Les sachants en sachets ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Les sachants en sachets ?

Le sens de ce titre est de bien faire comprendre à quel point ceux/celles qui nous sont présentés comme ceux qui savent, actuellement, ne savent pas autant qu’il est affiché. Et, aussi, que la connaissance ne peut se diffuser en pilules ou en sachets – que c’est tout un style de vie que les médiocrates font tout pour l’empêcher. Manque de bol pour ces tristes mécréants, le langage n’est plus du tout de leur côté – ils ont trop trahi le meilleur de l’Humanité…d’où les sachants en sachets et autres sachems tranquilles. L’étincelle n’est plus à leur portée : les meilleures formules ne pourront plus que, toutes, leur échapper. Afin de ne plus leur permettre qu’ils se reposent sur leurs impostures. Les sachants en sachets ?

Oui sans omettre – les comment nous croyons savoir alors qu’un simple raisonnement défait tout le faible édifice ? Comment nous pensons avoir compris alors que la fin de l’analyse unilatérale d’une seule version aurait évité tant de voix de faits ? Comment l’apprentissage se poursuit à tout âge ? Et comment l’anticonformisme nous « confirme » tellement mieux avec tant de réalités ? En revanche, ou plutôt en simple logique :

*** 1) - Une société qui remplace tous les « pourquoi » par des « parce que » qui nous claquent les portes au nez ? « Ce questionnement m’est venu après m’être rendu compte que nous étions constamment en train de vouloir tirer les autres vers nos propres convictions. Nous avons tous connu le jour où une simple discussion anecdotique et sans réelle importance est devenue en un rien de temps un champ de bataille rhétorique. La tension monte, les arguments s’estompent petit à petit pour laisser la place à une rhétorique fallacieuse d’une mauvaise foi sans nom. La guerre des convictions est inscrite en presque chacun de nous et nous n’y pouvons rien.

La-guerre-des-convictions

D’une certaine manière, individuellement, nous pensons tous être au courant de la vérité et vivre la réalité des choses, nous sommes tous conscients que nous savons. En même temps, cela parait logique, comment pouvons-nous être conscients de quelque chose que nous ne connaissons pas [[ ce pourquoi des cyniques malheureux au pouvoir suintent cela : « comment peut-il leur manquer quelqu’un ou quelque chose qu’ils ne connaissent pas ? Que nous avons tout fait afin qu’elles/ils ne le connaissent jamais, ou avec retard, ou très déformé ?]]? Et si nos convictions se forgent sur notre conception de la « réalité », alors il est logique que chacun puisse imaginer être dans la « réalité des choses ». Or nous savons d’expérience qu’il est rationnellement impossible pour nous de tout connaître et que notre savoir est limité. Alors pourquoi cherchons-nous constamment à avoir raison ?

Une piste qui me semble intéressante est l’enfance. Vous savez, cette période d’insouciance où notre « savoir » est censé être inférieur à celui des adultes et notre curiosité vraisemblablement bien supérieure à ces derniers. Une période riche d’apprentissages pour tout humain, une période où la moindre petite chose anecdotique pour les adultes peut devenir une source de questionnement sans fin. La curiosité s’exprimant dans toute sa splendeur, mais cela ne dure qu’un temps… Pour beaucoup d’entre nous, notre soif de savoir, de questionnement, s’estompe petit à petit dans les certitudes, les idées fixes. L’aboutissement de tout ceci est la rareté des « pourquoi » et l’abondance des « parce que », nous sommes submergés de sachants et nous en faisons parti. Des religions, aux idéologies, en passant par les politiques, les économistes et autres spécialistes détenteurs du savoir, la vérité est déversée dans nos esprits remplaçant avec le temps les questionnements par des certitudes. Et nous le voyons tous les jours, la certitude [[ même fausse…]] est bien plus vendeuse que le doute ou le questionnement. »…parce que, oui par ce que que nul ne dira. Que par ce, ce ce oui, et celui-là, ceci-ça, celale, le célé du cela même !

>>>>> *** Penser, sans la sensibilité, c’est « ignorer » tant de choses…par exemple, toutes ces richesses d’ingéniosités, afin de ne pas blesser frontalement les autres…exemple avec les violences dites terroristes. La manière d’en parler est difficile : notre histoire des Tairorals qui tairrorisent pour faire taire est un moyen subtil d’ouvrir les questions…genre est-ce que de grands organismes multinationaux ne sont pas plus terroristes, vu qu’ils financent des organisations locales ? etc.

C’est qu’à l’exemple des grandes crises financières, causées par la méconnaissance de l’économie réelle par des « décideurs » (le crâne bourré de la si fausse théorie néoclassique). Ou de « régulateurs » qui ne font qu’empirer les choses pour la même raison. Et donc ? Et ces décideurs et les régulateurs provoquent, amplifient et prolongent des crises qui ruinent tant de vies – juste parce que nul-le ne dit qu’ils sont trop incompétents pour participer à des décisions aussi collectives. Et ? Tout ce qui est entrepris par les U.S.A., en Europe, depuis tant de décennies – y inclus des ingérences extrêmement abusives – ne suit qu’une obsession unique, celle que le continent européen ne s’unisse en entier, Russie y comprise (les peuples ne demandent pas mieux !). Et ne se détourne de l’OTAN si brutale avec sa prééminence trop dopée des intérêts unilatéraux étasuniens. Dont ? Afin d’imposer Israël loin d’une solution globale équitable, il s’agit de semer (sans y réfléchir) le maximum de troubles dans les pays du Coran. En finançant directement, par exemple, le terrorisme dit international. Pour venir, ensuite, très schizophrènes, se plaindre que le terrorisme existe. Et les pays européens souffrent de ce choix bien trop unilatéral. Mais les peuples n’auraient aucun droit de le dire. Le terrorisme c’est faire taire. Mais qui a les moyens financiers gigantesques d’y parvenir ? Voici ce qui sont omis comme les trésors d’ingéniosités (et tant de peines à la peine pour, parce que l’amour désintéressé des autres,  oui existe !). 

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Faisons déjà un tour complet ? Interrogeons ! Alors qu’ils furent trop dominants, tous ces dogmes semblent (nous aborderons mieux dans d’autres textes) n’avoir jamais été démontrés. Ce qui est dramatique vu que ces prétendues lois économiques furent les seules enseignées, qu’elles peuplaient la tête des conseillers économiques et que de graves décisions politiques furent prises – uniquement à partir d’elles. Ce qui nous intéresse au plus haut point, ici, devient  comment faisons-nous pour affirmer que ces sachants savent ? Le texte, ici, illustre, d’autres prouveront. Disons en une liste soliste (pour le moment) : pas de loi de l’offre et de la demande, car 2007  a prouvé la fausseté de ce que l’égalisation du coût marginal et des recettes marginales maximise le profit. Que les marchés ne sont, de ce fait, pas efficients, soit que leurs prix ne sont pas les bons. Ne tient pas la route, non plus, le présupposé que tout individu n’est qu’hédoniste, ne court qu’après son seul intérêt. Puisque « la demande de consommation » agrégée pour les groupes sociaux se montre l’inverse de celle de l’individu isolé. Les « courbes d’offre » ne rencontrent pas, de même, le rendement marginal décroissant (rappelons que des décisions politiques sont prises en se basant sur la certitude que toutes ces théories soient…vérifiées. Or elles ne le peuvent puisque les conditions de non réflexions et non vérifications exigeantes sont remplies – ce qui déduit que ces théories soient invérifiables). Encore, la certitude que le salaire n’est pas le « fruit du mérite », soit « la part précise prise à la production ». Ce qui amène, par exemple, à des décisions qui ne peuvent réduire le chômage sinon que dans les apparences. Mais, aussi, que les profits ne reflètent pas du tout la véridique contribution du capital à la production. Il y a d’évidents énormes trop perçus qui n’ont jamais été justifiés.

 

Redites-la-richesse-pour-tous-sauf-en-France-?

A quoi s’ajoute que le dogme de l’économie statique et toujours en équilibre (d’où aucune crise n’est possible – nous en avons vécu beaucoup, pourtant) qui rencontre – en politique – la société dynamique et hors équilibre. Que de rigidifier une politique statique ne peut que porter atteinte, très négativement, à l’économie réelle et ne va surtout pas l’aider. D’autant plus que le modèle ne sera pas analysé avec des outils dynamiques hors équilibre. Donc que l’usage des mathématiques par la Bourse n’est pas du tout fiable. Et que la publicité mensongère du « concentrons nous sur notre seul intérêt et laissons le marché s’occuper du bien commun » s’avère extrêmement dangereuse dans ses résultats catastrophiques  non niables. Pourquoi ? Puisque sans l’emprise exagérée de l’économie néoclassique les choses n’auraient pas tourné aussi mal. Puisque, rappelons-le, pour elle, aucune alternative n’existe (il y en a mais elles sont exclues de tous débats, jamais de fond donc). Et ? Seul ce qu’elle dit existe et peut aboutir à une …politique collective. Méthodes suicidaires auxquelles convient trop bien la formule des « sachants en sachets »

 

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« Le modèle de l’homo œconomicus » est devenu « une croyance autoréalisatrice ». Oui une très vague superstition complètement déphasée…

>>> - Le pire ? Fut que les économistes les plus respectés et les plus diffusés dans le monde n’avaient absolument pas prévu le très grave krach de 2007. Mais que de prétendus rebelles l‘avaient prévu, et des années avant. Par rapport à la réalité quel était le plus marginal des deux comportements de savoir ? Ce qui interroge, et salubrement, en devient alors de revivre le cheminement intellectuel et affectif entier de ces non-rebelles, si respectueux des règles pluriséculaires. Et qui ne correspondent pas du tout à ces « sachants en sachets », rétrécis à des formules simplistes mises en poudre. Et à diluer dans la société avant irresponsable diffusion. Le manque flagrant de respect des illégitimes dominants pour chacun-e de nous ne peut que nous amener à tout faire afin que les savoirs ne soient plus jamais entre des mains aussi peu crédibles. Oui ? Après cet aperçu des fondements mêmes de toute méthodes d’approches du réel commun – il s’agit de découvrir les praxis, oui les actions collectives le plus à la portée de chacun-e. Bon voyage !

 

>>>>> *** 2) - Nous aimons trop l’étiquet-isme : « Si je grossis le trait volontairement c’est qu’il est intellectuellement aisé de catégoriser les personnes en fonction de leurs croyances, convictions ou appartenances à divers mouvements politiques, philosophique ou autre. Il faut (de mon point de vue) absolument garder en tête que nous sommes des êtres vivants extrêmement complexes et qu’il est de ce fait, impossible de comprendre le fonctionnement cognitif d’une personne en se basant essentiellement sur ses croyances, dogmes, idéologies ou courants de pensées auxquels elle consent. Pourtant, c’est ce que nous faisons [[ toujours plus mal ?]] tous les jours. Un tel est fasciste, un autre capitaliste, un autre spiritualiste ou encore souverainiste. Les suffixes en -iste réjouissent tout le monde, car ils permettent la caricature en simplifiant à l’extrême la pensée et la sensibilité d’un individu. Bref, nous accolons une multitude d’étiquettes en leur donnant des spécificités adaptées à nos propres convictions, croyances, dogmes, idéologies, etc [[ et donc c’est tellement plus nous que nous décrivons, écrivons que les autres !]]. Je précise tout de même que les individus adorent s’en coller à eux même et qu’il est parfois surprenant d’observer à quel point nous pouvons nous définir en tant qu’individu étiqueté. Cette faculté que nous avons tous plus ou moins pourrait être engendrée par notre désir d’appartenance à un ou des groupes et se forge dans notre tendance au conformisme ou plus précisément à l’influence des masses dont nous avions parlé dans cet article. »…Résumons le quoi faire en Ayons donc l’éthique de ne plus mettre d’étiquettes. Très bien – mettre des étiquettes n’est pas très moral. Trop cynique, irrespectueux et fainéant. Pour qui aimerait à se prendre pour Louis XIV ce serait même l’humour forcené du Ayons donc l’étiquette de ne plus mettre d’étiquettes !]] » Voyons et convoyons…

Des-salaires-encore-plus-bas-qu'-avant-la-crise

Qui ment plus vite que son ombre ? Pas nous en tout cas !

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*** 3) -…. Démoyenniser la société – mettre fin à la dictature des « médiocrates » ? Le pouvons-nous enfin ?...  « La volonté générale, c’est la moyenne des volontés individuelles. Elle n’en reflète ni la diversité, ni l’intensité, et impose à chacun une préférence molle qui n’est pas la sienne. Peut-on démoyenniser la démocratie ? Dans une démocratie, c’est la volonté générale qui s’exprime. Le seul problème, c’est que la volonté générale n’existe pas. C’est une fiction, que l’on peut illustrer par un exemple flouté : l’élection de X.

Démoyenniser-la-démocratie

Pour simplifier, ne nous intéressons qu’au second tour : X a battu Y à 51,6% contre 48,4%. Parmi ceux qui ont exprimé leur opinion, 48,4% n’ont pas voté pour lui ; il est quand même leur président. Les chiffres complets (tenant compte de l’ensemble du corps électoral, pas seulement des suffrages exprimés) indiquent qu’il a mobilisé 36% du corps électoral. 2/3 des Français n’ont jamais demandé à avoir X pour président, mais tant pis pour eux : la « volonté générale » l’emporte.

La volonté générale [[ainsi instrumentalisée ]] n’est pas la volonté du peuple : le peuple aussi est une fiction. Il n’existe pas une seule entité appelée « le peuple ». Ce qui existe, c’est une multitude d’individus qui ont chacun une opinion. Beaucoup ont une opinion différente de la volonté générale, qui représente plutôt l’opinion moyenne. Dans le cadre de l’élection présidentielle, tous les Français ont X pour président parce que, parmi 70% des Français qui ont voté pour l’un des deux, une très faible majorité penchait pour lui. Dans une démocratie privatisée, chacun est censé appliquer ce que les autres pensent « en moyenne », avec la possibilité d’ajouter chacun une goutte d’eau dans l’océan du peuple. Ne peut-on pas faire mieux ?

Le terme « démoyenniser » n’existe pas officiellement, mais il pourrait se définir comme le fait d’augmenter le niveau de finesse d’une analyse, en vue de différencier les réponses apportées. Dans un sens mathématique, il s’agirait d’étudier la dispersion en plus de la moyenne. Par exemple, un opérateur téléphonique propose toute une gamme de forfaits plutôt qu’un unique contrat correspondant à la consommation moyenne. Les constructeurs automobiles proposent des modèles aussi bien pour les citadins utilisant occasionnellement leur voiture que pour les grands rouleurs. Pour que chacun puisse réellement exprimer ses préférences, il faut démoyenniser l’oligarchie. Le défi est de taille : il ne s’agit pas uniquement d’étudier la dispersion pour ensuite appliquer à tous la moyenne, mais bien de permettre l’expression de tout l’éventail des choix que les citoyens pourraient souhaiter faire. C’est possible, et incroyablement simple. L’oligarchie démoyennisée, c’est la démocratie égalitaire.

La démocratie égalitaire n’impose pas « sa » loi : elle reflète la somme (et non la moyenne) des préférences des individus, dans toute sa diversité. Le choix anti-oligarchique reste ouvert. Dans une démocratie libre [[ donc très anti-oligarchique ]], chacun peut créer et produire ce qu’il veut, acheter et consommer ce qu’il souhaite. Comparons donc la démocratie égalitaire avec le « moins mauvais » des régimes, le marché toujours faussé et jamais libre. Pour choisir la couleur de votre cravate le matin, par exemple. Ou pour choisir un sandwich.

  • Si la couleur des cravates était un choix publicitaire (donc oligarchique), nous serions tous votés pareil et porterions chaque jour une cravate dont la couleur aura préalablement été choisie par la volonté de l’offre qui ne s’occupe pas de la demande mais impose son « offre » à coups de publicités intrusives. Avec la démocratie libre, nul choix centralisé ne sera imposé.
  • Si le choix des sandwiches était oligarchique, il serait obligatoire de suivre la publicité, de voter à ses ordres et de tous manger un sandwich identique (sauf le trompeur emballage) . La démocratie assure la survie des végétariens et des allergiques, en plus de la satisfaction des estomacs. Le marché faussé supprime toutes les niches prétendues…déficitaires !

La démocratie égalitaire (donc décentralisée) est la somme des volontés individuelles, le marché faussé en est la grise moyenne, moyenne écrasée par l’oligarchie centralisée. Enfin, pas tout à fait. Dans un marché jamais libre mais oligarchique, certains ne trouvent tout simplement jamais l’option reflétant réellement leurs préférences qualitatives [[ c’est notre cas et depuis toujours, l’indigence de la palette nous la montre très étriquée, complètement anti-progrès ]]. L’oligarchie inégalitaire offre une tellement moindre diversité. Et elle ne permet pas non plus d’exprimer l’intensité des préférences, au contraire de la démocratie égalitaire. Via des mécanismes comme, par exemple, la demande enfin écoutée, les débats décentralisés, la Fête sociale permanente, N.R.V. et autres merveilles.

La démocratie égalitaire est un système plus libre, plus juste et plus efficace que l’oligarchie si bornée. Même en politique, la démocratie permet à chacun de choisir le système qui lui convient. Et c’est là qu’est tout le problème de la démocratie, la raison pour laquelle beaucoup d’hommes politiques sont ses ennemis : avec la démocratie libre, chacun choisit, et personne ne choisit à la place des autres (donc plus de publicités brutalement matraquées et de prétendue loi de l’offre qui nous impose tout !). Personne ne peut prendre pour autrui les décisions qui le concernent (ce que l’oligarchie et la honte de ses lobbies fait sans cesse). Avec la démocratie libre, chacun fait ce qu’il veut faire. Pas ce que d’autres pensent qu’il voudrait faire, ou aimeraient qu’il fasse.

La démocratie a donc naturellement beaucoup d’ennemis [[ et surtout ceux qui prétendent la défendre en la détruisant chaque jour !]] : tous ceux qui veulent confisquer aux autres leurs choix, tous ceux qui pensent avoir plus à perdre en rendant aux autres leur liberté qu’ils n’en ont à gagner à récupérer la leur. C’est le cas du marché centralisé et de la scandaleuse oligarchie qui se le monopolise. Dans la répression abusive des autres. Puisque si elle se dérégularise en tout, elle sur-régularise les autres, leur limitant tant leurs choix que, trop souvent, il n’en reste  plus qu’un. »…Ce pourquoi qui a subi l’oligarchie de rêve que de…démocratie libre. Oui en actes concrets. Pas en discours abstraits. La démocratie c’est ce qui ne peut se vivre que décentralisée ! Et tout de suite.

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Enfin, comment et pourquoi aborder la vraie politique. Comment revenir aux services publics et comment rendre l’État inaccessible à toute oligarchie ? Tant de questions, mais, tout de suite des apports inattendus qui les rendent plus légères d’autant…Soit le nous ne voulons pas régner (mais gérer en commun), donc pourquoi se diviser (se diviser c’est régner, disaient-ils) ? Nul besoin d’institutions (utiliser les coquilles vides de l’existant) mais, à la place, un mouvement nous mouvementera très très bien. Et ? Comprendre c’est résister. Et non pas créer, créer où cela, dans le vide sidéral ? Comprendre précède tout et se passe à chaque seconde du jour, dès qu’ils nous sortent leur « système » tel un irrésistible grigri (beuârkkkk). Aussi, le processus collectif d’élucidation commune ne pourra que s’accélérer très vite. En sachant approchant comme ceci :

****4) –  Les inégalités pour tous ! Oui ? C’est parce que la vraie Bureaucratie c’est, en réalité, le capitalisme. Hein ? Stop, nous prouvons : « La dernière fois que j'ai regardé les résultats de la première banque du monde (ou presque), J.P. Morgan, j'ai découvert que 75 à 80 % de leurs profits venaient des frais de gestion de compte et des agios imposés aux clients endettés. Ces banques émettent elles aussi des règles « idéales » utopiques ; et à chaque fois que nous sommes pris en défaut, elles nous ponctionnent. »…Punir en dévalisant ? Ces banques de papier, de bureaucratie incarnée prétendent que nous faisons sans cesse des erreurs afin de nous les faire payer. Au prix fort. Alors que n’avions pas commis d’erreurs selon les anciennes règles – aussi en ont-ils inventé, en douce, de soi-disant nouvelles…Etc. ritournelle. Jamais aucun régime socialiste, même soviétique, n’a atteint une telle bureaucratie…envahissante…Du moins, d’après le témoignage suivant :

>>>-- David Graeber : Le capitalisme s’enrichit surtout pas sa…gigantesque bureaucratie 

David-Graeber-la-bureaucratie-permet-au-capitalisme-de-s'enrichir-sans-fin

« Comment expliquez-vous que l’économie néolibérale, avec son discours «moins d’État, de régulations et de contraintes», produise toujours plus de bureaucratie ? : Il est évident que nous passons notre temps à remplir des formulaires. Si on calculait le nombre d’heures que l’on y consacre par jour, on serait effrayés. Il n’y a jamais rien eu de tel dans l’histoire, et certainement pas en Union soviétique ni dans les anciens États socialistes. Cela vient du fait que nous ne comprenons pas ce qu’est vraiment le capitalisme néolibéral. En fait, la caractéristique principale de ce système réside dans le fonctionnement bureaucratique ! La bureaucratie d’État et celle des entreprises fonctionnent d’ailleurs en parfaite collusion, et pour cause : elles ont de plus en plus tendance à fusionner, au point que c’est un modèle qui transcende désormais la séparation entre le secteur public et le privé [[ la pitrerie que l’état doit « devenir » comme une entreprise, un monstre d’efficacité. Mais efficacité pour quoi ? Juste pour que les marginaux au pouvoir ponctionnent le maximum de 85 % de la population.Oui, grâce à l’hyper bureaucratie privée. Tandis que les services publics ne ponctionnent rien, ils sont à buts non lucratifs. Et donc ? Le progrès efficace, la vraie  modernisation, la bonne, c’est absolument de revenir aux services publics. Cela en jette, hein ?]].

..........Le système bancaire, selon vous capte des sommes colossales simplement en imposant sa bureaucratie à ses clients…La vision que l’on a de ce secteur correspond à celle d’un casino géant, et dans un sens, c’est vrai, sauf que les jetons, ce sont vos fausses dettes ! Tout cela est rendu possible par une gigantesque ingénierie réglementaire mise conjointement en place par les gouvernements et les banques. Quand on regarde comment ces réglementations sont créées, la plupart du temps elles sont écrites par les banques elles-mêmes. Elles ont des lobbyistes qui financent les politiques, des juristes qui écrivent et formalisent ces règles, tout cela est coproduit par une seule et même bureaucratie combinant les intérêts publics et privés. Avec pour seul but de garantir un niveau de profits le plus élevé possible [[mais à sens trop unique. Puisque, à part ces marginaux, qui profite de ces profits générés par tous ? Non aucun ruissellement n’existe. Sinon, il n’y aurait pas …toujours plus de pauvres « réels » !]].

Comment se fait-il que personne ne réagisse ? Quelqu'un a réussi à faire croire à tout le monde que la bureaucratie était, uniquement, un fléau du secteur public, alors que c'est un modèle qui transcende la séparation public/privé. Au début du siècle dernier, tout le monde savait que la bureaucratie de l'administration et celle des entreprises, c'était pareil. "A chaque fois que des règles existantes créent une situation ubuesque, le système capitaliste promet une solution... en inventant de nouvelles règles !"  D’où pertes de toute logique, voire de bon sens ? « D'une part, le public est de plus en plus organisé comme un business et, d'autre part, le marché privé se réfère à des règles émises par les gouvernements [[ se planque derrière afin de toujours moins respecter la loi !]]. Mais surtout, aux États-Unis, les lois définissant les règles du marché sont toutes le résultat d'un lobbying exercé par les entreprises sur les députés. Mon banquier a donc tort de se plaindre : il est co­responsable, vrai complice, de mes problèmes de bureaucratie – [[mais, en plus, se comporte comme un sale gosse teigneux, un irresponsable mythomane, et un très lâche tricheur sans le moindre honneur (la vérité est que « ce » privé est trop subventionné par le public, un si pesant sur-assisté). Combien COÛTENT les banques et les « secteurs financiers » à chaque contribuable ?]]. »

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Nous voici donc complètement décapé-e-s…au point de bien voir en face le piège de la grave corruption libérale…celui qui nous venimeuse le…

………sachez en sachet…afin qu’il reste inaperçu de savoir en...vrai !

 

……......………(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Les sachants en sachets ?
Les sachants en sachets ?
La pauvreté diminue ? Où cela donc ? Assez des fausses nouvelles, sacrément fausses, des détraqués au pouvoir !

La pauvreté diminue ? Où cela donc ? Assez des fausses nouvelles, sacrément fausses, des détraqués au pouvoir !

Des salaires plus bas qu'avant la crise. Plus « bas » ce n’est que pour les bas salaires. Pourquoi ? Parce que les trop hauts revenus sont, eux, …bien trop hauts : surtout par rapport à « la participation réelle à la production collective » !Des salaires plus bas qu'avant la crise. Plus « bas » ce n’est que pour les bas salaires. Pourquoi ? Parce que les trop hauts revenus sont, eux, …bien trop hauts : surtout par rapport à « la participation réelle à la production collective » !

Des salaires plus bas qu'avant la crise. Plus « bas » ce n’est que pour les bas salaires. Pourquoi ? Parce que les trop hauts revenus sont, eux, …bien trop hauts : surtout par rapport à « la participation réelle à la production collective » !Des salaires plus bas qu'avant la crise. Plus « bas » ce n’est que pour les bas salaires. Pourquoi ? Parce que les trop hauts revenus sont, eux, …bien trop hauts : surtout par rapport à « la participation réelle à la production collective » !

Prospérité pour tous c'est le progrès - pas la richesse "que" pour très peu !

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Pas de liberté sans fraternité

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tandis que...

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sachants en sachets ?

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équiLibre...

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...

...

Les sachants en sachets ?
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Ayons l'étiquette de ne plus mettre d'étiquettes - seulement sur les objets pas sur le vrais humains !

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Démoyenniser la société

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Les sachants en sachets ?
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La postériorité - puis que - remplacée par la causalité  - puisque - un motif, la raison de…de quoi ?

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...Russia will collapse ? Pas vraiment...

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inégalités pour tous, Robert Reich- Ayant nié renié dénié l’égalité parce que ce serait tous pareils. Ce qui est évidemment faux puisque l’égalité permet toutes les différences et que ces différences ne sont jamais de…l’inégalité, simplement des différences. Nous chutons dans le…tous pareils, tous identiquement inégaux. La plus effroyable des désorganisations sociales.

Néolibéralisme ou l'art de plumer les étudiants…à vie.

Creative Commons : un système hybride - Forum d'Avignon

Vrai enfer du Parce que ? Un cerf abattu parce qu'il aimait trop les poneys. Ah parce que c’est une raison…

Le monde des « grands » est tellement trop petit

Comment décoller les étiquettes difficiles : une solution simple et écologique ! Sur les objets ceci parait facile sur les humains ? C’est tellement anti-écologique que d’encoller sa propre non perspicacité, son peu d’intuition, son manque d’ouverture, d’accueil sur le dos tourné des autres…

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Sait-on vraiment pourquoi nous suivons les codes de notre société.

GiedRé : Pisser Debout

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