennemi-à-l'assaut-du-sommeil

« Open 24/7 : Le Capitalisme à l'assaut du sommeil » – 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 – tel est le mot d’ordre du trop d’agressivivité du capitalisme contemporain. C’est l’idéal d’une vie sans pause, active à toute heure du jour et de la nuit, dans une sorte d’état d’insomnie globale. Cet essai expose ce processus de grignotage si mesquin du temps : où l’on apprend qu’un adulte étasunien dort aujourd’hui 6 heures et demie par nuit en moyenne, contre 8 heures pour la génération précédente, et 10 heures au début du XXe siècle [[ ils ont donc…arrêté le progrès. Et sont bien entrés en pleine…régression !]]. Si personne ne peut réellement travailler, consommer, jouer, bloguer ou chater en continu 24 heures sur 24, aucun moment de la vie n’est plus désormais exempt de tels harcèlements indécents. Cet état continuel de frénésie monomaniaque connectée érode la trame de la vie quotidienne et, avec elle, les conditions de l’action politique. 24/7, dans cet essai brillant et accessible, Jonathan Crary combine références philosophiques, analyses de films ou d’œuvres d’art, pour faire un éloge paradoxal du sommeil [[rappelons que le sommeil, lui, sait et avec quelle élégance afficher un sommeil paradoxal]] et du rêve, subversifs dans leurs capacités d’arrachement à un présent englué dans des routines accélérées. Et, pire, qui ne savent pas du tout où elles vont, ces graves cinglées. »…Ainsi l’ennui ne nous crée pas des ennuis ? Non, surtout pas, nous avons seulement affaire à de la nocive propagande – celle qui ne nous a jamais voulu du bien et ne le veut toujours pas…Et qui avoue que ce système a déjà perdu, sinon il ne serait pas aussi intrusif, sournois et violent s’il avait la tranquillité de ceux qui ont paisiblement raison. Pas lui !

« Est-il possible d’échafauder une histoire de l’ennui ? Ou plus exactement, comment se donner les moyens de faire de ce sourd sentiment d’insatisfaction [[ c’est un peu vite dit !]] probablement vieux comme le monde et rétif aux définitions trop bien taillées, un objet d’histoire ? » (p. 8 - L’Ennui. Histoire d’un état d’âme : XIXe-XXe siècles). Un colloque a réuni à la fin de l’année 2007 [[déjà !]] historiens, sociologues, littéraires et philosophes pour chercher à répondre à cette question dont le livre reprend la substance à travers vingt-et-une contributions. Décliné de la fin du XVIIIe siècle à nos jours, ce phénomène de l’ennui est examiné et analysé sous bien des facettes, dans sa manière de le dire, dans les savoirs, médicaux en particulier, qui le prennent en charge, dans les lieux et les temps qui l’expriment et le racontent. L’ouvrage regroupe ainsi les textes en trois grandes parties : « De la philosophie à la médecine », « De nouvelles manières de dire » et « Les cadres modernes de l’expérience ennuyeuse » [[ en omettant, toutefois, que le plus grand ennuyeur prémédité et ennuyant de par sa frénésie compulsive c’est le libéral-catpitalisme ]], donnant refuge à la grande diversité des approches. L’ennui fut en effet, aux XIXe et XXe siècles au cœur des recherches de fort nombreux écrivains, romanciers, savants ou philosophes. Pour n’en citer que quelques-uns, mentionnons « Senancour, l’artiste qui fit de l’ennui l’origine d’une esthétique originale ; Auguste Comte, le philosophe qui chercha dans l’ennui un facteur de développement humain [[carrément !]] ; Brierre de Boismont, l’aliéniste, qui, au milieu du XIXe siècle, fit de l’ennui une des formes les plus répandues de la folie [[là son avidité ba trop loin]] et donc, suivant les leçons de son maître Esquirol, une maladie de civilisation [[donc la civilisation c’est la folie…nous vous disions bien que l’ennui n’est pas une folie mais qui nous ennuie, par contre…]] ; Édouard Claparède, le pédagogue dont l’attention portée à l’ennui de l’élève s’inscrivait dans une histoire longue de la conception de l’ennui (p. 133 - ibidem) comme frein à l’apprentissage ; Émile Tardieu, le médecin qui acheva de nouer les fils reliant l’ennui à la conception moderne de la fatigue » (p. 301–302 – ibid.) [[ d’avoir trop négligé, entre autres, la sieste comme fiesta ! La fatigue est-elle, aussi, une folie ? Mais pas d’empêcher les autres de dormir ? Il y a bien 2 poids 2 mesures dans ce système le plus injuste possible qui a violé la Justice et son équitable balance ! ]].

Ce dernier consacrait en effet en 1903 une étude psychologique à l’ennui, qui lui paraissait une réalité typique d’un monde moderne né des Lumières [[ bizarre de voir un monde naître ainsi…]] et de la Révolution française, ainsi que de l’ère industrielle nouvelle [[que de parents !]]. L’ennui devient alors une pathologie mentale [[encore : c’est de l’acharnement à mentir dru !]] diagnostiquée à l’asile ou par la médecine légale. Il pose aussi problème lors des guerres coloniales ou européennes, qu’il s’appelle nostalgie, cafard, neurasthénie ou simplement fatigue, et prend plus récemment le nom de « stress post-traumatique » [[ mais Qui ou Quoi a, ainsi, traumatisé l’ennui – faut arrêter de déconner. Une pensée aussi asservie dénonce le vide et l’inconsistance de son maître, le vain capitalisme ! ]]. Sur un autre registre, les poètes et les romanciers de l’âge romantique se posent à leur tour la question du sens de ce vide, de cette vacuité de l’existence [[ de le dire ainsi prouve qu’ils ne connaissent pas le truc, qu’ils ont évité d’en faire l’expérience personnelle. Quelles têtes d’étourdis en notes !]]. Quelle signification lui donner ? Les réponses sont loin d’être monocordes [[ l’ennui serait monocorde ? Allons donc, la bêtise satisfaite d’elle-même, oui !]], certains le décrivent et en analysent les effets, d’autres produisent une œuvre à partir de ce rien. [[ donc qui n’est pas rien, vauriens au cœur si fainéant !]] Flaubert n’a-t-il pas eu l’ambition d’écrire « un livre sur rien » [[comme tout bon terrien qui se respecte ]] ? L’ennui est enfin observable à partir de lieux, de temps, de figures qui offrent à l’observateur un mélange d’épreuves et d’apprentissages de l’ennui, d’expériences ennuyeuses et de diagnostics pour le pallier ou l’éradiquer [[ comment rien pourrait engendrer autant de faits ? L’anti-civilisation capitaliste ne procède que par stigmatisations antiscientifiques dont il n’apporte jamais le début d’une preuve. Ce pourquoi c’est un grave irrationalisme, impossible à prendre au sérieux ! Il peut même virer au nihilisme antisocial : voir l’actuel néo-libéralisme qui n’est ni néo ni libéral]]. Il se déploie dans bien des espaces et des moments : ennui parlementaire, ennui dans la gendarmerie, dans les gares, dans les ateliers, ennui dominical…Il peut même participer à l’émergence de catégories sociales, ainsi la vieille fille ou la jeune femme désœuvrée des Trente Glorieuses. L’ennui n’est donc pas seulement un sentiment, un trait anthropologique, il a bien une histoire que toutes sortes de plumes ont écrite : jeunes, femmes ou hommes, sédentaires ou voyageurs, cadres, ouvriers ou artistes, savants ou philosophes. Il est un véritable kaléidoscope que ce livre propose au lecteur de découvrir au gré de ses envies... »

….…………………………………………………..Afin d’éviter l’ennui ?

 

………..…(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

même les chats adoptent la sieste

même les chats adoptent la sieste

à cheval sur la sieste

à cheval sur la sieste

la sieste se propage

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même si les marmottes le marmottent en la marmonnant

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Pourquoi la siesta c’est la fiesta ?
Baptiste Maurel

Baptiste Maurel

Pascale GOETSCHEL, Christophe GRANGER, Nathalie RICHARD et Sylvain VENAYRE (dir.).

Pascale GOETSCHEL, Christophe GRANGER, Nathalie RICHARD et Sylvain VENAYRE (dir.).

« Un monde sans ombre, illuminé 24/7, amputé de l’altérité qui constitue le moteur du changement historique, tel est l’ultime mirage de la posthistoire. » (p. 19) Faut être carrément fou pour croire à la Fin de l’Histoire. Un bon sommeil « réparateur » devrait aider ce genre d’égarés nocifs…

« Un monde sans ombre, illuminé 24/7, amputé de l’altérité qui constitue le moteur du changement historique, tel est l’ultime mirage de la posthistoire. » (p. 19) Faut être carrément fou pour croire à la Fin de l’Histoire. Un bon sommeil « réparateur » devrait aider ce genre d’égarés nocifs…

Pourquoi la siesta c’est la fiesta ?
Pourquoi la siesta c’est la fiesta ?
depuis que nous sommes nés nous n'arrêtions pas de le dire...les preuves arrivent, c'est tout !

depuis que nous sommes nés nous n'arrêtions pas de le dire...les preuves arrivent, c'est tout !

Pourquoi la siesta c’est la fiesta ?
Spleen et idéal

Spleen et idéal

non napper (to nap petit somme)

RoBERT - Les clichés de l'ennui (1993)

Krishnamurti - L'ennui (Commentaire sur la vie - Tome 2 - Chapitre 6)

Léo Ferré- La tristesse (de l’album La violence et l’ennui) - Nos sociétés, marquées par l’instabilité, l’incapacité de tenir des engagements loyaux, la perte de sens et la désespérance, souffrent en réalité de ce que la tradition monastique appelle l’acédie…sauf les braves anticonformistes !

des idées, de créer, d'organiser (ce que la pression démente du capitalisme ennemi…empêche justement !) ...Il s'agit donc d'une activité « fondamentale » pour son développement cognitif et intellectuel. Oui l’ennui porte sacrément conseil…Et nous ne pouvons ni nous passer de lui ni de la fiesta de la siesta – du capitalisme très bien.Sans lui tout ira bien mieux même !

Des choses qui arrivent à notre corps lorsque nous faisons la sieste.

Chevreuil qui fait la sieste

Publié dans Victoires**, sociéte

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