Contribuer

C’est dans les moments de chaos que nous prenons conscience que certain.e.s Contribuent à nous en sortir tous. Pendant que des histrions volent le devant de la scène, ces personnages qui permettent que la civilisation continue sont floutés. Sauf que dès qu’ils sont vraiment absents tout crie à la dérive. Dans ce texte nous voulons prouver que leurs Contributions sont fondamentales et que les moments difficiles actuels…proviennent aussi des censures Collectives de leurs pensées-pour-tous. Seuls les génies ont la générosité assez grande pour compenser le manque de tribut d’autres…oui même l’étymologie nous dit tout : du latin contribuere, fournir sa part. A part que certain.e.s en fournissent tellement plus que la leur. Oui et tout se met à…contribuer aux immenses changements (qui ne sont pas bouleversements mais transformations mûrement amenées). Mais encore (dites-nous tout) ? La/le contribuable contribue. Or, la règle du vote censitaire c’est qu’il faut avoir beaucoup d’argent pour…voter. Sauf que  qui ne paie pas d’impôt ne peut pas prouver, publiquement, qu’il a tant d’argent. Ceci peut très bien n’être qu’une publicité mensongère. Tu contribues pas, tu votes pas…surtout à la proche Constituante… Et, mieux encore, tu ne peux plus acheter les élections…(ni les médias d’ailleurs, etc.)…Pourquoi faire ce détour ? Afin de montrer que, de partout, l’âge bourgeois si néfaste s’écroule – d’abord théoriquement – de partout. Et pratiquement – maintenant ! Comment donc !

Mais comment donc ? Nous qui sommes toujours à la dure, à la dure des documents prétendus faussement difficiles, des raisonnements les plus exigeants, des synthèses sans lesquelles pas de solutions-pour-tous et personne d’oublié.e, nous n’en revenons pas…notre labeurs de soutiers toujours piétinés par des m’as-tu-vu qui tiennent à peine quelques mois mais…sont, sempiternellement, remplacé.e.s par d’autres aussi désastreux…Oui nous-mêmes voyons le fardeau tellement allégé…ils/elles avouent en masse (les politocards nous disent leur système et comment il est truqué)…les faux stratèges nous balancent les obsessions inhumaines et plus qu’antisociales des trop riches (et comment d’autres humains sont obligés d’emplir les Fonctions qu’eux – rois fainéants complets – n’assument plus du tout !)…où nous montrent et démontrent que les généralités indignes des médias (dire fin du pétrole, ou non-représentativité ou inégalités et autres…désinformations !) sans jamais ENTRER DANS LE POIDS de souffrances de chairs, de sangs qu’il y a derrière ces mots – c’est empêcher d’agir, stagner dans l’inertie collective…oui comment, enfin ces médias peuvent être empêchés de nous mentir aussi effrontément...par leurs manques de vécus réels (à aucun moment ils ne savent de Quoi ils parlent ! et ceci se « sait » toujours plus…), etc. Oui une vague de fond (les précurseurs sont toujours au sommet de la vague) vient TOUT NOUS DIRE…et ce n’est certainement pour du voyeurisme effondré…mais bien pour nous Offrir toutes les prises où crocher dedans…et en renverser toutes es apparences…et (en exact même temps) faire advenir la nouvelle civilisation (déjà contenue dans toutes les œuvres de celles/ceux qui y Contribuent le plus ). Oui Contribuer est essentiel…donc il n’en est pas parlé…puisque  tout changer ne peut entrer dans une…image…par contre dans les mots magnifiques oui…Puisque - seule la générosité génère…et (par contraste) l’avarice hideuse du capitalisme…dégénère ! Les 2 se passent en même temps. Et vous êtes aux 1ères loges, impossible de dire l’inverse. Voilà comment !

………………….............***************************************************

Au Sacré-Cœur où plusieurs dizaines de « gilets jaunes » se sont rassemblés [[voyons voir ce qui « se » passe]]…. « Malgré de nombreux barrages, les policiers n'arrivent pas à contenir les milliers *** [[de quelques dizaines à plusieurs milliers cela change vite, trop vite… ]] de #GiletsJaunes qui marchent dans le calme à #Montmartre. Ils semblent débordés par l'ampleur de la mobilisation [[ oui mais …ils «mobilisent» faiblement ce samedi.” Et tout cela dans le même…article ! Comme nous disions, le désavantage de mentir c’est qu’à quasiment tous les coups on s’empêtre. Ce mouvement mobilise plus mais la répartition des tâches ne va pas se dire aux médias si INDIGNES de recevoir la moindre information. Résultats : ne plus jamais croire pas les médias parisiens. Pas un mot de vrai, même les virgules trichent…

Gilets-jaunes-blocage-camions-frontières-seulement-800-personnes-paris-le-non-point-sur-la-vraie-mobilisation

**- rappelons que le titre c’était 800 personnes dans tout Paris…là des milliers rien qu’à Montmartre…mais à l’Opéra, faubourg Saint Antoine, République et tous les autres lieux parcourus par RT…cela risque de faire manquer au moins un zéro à 800…

des-introuvables-milliers-qui-se-montrent

…les milliers – ( qui, de dizaines à des centaines, le sont devenus)

Le-peuple-a-des-élus-mais-les-faux-élus-n'ont-pas-de-peuple

Si nous devons choisir entre le peuple et les élus du…peuple. Plus rationnel de choisir le peuple…lui, au moins, il reste peuplé !

Au-Boulou

à la frontière espagnole…aucune sens du partage dans ceux qui doivent partager le sens ! « Au Boulou, des centaines de gilets jaunes étaient rassemblés et des bus chargés de manifestants continuaient d'affluer à la mi-journée, selon l'AFP. »

300-000-manifestants-effectifs-pour-40-000- comptés

« Selon France Police – Policiers en colère…au moins 300 000 manifestants le 22 et non 40 000 comme ment l’Intérieur…le plus grave c’est qu’absolument tous les médias suivent cet évident mensonge. Rappelons que le 17 novembre c’était 1,3 million, 750 000 le 24, etc. et que les explications jointes clarifiaient – en plus - qu’il faut doubler les chiffres sur les ronds points puisque la relève les double, qu’il y a de nombreux participant.e.s hors manifestations, qui gardent leurs enfants, les personnes âgées, font de la logistique, etc. Et que le nombre global (tout compté) reste toujours élevé… Pas comme le respect envers les institutions, et ceux/celles qui y donnent les désordres – qui, lui, naisse sans cesse. Quelle honte que ces prétendus dirigeants !

.......……………………………….*****************************

Des-gilets-jaunes-sur-les-listes-européennes-un-casse-tête-qui-avoue-tout-pour-les-faux-partis

« Aux aspirations diverses (et parfois contradictoires) de ce grand mouvement horizontal, spontané et s'exprimant généralement en dehors de tout canal officiel ou sur des agoras improvisées aux ronds-points des villes…la mobilisation n'a toujours pas réussi à faire émerger un ou plusieurs leaders incontestés susceptibles d'être débauchés par des formations politiques. [[ les aveux de ces profondément corrompus vont loin – ils BLOQUENT toute la société pour ces niaiseries mentales…leur Offre politique ne vaut plus rien, elle doit se retirer. Et tout de suite…S’il y avait des leaders tels que désirés par ce grands inertes, elles/ils /elles justement le seraient de ne pas se faire connaître à… eux…Donc aux médias Indignes de recevoir la moindre information de valeur…]]

Autre difficulté à contourner, les gilets jaunes ne disposent pas d'une plateforme programmatique uniforme ou obéissant au traditionnel clivage gauche-droite….[[ ces traditions obsolètes et immobilisatrices ne sont que corporatistes, d’intérêts archaïques et ne doivent plus être relayées…le futur nous attend et ces politocards ne sont pas…adaptés à l’avenir a venir…]]. Ces paradoxes idéologiques semblent tellement irréconciliables qu'il n'est aujourd'hui pas improbable de voir des "gilets jaunes" figurer à terme sur des listes concurrentes [[ concurrents à quoi ? Alors que nous savons que ces fausses différences de partis politiques défendent exactement le même système ?]]…et qu’une Constituante nous fera sortir de…leur chienlit, leur chienlit, pas la nôtre.

Sans structure, on ne sera jamais entendu [[ faux]] . Il y a deux solutions, soit le mouvement s'éteint, soit il se transforme en mouvement politique, et pour cela il va falloir se structurer d'abord au niveau régional", estime Christophe Chalençon, "gilet jaune" emblématique du Vaucluse, persuadé que "les partis politiques actuels sont morts".[[ et donc ? A quoi sert de devenir un parti ? La déstructuration reste une structuration…il suffit de se structurer…culturellement et socialement…jamais politiquement. Et les voici tous roulé.e.s dans la farine ]]. À première vue, le défi semble néanmoins hors de portée. "C'est un mouvement assez hétéroclite, avec des revendications qui partent dans différentes directions, donc je ne suis pas sûr qu'il soit à même de faire une offre politique au sens électoral", balaye le député européen RN Nicolas Bay. »…Justement la vraie politique n’est pas une offre, une offre marketing et commerciale…elle est une vision de futur collectif qui ne doit SE VENDRE à personne…ce n’est parce que les partis ringards sont corrompus…que nous devons sombrer comme eux. En clair, ils sont baisés, coincés, à tourner en rond et radoter leurs vieilles stupidités…leurs pires que stupidités…dont ce prétendu article étale toutes les…impossibilités. Quoi ? Les partis politiques n’existent comme ils sont QUE pour que les médias puissent en parler afin que…rien ne change. Le but restant d’empêcher tout mouvement SPONTANÉ de balayer cette vaste fumisterie. Raté c’est fait : alors pourquoi entrer dans le rang ? Le rang qui se range (désactivé) afin que les médias continuent à mentir et l’oligarchie de voler l’argent public. Et les libertaires de refuser le analyses de fond (ce que ne font pas les Gilets jaunes qui veulent toujours…penser en commun)…Sans que Rien ne paisse pouvoir les stopper. Sauf que, si, c’est possible mais qu’ils ne peuvent pas en connaître la stratégie….

………………………...................************************

« Starve the beast », soit littéralement « affamer la bête ». L’image n’est pas anodine car il s’agit de faire mourir de faim le secteur public en lui coupant les vivres et en dégradant son état de santé. Une fois “l’animal” à terre, il suffira de lui administrer un remède à base de privatisations et de marchandisation des solidarités sociales pour l’achever dans le déshonneur complet. Depuis une trentaine d’années, une bonne partie des questions économiques et sociales semble pouvoir se résumer à une seule fausse problématique [[ puisqu’il siffit d’empêcher les banques ^rivées de battre monnaie à la place des états souverains et de leur peuple qui a le droit aux TIC – c’est écrit dans la Constitution, article 3]] : celle de la dette et de son poids grandiloquent qui rend impossible toute nouvelle dépense. Ainsi face aux marchés financiers qui prêtent [[ illégalement – ils n’ont aucun droit régalien pour…]] aux États, il semble impensable de devoir continuer à dépenser plus pour notre système social et de solidarité [[ cette marque de folie et de dangerosité sociale ne peut que contraindre les états à ne plus leur permettre de battre monnaie…Un seul Ric rendrait indiscutable cette décision du peuple souverain…]]. Du côté des recettes, on aurait atteint un point de non retour tant la pression fiscale serait à son comble… Enfin surtout pour ceux qui n’ont pas les moyens d’échapper à l’impôt étant donné qu’ils doivent payer pour ceux qui partent ou s’exilent.[[ ces trop lourds fraudeurs sont connus de Bercy mais très couverts par cet anti-état !]] Il semble dès lors inéluctable que la seule issue pour sauver notre modèle social est d’engager des « réformes courageuses » pour réduire son train de vie en coupant drastiquement dans les dépenses sociales destinées aux ménages [[ mais pas en récupérant toutes les Recettes dues par les trop riches. Le total est si important qu’il éponge tous les problèmes en cours. Alors où est le problème central sinon de ne pas recouvrir les recettes légales ?]]. Pourtant cette asphyxie des budgets publics peut également être vue comme une stratégie tacite de l’oligarchie afin de rendre inévitable la fin de l’immixtion de l’État dans les affaires privées des trop riches [[et comme l’état c’est tout le monde, le droit des pauvres et des moyens de se Défendre contre les braquages des bandits riches ! ]]. Si l’on en croit certains théoriciens néo-conservateurs américains de la fin des années 1970, cette stratégie porte un nom : le « starve the beast ».

La-stratégie-du-starve-the-beast-ou-le-désastre-de-tuer-la-solidarité-nationale

Le principe de cette stratégie est au demeurant assez simple mais à bien des égards diabolique. Son succès repose sur cette façon “douce et lisse” dont les esprits sont préparés à la chute inéluctable de notre modèle de services publics et de sécurité sociale. En effet, il serait politiquement suicidaire d’annoncer une réforme du modèle de sécurité sociale sous la forme de baisses des prestations et de privatisations. Il est donc préférable d’installer petit à petit le doute chez les citoyens dans la capacité du système à assurer sa survie [[ fort heureusement, le doute grandit à toute vitesse mais envers les banques, les politiciens vendus aux banques, les médias vendus à l’argent sale et toutes les stars qui soutiennent à fond le système en insultant leurs fans !]] :  « Il s’agit dans un premier temps de baisser les recettes de l’État et des organismes sociaux [[ il est remarquable qu’aucun parti politique existant n’ait jamais mis le projo sur cet aspect essentiel. Qui est ? Qu’afin de boucher les faux déficits de la solidarité sociale, il suffit de faire des saisies sur les propriétaires des médias, des banques qui encaissent les…cotisations sociales et des stars qui vont trop loin dans les spoliations de leurs fans !]] afin d’assoiffer la bête publique qui voit ainsi ses déficits artificiellement augmentés. »

Il en est ainsi en France depuis les années 1990 où, à force d’exonérations de cotisations sociales pour un faible effet économique, on baisse [[ donc illégalement toujours ]] les recettes destinées aux retraites, à la santé ou au chômage. Pour les services publics, le mitage de l’assiette de l’impôt par le biais de niches fiscales à l’efficacité parfois douteuse réduit les marges de manœuvre budgétaires et imposent des choix drastiques comme la diminution des implantations locales des services du fisc ou des hôpitaux ou tout simplement la réduction du service fourni. À force de coupes budgétaires [[ fausse perspective parce que, en même temps, augmentent démentiellement tous les cadeaux aux riches…c’est là que ces coupes devraient avoir lieu. Isoler un détail et ne jamais parler d’un tableau global comme si rien n’était interconnecté et n’avait d’effet sur des impacts «causés » …appartient à ce qu’ils doivent absolument cacher….Outre d’être l’ignoble philosophie de l’individualisme méthodologique, ceci reste la pensée des plus grands escrocs. Où qu’ils soient, dans les gouvernements, les médias ou les banques ]], la qualité du service devient de plus en plus déplorable. C’est ainsi le cas dans le système ferroviaire où très récemment lors d’une réunion du conseil régional de l’Occitanie, la région a affirmé ne pas être en mesure de rénover les petites lignes qui traversent la région car la puissance publique refuse de mettre la main à la patte.[[ ce que le Fonds de péréquation l’oblige pourtant…]]. C’est ainsi que les retards augmentent et les accidents se multiplient fautes de dépenses d’entretiens suffisantes ou de suppressions de personnel qui entraîne un mécontentement généralisé des usagers. On note les mêmes problématiques au sein de l’hôpital, de la justice ou au sein des services locaux des impôts, les universités [[ les services publics sont Supérieurs et plus nécessaires que n’importe quel milliardaire. Seule l’installation du libéral-libertaire (utiliser le A bas l’état irréfléchi des anarchistes pour tout privatiser…oui c’est l’état c’est pas grave !)…aura abouti à ceci. Faute de pouvoir parler à ce genre d’anarchistes qui n’écoutent jamais rien sinon «leurs» slogans…ils en sont, actuellement, à pleurer après les services publics, grands GARANTS DU MAINTIEN DU POUVOIR D’ACHAT !). Le tragique est : que le libéral-libertaire durcisse l’état à fond, devient hyper répressif et autoritariste jusqu’à la démence ( les anarchistes se sont fait fourguer une fausse marchandise…les néo-libéraux ne sont ni décentralisés, ni  anti-autoritaires ! Nous oui, mais ils n’avaient absolument pas voulu de nous et de nos analyses…qui se sont toutes vérifiées !)]]

Dans ces conditions, comment défendre un service dont chacun déplore le mauvais fonctionnement au quotidien ? Si l’on ajoute la charge des intérêts qui ampute une large part des marges de manœuvre (de façon illégitime pour la plupart d’ailleurs (pour la SNCF les technocrates de la fausse dette devraient voir leur patrimoine saisi !), la boucle est bouclée. Sur vingt ans, on a vu s’envoler près de 400 milliards d’euros de recettes de la Sécurité sociale [[ donc ces Recettes sont bien là…en 2017, pour la 1ère fois en 18 ans, les comptes sont équilibrés et DONC « ils » veulent…privatiser la Sécu. Pour…aucun motif que leurs cupidités qui « méritent » toutes les prisons !]]. Dans le même temps le chômage reste important et avec lui le montant des prestations afférentes, malgré les différentes tentatives de baisser le chômage de façon artificielle en faisant passer dans la case inactifs les chômeurs. Le projet d’Emmanuel Macron de garantir l’accès à l’assurance chômage aux salariés en cas de démission pouvait être la parfaite illustration d’une tactique de « starve the beast », c’est à dire le genre de mesure impossible à financer avec le montant des recettes actuelles et qui, à force d’exonérations de cotisations sociales [[ que pour les patrons mais pas ceux des PME, ceux du CAC40 qui…n’en ont absolument pas besoin !]], verra son « artificiel » déficit exploser.

« L’allègement des cotisations patronales a fait perdre la bagatelle de 27,6 milliards d’euros aux caisses de Sécurité sociale, à laquelle le CICE est venu se greffer pour un montant compris autour des 30 milliards d’euros [[ quel pognon de dingue nous coûtent ces patrons et même plus…que les minimas sociaux, c’est dire…il y a des économies sérieuses et des coupes significatives à faire de ce côté !]] . » Il s’agit donc encore et toujours de réduire les recettes [[ notons que ce blog a toujours insisté là-dessus autant que sur la facilité de Contrer les pouvoirs en place : les contraindre à encaisser Toutes les recettes !]]…tout en conservant un niveau de dépenses important [[ les trop riches sur-assistés coûtent trop cher au budget commun !]] pour creuser les déficits. C’est exactement la même chose pour les retraites où l’objectif du gouvernement est de “figer” à 16 % la part des retraites dans le PIB (Produit intérieur brut) alors que la population vieillit. Sans hausse du montant du salaire différé (c’est à dire des cotisations) le déficit des caisses retraites va exploser et une baisse globale des pensions est à l’œuvre [[ uniquement parce que les riches NE CONTRIBUENT PAS aux recettes . Ce qui, logiquement, devraient restreindre leurs droits….à la citoyenneté et tout ce qui va avec…droits de vote, de participations aux décisions publiques, etc.]].

Les différents budgets votés par le gouvernement Philippe illustrent parfaitement la manière dont il faut « assoiffer la bête ». D’un côté, le gouvernement engage une diminution des recettes de l’État par la réduction du rendement de l’ISF (Impôt sur la fortune), des prélèvements sur le capital. Il parait qu’il s’agit d’encourager le ruissellement [[ théorie démontrée fausse depuis les années 1970 – donc présence de faux et usages de faux ?]] de ce cadeau aux riches dans l’économie. Pourtant, aux États-Unis, ce type de politique fiscale fit dire au Prix Nobel Joseph Stiglitz : « Qu’avons nous dit au pays à nos jeunes quand nous avons réduit l’impôt sur les plus-values et augmenté les prélèvements sur ceux qui gagnent leur vie en travaillant ? Qu’il vaut mieux vivre en spéculant [[ donc en étant des truands en costards cravates. Car spéculer reste…illégal !]] » . De bien sordides perspectives en somme qui semblent correspondre à l’objectif de Macron « d’encourager les jeunes à devenir milliardaires ».[[ donc aux clairs détriments du maximum de leurs concitoyen-ne-s ? Dans ce cas, ce sont des paroles exclusivement …antirépublicaines !]]…Et à la fin, c’est le peuple qui perd (mais à fond : les bobos soi-disant libertaires ont laissé tout privatiser (donc plus de protection du pouvoir d’achat) et les mêmes escrocs petits bourgeois continuent de saboter tous les débats (ce pourquoi, parfois, nous semblons ne pas être en phases avec les délires soutenus par les médias menteurs – or, c’est que ce sont…eux, plutôt, qui ne sont pas du tout en phase avec nos analyses de fond (comme les mineurs !)… Et tout cela pour ne pas avoir été ÉCOUTÉS normalement…sans privilèges, oui, mais normalement…C’est que NOS CONTRIBUTIONS dépassent l’apport moyen habituel. Donc, humainement, c’est « un peu plus » d’attention…et non pas «un beaucoup moins ».

« Malheureusement pour les autres, il sera trop tard pour réaliser que la réduction des dépenses publiques aura réduit leur sacro-saint « pouvoir d’achat » car les services privés seront beaucoup plus onéreux. » Face à ces coups de marteau politique et autres bourrages de crâne sémantiques, les citoyens décideront sans véritablement comprendre qu’on ne peut plus dépenser autant. Pour les attendrir, les politiques auront “augmenté” leur salaire net en façade, en réduisant leur salaire différé (maladie, retraite, chômage…). Mais ces derniers se rendront compte que ce qu’on a gagné d’un côté a été largement repris de l’autre, notamment quand ils s’apercevront du coût élevé de ces services rémunérés ou indemnisés par le secteur privé dans une logique de profit et de marge commerciale [[ ce que nous n’avons pas arrêté de démontrer pendant les libéraux-libertaires se limitaient à un désastreux : « le Privé c’est obligatoirement mieux parce que ce n’est pas l’Etat »…sauf qu’ils cumulent les 2 maintenant et que les peuples sont dépossédés de l’ESSENTIEL.  Sauf qu’il n’était pas prévu…qu’ils reprennent le devant de la scène. Avec l’intention de ne lus la quitter. Comme la bêtise des dictatures ne l’admet jamais : ce sont les répressions excessives qui renforcent les mouvements. Faisant monter tous les indicateurs d’injustices aux plus hauts. L’indifférence restant le pire des éteignoirs]].

Ceux qui le pourront auront la possibilité de cotiser à une assurance maladie privée, à une retraite privée par capitalisation de qualité. Malheureusement, pour la grande majorité des citoyens, il sera trop tard pour réaliser que la réduction des dépenses publiques aura réduit leur sacro-saint “pouvoir d’achat” car les services privés seront beaucoup plus onéreux. Cette fois, leur salaire net ne sera plus “mangé” par l’infâme bête publique affamée, mais par le bien Pire ogre du secteur privé qui sacrifiera, comme il l’a souvent démontré, la solidarité nationale sur l’autel du profit et des actionnaires. »…Conclusion : la bestialité du Privé a toujours été bien pire que l’État…

……………………………….............********************************

« Rappelons toutefois, à l’intention des distraits, que nous sommes officiellement en crise depuis 1968. Il y a eu, certes, des phases de rémission apparente, mais le prolétariat et la (petite) bourgeoisie sont, depuis le début des années septante, victimes d’une baisse constante de leur niveau de vie. Un seul indicateur suffira pour le montrer : le taux de chômage structurel dont on bidouille les paramètres afin de le conserver, bon an, mal an, autour des 10 %. Parler de goutte qui fait déborder le vase et, en passant, stigmatiser l’inconscience consumériste et écologiste des foules bêlantes, permet d’étouffer le feu de l’indignation par la couverture opinative de rigueur, pas de comprendre la situation. Précisons donc. L’impératif climatique, et, accessoirement, écologique, est plus qu’à la mode. Libéralisé, il se formule très simplement en économie politique : que pouvons-nous nous permettre de changer pour que rien ne change [[ l’inertie bourgeoise en tout sauf en «son» argent qui n’est même le sien reste le plus grand crime contre l’Humanité !]] ? Comme toujours, on taxe afin de réformer, coûte que coûte, les habitudes de la population, sans questionner celles des industries, et surtout sans impacter les conditions de possibilité de leur compétitivité internationale et de leurs profits offshore, et, c’est quasiment subsidiaire, afin de financer l’incurie des faux décideurs politiques eux-mêmes.

Les-gilets-jaunes-la-Russie-et-le-début-de-la-fin-du-pétrole-?

De quelle fin parlons-nous [[ du pétrole et du fait que les pouvoirs ne peuvent en parler publiquement ]] ? D’abord, nous venons de le voir, de la fin du consumérisme, c’est-à-dire du tout au marché. Ensuite, c’est inéluctable, de la fin de la démocratie telle que nous l’entendons aujourd’hui. Dans un monde aussi orwellien que le nôtre, il ne sera pas difficile de recycler la « démocratie » en même temps que ses produits pétro-chimiques, mais parler de « démocratie de marché » deviendra encore plus euphémique que d’habitude. Enfin, on ne peut exclure, a priori, que la phase la plus aiguë de ce processus révolutionnaire se fasse au détriment de l’oligarchie, et que la représentativité de carnaval qui est la règle depuis trop longtemps cède la place à une démocratie directe ou participative. Après tout, un long chemin a été parcouru entre le référendum du Kosovo (de septembre et octobre 1991), qui a été légalisé par la communauté internationale, et celui de la Crimée (de mars 2014), qui n’a pas reçu son assentiment. Et personne n’a, semble-t-il, oublié le refus irlandais du traité de Nice (2008), et celui des Français et des Hollandais de la Constitution européenne (2005). En fin de compte, c’est peut-être l’archaïsme actuel de la réponse du pouvoir qui est frappante (ceci dit sans mauvais jeux de mots) : organiser la désinformation à l’aide de médias dont l’incrédibilité est devenue pire que celle de la Pravda soviétique, favoriser la montée de la violence en manipulant les manifestants par infiltration de vrais-faux casseurs, et laisser la bride sur le coup aux forces de l’ordre, équipées de matériel militaire et sommées de s’en servir. Manifester, cela veut maintenant dire risquer la mutilation. »

>>>> -- ****Et dans ce chaos organisé par le haut, toujours moins nombreux mais toujours plus dépassé par l’intelligence collective apparaît** le gilet jaune. Qu’es-ce son anachronisme si précurseur ? Sa contribution dépasse le nombre et les moyens de ses déclencheurs ? C’est un changement de paradigme (qui n’a rien à voir avec le sens plaqué par les médias incultes…mais un changement de paradigme c’est lorsque de nombreux lieux de pensée changent en même de points de vues, de méthodes et d’approches de tous les savoirs. Ce qui reconfigure tout (même si une partie se fait dans l’inconscient des co-évoluteurs !) et donc fait fonctionner (paradigme, du grec deiknumi, montrer – soit, montrer différemment et, en même temps, se trouver à côté de ce qui est montré routinièrement) tout différemment…Oui ? C’est Sophie Fontanel qui en parle  le mieux : « Celui qui justement vient se poser comme un anti-uniforme sur les vêtements qu'on a déjà. C'est son génie. Composé de maille fluorescente, il va également droit au but. Il est "réfléchissant". Or, que fait ce mouvement, à part renvoyer chacun à son image, à ce qu'il a ou n'a pas ?(….) La molécule fluorescente bien spécifique : dès qu'elle sort de l'inertie, elle est excitée par la lumière qui se fait (enfin) sur elle. **Elle "apparaît"….

……………………..mais elle…peut nous sauver à tous la vie… »

………Ceci c’est pour un seul gilet, alors si ce sont tous LES gilets réfléchissants ?

………..........…(à suivre)

……………………………........%%%%%%%%%%%%%%

…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

                     Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

 Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

Nous sommes la santé de la société

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu