Les censeurs ouvrent l’ascenseur ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Les censeurs ouvrent l’ascenseur ?

A partir du moment où il n’y a plus du tout d’ascenseur social c’est qu’une caste se monopolise tout, oui prend en otage tout un pays et…exproprie ses habitants de ses droits. Comme s’ils en étaient les propriétaires de droit…divin. Or c’est que les têtes ne veulent plus de ces délires. Puisque suite au kidnapping, la caste encastrée tente de créer de biens illégaux guichets comme si elle avait autorisation plénière. Sauf que ces castapianes deviennent bien incapables d’énoncer d’où leur serait tombée cette permission. Oui… amenée par qui : par une époustouflante stature morale ? – d’une abnégation économique et d’un sens du renoncement pour les autres qui passent toujours avant eux ? – d’un génial plan global pour la population, plan qui reconnaît chacun des habitant.e.s ? – d’un souffle transcendant du dieu même ? – Non rien de tout cela. L’ascenseur social est BLOQUÉ sans raison, juste pour le prendre en…otage (l’ascenseur de la justice immanente). Juste pour des bégaiements sordides, juste pour des incompétences grotesques, juste pour des avidités qui déforment les visages en laids rictus, etc. Exactement…juste des caprices hystériques sans fondements historiques, des geignements de divas sans aucune fulgurance supranormale, des glissandos d’escrocs moites et maladroits…et le tout avec trop de preuves de ceci ( ils n’ont…pas le droit !). Des milliers d’exemples se bousculent aux portes de l’entendement. Mais s’ils prennent l’ascenseur social en otage c’est qu’ils veulent qu’il ne fonctionne plus. Que des censeurs d’ascenseur ! Ils en perdraient jusqu’au dernier gramme de légitimité ?

Holà faut mettre le holà : qu’au moins une fiction, un voile, un tissu su cache cette béance qui menace jusqu’à leur absence complète de fondations (ils ne sont pas établis et ils ne représentent aucun ordre établi). Il faut un évènement Majeur. Qui serait ?

***1) – Soit il n’y plus Aucun ascenseur et c’est alors bien une prise en otage par une caste absolument illégitime. Et, de plus, très minoritaire. Très : en gros 20 % de la population adulte totale. 4 françaises et français sur 5 sont contre cette caste. Et, sur ces 20 %, combien sont ardents et prêt.e.s à lutter ? Exactement une minorité de la…minorité !

***2) – Soit, dans l’urgence, il va être tenté de rafistoler un ascenseur dépenaillé, tout rouillé et de guingois. Dans cette seconde éventualité, jamais seulement envisagée (mais de quoi parlent-ils donc ?) il existe une voie très simple de Prouver la résurgence et résurrection de l’ascenseur. Cet ascenseur, appartenant à la Justice de l’univers, reste indépendant de tout pouvoir politique (celui-ci, d’ailleurs, ne s’auto-élisant pas lui-même, ne se faisant pas l’immaculée conception de son propre accouchement, ne se prouvant pas méta-divinité se bénissant lui-même ( oui genre qui sort son bras d’un buisson ardent, etc.)…Non le politicien n’est Légitimé que par un …vote extérieur. Aucun politique ne s’auto-nomme…même si les délires gravement irrationnels du macronisme pouvaient le laisser croire). Non non, aucun politique ne peut prendre la société (en partie ou entière) en otage…Le macronisme métaphysique pas plus que les autres… La Justice préexiste à l’Humanité et sa justesse vient de l’existence de l’univers – aucun politicien dans aucune situation, ne peut accéder à ces rouages. Pas touche à l’ascenseur lui dit l’univers. Il n’y a que le macronisme obscurantiste pour ne pas entendre : bien voilà qu’il…confisque tout l’ascenseur d’un coup…Là ça se voit Trop

 

>>>> Alors 1) et 2) où va se trouver la preuve que l’ascenseur social peut refonctionner. Qu‘il va le faire. Qu’il le fait ? Facile …c’est la Culture. Le lieu d’un complet monopole, oui oui mafieux, mon brave monsieur ; illégale séquestration, illégitime appropriation…il n’est que de penser à l’escroquerie étatique de « l’art contemporain » qui n’est ni art ni contemporain mais de vague incompétences avec un blabla sinistre. Sauf que le ministère l’officialise (sic) afin de provoquer une bulle (fermée celle-là) de spéculateurs indignes. Tout ce charivari juste pour que ces pitoyables personnages fassent de …faux gains. Et puis ces étranges apparatchiks qui parviennent à interdire une autrice ou un auteur (présentant toutes les qualités de publiables,  ayant même parfois vachement de talents) oui à interdire d’édition à vie…arbitraire absolu  - sur les ordres de qui s’intrusent-ils partout ? Vous voyez bien, des milliers de pelotes…anormales laissent pendre leurs fils, il suffit de tirer dessus et tous les…éclaircissements surgissent (un peu qu’on pige et cela saute aux souvenirs et ceci est si cohérent)…et des milliers d’autres exemples, vous les voulez ? Bref – s’il est un secteur social SANS plus d’ascenseur depuis les …années 1950 - c’est bien  celui-là. Le surgissement d’un ascenseur s’y fera donc très facilement remarquer. Problématique solutionnée.

 

Il suffit d’enlever tout privilège et que chacun.e crée sa propre demande…donc sans appuis abusifs mais sans – non plus – plus aucun abusif obstacle…le libre marché se prouve par la…libre circulation des biens - les livres sont des biens plus que biens…laissez-les circuler. La vraie concurrence reviendra : depuis 1945 en gros elle avait tendance à disparaître…complètement.        Alors chiche ? 22 ? Les censeurs (du mot cens) qui se permet d’utiliser leur argent (cens) pour nuire illégalement à la vie d’autrui. Mais en s’arrangeant (délit géométrique – qui se multiplie et non plus arithmétique qui s’ajoute soit 4, 8, 16, 32 et non pas 2, 4, 6, 8, 10)…Facile non à prouver que l’ascenseur si sociable comme Mathilde est revenu…

 

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Fausse-main-invisible-ou-le-côté-sombre-des-lumières-?

 

  Le mythe de la main invisible : « Contrairement à ce que la légende libérale [[ oui cette escroquerie de braqueurs d‘argent public doit être vue telle une…fumisterie qui Ment sur tout…]] prétend, la naissance du capitalisme n’a pas été provoquée spontanément par le jeu des forces du marché guidées par la main invisible [[ ça va ça suffit, ras le bol de ce séjour chez des malades complets…il n’y a PAS de main invisible et si un dieu existe il est pour le partage vigilant et à égalité entre tous les humains…comme l’organisation par…régulations de la Nature (que nous connaissons si peu) commence à le montrer à nos…admirations !]]. « Le capitalisme n’a jamais été établi par le biais du marché libre [[ le marché NON libre du capitalisme c’est celui de monopoles qui ne veulent pas  de la…vraie concurrence (seulement la très…fausse et faussée !)…l’exemple de la Culture est flagrant : si le marché libre existait…eh bien il y aurait une…libre circulation des idées. Ce qui n’est vraiment pas le cas !]], ni même par l’action première de la bourgeoisie. Il a toujours été établi par une révolution venue d’en haut [[ les solutions par le haut…ne sont que des problèmes majeurs …à éviter dans le futur commun !]], imposée par une classe dirigeante pré-capitaliste. En Angleterre, c’était l’aristocratie terrienne ; en France, la bureaucratie de Napoléon III ; en Allemagne, les Junkers ; au Japon, le Meiji. En Amérique du Nord [...] l’industrialisation a été réalisée par une aristocratie mercantiliste composée de magnats de la marine et de propriétaires terriens». En fait, ce n’est pas la main invisible qui a permis d’accumuler le capital entre quelques mains et ce n’est pas le marché qui a privé le travail de l’accès aux moyens de production et l’a contraint de se vendre aux conditions fixées par l’acheteur. Il a fallu une intervention concertée [[ ne dites surtout pas complots surtout s’il y en a …oui la maladie mentale nommée complotiste…où ce sont ceux qui dénoncent les « ententes illicites » les …malades mais ceux qui les complotent les…accusateurs laisse vraiment…rêveurs. Des millions de questions en tête. Fort heureusement nous n’avons pas besoin du mot complot pour tout expliquer. Les sordides sont encore niqués !]] de la part des agents instrumentalisés par le système. La main invisible : la main de fer de l’État [[ oui mais celui «pris en otage» par d’illégaux intérêts privés…donc cet État n’est pas du tout…l’état, le vrai !]]

La main invisible était en réalité une main de fer guidée par l’État au service du système d’exploitation et de contrainte [[ donc l’état séquestré, kidnappé, pris en otage par l’oligarchie…]]. Ce faux État a organisé l’accumulation primitive en détruisant le mode de vie de la société traditionnelle [[ ce que le macronisme pervers veut faire à la France actuelle…tout détruire ce qui constituait un mode de vie !Et comme ça il faudrait le laisser faire…]]. Sur le plan interne, il a privatisé puis a dégagé et jeté sur le marché une main d’œuvre acceptant un salaire de misère. D’une part, la privatisation [[ une République privatisée n’est plus réPublique, …un état privatisé n’est plus un…état, que du privatisé !]] a laminé la capacité des paysans à subvenir à leurs besoins [[ leur voiler et voler les moyens de continuer à rester autonomes…ce privé est donc une forme virulente de parasitisme et rien…d’autre. En 2019, nous pouvons nous gratter de tous ces superflus parasites… ]]. D’autre part, la loi a été mobilisée pour empêcher lesdits paysans de trouver des stratégies de survie alternatives en dehors du système de travail salarié [[ si ce n’est pas une forme achevée de complot cela y ressemble fortement – de toute façon c’est tellement répugnant que cette vérité puissante ne pourra que faire…tomber ces fausses classes supérieures…inférieures en tout !]]. Grâce à son monopole de la violence et de la définition de la légalité, le faux État a joué un rôle crucial à la fois dans le soutien et dans le développement des processus d’accumulation primitive. « Ceux-ci comprennent la marchandisation et la privatisation de la terre ainsi que l’expulsion forcée des populations paysannes [[ en pleines illégalités, n’est-ce pas ?]] ; la conversion de différents droits de propriété (commune, collective, étatique) en droits de propriété privée exclusifs [[ comment la propriété d’un seul peut être préférée à la propriété de tous – il y a là une grave maladie mentale qui va devoir être soignée…énergiquement !]] ; la suppression des droits d’usage des terres communales ; la marchandisation de la force de travail et la suppression de formes de production et de consommation alternatives (indigènes) ; des processus d’appropriation des ressources (y compris les ressources naturelles) sous des formes coloniales, néo-coloniales et impériales [[ soit une…chute si régressive dans des formes de sociabilités…inférieures…le capitalisme est bien une grave régression vers le plus …minable en tout !]] ; la monétarisation des échanges et de l’impôt (en particulier sur la terre) ; la traite des esclaves ; l’usure, la dette nationale et, enfin, le système de crédit » [[ c’est là que 2019 peut parvenir au top de l’émancipation puisque…]]. Pour tenter de… justifier la violence de l’État [[ pris en otage et qui n’est donc pas le vrai état…]], le système a fait appel aux élites « éclairées » [[et donc ]]. La duplicité des élites [[ enfin une mince partie, la pas vraiment talentueuse ]] des Lumières au service du système

Les économistes de l’école classique complices [[ très !]] du système : Les économistes classiques ont décrit l’émergence du capitalisme comme un système volontaire qui profite à tous [[ de nos jours c’est la « théorie orthodoxe » démontrée fausse mais à …100 %. Bourgeoisie = médiocrité dans tous les domaines…même en théorie économique :]]. Cette falsification historique [[ comme ils ne peuvent rien démontrer, rien argumenter…ils falsifient !]], qui est au cœur de leurs analyses, fut une invention très peu originale. La justification de l’exploitation à travers les mécanismes du marché produisant un ordre naturel aseptisé relève de l’hypocrisie voire de la complicité [[ euphémisme : ce sont des traîtres à la vraie Raison désintéressée et objective…]]. En effet, ces économistes libéraux connaissaient la nécessité d’une intervention de l’État pour faire décoller le capitalisme. « L’étude de l’histoire expose clairement le fait qu’Adam Smith et ses amis partisans du laisser-faire étaient en fait une bande de crypto-étatistes, qui avaient besoin de politiques gouvernementales brutales pour contraindre la paysannerie anglaise à devenir une main d’œuvre capitaliste docile prête à accepter l’esclavage salarial ». En contradiction directe avec les principes de laisser-faire [[ ne laisser-faire et ne laisser-passer que leurs…monopoles…et empêcher toute réelle concurrence…]] qu’ils prétendaient défendre, ces hommes ont cautionné les interventions violentes du faux l’État pour favoriser l’accumulation, créer et garantir des privilèges et maintenir la discipline du travail. Ce paradoxe suggère que les économistes libéraux tenants de l’école classique étaient des agents actifs du système dont la mission consistait à fournir une base théorique en justifiant la nouvelle forme d’exploitation. »…Ce qui est profondément raté. Mais aura semé tant de dégâts…inhumains comme nous allons le découvrir…

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Quelle-forme-peut-prendre-une-guerre-de-classe-?

« Une seule colonne d’escalators - incroyablement peu eu égard à l’immensité du lieu -, pour monter ou descendre, et les escaliers, placés à l’autre bout du bâtiment, je n’y croiserai jamais personne [[image même du refus trop brutal des hiérarchies naturelles : il faut maltraiter les humains comme cela sans motif. Ici - nous rencontrons la violence meurtrière de la hiérarchie France Télécom mise en procès. Et, avec une horreur absolue, nous découvrons ce que ces monstres ont en tête. Il faut bien se concentrer, au préalable, sur le fait que le système capitaliste n’a aucun fondement…scientifique, que sa théorie orthodoxe est prouvée comme un tissu d’irrationalités sans le moindre raisonnement cohérent et que cet ensemble enlève toute légitimité à des comportements qui ne sont plus que…atrocement nus et d’une barbarie extrême !]]. De même, un seul point d’entrée qui bouchonne en continu ; un portique où l’on se dépouille comme à l’embarquement pour un avion [[devant toute humiliation, il s’agit de vérifier si la hiérarchie qui les met en place est d’accord pour subir le… même sort : en effet, toute bonne hiérarchie, qui se respecte et respecte tout le monde, est d’accord pour partager le sort commun. Ici, il n’en est pas ainsi : les humiliations sont donc absolument…illégitimes. Sans fondement autre qu’une brutalité …injustifiée !]]. Pour tout l’édifice, passé 19 heures, un unique point de sortie, où sonnent des détecteurs jamais désactivés - jamais désactivables -, tandis que les vigiles résignés, demeurent immobiles dans les stridences. Entre les escalators obligés et les escaliers fantômes, entre le check point d’entrée et le portillon couinant, on est prisonniers des étages de lumière [[ il faut en passer par les desideratums absolument absurdes et si pervers de personnages acharnés à créer l’inconfort de chacun.e ! Devenir de la chair à caprices…]]. Des agents sont postés aux immenses rambardes donnant sur d’infinis horizons. Ils doivent prévenir les suicides - d’aucuns ayant pris la liquidité du lieu au sens strict et choisi de se défaire de leur propre vie comme d’un actif de portefeuille [[ restituer les images justes qui vont avec…]].

Quand l’agencement d’une société entière est visé depuis lui-même, ça se lit dans les corps et leurs mouvements. Les agenceurs (dans le cas présent les prévenus, leurs avocats) ont consistance et circulation différente des agencés (les parties civiles). Dans la salle d’audience Victor Hugo (sic) : d’une part, les parties civiles, corps malmenés, rivés à une peine éternelle. De l’autre, les corps gorgés des prévenus et leurs avocats, leur mobilité [[ même après leurs crimes qui soulèvent de répulsions : pousser au suicide les personnels – ces tristes personnages sont mieux traités encore. La bourgeoisie se déconsidère tant à inventer des gestuelles qui…emprisonnent les corps – les mettent si mal à l’aise…son abolition en tant que classe (et le symétrique qu’elle doive apprendre (désormais), apprendre vraiment à vivre…sociablement. Oui toute une éducation de voyous…à refaire !)…marque les consciences…]]. Le 24 juin, l’audience commence avec une chaise roulante. Elle s’avance à la barre, dedans il y a madame G. - dont je ne verrai longtemps que le dos -, à côté il y a sa soeur qui lui tend des mouchoirs, lui serre le bras. Juste avant, d’autres roues avaient rejoint la scène : celles des valises roulantes des avocats de la défense : une, deux, trois, quatre, construction progressive d’une ligne de front. A présent au complet, ils font corps dans un singulier mélange d’entre soi et de coordination stratégique. Ils sont dix-sept. En face, cinq avocates.

Quand la chaise roulante s’immobilise, parle madame G., Lacan dirait « ça parle par madame G. », tellement profond semble le lieu d’où monte sa plainte. Madame G., allégorie de l’astreinte à l’argent liquide [[ les maltraitances qui devaient passer comme des lettres à la poste et qui se sont mal passées – d’où les dols (souffrances) se font doléances (expressions fortes des douleurs) !]]. Flexibilisation terminale [[ mot de Casseurs insensés]]  dans la paralysie. Supprimée du bilan, madame G. parle parle parle tout ce qu’elle peut sous les regards révulsés des trois bancs de la défense, se livre, enfin, et pour jamais à son récitatif lugubre. Tous les détails, tous les noms, tous les codes d’accès, toutes les dates. Elle tente de dresser un réel contre le seul qui soit désormais structurant, et reste invisible pour tous ceux qui le subissent : les cours boursiers. Elle s’agrippe au détail infini de son démontage pièce à pièce par la non-politique de l’entreprise, réfractée dans la cruauté de ses différents managers [[ cruauté est le mot qu’il faut ne plus lâcher – et c’est unanime, la même bestialité se déchaîne pour déchaîner des justifications…insensées aux violences policières…injustifiables (et seulement justiciables). Oui ces hiérarchies de vrais fanatiques sont clonées partout pareilles. Il nous faut arracher les racines de l’idéologie de folie pure qui incite à de tels comportements. Pas de pitié pour des êtres sans pitié. Le néolibéralisme doit être chassé fermement de la…civilisation. C’est bien d’une barbarie incivilisée dont nous parlons…elle tire sur tout ce qui bouge !]] . Le récit de madame G. est une miniature atroce des étapes du supprimer - 22 000-pers…enfin, il-fallait-voilà. Pendant une heure, on écoute les progrès cannibales des atteintes à sa personne : tour à tour exploitée à mort puis installée dans un bureau vide, elle se démène pour avoir une tâche, l’espace développement lui propose de refaire son cv, un jour, elle arrive au bureau, toutes ses affaires ont été jetées [[ que des bassesses et de sordides actes permanents de personnages qui se prétendent…si…supérieurs. Mais ne peuvent – visiblement – pas l’être une seule seconde de leur journée. La barbarie a vraiment …ruisselée par le haut !]]. Ce sont les rengaines du procès France Télécom - les rengaines, c’est à dire : leur méthode.

La chaise roulante, c’est parce que madame G. s’est jetée sous le RER A. Pendant qu’elle raconte, sur les visages des prévenus, dans leurs échanges de regards : le dégoût, la morgue [[jusqu’au bout, dans tous les procès de tortionnaires il a été noté ces mêmes…refus du réel, de reniement des conséquences de leurs actes. Ils se voient comme des héros ayant eu des attitudes exemplaires…et ne supportent pas le retour des…refoulés. Que leur soient rendus des images d’eux en tant que seuls…monstres !]]. Cette infirme qu’on leur colle sous les yeux, c’est juste pénible et répugnant [[ non ceux qui le sont ce sont qui l’ont…poussé à un tel acte limite…les responsables demeurent…responsables jusqu’au bout. Qu’ils le dénient ou non ! Tout comme nous n’en avons pas fini avec l’illégalité des violences policières…il est socialement plus acceptable de mettre toutes les exactions de ces bourreaux ainsi sur la table !]]’; pour leur évidence de luxe, leurs joues rouges de dîners fins, leur équipement de bracelets grosses montres et escarpins trois fois le prix de la pension invalidité de cette suppliciée [[ les ressemblances dérangeantes avec le scandaleux Ancien Régime ne sont que de leur fait. Personne ne les a poussé à s’auto tant corrompre !]].

Eux, ils circulent, même si, tant que durent les audiences, ils doivent demander autorisation à la présidente pour se lever. A la fin de la journée, quand nous sortons par le portillon couinant, les accusés et leurs avocats attendent leurs chauffeurs en riant. On les véhicule fluidement loin de ce procès où ils ne risquent rien. Dedans et dehors, ils sont à leur aise, c’est la même structure, ils sont du bon côté de la liquidité, dedans et dehors, leurs mouvements sont déliés. Maître Veil (ci-devant avocat de la Société Générale contre Kerviel) en fait la démonstration l’après-midi du 24 juin. Pendant que les trente ans de carrière de Madame A. et leur conclusion aux barbituriques sont lues par le juge, Veil souriant avec satisfaction, se lève. Le voilà et sa panse qui déambulent, pétri de contentement, il vient s’asseoir sur les bancs de la presse, aux côtés d’une quinquagénaire blonde, en robe et brushing chers, parfum capiteux, qui prend des notes parcimonieuses sur un calepin. Elle appuie la tête sur l’épaule du maître, ils papotent : leur cirque au premier rang, tandis que madame A., une fois son mari parti travailler, s’allonge et prend des cachets pour mourir [[ c’est précisément cela : l’inacceptabilité collective de ces monstres antisociaux. C’est par toutes les pores de la dignité humaine que nous devons rejeter avec une fermement sans faille les résultats de la pire des pollutions sociales actuelles : le néolibéralisme est une idéologique folle qui ne produit que des monstres, des déchus complètement inhumains !]].

Les prévenus circulent moins que leurs avocats, mais leurs corps parlent ; quand ils montent à la barre, de dos, ils disent leur place hiérarchique, la génération patronale à laquelle ils appartiennent [[ le on a tous les droits qui ne se…vérifie dans aucun texte !]]. Wénès lourd, costume froissé au cul, gueule brutale au devant, s’ancre au micro, discute tout. A propos de locaux, justement, lui, Wénès, y insiste, il n’y peut rien si « la norme » c’est 12,5 m2 par salarié, si «c’est comme ça qu’on fait», madame la présidente, il n’y peut rien [[ sauf pour appliquer des comportements de tortionnaire …là il y peut et il y peut trop…son discours est donc incohérent ; il n’est pas dans l’impuissance mais dans des délires de…surpuissance – ce pourquoi il est jugé. Seule défense : tenter de rendre tout le monde…complice d’un système que la majorité rejette dans son cœur et dans sa tête]], s’il y a eu une transition regrettable par 7 m2 vers la norme des 12,5m 2 et que telle salariée a pris ça personnellement. Les normes c’est pas personnel.  Et il crache du langage managérial et ne peut masquer son agacement quand la présidente ne comprend pas la fusion des pôles, la refonte des filières métier, le rôle des facilitateurs de changement [[ ces splendeurs de concepts flous qui…justifiait, au cordeau, tant de sévices envers de vrais êtres humains, tout de même !]]. Quand malgré tout elle lui intime le silence, il est bras croisés devant ou mains croisées dans le dos. La cour des miracles des parties civiles versus l’épanouissement des prévenus, c’est odieux quand on vient la première fois [[ c’est odieux tout le temps…]]. On n’a pas si souvent l’occasion de voir en plein la guerre des classes. Le 24 juin je suis assise du côté presse, à côté d’une femme qui m’explique que son père a travaillé pour France Télécom toute sa vie, qu’elle vient pour voir la honte sur les visages des coupables. Elle est partie très vite : nulle honte aux audiences. Non seulement aucune honte, mais un ravissement de soi du côté des prévenus. De quoi se gêneraient-ils ? Les têtes sont refaites selon les dividendes [[ soit sont détraquées, sont perverties, sont rendues inhumaines…un tel système doit être regardé en face et rejeté avec force. S’il est aussi rationnel qu’ils le prétendent, eh bien que ces fausses hiérarchies vivent la même chose que ce qu’ils osent martyriser sur autrui. Si leur système est si parfait, il n’y a pas à hésiter une seconde…qu’ils se l’appliquent d’abord à eux-mêmes !]] : les normes du travail, les mots et les catégories psychiques depuis lesquelles on examine les cas. « Même les gens fragiles ont le droit d’être protégés » dira maître Teissonière dans sa plaidoirie du 4 juillet, mais de cela, seul un côté de la salle est convaincu, et la structuration disciplinaire [[ donc une partie des ex-humains est devenue matonne martelante, flic hyper meurtrier, folle fanatique sortant des phrases sans queue ni tête ! Et impossible de se ranger à leur déraisons : la seule réaction saine c’est un « mais ça va pas le…cœur ! »]] du corps social est entièrement conçue à rebours de ce principe.

Car les instances de contrôle des conditions de travail [[ avec cette inversion de fous furieux c’est la victime travaillante qui doit être…contrôlée et non les évidents détraqués patronaux qui doivent être mis (eux) sous vigilance, encadrés et contrôlés tellement plus que les autres parties de la population !]] sont supprimées une à une, pendant qu’on parle. D’abord, le code du travail, ici sans cesse brandi par l’accusation, est progressivement défait. Ensuite, l’essentiel des charges rassemblées par l’ordonnance de renvoi s’appuie sur les rapports du CHSCT, mais le CHSCT n’existe plus, les ordonnances Macron l’ont supprimé. Il y a quelque chose de glaçant à entendre des heures entières de débats menées sur le fondement d’un dispositif de protection des salariés qui a depuis disparu. En revanche, la pathologisation de tous les désajustements aux contraintes de rentabilité [[ si une victime saine n’admet pas ne pas être la victime de tels…bourreaux détraqués c’est qu’elle ne va pas bien dans sa tête…mais non ce sont ces bourreaux qui ne vont pas bien du tout. Et ce sont eux qu’il faut…contrôler et pas qu’un peu. Selon toute raison !]], elle bat son plein : on conçoit désormais les psychés selon les impératifs du cash-flow. C’est l’autre torsion mentale qui éclate au procès. Les cas des salariés sont pathologisés selon les catégories d’un manuel de psychiatrie américain devenu la norme mondiale : le DSM [[ DMS : disease mental statistical qui peut se résumer en un « nous ne soignons plus des malades individuels et particuliers mais uniquement des statistiques » Le recueil de normes vous attribuant…un numéro qui va devenir vous…vous disparaissant derrière ce numéro.. Et, à la question que nous avions posée à une psychiatre française si le DSM était appliquée tel quelle en France nous avions eu la réponse : « à la marge nous sommes forcés. Mais en fait le corps médical le refuse…les soins demeurent personnalisés. Et non chiffrés. ». Bon cela existe chez des humains…respectueux des humains. Mais dans le management inhumain…c’est vraiment moins sûr. Sauf que le DSM entre leurs mains…ça ne vaut…rien !]], qui, comme le management ou la dérégulation financière, s’est imposé sans partage depuis son remaniement des années 80. La psychologie se réfère aujourd’hui uniquement aux catégories nosographiques du DSM ; au procès, les salariés sont psychologiquement caractérisés selon les catégories du DSM. Or, le DSM est élaboré en étroite collaboration avec l’industrie pharmaceutique. Il a fait passer le nombre de pathologies mentales d’une dizaine à plus de quatre cents. Toute une gamme d’items qui réduisent le psychisme à des symptômes remédiables [[ théorie du SR. Stimulis réponse Où la conscience… « est juste une boîte noire sans intérêt »…et où la déchéance pour la France c’est « l’individualisme méthodologique qui ose que la société… n’existe pas, ne peut pas faire de pressions, ni inventer des langages de manipulations, ni être corrompue, ni commettre jamais d’erreurs, etc. puisqu’elle n’existe pas …mais que tout mais tout est de la faute de chaque individu (genre si t’as pas de travail c’est que t’es une nullité qui mérite…son sort. L’organisation elle est parfaite puisqu’il suffit de traverser la rue pour le vérifier. De toute façon il ne sert à rien  de discuter : tout est dans l’idéologie du c’est parfait et qui dit l’inverse n’a rien compris…au minimum. Car  car ? Il n’y a aucun aucun chômage, que des chômeurs mal intentionnés et donc le clergé divinisé (qui a compris ceci) peut les maltraiter. Comme les flics (obéissant à des ordres si divins) peuvent tirer direct dans les manifestant.e.s qui ne sont plus que des… points qui ne…comprennent rien à la perfection. Faut pas leur permettre d’empêcher les autres de le capter 5 sur 5]] chacun à part par la médication. Un symptôme, un médicament. Un individu : plein de médicaments - un poste recette.

Forcément, discuter des cas des salariés souffrants depuis les catégories du DSM qui nie la psyché, ça donne quelque chose d’abominablement pervers [[ c’est carrément l’enfer sur terre tu veux dire…]]. Depuis des diagnostics qui pathologisent la psyché, comment défendre la psyché [[ déjà en…symétrisant : si « on peut » pathologiser le salarié on peut encore plus facilement…pathologiser le patron. Et donc revenir à 1789…où les lois étaient prises pour SE DÉFENDRE DES TYRANS. Oui les lois « saines » servent à…protéger les pauvres des riches (la classe hyper dangereuse). Là où la salubrité publique justement ce sont de prendre des lois contre…les trop puissants. Facile à comprendre ? 2 siècles pour faire oublier cette facile compréhension. Et même les libertaires si…influençables sont manipulés avec 1789 à jeter à la poubelle sans…regarder…c’est que du bourgeois (dit la vile propagande qu’ils ont trop bien avalée)…Ah ouais ducon indécrottable et les Enragés, les sections des Communes et Babeuf et Saint Just prenant des décrets pour la nourriture du peuple, pour tant de nouveautés qui y ont fleurie ? Rien…néant…faux libertaires – capitalos même structuration mentale…on dirait ! Oui ? Napoléon c’est la …bourgeoisie…mais beaucoup moins avant. Tellement moins !  Donc l’esprit 1789 existe et il est celui de la santé mentale…donc sans DMS ]] semblant de ne plu? Dysthimie, bipolarité, épisode dépressif majeur, maître Topaloff fait avec et n’en maintient pas moins qu’« un harcèlement (…), cela a des effets sur (…) une personnalité pathologique» [[charabia de quelqu’un qui n’y connaît…rien !]]. On voit d’ici [[ de là aussi…]] les ravages du DSM : il faut commencer par lever l’objection qu’il impose : individus dysfonctionnants, démonétisés par sa nosographie. Pas vraiment des humains [[désolé, ce sont ceux qui imposent cette grille fonctionnaliste-comportementaliste à la con qui ne sont…pas humains !]]. Topaloff compense par un art consommé du portrait dramatisé, elle met toute sa rhétorique à faire apparaître des personnes, des manières, des tempéraments, des liens affectifs et des sentiments. Ainsi, le 24 juin, elle doit inverser l’a priori sur une salariée «fragile»[[ donc qu’on peut matraquer à coups redoublés ?]], qui faisait très bien son travail avant le plan Next. Elle travaillait bien depuis des décennies, mais le DSM dit qu’elle a des symptômes, alors comment la créditer d’humanité véritable ? Topaloff relève le gant, elle dit que précisément, les aléas psychologiques de madame N. faisaient d’elle une employée modèle : trente cinq ans durant, le travail à France Télécom a « structur(é) (…) (s)a vie ». Madame N. dont le mari assiste seul à l’audience puisque Madame N. s’est pendue. De fait, la structure du travail peut faire tenir certaines vies. Et la structure ouvertement conçue pour les démolir atteint aussi sûrement son but : refontes des services sans lisibilité pour les agents, terreur entretenue de passer en plateforme téléphonique ou pire à l’espace développement, suppression de madame N. de l’organigramme, et c’est fait, on lui a retiré le sol de sous les pieds. La corde. »…Oui ce voyage dans l’enfer complet…nous est obligatoire puisque ces…clairs aboiements de barbaries se retrouvent aussi dans beaucoup de têtes du gouvernement (toutes ?)…eux qui se croient des dieux pour qui…tout est permis !

Je suis en master de Psychologie à Paris 7, je suis forcée d’apprendre par coeur les catégories du DSM pour les partiels. Dans les services psychiatriques de Sainte-Anne où j’ai été en stage, j’ai vu s’affronter cette illogique triomphante, portée par l’argent et les restructurations managériales de l’hôpital, et un pôle de résistance psychanalytique minuscule - équivalent exact de ce qu’incarne si bien maître Teissonnière en son genre, un monde où les psychotiques (l’équivalent des salariés dans l’univers hospitalier revu par le néolibéralisme : des gens mal conformes qui coûtent cher - un poste dépense) sont écoutés, considérés, et protégés. Là encore, comme le dira d’ailleurs Teissonnière dans sa plaidoirie, un régime de discours soutient un régime de pouvoir. La restructuration des catégories psychologiques accompagne la restructuration des institutions, elles se renforcent. Grâce au DSM, la souffrance n’existe plus. »…t’as qu’à croire elle existe multipliée par MILLE et toujours…plus…jusqu’à éteindre la source de a douleur (le néolibéralisme si…antihumain…).

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Les-échanges-qui-font-changer-

« Le fait que les mêmes monnaies concrétisent deux types d’échanges qui sont fondamentalement différents a entrainé une terrible confusion. Nous avons allègrement confondu dans une boulangerie de village, le Parisien qui y fait du troc, avec le cafetier ou le paysan qui avec le même billet et le même achat conforte le lien social dans son village. Par facilité nous avons lentement tout inversé et glissé vers des monnaies qui ne font presque plus que du troc à l’intérieur et qui voudraient faire du lien social à l’extérieur en réduisant la richesse à la capacité à dépenser et la pauvreté à son incapacité à le faire [[ cette… simplification mentale qui n’appartient qu’aux …crétins émotionnels , vous savez ces gros QI mais avec des QE (quotient émotionnel)…d’arriérés…oui de pervers narcissiques incapable…d’aimer ! Inadaptés à l’humanité…]]. Et la facilité [[ les fainéants dui coeur ]] se heurte comme toujours à la réalité des faits.

En ce centenaire du basculement de l’excès du libéralisme du XIXe siècle à l’excès de socialisme du XXe siècle, ne serait-il pas temps de chercher enfin pour nous une harmonie en cessant de vouloir imposer une harmonie imaginaire à toute la Terre ? »

Face à ce si barbare fanatisme qui va supporter encore une seconde le…néolibéralisme des bestialités

 

............Refaire fonctionner l’ascenseur du SOCIABLE c’est effectivement l’abolir

 

 

 

…….………………(à suivre)

 

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toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

 

       Que la vaste détermination collective nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

       tous ces textes quotidiens sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 200 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

couverture : maisons et travaux…ici : Le Monolecte

couverture : maisons et travaux…ici : Le Monolecte

ascenseur qui ne fait que descendre quel que soit le bouton...juste des semblants de montées contrôlés de l'extérieur.

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vl média

vl média

les 1ers de cordée néolibéraux ne veulent surtout pas…aider !…Les autres (les humains) maintiennent la corde… cordiale…

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oui mais QUI a mis l'ascenseur en panne ?

oui mais QUI a mis l'ascenseur en panne ?

Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders : où ne sont plus soignées que les statistiques plus les humains particuliers que vous avez en face de vous…La France par son corps médical ne le pratique pas… complètement…mais avec les fous néolibéraux les risques augmentent que cette …folie du DSM salisse aussi la France

Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders : où ne sont plus soignées que les statistiques plus les humains particuliers que vous avez en face de vous…La France par son corps médical ne le pratique pas… complètement…mais avec les fous néolibéraux les risques augmentent que cette …folie du DSM salisse aussi la France

Les censeurs ouvrent l’ascenseur ?
À partir des «dix commandements» inquiétants qui sont au principe de la morale néolibérale aujourd'hui dominante, il analyse les ébranlements que celle-ci provoque dans tous les domaines : le rapport de chacun à soi et à l'autre, à l'école, au politique, à l'économie et à l'entreprise, au savoir, à la langue, à la Loi, à l'art, à l'inconscient, etc. Une véritable révolution culturelle est en cours. Jusqu’où nous mènera-t-elle?

À partir des «dix commandements» inquiétants qui sont au principe de la morale néolibérale aujourd'hui dominante, il analyse les ébranlements que celle-ci provoque dans tous les domaines : le rapport de chacun à soi et à l'autre, à l'école, au politique, à l'économie et à l'entreprise, au savoir, à la langue, à la Loi, à l'art, à l'inconscient, etc. Une véritable révolution culturelle est en cours. Jusqu’où nous mènera-t-elle?

Les censeurs ouvrent l’ascenseur ?

Ascenseur social bloqué…4 % seulement de pauvres…tous maltraités comme…illégitimes. Les bourgeois sont d’une violence extrême afin d’expulser tout le monde…Aucune excuse…

Histoire du Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux

Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux que du marketing…au final…haute corruption !

le management enfin en procès…mais tellement édulcoré. Ce sont des tortionnaires ni plus ni moins. Nommer c’est guérir.

c’est le HAUT de la société qu’il faut mettre sous contrôle…et vite…c’est dans ce site mental qu’il y a les délires les plus dangereux pour la société… Management barbare =danger public n° 1. Et non un gouvernement de…managers est plus…qu’inadapté aux besoins réels du pays. La France refuse le DSM et donc ce genre de gouvernements…

« par un tir de LBD - une touriste a perdu un œil, les pays étrangers comprendront ce qui se passe. On leur dit que les gilets jaunes sont extrêmement violents, leur dira-t-on que la touriste avait attaqué les policiers? »…

Gilets jaunes le 14 Juillet : «Le mouvement ne s’essouffle pas»...ce sont les mensonges qui perdent de la crédibilité...partout à la fois !

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