L’autre versant

Publié le par imagiter.over-blog.com

L’autre versant

Bien nommer, formuler pile…allège tant les poids collectifs. L’autre versant ? Tout dépend d’où nous escaladons la montagne de…difficultés, ce n’est pas la même vision que nous en avons. Selon que nous parcourons où verse le versant déjà connu et parcouru ou que nous franchissions des espaces sans modèles préalables. A se débrouiller sans rien que des découvertes si impromptues – une réalité sensuelle jamais foulée. Celles où nous arpentons sans savoir, sans même reconnaître (puisque pour reconnaître il faut déjà connaître) et sans appuis extérieurs...apparents. Bref, où nous découvrons des versants de nous que nous ne fréquentions pas, couramment, ou si peu. Un peu que cela peut arriver ! D’ailleurs il arrive que çà arrive…comme cela…

A-d'autres

« Ainsi donc, les Gilets jaunes ne seraient plus d’actualité. Et ça tombe plutôt bien en définitive, car nous n’en avons rien à carrer de rentrer même inconfortablement dans un quelconque agenda politicien [[ l’importance accordée aux médias – ce dont ils ne parlent pas n’existerait même pas ou bien on n’est pas vivant si on n’y paraît pas, nous a toujours paru plus que paranoïaque. En tout cas, tout ce qui s’y rapporte se montre uniquement sous l’angle maladif et excessif !]], ni d’être «à la mode [[ mode qui n’est jamais …modique. Qu’est –elle alors ?]] » (sauf peut-être pour les enfants, vos enfants aussi, dans les cours de récréation, qui ne jouent plus aux cowboys et aux indiens mais aux flics et aux Gilets jaunes, avec comme par hasard une nette préférence pour ces derniers) [[ en effet, des vidéos l’attestent. Et il y a une différence entre ce dont l’inconscient collectif s’empare et ce qu’il voudrait être rentré de force dans les consciences !]]. Nous sommes prêts à céder la place dans «l’actualité» [[ ce ne sont pas les médias qui «font» l’actualité (du mot acte) mais bien la vie réelle, les évènements qui surviennent où ils veulent et avec qui ils veulent ou des phénomènes tout pareils (un.e tell.e, sans appareil s’est envolé comme un oiseau, etc. et - sans média – c’est su ! ). Ces médias arriérés ne font que les déguiser, les habiller de vêtements idéologiques qui ne sont pas les leurs, les tordre vers une seule classe sociale, etc. Ce qui est une fabrication malhonnête, absolument pas une restitution fidèle (jamais ils «n’informent» en vrai - alors se trouve le motif de leurs trop d’arrogances ? Nulle part sinon dans leurs…lubies !). Rares les médias qui rendent (ou le tentent) compte de la réalité Complète. Les autres sont toujours en pleins délires : genre tout le monde serait prêt à tout pour passer dans les médias. Où ils ont été pêché ça ? C’est omettre tous ceux/celles qui n’ont aucun mais aucun désir d’y paraître. Les règles malsaines y sont trop truquées !]]  à celles et ceux qui y tiennent tellement, qui la fabriquent de toutes pièces, pour nous occuper du réel qui les menace constamment [[ les dénis et reniements du réel y affleurent constamment – c’en est même la marque de fabrique. Ne surtout faire qu’éviter tout ce qui est réel, concret, bien présent !]]. Nous sommes cette constance. Nous sommes la profondeur du réel [[ ce pourquoi l’apparition des Gilets jaunes dérangent certains tout le temps ! ils leur…rappellent le réel, soit toutes les conséquences désastreuses que provoquent leur mentalité et leurs comportements peu reluisants. Si peu reluisants qu’il faut toute une… machinerie de faussaires comme ces médias…afin de parvenir à en détourner l’attention !]].

Les Gilets jaunes incarnent l’unité fabuleusement foutraque d’une critique véloce, d’une critique vorace, non sectorielle, non parcellaire, une critique instinctive et réfléchie fondée sur le refus de la vie misérable, avec ou sans travail, mais toujours encombrée de marchandises et de distractions [[ le sens de la formule est vraiment très grand. Faut dire qu’à Belleville il y a quelques regroupements d’artistes et des lieux comme des bars à slams, où tu dis ton, tes textes. Et il y a plusieurs cycles : qui a le plus d’applaudissements chaque fois reçoit une boisson, voire de la nourriture, offertes par le patron !]] . Ça s’est entendu dans les rues de Paris, un samedi il n’y pas si longtemps, quand un chant cinglant s’imposa à toutes et à tous : « Travaille, consomme, et ferme ta gueule ! ». La voilà, votre actualité [[qui n’est pas une actualité mais une répétitive propagande, celle qui pousse à dire… rengaine ta rengaine…]].

Notre inactualité à nous s’ancre plutôt dans la réalité de ce que nous nous sommes mis à partager depuis novembre [[ oui une …actualité si brûlante et exigeante qu’ils tentent de la faire passer pour …inactuelle. Secondaire, voie de garage. Alors qu’elle est la rue principale et reste première en changements…Rien n’y fait. Leurs non styles de vie semblent bien arriver à la fin. C’est fini l’ère bourgeoise des mensonges et des trucages, des hypocrisies et des illusions  saumâtres !]] . Sur les ronds-points. Dans les cortèges. Au cours des assemblées. Pendant que les caméras et que les drones nous surveillent [[ quelle est cette manie de surveiller les autres ? Et à quoi ça sert au final ? Ne s’y lisent pas que des profils répulsifs et des écœurements massifs face à tout ce qu’impliquent ces compulsions malodorantes de fouiller sans cesse dans la vie d’autrui – au point d’en devenir terrorisés que soit fait pareil dans leurs propres vies. Ah c’est donc ça : ils ont tout à cacher. ]]. Dès que l’occasion se présente ou que nous la provoquons, qu’il s’agisse de bloquer ou de dévaler, d’un barrage, d’une occupation ou d’une course poursuite, en multipliant les modes d’action, en expérimentant. Car contrairement à l’ordre obsédé par l’étalage de ses forces démesurées et stériles, nous savons improviser [[ la spontanéité démontre une ouverture aux immenses potentialités et une capacité réjouissante à saisir toutes les opportunités qui se présentent. ]]. Nous ne savons pas ce que nous faisons, et nous savons très bien ce que nous faisons [[en effet : c’est bien vrai puisque c’est si bien dit !]]. Avec nos voix, nos corps et nos têtes, même amputés. Quelle rage, mais quel bonheur aussi, de s’attaquer à ce qui nous nuit [[ et dont l’utopie pantelante c’est de croire que cela …ait pu durer et que ça se prolongera éternellement. Que le but de tous serait resté de rester immobiles, sans bouger, à se faire dépouiller, à se faire spolier et rabaisser plus bas que tout. Quels étranges personnages qui ne demeurent que dans leurs rêvasseries d’inadaptés graves à l’Humanité. Vous savez celle qui est un gigantesque sentiment et pas une pensée !]]. De s’éprouver, de se découvrir, un et multiple, avec tout ce que nous avons en commun et en différences, solidaires [[ le vrai trésor…le Social contient bien plus de possibilités que le vain indivis dualisme qui s’aigrit en pitoyable égoïsme. Et une économie basée sur le collectif collecteur détient infiniment plus de richesses (il n’y a pas que l’argent) que les rétractations fermées du tout pour moi et rien pour les autres. Ces minableries n’ont que trop duré !]].

Et partout nous parlons. Dès que l’occasion se présente ou que nous la provoquons. Une forme de parole qui ne s’était pas entendue depuis longtemps [[sauf et en permanence chez les si sains anticonformistes…qui font la jonction entre les époques de congélations malsaines des consciences !]], une parole directe et qui s’assume [[ oui parler pour dire à la nette différence des mortuaires médias qui ne parlent que pour ne rien dire…pour «occuper» illégalement l’espace…public (celui de la publicité du tout public …le mot « privécité » ne pourra jamais exister, lui !]], dans son prosaïsme et dans sa poésie, fondée dans l’expérience individuelle et prenant place dans une expérience collective. Une parole qui affirme une subjectivité nouvelle, faite de sincérité désarmante, d’écoute débordante de l’autre et de bienveillance déniaisée, même dans la dispute qui nous est chère, car oui, nous sommes vivants, nous sommes mutants [[ donc mutins…]], nous sommes désordonnés et nous sommes ordonnés à la fois, nous ne cessons de nous transformer [[ clair – un soulèvement qui se débat de débats en toute…publicité (ce qui appartient seul au public !)]]. Et rien de ce que le pouvoir trouvera à dire, à baragouiner, avec ses petites combines et ses coups tordus qui sont la spécialité des bureaucraties partidaires, syndicales et médiatiques, ne nous coupera plus la parole. Le virus se propage [[ il vire viral ce bon virus, ou ce qui vire sans cesse …]].

Cette forme de parole libératrice et organisatrice, que nous n’avons pas inventée mais que nous faisons surgir, pénètre peu à peu toute la société [[ effectivement – politiciens et médias ne sont qu’en positions défensives, ils ne mènent plus la danse. Et les financiers, chaque jour plus démantelés, ne font plus que se planquer !]]. Une attitude Gilet jaune se généralise dans tous les milieux, chez les dockers, chez les infirmiers ou chez les professeurs, dans la radicale remise en cause des hiérarchies machinales, de la morale qui les maintient, des règles iniques, des manipulations banalisées, des intérêts cachés [[ bref tous les cadres pètent…mais ce qui avait toujours été trop omis…c’est afin de mettre immédiatement Autre Chose à la place. Critiquer pour faire joli, sans quitter complètement les « décomportements » (des comportements à reculons qui ne veulent plus…avancer dans le vie réelle) ne paraissent plus adaptés à rien ! Il faut remplacer, prendre place et la prendre aux imposteurs !]]. À d’autres ! Mais pas à nous, qui sommes qui nous sommes, qui sommes nous tous.

Alors assez de leur actualité, de leur monde fatigué et fatiguant. Avec les Gilets jaunes, tout le réel réclame voluptueusement ses droits. » Assemblée des Gilets jaunes de Belleville (juin 2019)…Très puissante envolée. Faut avoir beaucoup de vécu pour s’exprimer ainsi ! Avec cette souveraineté qui prouve que le but n’est sûrement pas de… tomber dans les…prisons des médias, là où tout reste ligoté empêché, censuré, tu...La vraie vie reste ailleurs et d’ailleurs c’est ailleurs que nous sommes. Même les mots semblent si pleins de réel ! Et…l’inactualité (prétendue) semble bien  un cadeau somptueux de la réalité d’ailleurs : plus t’es prétendu inactuel plus t’es ancré dans le  réel…qui perdent au change, à ton avis ;?

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Contre-le-socialement-incorrect-!

« Une démocratie n’est riche que si les vraies questions peuvent être discutées [[ ce qui implique qu‘il y aient des fausses questions et donc des réponses…fausses et faussées…de quoi leur fausser compagnie, non ?]]…C’est Mathieu Bock-Côté qui le dit dans "L'empire du politiquement correct"…[[ que nous traduisons par le « socialement toujours incorrect », soit cette manière indécente de se montrer toujours …trop inhumains]]….Mathieu Bock-Côté fait régulièrement chanter sur nos ondes son accent québécois. S’il le double d’un débit de mitraillette, c’est pour mieux dessouder, sans jamais se départir de son agréable courtoisie, la religion du multiculturalisme [[ plaqué, greffé, imposé…Sans les réels humains…cette construction de…faussaires !]]. Il observe en éclaireur la transformation de son pays natal en prototype d’une « superpuissance immorale » qui se voudrait…postnationale. Amoureux de la France, il la connaît assez pour déceler chez nous – et plus globalement en Europe – les signes d’une tectonique commune aux deux rives de l’Atlantique [[ les mêmes corruptions et immoralisations de la vie publique souillée par trop d’intérêts non…généraux ! L’abject politiquement correct c’est afin de tenter de dissimuler tout ça…ils ont vraiment Tout à cacher. C’est là où il faut appuyer…]]. Le tandem Trudeau-Macron en camperait les suzerains locaux. Ses détracteurs ne manqueront pas de qualifier cette notion d’empire de fantasmagorique, mais ce sont également ceux qui pensent que l’ensemble des médias « mainstream », des élites économiques et de la plupart des gouvernements pèse moins lourd que Zemm. »…Se tromper à ce point sur un fait essentiel présage qu’ils peuvent se gourer identiquement sur tant d’autres. Pour nous, qui « croit » dans les médias si détraqués a quelque chose qui ne va pas du tout…c’est tout en bas, on y…tombe, c’est une déchéance…ne pas en être demeure toujours un signe de salubrité !

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>>> -- *** "Les gens veulent s'en sortir, veulent travailler, veulent aller de l'avant. Nos réformes vont dans ce sens. Maintenant il faut qu'on investisse dans l'humain, et qu'on donne les moyens à ceux qui sont là pour les aider de le faire", a déclaré le macronisme  (…) "J'y connais rien dans la politique, mais je pense qu'il est venu pour son image. Il s’en fout complètement de nous", regrette au contraire M. Lelouche. "Vous avez envie de travailler? Il y a des offres !" Du travail, "on va vous en trouver, il y en a plein"…Quel reniements blasphématoires des réalités…c’est le Tout média…soit proférer des mensonges plus gros que tout et supputer que de les matraquer sans cesse, de les radoter en boucle…cela va infiltrer un peu…tant de menteries il en …restera comme un soupçon de « ça pourrait être vrai puisque « on » nous le dit sans cesse »…pas dit…mais matraque, assène et propagande (de propager eh oui…)…

La-résistance-dans-les-assiettes

« Auto-organisation et stratégie propre : De la cour de la maison d’un membre à un local appartenant au comedor [[ de comer, manger ]] et aménagé, les restaurants populaires de Lima peuvent être bien différents. Certains servent chaque jour jusqu’à 140 personnes. D’autres, plus modestes, se limitent à 50, en fonction des demandes de la communauté et du budget. En moyenne, de 10 à 15 femmes font tourner un comedor. Les principes de solidarité et d’appui mutuel [[ auto-organisation ]] sont présents partout. L’organisation, elle, varie beaucoup d’un comedor à l’autre. En général, chaque femme qui est membre cuisine pour le moins une fois par semaine. Chaque comedor a ses propres règles, décidées collectivement. Le prix des repas, les menus, le nettoyage, les tours en cuisine, les heures d’arrivée... Et tout se décide dans les réunions mensuelles entre membres. Chaque restaurant populaire a aussi un conseil d’administration [[ stratégies propres ]]. Les femmes qui en font partie se répartissent entre elles les différents rôles: présidente, secrétaire, trésorière, fiscale... La fiscale veille au respect de leurs règles, mais aussi à l’équilibre entre les droits et les obligations de chacune [[ ce qui est en train de perdre les bourgeois qui en oublient tous leurs devoirs pour se montrer sans cesse ivres de leurs trop de droits…abusifs et arbitraires (genres e ceux qui précipitent leur fin !).]]. Pour la majorité des femmes présentes, chaque menu compte [[ le peuple est dans les détails…c’est archi connu !]].

 

Dans les cantines de quartier, chaque sou est compté. Les femmes doivent parvenir à cuisiner chaque jour des repas complets à coûts réduits. Dans les comedores les plus pauvres, les économies se font sur les légumes et sur la viande. Au comedor de «Gran Cambio», ce vendredi, le menu est abondant mais modeste: des frites et du riz avec un bout d’omelette et une salade d’oignons crus.Les comedores ne reçoivent pas d’argent du gouvernement. Néanmoins l’État leur fournit une partie des aliments dont ils ont besoin. Quand les comedores se sont créées, impulsés par les nécessités, elles ne recevaient rien de l’État [[ ne pas omettre que les Restaurants du cœur demeurent une épine dans…l’inactivité criminelle des gouvernements en France. En réPublique c’est un…devoir que de protéger les populations…non pas d’abuser d’elles !]]. Les femmes se débrouillaient. «Moi, j’amenais ma cuisine, d’autres des plats, des louches... Pendant toute une époque, on a même dû déménager le comedor chez moi», raconte Maria, actuelle présidente du comedor «Amor y Paz» [[ Amour et Paix ]]. Une lutte de longue haleine commence [[ comme celle des Gilets jaunes qui ne s’essouffleront jamais…eux/elles !]] alors pour les cantines, afin d’obtenir de l’État un soutien nécessaire. En 1990, ils obtiennent la loi 25307. Celle-ci consacre la mise en place de la PRONAA, le programme d’assistance alimentaire complémentaire. «Complémentaire parce que l’État complète ce que l’organisation apporte en premier, et pas le contraire», explique Ana Gil, présidente de la FEMOCCPAALM. Selon la loi 25307, les aliments fournis par l’État (riz, huile, lentilles) sont censés couvrir 65 % du coût total des menus. Dans la pratique, cette participation étatique en nature stagne autour des 19%. 81% de l’investissement pour les repas reposent donc toujours sur les membres de chaque comedor [[ pareil pour nombres d’associations 1901 traitées comme des sources…de profits, qui, au final, coûte bien plus aux associations que ce qui est affiché…ces 85 % promis se rétrécissent à 50 %...quasiment tout le temps !]]        . Pour joindre les deux bouts, chaque restaurant a sa stratégie [[ disons que dans la durée, la stratégie de « résister par les assiettes » marcherait vraiment bien pour les gilets jaunes !]]. Au comedor «Amor y Paz», les cuisinières proposent un deuxième menu un peu plus cher, qui leur permet d’équilibrer les comptes et de garder les menus des membres à un prix très accessible (un sol, c’est-à-dire 0,40 €). Mais parfois, la corde raide du budget des comedores ne leur permet pas toujours d’offrir leur repas à un grand nombre de personnes, qui pourraient pourtant être considérés comme des personnes fragilisées. Ces dernières années, les nouveaux membres qui restent se font rares [[usant de toujours donner…sauf si, dès le départ, on n’attend rien en retour…cela devient un fontaine de Jouvence, plus t’aides plus c’est recharges positives !]]. Maria a 59 ans, dans son comedor depuis sa création, elle commence à fatiguer. Parce que le travail est dur, parce qu’elles sont de moins en moins. Un peu amère, elle explique la situation actuelle: «Ce qui se passe, c’est qu’aujourd’hui les jeunes femmes ont besoin d’argent [[ la désorganisation antisociale par le haut alourdit tout…mais un vrai mouvement…contourne tout ! Bien nommer, formuler pile…allège tant les poids collectifs. Tout doit commencer par là…l’autre versant (celui de la Réalité complète) ne peut que vaincre !]]. Elles doivent travailler si elles veulent pouvoir joindre les deux bouts. Les repas gratuits et à prix réduits… ne suffisent plus. Alors elles s’en vont pour aller travailler. Se faire exploiter. Reste les plus anciennes».

Inter-urgences-le-bouillant-collectif-de-santé-qui-bouscule-les-syndicats

« Ils sont aides-soignants ou infirmiers et ont à peine la trentaine. Avec leur fougue et leur réactivité, les membres du collectif Inter-Urgences sont parvenus à coordonner depuis Paris une grève nationale d'une ampleur inédite, prenant de court les syndicats traditionnels [[ comme en 1995 ]]. 18 mars. Excédés après une série d'agressions, les soignants des urgences de l'hôpital parisien Saint-Antoine se mettent en grève illimitée. "Très vite", ils sont rejoints par leurs confrères de quatre établissements voisins, relate Candice Lafarge, 33 ans, aide-soignante à Saint-Antoine. "On se connaît tous, on a fait nos études ensemble. On s'est rendu compte qu'on avait les mêmes problématiques", insiste-t-elle. Un collectif est lancé [[ plus jamais de monstres figés, genre centralisés et verticaux…les autonomies en tout avancent à grande vitesse…hors d’elles c’est Inerties partout…]].

Trois mois plus tard, Inter-Urgences est devenu une association portée par une vingtaine de paramédicaux non syndiqués, qui revendique plus de 130 services en grève, une centaine de relais partout en France, et participe aux discussions avec le ministère de la Santé. Un succès indéniable [[ ce pourquoi le silence médiatique reste si…fort !]]. Mais il tient à son indépendance. "On ne voulait pas que les syndicats négocient à notre place, on a vite vu qu'il pouvait y avoir des petites guéguerres entre eux [[ tant d’enfantillages ont Bloqué la société depuis …40 ans…Inutile de continuer !]]", explique Emilio, 28 ans, infirmier à Saint-Antoine. Et "contrairement aux "gilets jaunes" nous avons été capables de nous structurer", fait valoir Christophe Le Tallec, 50 ans, aide-soignant à Nantes [[ ce qui – fort heureusement, bonheureusement, n’est plus vrai !]].

Radicale, la mise en arrêt maladie d'équipes quasi entières à Lariboisière et Saint-Antoine début juin a donné un nouveau tournant au conflit. "Il faut en finir avec cette image de bonne soeur qui nous colle au derrière", justifie Hugo Huon [[ image où les pouvoirs peuvent toujours profiter en toute impunité ]]. Nombre de patients doublé en 10 ans, conditions de travail dégradées, pressions budgétaires..."Cela fait des années qu'individuellement les services d'urgence se mettaient en grève pour dire qu'ils étaient à bout", rappelle Typhaine, relais du collectif à Rennes. "Maintenant ils se réunissent", se réjouit l'infirmière de 40 ans. Mobilisés dès décembre 2018, les grévistes de Lons-le-Saunier ont ainsi décidé "à l'unaniminité" de rejoindre le collectif en mai, selon l'infirmier Swan Meynier, 27 ans. "On s'aperçoit que depuis 20 ans les actions menées par les organisations syndicales n'ont pas abouti", analyse le jeune homme [[ ceci sont les réalités brutes que tentent, toujours plus maladroitement, de…fuir les pouvoirs et « leurs » médias si…dépassés !]].

L'intersyndicale CGT-FO-SUD et le collectif ont appelé à une même journée d'action nationale le 2 juillet. En coulisses [[ qui coulissent la réalité…complète…soit le caché et le montré – à nous de suggérer tout e caché !]], certains redoutent même un "embrasement de la situation" [[ redouter c’est se douter que ceci peut très bien…arriver !]]. "Les annonces de la ministre n'ont pas un coût neutre [[ soit tout en trompe l’œil : est changée une colonne dans les chiffres et se voit légendé que c’est une décision …énorme !]]", expliquait récemment une source syndicale à l'AFP. "Il faut savoir sortir d'une grève", a-t-elle prévenu. »…Justement cette formule pestiférée n’a plus cours…on n’est pas dans des marchandages de…marchands… Nous sommes dans la réalité qui dérange…dé-range leur rangs de corrompus !

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« Caminante, no hay camino, el camino se hace al andar », écrit le poète Antonio Machado (Homme qui marche, il n’y a pas de chemin, le chemin se fait en marchant »).

>>> ** --- « C’est l’inquiétante tentative d’un gouvernement aux abois d’imposer un discours faux sur le réel, d’instaurer un délire autoréalisateur et glaçant en lieu et place de tout langage humain. Cette chose curieuse qu’on appelle « l’information » s’est mise à croire à l’effet de ses propres annonces.[[ aliénations complètes, s’il en est…]] Vous le savez bien. Si l’on réprime les manifestants, c’est pour défendre le droit de manifester, tout comme on organise des « grands débats » pour clarifier le débat des rues, et qu’on ferme des hôpitaux pour …défendre plus efficacement l’avenir de l’hôpital. Cela va sans dire. » Dernière parole à Belleville…oui…que les inversions perverties des pouvoirs (perverses versent du mauvais côté) sont désormais certaines d’être vaincues par…l’autre versant

…………………………….Bien nommer, formuler pile…allège tant les poids collectifs

 

…….………………(à suivre)

 

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toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

 

       Que la vaste détermination collective nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

       tous ces textes quotidiens sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 100 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

enclaves non esclaves...

enclaves non esclaves...

L’autre versant
A Lima, depuis plus de trente ans, les femmes s’organisent contre la pauvreté. Les restaurants populaires leur permettent d’économiser, mais aussi de se rassembler.

A Lima, depuis plus de trente ans, les femmes s’organisent contre la pauvreté. Les restaurants populaires leur permettent d’économiser, mais aussi de se rassembler.

Aides sans… humanitaire et toujours la stupidité nous sommes les gentils et tout le reste les méchants…cela ne peut être accepté…

Aides sans… humanitaire et toujours la stupidité nous sommes les gentils et tout le reste les méchants…cela ne peut être accepté…

L’autre versant
L’autre versant
L’autre versant
L’autre versant
L’autre versant
Avec son débit de mitraillette, le Québécois Mathieu Bock-Côté étrille régulièrement les apôtres du catéchisme multiculturaliste. Dans L’Empire du politiquement correct, il dénonce ces progressistes qui tentent de museler de débat public et psychiatrisent leurs adversaires. Rafraîchissant.

Avec son débit de mitraillette, le Québécois Mathieu Bock-Côté étrille régulièrement les apôtres du catéchisme multiculturaliste. Dans L’Empire du politiquement correct, il dénonce ces progressistes qui tentent de museler de débat public et psychiatrisent leurs adversaires. Rafraîchissant.

Vidéos de reprises complètes du réel…Les combattants des violences policières : Dr Laurent Thines, David Dufresne, SOS ONU et les medics : Comme dit Maître Sophia Albert-Salmeron, avocate des gilets jaunes dans le Vaucluse : « Les gilets jaunes sont aujourd’hui une minorité, identifiée voire identifiable, en tout cas c’est ainsi que le traité de ROME définit la persécution sur une minorité ou sur un peuple, donc les gilets jaunes constituent bien cette minorité qui est persécutée. »

CORRUPTION ET SERVITUDE : DANS LES COULISSES DE LA MAGISTRATURE - ERIC ALT

COMMENT LES MÉDIAS DIABOLISENT LES GILETS JAUNES - MARION BEAUVALET

La nouvelle Mafia immobilière

Et donc ?...GILETS JAUNES : LA REPRISE DES BLOCAGES...ceux qui font débloquer les faux pouvoirs..

GILETS JAUNES RAP -CLIP OFFICIEL D1ST1 Si ce projet des Gilets Jaunes se réalisait, ce serait grandiose, une base politique, des structures juridiques, etc…bref, Tout !

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