Respondances ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Respondances ?

Cela n’existe pas. Et co-respondances alors ? Soit répondre et en écho, ce qui concrétise ce qui s’inter-répond. Et qui, subtilité supplémentaire, correspond, concorde, coïncide vraiment avec notre idée. Nous retrouvons respondance dans de nombreux courriers historiques lorsque répondre s’articulait respondre, et en anglais tel quel, etc…Cependant, ce rappel (puisque ce mot euphonique et précis n’est pas vraiment utilisé couramment), pour nous, représente les absences de résonances (la majorité des humains ne parlent-ils plus qu’à des murs ?), les absences de répercussions : nous nous trouvons dans une époque où il devient vital d’inventer de nouveaux mots mais ceux du cœur de la vie quotidienne. Pas ceux de la technocratie (il y a bien trop de manques à vivre !). Alors respondances répond au mieux à ceci. Telle, d’ailleurs, co-Incidence, ces incidences que nous ne sommes pas encore aptes à comprendre. Et qui rendent les coïncidences tellement plus merveilleuses qu’aux mains du seul hasard si hasardeux…Là, imaginer et ressentir ces milliers d’incidences qui se rencontrent et se tissent au point d’ébullition de coIncidences c’est fantastique à vivre. D’ailleurs, à notre avis, tout ce qui est co- comme co-créatifs, co-évolutifs, co-responsables, co-lectifs, co-efficients, ou co-giter dans la houle, etc. nous semble extrêmement fécond. Co-responsables a de la respondance ! Chacun.e responsable de ce qu’il réponde ou non. Répondre, réagir, symétriser, prolonger, relayer, amplifier, faire écho, faire chambre d’écho deviennent des actes de résistances, en se montrant responsables des autres. Responsable qui RÉPOND des autres …

 

Je réponds aux besoins des autres, à leur manque, à leur lacune, à leur inertie. Parce qu’ils/elles ne défendent pas leurs propres nécessités urgentes. Je m’engage pour eux. J’offre la garantie de mon poids social, de ma réputation, de ma crédibilité…je réponds d’eux, pour eux, comme s’ils étaient moi, les défends entièrement…Voici qui nous met face à tant de nouveaux sentiments, pas encore formulés, n’ayant pas encore trouvé leurs mots, sentiments inconnus qui répondent à des tourbillons de forces intérieures qui veulent nous mettre de nouveau sur…orbite. C’est qu’il faut décoller le maximum d’humains de ces médias d’argent qui nous conduisent droit dans le mur. Qui sont déjà des catastrophes par eux-mêmes…Ils ne savent plus du tout ce qu’ils disent et bafouillent des idéologies qui n’ont plus du tout de contacts avec la réalité. Il faut que le sociable paraisse un feu ardent face à la glaciation monologuée de ces médias qui en ont rien à foutre de nous…et ça se voit trop. Résultats ? C’est vers nous, et certain.e.s d’entre nous, à chaque fois renouvelé.e.s (ou servant de phares comme de points de repères pour d’autres) – mais en tout cas ne voulant rien nous contraindre sinon de nous apercevoir qu’il y a bien un flot commun, que nous commençons à converger vers les mêmes points d’exigences, que nous devons placer, replacer, déplacer nos anciennes projections mentales, puisque ces médias égarés désinforment seulement et ne ®enseignent plus…il y a donc plus d’informations vitales chez les vrais écrivains que chez ces journalistes à la botte (ce pourquoi nous adorons ces journalistes d’investigations qui, depuis les années 2 000, ont tous été virés. Et qui ont dû trouver d’autres moyens de transmettre ! Voir « La liste noire », ce document tout à fait étonnant…).

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Une-arche-de-Noé-pour-les-microbes-:-des-biologistes-lancent-un-appel

« L’industrialisation ayant un impact sur le microbiome de l’homme et sa santé, des chercheurs estiment qu’il faut créer une sorte de réservoir pour préserver les microbes indispensables au bon fonctionnement de l’organisme humain. Ce qui se retrouve dans la récente publication du magazine Science. Le microbiome de l’homme contient un nombre immense de bactéries, de micro-champignons, d’archées et de virus remplissant des fonctions extrêmement importantes. Leur présence en quantité suffisante a un effet positif sur la santé de l’homme, tandis que leur déficit lui fait courir des risques. [[ c’est que le bestial mode de vie imposé par les sommets assommés et les médias fous qui dévitalise, diminue les immunités naturelles, bref nous appauvrit tous gravement sur ce qu’il y a de plus précieux, nos vies en bonnes santés. Et que les pires crétins de trop riches croient si naïvement qu’il serait possible de se faire une «bulle» de conte de fées qui permettrait d’éviter toutes ces mortifères pollutions. Or, l’invention primordiale de Pasteur aura été de comprendre que c’est « le terrain qui importe le plus ». Donc on ne guérit pas symptômes superficiels, mais nous allons chercher à rendre sain et fort le terrain qui est en-dessous…La part organique de la société est identique. Et ? Les faux dirigeants ne sont plus dans le courant essentiel de la vie, nul-le ne peut diriger salubrement les autres en étant toujours complètement séparé.e d’eux…Conclusion ? Même pour ces hébétés trop riches il faut abolir ce système qui n’apporte plus que la mort annoncée. Et pour cela réactiver les…ressorts psychologiques profonds qui, seuls, auront la stature et la force de soulever la vieillerie de ces fardeaux inutiles. Ce que font très bien, et avec ces nuances bienvenues, les vrais écrivains et penseurs qui ont toujours appartenu aux…forces vives des pays ! ]].

L’industrialisation irréfléchie conduit à la baisse de la diversité du microbiome de l’homme, considèrent des chercheurs. Il est notamment affecté par la consommation de produits raffinés, la prise d’antibiotiques et le renoncement à l’allaitement des nourrissons. Ainsi, déduisent-ils, pour préserver la santé humaine il faudrait créer une «Arche de Noé» où seraient conservés des microorganismes prélevés chez des habitants des pays en voie de développement. [[ eh oui, plus proches du « terrain » de la vraie santé, sans fards et sans marketings à la con…]], Etc. »…ce que fait identiquement ce blog dans la véridique culture et la civilisation que nous tentons de préserver contre la barbarie sans issue du « haut » de la société et sa prétention grotesque à se dire une élite…alors qu’ils ne se conduisent que comme une anti-élite, des voyous antisociaux en costards-cravates. Jamais une véridique élite n’accepte les cupidités et les corruptions : en aucun cas l’argent, cette barbarie qui ne saura jamais rien, ne peut conduire l’humanité ! 

The.necromongers.blog      Vous ouvrez une source d’origine – vous avez les retours…enchantés :

« Arc en miel

onde de froc

Stylo-vrille

Belles et but

Prospère périnée……………………….. ©Necromongers »…Vérifions les dates…imagiter nous laisse un sillage extrêmement fécond…et qui ne cesse de sample s'amplifier !

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L’effet non-local de l’intention sur autrui : D’autres études ont cherché à évaluer l’effet non local de l’intention de l’émetteur sur l’activité physiologique d’une personne (le récepteur) située à distance : ce devis expérimental est appelé «protocole émetteur-récepteur». Dans ces études, le récepteur, à qui on demande de demeurer calme et détendu, ignore la durée des périodes pendant lesquelles l’émetteur «envoie» une intention, et quand ces périodes ont lieu. Charles Tart, un chercheur en psychologie de l’université de Californie à Davis, est l’un des pionniers de ce genre d’études. Au début des années 1960, Tart utilisa un tel protocole et agit en tant qu’émetteur afin de vérifier si des récepteurs situés à distance pouvaient aussi réagir aux chocs électriques aléatoires qu’il recevait. La conductance cutanée [[qui se montre en respondance avec la conscience dirigée de l’émetteur…]], la fréquence cardiaque et le volume sanguin des récepteurs furent mesurés. Ces mesures physiologiques révélèrent que les récepteurs réagissaient significativement aux chocs reçus par Tart. Cependant, ces récepteurs n’étaient pas du tout conscients de ces événements. Suite à l’étude de Charles Tart, Jean Barry (en France), l’ingénieur Douglas Dean (au Newark College of Engineering dans le New Jersey) et le psychologue Erlendur Haraldsson (en Islande) enregistrèrent séparément des changements significatifs dans le volume sanguin mesuré au niveau du doigt de récepteurs au moment où les émetteurs, situés dans certains cas à des milliers de kilomètres, dirigeaient mentalement leurs états émotionnels vers eux. »…Ce que vivent tous les peuples dits naturels, cette non-séparabilité, ce flux ininterrompu des émotions «partagées», de la présence ressentie, des souvenirs devenant énergies. Nous l’avons largement rappelé ici : sauf que la corruption physiologique d’un monde de mort qui se prétend mode de vie aura altéré ces dons spontanés, en interrompant le fil conscient, en souillant le «terrain», etc. Nous-mêmes pouvons rassembler des témoignages d’anti-conformistes vivant parmi nous et ayant su protéger les sources vives et instinctuelles de nos existences. Le motif de ce rappel est que nous sommes devant le mur d’incommunicabilité des graves arriérés qui prétendent nous diriger alors qu’ils ont perdu tous les SAVOIRS ESSENTIELS. Que nous ne pouvons accepter de nous laisser égarer ainsi mais, à cause de cela, devons proposer le meilleur accessible de l’humanité. Le message est clair : chacun.e d’entre nous, aveuglés par la barbarie de cette anti-civilisation, a piétiné dangereusement les meilleur.e.s d’entre nous (soit les plus sensibles et les plus conscient.e.s.). Nous devons réparer et vite…diffuser ce qui reste d’essentiel en eux. Et créer des espaces de RESPECTS ABSOLUS où ces êtres blessés pourront, de nouveau, déployer toute leur beauté intérieure. C’est ainsi. Toujours commencer par le terrain, avant de s’occuper des symptômes. Soit retrouver ce qu’était la biodiversité chez les beautiful people avant de trouver comment vivre pour la réensemecer concrètement…

Que-se-passerait-il-si-la-matière-ordinaire-qui-nous-compose-était-convertie-en-matière-noire/      manière de questionner qui, ayant sa sortie dans le futur, ne peut que nous ramener à la santé mentale…collective !

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Un-jeu-pour-décrypter-les-mécanismes-de-la-communication-humaine

« Le Color Game pourrait être un jeu de plus sur les plates-formes de téléchargement, mais c’est en réalité l’aboutissement d’un projet scientifique. C’est en effet la première application sur smartphone destinée à générer des données permettant d’étudier l’émergence et l’évolution d’un langage en temps réel. La façon dont nous catégorisons les couleurs est-elle relative à notre culture ? Y a-t-il des critères rendant la transmission de certaines associations plus faciles et plus stables dans le temps ? Certains symboles sont-ils davantage utilisés parce que plus facilement partageables ? Répondre à ce type de questions, tel est l’enjeu du projet développé par l’équipe du Max Planck Institute. L’objectif des joueurs les amenant de fait à trouver des solutions pour établir des modes de communication efficaces et stables dans le temps, les données récoltées seront très précieuses pour répondre précisément à ces questions. À la différence de la plupart des expériences en psychologie expérimentale, qui se déroulement typiquement en laboratoire et sur une durée très limitée, le jeu fournit un environnement relativement proche de la réalité [[sauf que nous ne connaitrons pas l’origine du langage et tout son déploiement historique - mais seulement une «bulle» technocratique, soit comment communiquer par portable – C’est bien de s’interroger ainsi, mais c’est mieux de pulvériser toutes les censures censitaires, et permettre à ceux qui savent et qui ressentent de transmettre leurs apports tellement plus essentiels que les charabias non interactifs des faux médias ]]. En dépit de tout ce qui les sépare, les joueurs réussissent le plus souvent à sortir de la zone d’incertitude initiale. Leurs messages deviennent de plus en plus efficaces, leurs interprétations de plus en plus justes. Même si tous les joueurs commencent par communiquer de façon quasi arbitraire, très vite des accords se créent entre joueurs sur le sens des symboles. Les joueurs les plus avancés parviennent régulièrement à communiquer sans erreur sur neuf ou dix essais à la suite.

L’analyse des données issues du jeu n’en est qu’à son tout début, mais les données brutes obtenues jusqu’à présent apportent déjà des informations précieuses. Par exemple, sur ce qui explique les performances des meilleurs joueurs. Pour obtenir de bons scores, suffit-il d’avoir une longue expérience du jeu ? Les données récoltées jusqu’à présent suggèrent que ce qui compte davantage, c’est l’expérience partagée [[ toujours la rengaine non acceptée que pour savoir comprendre il faut avoir la patience d’écouter…tout le monde. Un écrivain véridique reste qui écoute beaucoup et tout le monde, pas qu’un seul clan fermé, et transmute l’ensemble dans une forme inédite et qui fascine par son étrange beauté…]] avec ses partenaires de jeu. Le nombre de messages partagés précédemment entre les deux joueurs d’une même paire sera beaucoup plus important pour prédire leur performance. Cet aspect du jeu illustre une caractéristique essentielle de la communication humaine : l’importance des conventions. Or ce n’est que dans l’expérience commune [[interrompue depuis que nous sommes dans la stupidité imposée du consumérisme et les pertes existentielles énormes que cette connerie aura générées !]] que peuvent s’établir ces conventions, tant entre joueurs du Color Game que dans nos interactions de tous les jours. »…Il est un lieu où tout ceci est complètement détraqué…soit la stupidité incarnée de l’argent qui croit tout savoir. Et ? L’édition mégalomaniaque a décrété qu’elle savait tout de ce «qu’il fallait écrire» et « comment »…mais certainement pas pour le but respectable de rendre la société plus sociables. Non juste pour la déchéance de faire de l’argent ahuri sur ce «commun vital» qui doit fonctionner absolument hors de cet argent fanatique et ses censures…censitaires (le cens soit l’argent comme sélection soi-disant «intelligente» a donné la cens-ure « le droit esclavagiste de l’argent décrété infaillible » – ce que cet arriéré censure «le mérite» obligatoirement – ce qui  se révèle un désastre collectif)…donc les penseurs et écrivains sont mis en cage, placés sous illégale tutelle (tous leurs bénéfices sont séquestrés par des personnages sans culture ni sensibilités) et traités en burlesques enfants attardés…l’édition sait tout et l’écrivain rien (il ne sera plus consulté)…Dans ce cadre, le vrai écrivain sera celle/celui qui n’écrit plus jamais pour l’édition et ses délires régressifs mais pour le futur, qu’ils vivent mieux que quiconque. Et dont eux seuls connaissent al formulation : c’est bien l’écrivain qui sait CE QU’IL faut écrire et Comment…Gilles Deleuze avait bien engueulé cette édition et son « logiciel technocratique » qui, grotesquement, prétendait ne plus laisser échapper les talents, en le passant à la moulinette des critères du passé. Or, justement ce fake logiciel les rate tous les véridiques talents qui…ne correspondent plus à aucun des critères du passé (et ses prétendus succès…commerciaux !), vu qu’ils les transcendent tous…et restent les inattendus, les imprévus, les inconnus de ce simplisme mécanique. Et ? Livrée à lui-même, ce monde éditorial en perdition rate tous les génies, et se croit très bon pour les rater, n’a plus une vision globale de la pensée et de l’histoire de la pensée, bref ne sert plus à rien qu’à égarer l’époque avec des apports superficiels, si crétins et frivoles…Preuves ?

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Rentrée-littéraire-factice-sans-plus-rien-d'écrit-?

Délivrez-moi de la rentrée littéraire! Une loterie forcément perdante [[ quelles fortes expressions ; c’est que cette fake édition a fait perdre toute passion, tout intérêt, toute curiosité pour ces calories vides, lorsque les cœurs pressentent que les livres commerciaux ne servent vraiment plus à rien. Ils ont tant soif et faim, ces cœurs, authenticités, de vécus vraiment incarnés et de sens exubérants et ils n’ont que de mornes phrases non partagées, jamais interactives, qui ne respectent pas qui les lit et n’ont plus que la sale gueule d’un tiroir-caisse ! Au point d’aliénation qui fait vomir où parler d’un livre c’est parler de ses…ventes ! Très essentiel pour la véridique collectivité…]].

 

Et puis, tous les autres, cohorte hagarde d’auteurs sans réseaux, chair à canon du système éditorial, manouvriers sur lequel repose un édifice de plus en plus fragile [[des écrivants mis en taule, n’ayant plus d’autre liberté que de jouer un rôle qui ne peut exister «paraitre pour le seul commerce»…ce qui ne peut que déprimer quand tout le monde sait que le sort matériel d’un écrivant c’est de se faire barboter 90 % des bénéfices par des…parasites évidents. Et qu’un circuit direct se démontre déjà tellement plus proche des VRAIS BESOINS des immenses majorités…]]. La littérature s’est fait la malle [[ ce qui prouve sa bonne santé mentale – là où elle est elle sauve le futur !]] comme les moteurs V12 à essence, les tweeds véritables et la charcuterie artisanale.

Un jeu de consOn écrit comme on bachote [[ on fayotte près du papa monnaie – on se rabaisse alors que rien d’impératif n’y oblige…Pourquoi ? Parce que la fausse renommée a été renommée par quelqu’un d’autre. Qui est, cet argent acéphale qui n’inspire plus aucun respect !]]. On rédige en argumentant, en syncrétisant, en palabrant. Le style PowerPoint a contaminé les manuscrits [[ bref on fait semblant, on se « calcule » pour le commerce…ce qui n’intéresse vraiment plus personne…les vrais écrivains oui : le centre de gravité a bien changé de bord !]]). L’émoticône est l’avenir du mot virtuel. À l’ère du préfabriqué numérique, le livre inspire autant la pitié que le désintérêt total des masses mal-pensantes. Ces salauds de pauvres sont focalisés sur leurs problèmes domestiques : fric, sécurité et identité. En dehors de leur confort personnel, ils sont insensibles à la douleur profonde des écrivains. Ils se foutent du mal-être des artistes et de ce besoin viscéral de le transposer sur la feuille blanche. Leur manque d’altruisme est désarmant. Allez donc leur demander d’acheter des livres, à vingt euros l’unité [[ que du commercial…]], ils vous lyncheront en place de Grève. Pourtant, dès le 15 août, la plume frémissante, la mine pénétrée et le regard lointain, les acteurs de la rentrée posent dans les magazines et les suppléments. Cette  poignée d’élus qui briguent un prix, un chèque à six chiffres ou un fauteuil chez Busnel mouille le stylo, d’août à novembre [[ après c’est extinction complète des feux et de la vie artificielles…enfin la vraie vie commence !]].

 

Chaque nouveau roman est jugé comme votre première rédaction de collégien. Éternel débutant, jalousé par vos confrères, chahuté par la critique, galvanisé par votre éditeur, vous remettez votre titre en jeu. Pour le gros de la troupe, aucune inquiétude, la griserie de la parution sera éphémère, vite remplacée par les lamentations et les rancœurs [[ puisque sur le fond tout le monde est archi perdant…la même catastrophe d’un monde à l’envers se reproduit puisque persiste le drame  - qui est que ce n’est surtout pas aux "éditants" de dire les CONTENUS et les styles afin de mieux les faire émerger. Leur dictature de dicter fait tout capoter… ]]. Quelques dizaines d’exemplaires au mieux pour ceux qui ont de grandes familles et le sentiment (vraiment très désagréable) d’avoir participé à un jeu de cons. L’occasion d’écrire à nouveau sur ses malheurs de losers et remettre un jeton dans la machine à broyer. Chaque participant à cette loterie forcément perdante retentera sa chance. C’est écrit ! Publier un livre à l’automne demeure aussi addictif [[ oui mais addictifs en rond - puisque les humains normaux ne s’intéressent plus du tout pour cette pitrerie du commerce qui ne sait vraiment pas vendre…ce qui NE LUI APPARTIENT PAS ! Qu’il n’est surtout pas ! Et se démontre toujours plus pataud.e.s dans des roueries ridicules…les « fake prix » c’est juste de l’argent sale…et plus jamais la valeur collective d’un apport irremplaçable (puisque seule telle personnalité pouvait nous dire cela – et qu’une écriture de machine non…elle NE NOUS PARLE PAS…il n’y plus respondance, donc correspondance…ceci « ne correspond » pas du tout à la réalité, n’en est pas la transcription fidèle et intègre !]]. Pour les champions du box-office, la reprise en cette fin d’été se lit sur les visages. Avec leurs costumes froissés et leurs coupes de communiants, tous regrettent de n’avoir pas choisi un vrai métier à l’adolescence. Le plombier roule en BM et le cuistot s’est offert une villa en Espagne.

Ces sprinters du livre disposent d’une très courte fenêtre de tir. Ils savent que, face à un garde du corps adoubé, un pont défectueux ou deux étoiles sur un maillot, leurs gribouillis n’intéresseront que les initiés obligés de se fader leurs « œuvres » par conscience professionnelle. Autofictions, bios trafiquées, essais sociétales ou fresques à caractère politique n’ont jamais fait le poids face à un fait-divers crapoteux, un mariage royal ou une piscine à l’eau de mer. La lecture se meurt malgré les incantations des différents ministres de la Culture. Ce vice impuni ne se décrète pas. Il ne s’impose pas comme le 80 à l’heure. Il n’y a que l’esprit dérangé d’un technocrate pour imaginer que les livres s’agrègent et se soustraient à la faveur des cycles économiques. [[si le fil de la confiance est cassé il faut le renouer…ailleurs !]]. Ils ne sont pas dupes [[ quoi qu’ils soient dupé.e.s donc dupes !]] de ce cirque médiatique. Ils ne croient même pas à leur hypothétique talent. Ils écrivent comme on usine une pièce ou maroufle un mur, par habitude et nécessité. Soit l’art délicat de paraître un romancier ouvert alors qu’une seule question le taraude : vendrais-je cette année encore [[ faux, ne pas faire passer le symptôme pour la maladie…la maladie est que l’écrit ne doit plus rester entre les mains inexpertes d’éditants technocrates, acceptant toutes les pressions « des hauts » et incapables de vraie culture «incarnée », donc ils ne savent jamais de quoi ils parlent – Et que quelques décennies de ce vide éditorial auront prouvé que de vrais éditeurs collectifs doivent retrouver les vrai.e.s écrivain.e.s. qui continuent de rayonner…les censures censitaires ne les atteignent pas. C’est jute tout le monde qui, stupidement, est privé d’accès à ces humains en train de devenir incontournables. Ces vrais penseurs et écrivains ont toujours eu accès à eux-mêmes…quelle chance !]]? Chacun joue faux une partition si saccagée désorchestrée par son éditeur de fausses notes, se cache derrière un masque plus ou moins factice et tente de faire illusion. »

………….. Les écrivains n’auront jamais été des oeuvreurs comme les autres.

….La preuve ? ils /elles nous réinjectent des si saines respondances !  

………………………de celles qui vont remettre le monde à l’endroit

 

…………….(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

           Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

les intrus ne rentreront plus

les intrus ne rentreront plus

Respondances ?
Respondances ?
Respondances ?
Respondances ?
¡ assez de virtuel, du réel ¡!

¡ assez de virtuel, du réel ¡!

Respondances ?
peinard...

peinard...

correspondance une double respondance ! Les 2 côtés du miroir...comme ceci ?

correspondance une double respondance ! Les 2 côtés du miroir...comme ceci ?

Respondances ?
Respondances ?

Qu'est-ce que la réalité ? Définition des différents niveaux de réalité...prouvons que c'est incomplet...

Ici – « Correspondances », poème fondateur de la poétique de Baudelaire qui expose une théorie tout en la mettant en pratique, poème didactique, nous répétaient nos professeurs. Un poème qu'ils tenaient à nous situer parmi les théories et croyances au 19e dont la synesthésie. On nous parlait du phénomène de l'audition colorée d'un Beethoven qui disait que la tonalité de si mineur était noire ou d'un Chopin qui voyait la note sol en bleu. Ils évoquaient le souhait de Scriabine d'un clavier à lumière, destiné à projeter des couleurs changeantes selon la gamme du spectre et le Sonnet des voyelles d'Arthur Rimbaud : « A noir, E blanc, I rouge, U vert, O bleu : voyelles, Je dirai quelque jour vos naissances latentes »...

Correspondances sur les correspondances

Du merveilleux caché dans le quotidien : De nombreux objets nous sont parfois si familiers que nous n'y prêtons pas attention.

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