Ce qui a changé cet été ?

Les lignes de force ont nettement changées en quelques mois. Les pouvoirs se sont décrédibilisés tous seuls. Par leurs gesticulations d’étourdis (ils se survalorisent trop alors que les situations sociales ne le permettent surtout pas), ils se retrouvent sur la corde raide de leurs résultats. Annoncés à l’avance, par nos analyses et celles d’autres comme désastreux. D’où les grands écarts entre discours dans les nuages et les fiascos retentissants au ras des pâquerettes :

Il y aurait une « reprise » parait-il (pas à nos bas et chaussettes aussi trouées, en tout cas – pas de reprises qui nous reprennent !)… La reprise selon #Macron Inflation +2% carburant +12% PV auto=> +130% contrôle technique +23% cartes grises +15% mutuelles +6% forfait hospitalier +15% Frais bancaires +13% timbres postaux +10% tabac +10% gaz +7% Électricité +17% Fioul domestique +35% alimentation+ Impôts/prélèvements+ Dette+ Etc….à part tout augmenter aveuglément et en braillant l’inverse que savent faire les libéraux égarés ? La réponse devient que c’est à nous de résoudre « leurs » problèmes puisqu’ils/elles ne savent que les déverser sur les épaules des autres. Pas doués du tout en somme…

Moi-révolutionnaire-anti-système-en-ligne-et-spécialiste-de-l'économie-du-bonheur

« En bref, si on ne peut interdire la Bourse [[ source des problèmes et jamais une solution ]] et les produits boursiers, si on ne peut pas reprendre le pouvoir politique, il reste à créer des modèles alternatifs, légers, limite illégaux (mais toute révolution est illégale) par la mise en commun [[ comme Commune !]] des compétences, l’entraide, le troc, le partage, la récupération, une nouvelle culture et le recrutement auprès des malheureux primates mal tombés de l’arbre nourricier pourri. Ce n’est pas grave alors d’oublier la bureaucratie envahissante du privé qui sait au coin du bois nous soulager d’une part de nos efforts ***, soit à cause d’un excès de vitesse, soit pour un signe extérieur de richesse réservé à une élite dont je crois votre serviteur et vous-mêmes lecteurs exclus. »

       *** >>> - Question : pourquoi alors qu’il y a merveilleuse privatisation de la SNCF nous payons encore plus que lors du très bon service public ? Réponse parce que la privatisation c’est enrichir directement les financiers…comme ceci :

Comment-la-dette-de-la-sncf-enrichit-les-énormément-les-marchés-financiers-au-détriment-lourd-des-cheminots-et-des-usagers

« Ces dix dernières années, cette charge de la dette – 10,3 milliards d’euros seulement pour les intérêts – pèse plus lourd que l’entretien et le développement du réseau – 7,2 milliards d’euros ! « Quand la SNCF emprunte 100 euros pour le réseau, il ne peut en utiliser que 41. Les 59 restant sont ponctionnés par l’antisystème financier », détaille Arnaud Eymery, le directeur du cabinet Degest. Soit les banques, assurances et fonds d’investissement qui prêtent à la SNCF [[ dit autrement, afin d’investir 100 euros sur la modernisation des voies, la SNCF doit emprunter 243 euros ! Le surcoût est considérable. La bureaucratie envahissante du privé est un parasite vampirique très encombrant. Oui ?  « La charge de la dette avale les trois quarts de la performance économique de l’outil industriel, assène Jean-René Delépine, de Sud-rail. On travaille juste pour financer les banques. C’est une honte. »]]… il n’aura fallu qu’un été pour en prendre pleine conscience : le libéralisme c’est l’anti-progrès, c’est lui qu’il faut « réformer » en l’abolissant complètement. Il ne comprendra jamais rien à l’économie réelle ! *** <<<<<<< ----

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Certains agissent déjà, d’autres n’en sont qu’à la révolution frileuse des esprits, ce qui va cependant les aider dans le chaos qui vient, inexorablement. Des forums se montent, des yourtes fleurissent aux abords de villages mourants où se réalisent de plus en plus souvent des échanges intergénérationnels précurseurs de la société de demain. Il y a même des gens, toujours un peu financiers, plutôt très malins, qui crient au loup pour inciter les épargnants à débancariser, en convertissant leur épargne en biens concrets, comme en valeurs refuges physiques. Mais malgré ce qu’ils racontent, l’or ne se mangeait pas il y a trente siècles et c’est encore vrai aujourd’hui. Même, je pense qu’un gars qui partagera un peu de pain sauvera sa peau tandis que celui qui montrera qu’il a de l’or se la fera trouer. Pour conclure, je ne saurais que trop vous conseiller de vous tenir prêts, avec des réserves de nourriture, de vrais médicaments, de vraies fringues robustes, des outils de jardinage, tout ce qui peut vous rassurer, sauf de l’argent évidemment…

Le plus important, c’est d’être mentalement prêt à tout perdre, tout en restant soi-même. C’est de savoir apprécier comme un soulagement la liberté brutale de l’instant d’après la chute. Au pire, tous les hommes doivent tôt ou tard mourir. Mais vous admettrez que c’est vraiment trop con de ne se sentir libre que dans son dernier souffle, même si ça l’est encore plus de mourir avec un sentiment de frustration, un dernier relent d’esclavage en travers du gosier ou dans un rot de bulles de champagne, au volant d’une Ferrari, la chique coupée dans le dernier réflexe de la machouilleuse écrasée par le moteur s’invitant dans l’habitacle à la faveur d’un farouche baiser avec un platane.

Prisonniers-par-excuses

À noter cependant qu’il n’y a pas que les statistiques et la publicité constructeur qui soutiennent qu’avec ou sans fellation simultanée, une virée en Ferrari est moins risquée qu’une simple descente à skis pourtant exempte de platanes et qu’on est mieux installé quand on est sur le siège de la ferrari. Des amoureux de la glisse ont cependant leur petite idée sur la question. En tout cas, en ce qui me concerne, j’éviterai toujours le champagne et les skis. Enfin, j’espère sincèrement ne pas y passer avant le petit matin du lendemain du jour d’après, même si ce trépas est la conséquence d’une perte de raison suite à de trop gros dons paypal successifs et consécutifs à cet essai. Un peu optimiste peut-être ? Mais, depuis que des multimilliardaires, certainement avides d’une notoriété immédiate et d’une postérité à bon compte, ont créé un club de philanthropes, s’engageant à donner la moitié de leur fortune… à l’occasion de leur décès, tous les espoirs sont permis non ? »

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Le fait crucial de cet été ? C’est le rapprochement accéléré des consciences par rapport à deux ex-BLOCAGES collectifs…et que nous avons amplement contribué à ce que coulissent les coulisses. Et ce sont l’IMMOBILISME considéré comme réalisme et le refus de s’organiser comme meilleure action (sic). Ces 2 dramatiques aliénations sont en train de disparaitre : ** 1) – l’inertie globale où très peu d’humains se préoccupent des priorités vitales, ni ne se montrent vraiment sérieux en quoi que ce soit, en gobant (naïvement) que le nombre fera masse contre la…réalité, que les solutions surgiront par magie, etc. Soit le fond des immobilismes qui tuent à bout portant le futur. Face à cet inéluctable, commence de se lever très fort le soleil de la compréhension que la société actuelle c’est la faute de chacun.e (et moins pour qui fournissent des efforts de conscientisation !) puisque des milliards de ces « je ne peux pas faire grand-chose » totalisés deviennent la plus gigantesque transformation inimaginable. Dans ces conditions, ne pas faire est une insulte à tout le monde. Si chacun.e fait cela ne coûte que très très peu à chacun.e. Il n’y a pas besoin d’aller à…l’école pour refuser net toutes les corruptions aux inerties, toutes les arnaques des costards-cravates qui avouent que c’est le haut de la société qui est, concrètement, devenu l’ennemi des vraies grandes majorités ! Nous !

*** 2) – L’envers de ce cheminement mental à effectuer par chacun.e d’entre nous ? Que la réponse à tout s’obtient par la question maîtresse de comment s’organiser ? Déjà faut semer, semer et semer sans se décourager (comme ce blog) et vous voyez poindre des retours, des greffes de vos boutures premières, des utilisations de vos graines…Ici, la fédération unitaire – soit la décentralisation contre le centralisme fou du privé. Coincé dans sa prise d’otages de l’état service public et réPublique. Puisque ? Sans plus d’otages, chaque commune fait sa Commune, puis fédérations avec les Régions usant du statut dit « commune libre ». Et les blocs culturels redevenus hyper créatifs permettent les jonctions partout…soit la solution au problème central : les privatisateurs font tout afin de désorganiser la société, de la rend insoluble. Et ? Ne pas le comprendre c’est aider à encore plus de désorganisation. Un exemple concret va nous servir à tout éclaircir…

« Mais pour quoi faire lorsqu’on appelle à un BOYCOTT TOTAL  et à ignorer les bureaucraties du privé et leurs institutions obsolètes et coercitives par nature ?

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Il n’y a pas de solutions au sein de ce système du tout privatisation, il n’y en a jamais eu et il n’y en aura jamais aussi plutôt que d’attendre pour voir, n’attendons rien ! La majorité n’étant pas à convaincre, la solution à 10 voire 15% de la population mondiale existe aussi organisons la résistance dans le réel et surtout pas sur FB – Gogole ou You(nous en)Tube !

UNION + RÉFLEXION + ORGANISATION = ACTIONS COLLECTIVES HORS INSTITUTIONS

Vaincre-l'inertie-de-départ-grâce-au-manifeste-pour-la-société-des-sociétés-de-résistance

Ignorons le Système du privé qui prend tout – Ignorons l’État et ses institutions « prises en orages » par ce privé illégal – Créons les bases solidaires de la Société des sociétés organique – Réfléchissons et agissons en une praxis commune – Adaptons le sublime de l’ANCIEN au NEUF, cad à la réalité du monde d’aujourd’hui – Changeons de paradigme…Prise de conscience individuelle(1) – prise de conscience collective (2) – boycott et organisation parallèle (3) – désobéissance civile (4) – réorganisation politico-sociale (5) – changement de paradigme

Pour l’essentiel, nous (les peuples), sommes coincés entre les phases 1 et 2 ou 2 et 3. Pourquoi ? Parce que le formatage propagandiste a la vie dure et le matraquage idéologique [[ incroyablement aidé et amplifié par les conformistes si ennemi.e.s d’eux-mêmes et de leurs entourages ]] continue, cela change, mais lentement.

Le plus dur est toujours de vaincre l’inertie de départ : Prenons un grand portail d’usine coulissant en fer/acier. Il est lourd et il faut s’arcbouter pour le mettre en branle initialement, une fois en mouvement, si on atteint une certaine vitesse, on peut pousser le portail qui coulisse avec deux doigts et maintenir la vitesse d’ouverture relativement constante. Dans notre schéma, les phases 1 et 2 sont la poussée initiale, c’est dur… en phase 3 et 4 c’est bien plus facile car le momemtum est créé, les dernières phases se font avec deux doigts…

Le but de l’oligarchie est de maintenir la masse en phase 1 et 2 de façon à ne jamais atteindre le momentum nécessaire pour l’ouverture du portail en grand [[ sauf pour les si salubres anticonformistes qui le vivent déjà si concrètement, précurseurs si heureux « dans » la pauvreté, mais qui refusent de forcer quiconque à les suivre…]]

De l’autre côté du portail (5), c’est l’émancipation [[ déjà vécue !]] !… Finale et définitive. Et pour autant, TOUT n’est pas à réinventer, à réécrire, juste changer radicalement notre mode de pensée car nous avons bien compris, comme le disait Einstein que : « vous ne pouvez pas résoudre un problème en gardant le même processus mental » et plutôt que de combattre Macron, son gouvernement-carpette-serpillère, l’État et ses institutions illégalement privatisées : IGNORONS-LES !

Manifeste-pour-la-société-des-sociétés-

Créons une société parallèle, celle des associations libres fédérées, boycottons le système et institutions de manière exponentielle au nombre d’humains rejoignant les associations libres… À un moment donné, la désobéissance civile, donc la confrontation avec le privé déguisé en État sera inévitable, mais si les gens, nous, la vaste majorité, faisons tourner la société déjà localement en ignorant les marchés déguisés en états et le système politico-médiatique qui nous sont imposés, l’obsolescence de ces entités ne fera que croitre et elles tomberont quasiment d’elles-mêmes ou avec un petit coup d’épaule « non-violent ».

C’est avant tout une question d’état d’esprit individuel d’abord, puis collectif ensuite, se confédérant par la solidarité car il faut cesser de nous laisser dicter nos « différences » par l’oligarchie qui perd totalement les pédales et surtout il faut cesser de la laisser organiser notre division. La première des priorités est de comprendre que collectivement, il y a bien plus de choses qui nous rassemblent que de choses qui nous divisent. La division est induite, fabriquée et donc certainement pas inéluctable, et comme nous avons pu le lire car il y a de grandes leçons à tirer du passé et des enseignements à tirer de nos sociétés ancestrales européennes et d’ailleurs. Et il sera question de supprimer le pouvoir, car c’est notre affaire à tous, comme d’abolir la propriété privée sachant qu’il y a une différence entre « possession » et « propriété privée » et que l’Humanité a vécu des millénaire sans propriété privée, toutes les sociétés traditionnelles au travers des continents ont toujours fonctionné sur le mode de propriété collective communale. »

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Ne jamais se mentir à soi-même. Jamais. Ceci est la clé essentielle de la paix intérieure. Que nous le voulions ou non. Ce système indigne de toutes les corruptions et bassesses tente de nous …rabaisser en tout (eh oui ! ses faux dirigeants se situent tout en bas en fait. Là où sont toutes les corruptions, les immoralismes destructeurs et les mensonges si insultants !). Ses réussites c’est lorsque nous abandonnons nos comportements en or pur d’anticonformismes…moraux. Par exemple, par rapport aux pouvoirs toujours plus minoritraitres (que nous savons donc tous illégaux – pas « le droit » de diriger contre les immenses majorités !) et illégitimes (pour cela, ils devraient se retrouver en prison, comme nuisant, en tant qu’antisociaux évidents, à la société !) – oui, bien ressentir ce qui pourrait encore nous lier à eux. Afin de se délier à 100 %. Ne pas mentir à une méthode : chiffrer en ordre de grandeurs ce que nous pouvons encore quitter. Les ruptures dans le concret. Ce qui nous avons – déjà – quittés nous l’estimons à 80 % hors des rackets de leurs avidités si disqualifiantes (pour eux). Pour l’intellectuel et l’affectif c’est à 100 % que le divorce avec les faux dirigeants est accompli !

Bon, ce 80 % d’autonomie de conscience et d’indépendance des comportements – nous voulons encore l’augmenter. Dépenses : zéro pour la culture, zéro pour la technologie, zéro pour les services tertiaires, zéro pour les réponses aux grotesques publicités Du certain. Pour le reste, nous vivons en villes (mais rêvons de vivre en « pleine et entière » nature) – nous ne pouvons en bloc accéder à la complète autonomie alimentaire et énergétique…transports nous nous déBrouillons, soit plus brouillé.e.s avec toutes les inventivités. Usant d’échanges gratuits, de services contre biens, recherchant les producteurs directs, etc. - nous voyons bien le chiffre de 20 % diminuer parfois jusqu’à 5 %. Oui seulement 5 % de dépenses faites dans la trop arriérée société de consommation (qui devrait être en prison pour hyper gaspillages destructeurs – et ce SANS répondre aux besoins essentiels des populations). Donc sans TRICHER : en rien nous ne participons à la société de consommation, nous n’en faisons pas partie du tout et nous…l’accusons de tous ses abus, harcèlements, intrusions, désirs de tromper et de spolier, ostracismes et inhumanités, etc. qu’elle commet. Oui nous l’accusons et s’il y a bien une entité antisociale qui n’a bien aucune leçon à donner à personne, c’est elle. L’échec le plus massif qui soit ! Elle n’a plus jamais que 5 %, où est donc passé le reste ?

la-Commune-des-communes !

Alors, en cas d’effondrement, nous pourrions nous « raccrocher » à de nombreux liens que notre conscientisation a repérés. Comme de couper toutes les astreintes unilatérales (ce système toujours mendiant a besoin de nous tous et nous pas de lui…preuves en actions exogènes…). Tant en aliment chauffage eau. Resterait l’électricité. Ce qui nous maintient un peu en dessous de 5 % et nous place dans le but sincère de parvenir à 0 %. Tout pour le local ; ce local est localisé (sans le local d’ailleurs pourrions-nous nous localiser ? Nous serions donc désorientés – hors du sens global ! Sans le local trop dévalorisé par…l’image…). Tout centralisme sans but DÉSINTÉRESSÉ comme les services publics à buts non lucratifs aura mis en prison tous les illégaux privatiseurs, fraudeurs fiscaux, enfers fiscaux rebaptisés, passe-droits et n’ayant-plus-droits…etc.  - Plus confiance depuis longtemps dans les médias mercenaires qui « faussent » toutes les informations : soit en en…oubliant 80 % au moins, soit en ne les analysant jamais, soit en ne rapprochant (afin de faire sens donc d’aboutir à des…solutions durables) toutes ces informations entre elles….et en ne formulant jamais de jamais une synthèse (ce qui explique tant les solutions, en accélère tous leurs commencements !)…Ce qui se nomme faire semblant d’informer pour désinformer illégalement (soit perdre à la seconde le droit social de confiance de maintenir l’objectivité (loin de tous les pouvoirs, lobbies et recettes publicitaires…trop ennemis de la vraie Information !) de l’information-service-public. Au sujet des fake : il faut avoir sacrément de moyens matériels pour en user et abuser. Donc ? Les médias parasites nous la font ainsi : faire semblant de dénoncer des groupes et humains qui n’ont …pas les moyens concrets de diffuser des fake. Et se monopoliser le non-droit de ne pas être accusés de fake. Alors que ce sont eux les fake et à 99 %. Eux les inventeurs de complots-petits-hommes-verts : les déshonneurs de l’Europe par rapport à la Russie sont immenses. Et permet même de douter de la santé mentale des faux dirigeants européens (ils voient des complots partout…ils ne sont plus que dans ces fictions, non mais faut stopper cette épidémie insalubre !)…etc.

Chanson-jazz :-la-confiance

Voici le bilan inversé (comme l’école inversée, en somme), le bilan inversé ‘enfin qui est à l’endroit de notre côté !) : pour nous ils ont déjà tout perdu…mais il y a le temps décalé de la prise de conscience…plus les échelonnements des premiers à prendre conscience, puis les suivantes et à suivre. La sagesse traditionnelle  clarifiait qu’à partir du moment où les coeurs et les esprits ne sont plus convaincus le pouvoir ne fait que perdre du terrain. Jusqu’à se trouver sur la longiligne colonne sans force de l’anachorète, où il reste seul à se berner. Se berner en berne. En cet été, les pouvoirs sont devenus faux et les apparences les font apparaitre absolument ringards, réacs, poussiéreux fanés, trouducs, conservateurs de néant…une mince feuille de floutage et derrière…rien. Pas de dedans pas de de pas de dans. La débandade qui ne bande plus générale…et qui ne sait pas qu’il se trouve devant une porte. Et sa plaque : comment devenir un bon perdant ?

Clair que les médiocrates ne sauront jamais :

……………………………………. pas de dedans pas de de pas de dans !

….………(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que la vaste fierté humaine nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

 Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

Nous sommes la santé de la société

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu