C’est notre cerveau qui décide de notre poids

Publié le par imagiter.over-blog.com

C’est notre cerveau qui décide de notre poids

Voici comment ? Le cerveau serait l’unique maître de notre poids. Et à notre insu. Inutile alors de mettre toute notre volonté à suivre des régimes. «Pour le cerveau, il n’y a pas de surpoids, juste un poids stable à défendre», clarifie Sandra Aamodt. Que pouvons-nous faire ? A part des exercices physiques, un usage joyeux du cerveau avec la traversée volontariste des émotions et des sentiments…rien de ce que les régimes (évidemment rarement philanthropes) nous somment et assomment. Contre notre gré… Voici qui décoiffe toutes les routines.

 

Comment est-ce possible ? Comment ce fonctionnement émergent de nos corps n’a pas été perçu avant ? C’est que la pensée « en silos » (chacun-e ne voit que l’espace confiné de sa spécialité – et jamais la globalité) ajoutée au corsetage par le haut de toute réflexion a été subverti, oui subverti par des précurseurs insolent-e-s dans la démarche (pas dans le spectaculaire si puéril). D’où une apparente discrétion qui n’en est surtout pas une ! Déjà (par chance pour nous) très multidisciplinaires, ils ont pulvérisé les frontières artificielles qui empêchent de comprendre complètement. L’émergence actuelle d’une pensée unitaire en devient convaincante…ainsi – dans un  domaine apparemment « séparé » et très spécialisé - le poids du corps – nous rejoignons de nouvelles méthodes de savoirs extrêmement dynamiques sur les plantes et les arbres, sur comment se réparer la Nature agressée par les inexcusables lourdauds capitalistes libéraux, etc.…Ceci se déplie et déploie comme cela … « Une neurobiologiste étasunienne explique pourquoi les régimes ne peuvent pas aider à maigrir durablement : «Il a été maintes fois démontré que les régimes fonctionnent rarement à long terme et que leurs effets secondaires indésirables sont considérables. Quand j’ai découvert ces preuves, j’ai pris pour résolution de passer une année entière sans faire de régime, ni me peser, et d’avoir une activité physique tous les jours. Désormais, mon poids reste stable.» Ce que relate Sandra Aamodt dans son ouvrage Pourquoi les régimes font grossir.

 

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Son expérience lui a déclenché l’envie de comprendre comment le cerveau régule le poids et d’apporter la preuve de l’inutilité des régimes. Alors elle a épluché la littérature scientifique et dressé trois constats : l’homme ne décide pas de son poids, les régimes sont voués à l’échec et, pour améliorer sa santé, il faut pratiquer une activité physique chaque jour.

Première leçon, le poids idéal n’est pas celui que l’individu se fixe mais celui que le cerveau décide (et cela à notre insu), sur la base d’éléments génétiques et d’expériences de vie. «Tout comme le corps a besoin d’un certain nombre d’heures de sommeil, le cerveau a une fourchette de poids privilégiée qu’il va s’efforcer de défendre pour chacun d’entre nous», explique-t-elle. Ce système de régulation est basé dans l’hypothalamus, une zone du cerveau impliquée dans de nombreuses fonctions comportementales comme la thermorégulation, le contrôle du rythme circadien ou encore la faim. Il reçoit différents signaux relatifs aux stocks de lipides, au taux de sucre dans le sang, aux apports alimentaires et agit en réponse sur l’appétit ou encore le métabolisme, c’est-à-dire l’énergie consommée en permanence par l’organisme pour fonctionner, afin de maintenir un poids corporel stable.

Ce poids de référence s’inscrirait dans une fourchette d’environ cinq kilogrammes. Des personnes qui font de l’activité physique se situant plutôt vers le bas et les sédentaires vers le haut. Il peut augmenter au cours de la vie. Ainsi, une personne qui grossit et reste en surpoids plusieurs années verra son poids cible augmenter car le cerveau considérera le nouveau poids comme la référence. «Pour le cerveau, il n’y a pas de surpoids, juste un poids stable à défendre», clarifie Sandra Aamodt.

Malheureusement, l’inverse n’est pas vrai et tous les régimes du monde ne permettront pas d’abaisser son seuil [[c’est épuiser le cœur pour rien : la méthode étant la mauvaise. C’est écouter la tête, comprendre son fonctionnement et répondre à ses attentes, la méthode qui ne fatiguera pas le corps. Dans la vie, il faut certains maîtres, ne pas écouter que soi, ne pas rester sur son éternelle île déserte. La posture de toujours n’en faire qu’à…son corps et de désobéir tout le temps se montre la grosse connerie…Stop !]] Cela entraîne une évidence qui en déprimera plus d’un : il est très peu probable de maigrir durablement. La reprise des kilos est quasiment inévitable avec le temps. «Toutes les études le montrent sans exception», désillusionne Sandra Aamodt. Pour connaître ce fameux poids de référence, il faut, selon elle, manger uniquement en cas de faim, de vraie faim, et arrêter de manger une fois rassasié [[arrêter de manger comme si nous faisions des devoirs, avec des règles rigides à suivre…à la place, écouter ses propres besoins et les suivre…]] En six mois environ, le poids se sera stabilisé à sa valeur de référence. Et peu importe la valeur de l’indice de masse corporel (IMC) qui permet habituellement de classer les gens dans les catégories de poids [[ plutôt de les torturer avec des chiffres qui ne correspondent à rien – le racisme anti poids se montre très cruel, tellement il reste sournois : désormais, toute sa méchanceté lui est retirée à l’intérieur des arguments. Ils/elles parlent en salauds et, en plus, elles/ils ont…tort !]]. «L’IMC est calculé pour une population mais ne reflète pas le poids cible, propre à chaque individu, détaille Sandra Aamodt. De nombreuses personnes considérées en surcharge d’après leur IMC sont en fait au poids que leur commande leur cerveau. Et tenteront vainement de maigrir.»

Seconde leçon. Les régimes sont voués à l’échec. «D’après les données optimistes, 80 % des personnes qui s’efforcent de perdre du poids le reprennent dans les années qui suivent, tandis que d’autres considèrent que le taux est plus proche de 100%», démantèle-t-elle. Et encore, quand les kilos repris ne sont pas plus nombreux qu’au départ. «Quinze études à long terme incluant des personnes au régime montrent qu’elles ont plus de risque de devenir obèses que celles qui ne font pas de régime, en particulier quand le poids de départ est normal», explique Sandra Aamodt. Une étude a même eu lieu en 2012 chez 4 000 jumeaux de 16 à 25 ans pour s’affranchir de l’influence génétique et montre qu’une seule cure d’amaigrissement multiplie les risques de prise de poids par deux pour les hommes et par trois pour les femmes [[ la hideuse pression sociale, outre de se montrer trop cruelle a donc infiniment tort et ses excuses (inacceptées) seront de la fermer la dessus, désormais !]]. Ce phénomène s’expliquerait par une réaction du cerveau qui favoriserait la prise alimentaire et le stockage en prévision d’une nouvelle période de restriction mais aussi par un changement durable du métabolisme provoqué par le régime [[ Le métabolisme, ou la façon dont l’organisme transforme et stocke l’énergie, sous-tend nos vies plus que nous le soupçonnons. Ainsi, ce que nous croyions perdre, il l’aura juste…stocké en réserve afin de s’en resservir sans nous demander notre avis…]].

Troisième leçon, la nature est bien faite et même si une personne a l’impression d’être en surpoids [[ impression suggérée par qui : sans la culpabilisation extrême des humains, est-ce que les régimes pourraient autant les asservir ?]] alors qu’elle mange normalement, elle ne tirera pas de bénéfice d’un régime pour sa santé. Une étude américaine menée en 2012 auprès de plus de 11.000 personnes suivies pendant quatorze ans montre que quatre habitudes sont prédictives du risque de décès prématuré quelle que soit la corpulence : le fait de fumer, la sédentarité, l’absence de fruits et légumes et une consommation excessive d’alcool. Renoncer à au moins trois de ces mauvaises habitudes permet à des personnes obèses et en surpoids de vivre aussi longtemps que celles qui sont minces.

Une seule solution pour rester à son poids idéal : faire de l’exercice physique chaque jour et ne manger qu’à sa faim [[sans plus écouter personne que son ressenti…]]. «Au début, cela demande beaucoup d’attention et des efforts car nous vivons dans une société d’hypersollicitation alimentaire [[ les dealers ne sont pas ceux que l’on croit]] et puis on prend l’habitude et les choses se font naturellement. On finit par ne plus compter les calories et à ne plus focaliser sur l’alimentation, ce qui libère du temps et de l’énergie pour effectuer toutes ses autres activités», conclut-elle. » C’est exactement comme pour la politique, ne pas suivre les régimes insincères et qui ne reflètent pas les besoins réels (pas les besoins fantasmés !) des vraies majorités, c’est mauvais pour la…santé politique des pays. Oui.

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La logique reprend ses droits et remet la folie de la marchandisation de tout à sa bien plus petite place. Le but devient donc de (re)connaître notre poids de référence – celui que notre cerveau vise. Et de se foutre des diktats incohérents de cette société qui, décidément, ne se conduit pas bien, nous vissant à de fausses élites qui ne font que toujours plus nous nuire. S’il existe un poids de référence inscrit dans le cerveau, comment connaître son poids de référence ?

Selon Sandra Aamodt, il est important de ne pas manger selon les ordres des publicités, de désobéir à fond à leur dictature. Et leur désobéir tout le temps, pas qu’une fois. Ne manger que si la faim est là, soit se libérer de la société oppressive, qui nous encercle de ses bassesses, afin de nous soutirer toujours plus de fric. Dehors ces salopards. Et ? « Manger en pleine conscience, c'est-à-dire lentement, en savourant sans distraction chaque aliment et en s’intéressant aux sensations du corps. Les mangeurs intuitifs ont donc moins de risques d'atteindre le surpoids. Ils ne sont pas nécessairement plus minces, mais simplement au poids de leur forme [[ tout ce que les fausses élites, corrompues de cupidités, veulent dévaloriser en nous, nous est toujours le plus favorable. Oui, ressentis et intuitions servent à nous tirer de leurs sales pattes. Ayons de la gratitude envers nos intuitions. Et soyons fermes avec les corrompu-e-s : la poubelle est leur vraie adresse…]]. »

Une fois le dégoût submergeant et l’indignation si légitime contournés ? Désormais, il est devenu plus que clair qu’il n’y plus un détail de notre vraie vie où les prétendus dirigeants ne soient NOS ENNEMIS, à nous les immenses majorités. Ils ne favorisent illégalement que les minorités qui nuisent tant à nos santés et à nos bien-être. Nous ne pouvons, rationnellement, plus rien attendre d’eux…Qui cela, ils ? Ces faux élus d’élections truquées, truquées par les trop illégales intrusions d’argent et de médias vendus. Ces vils politiciens déchus ne représentent plus rien, ils ont souillé les élections jusqu’à l’os. Voyous antirépublicains qui ne respectent vraiment rien ni personne. En tout, nous avons vraiment la preuve que le progrès c’est de vivre SANS eux. Facile de parvenir à leur abolition…et tout ce qui s’ensuivra de si joyeux :

….…La Fête collective obtient toute chance d’être…très majoritaire !

 

..…...……(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

ce que nous avons en tête + ce qui nous y est mis par effraction…

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Tout comme le corps a besoin d’un certain nombre d’heures de sommeil, le cerveau a une fourchette de poids privilégiée qu’il va s’efforcer de défendre pour chacun d’entre nous. IHOR PUKHNATYY/puhhha/Fotolia

Tout comme le corps a besoin d’un certain nombre d’heures de sommeil, le cerveau a une fourchette de poids privilégiée qu’il va s’efforcer de défendre pour chacun d’entre nous. IHOR PUKHNATYY/puhhha/Fotolia

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Le poids idéal n’est pas celui que l’individu se fixe mais celui que le cerveau décide, sur la base d’éléments génétiques et d’expériences de vie.

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Indice de masse corporelle ? Sauf que le cerveau ne se sent pas concerné par cette mauvaise méthode de raisonnement !

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Zen de la nature

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