L’aiguilleà recoudre nos absences ?

Pas courant qui ne repoussent rien à plus tard. Qui affrontent les difficultés et les doutes sans différer. Ou qui s’y mettent alors que se laisser aller leur tend les bras ? Et pourtant ? Un fort effort pile à ce moment-là va économiser des épuisements et éreintements bien plus tard. Ce qui est là, pétri de ressentis individuels, devient une image précise de notre société actuelle. Plus vous montez plus ils se dissimulent, s’auto-dissimulent tout…ainsi, n’y peut-on « reconnaître » ce que l’on ne connaît pas du tout. Plus que des étrangers dans les pays qu’ils sont supposés  diriger ? Il y a de cela…oui ne sachant rien et ne voulant rien savoir du réel des vécus, ne sont déversés (et de plus en plus) que les tombereaux de leurs préjugés ? Oui, mais selon nos habitudes, ce que nous avançons nous tentons de le prouver.

Oui la société s’est rendue opaque à elle-même…sauf aux transversaux et autres si sains anti-conformistes qui parviennent à une image cohérente de l’ensemble. Et la transmettent plutôt bien. Mais qui peut reconnaitre ce qu’il ne connaît absolument pas ?Et donc ? Les faux dominants ne se tournent que vers ceux/celles qui restent très à côté de la plaque…hors sujet, hors sol et hors réel. Toujours plus « ignorants » et incultes ! Ce qui, à l’évidence, n’est pas pour arranger les choses. Société toujours plus opaque à elle-même ? Grâce aux efforts précédents et tous les coups de boutoirs des faux dirigeants antérieurs…afin, au départ, de planquer leurs peu de faits glorieux. Puis, trafiquer, oui « maquiller » l’image comme on le fait d’une voiture volée…ce qui obtient, au final, que ces claires anti-élites persistent à se faire nommer… «l’élite»…même pas le 30 Février, élite, c’est dire ! Des raclures de médiocrates pas plus. Ce qui abouti à ce 2019 et ses Restachous En Miettes (REM) plus que largués. Plus un sujet où ils tiennent la route ? C’est plutôt cela ! C’est le haut qui détruit la société et son fonctionnement…

Bon, ce qui restait assumable pour son propre chef (tous les ressentis personnels de départ) l’est beaucoup moins lorsqu’il y a problème de chefs. Qui demeurent encore à la Taille de la société toute entière ? Plus personne dans l’anti-élite, encore moins dans les faux dirigeants… Sachant joindre tous les membres éparpillés à cause des bombes d’ultra égoïsmes lancées par les marginaux capitalistes ? Problématiques de chefs oui de faux chefs, et moins qu’apparemment (cela commence à se voir, donc savoir dans la civilisation), dans aucun secteur de la société. Perdu.e.s les égarés ? Pas possible de résoudre ceci en une seule bouchée. Faudra plus d’un essai…et ? Commencer à tâtonner l’angle qui soulèvera la montagne. Abordant par ce qui pourra paraître surprenant, les prises n’en seront que plus sûres prises. Avec surprises ! 

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Le-capitalisme-génère-une-surproduction-d'ordures-et-ce-sont-les-femmes-qui-nettoient-!

« R.P. : Il y a peut-être un malentendu dans le sens où « décoloniser le féminisme », où l’idée d’un féminisme décolonial a été peut-être perçue comme une volonté d’attaquer le féminisme, de critiquer le féminisme ou de se positionner contre le féminisme pour le détruire, pour l’abolir... alors qu’il me semble que ton discours sur la décolonisation du féminisme va dans une autre direction, peut-être celle de radicaliser le féminisme ?—Françoise Vergès : Déjà, je dirais qu’il n’y a pas un seul féminisme, que le féminisme européen qui se voudrait universaliste n’est pas le seul féminisme. A partir du moment où on tient compte des luttes de femmes, que les femmes ont lutté pour la liberté l’égalité, pour l’indépendance de leur pays, contre la colonisation, contre l’esclavage... on peut parler de lutte féministe. C’est-à-dire la manière dont les femmes participent à ces luttes [[ la maniaquerie blanche de tout nommer à la place des autres, de voler aux autres le sens de leur vie en la décrivant n’importe comment, aboutit à une aliénation complète. Qui est de croire qu’il n’y a pas moyen de faire autrement,  que l’on ne corrige pas l’omniscience blanche : l’aveuglement est énorme. Aussi, la plupart des européens mettent leurs pas dans les préjugés insupportables de leurs ancêtres et…méconnaissent toujours plus le monde. Non, les autres ne sont pas à leur image. Que non pas !]]. Pour moi il n’y a pas un seul féminisme, qui serait le féminisme européen. Et ce n’est pas une attaque, mais c’est se dire que peut être qu’en 2019 on ne peut pas continuer à raconter les choses comme elles le racontent [[ et se la racontent, se bercent dans leur présupposée supériorité qui dit tout, péremptoirement, à autrui et n’écoute toujours jamais rien !]] On ne peut pas continuer à penser qu’il y a UN féminisme qui serait universaliste, que la sororité est automatique [[ ouais, moi blanche je suis plus ta sœur que toi. Tu reste en dette avec moi…]], qu’elle serait universelle, spontanée. On peut aussi se poser la question de comment est créée la catégorie « femmes », comment elle est fabriquée, aussi par le capitalisme, comment elle est traversée par le racisme, comment le capitalisme a oublié certaines femmes, dont le destin sera de travailler dans des emplois sous-qualifiés, sous-payés... puis d’autres seront classées comme « autres femmes » [[ en effet, en 2019, plus nous nous posons des comment plus nous précédons les pourquoi, (ultime luxe immérité des blancs ?). Les preuves en éclatent ici…]]. La catégorie « femmes » elle-même n’est pas neutre, n’est pas quelque chose d’ahistorique qui sortirait comme ça... Elle a été historiquement transformée [[ donc maquillée, déguisée, rendue méconaissable !]], elle n’a pas toujours signifié la même chose. L’Occident [[ dans son immense paresse intellectuelle et son manque si flagrant de coeur !]] a tendance [[ qui lui tend donc ses tendances ?]] à penser peu penser que « femme » fait référence à la différence sexuelle [[ ses «évidentismes» crasses de bas fonctionnalistes sont hyper fatigants !]], qui serait absolument partout la même et qui désignerait qui est femme et qui est homme [[ et eux seuls, occidentaux, conservent la clé du significatif ! Trop fastoche pour être possiblement vrai !]]. D’une part il y a quand même beaucoup d’autres possibilités [[ évidemment…]], et d’autre part cela revient à considérer que cette différence biologique fait la loi [[ donc clôt tout par le « ferme ta gueule »…des maniaqueries de verrouillages de tout débat par ces devenus…arriérés occidentaux !]]. On peut aussi poser la question de cela, de la notion de genre. Est-elle vraiment universellement de la manière dont les féministes occidentales la comprennent [[ soudain, il saute aux yeux que cela ne se peut, n’a jamais pu l’être…Tout est corsé par/dans l’éducation…et l’on devient gendré, genré…qu’on ne l’est pas naturellement !]] ? On peut même poser la question sur la manière dont elles conçoivent l’égalité de genre. Qu’est-ce qu’elles entendent par là, et est-ce que les femmes de ce qu’on appelait le Tiers-monde, et qu’on appelle aujourd’hui le «Sud global», ont la même conception de ce qu’est l’égalité [[ c’est que le féminisme occidental est pris en otage (décidément c’est une manie en occident) par les femmes des classes prétendues supérieures (et que ne sont plus !) qui ne veulent «que» s’en servir de marchepied afin de réussir dans le « monde impitoyable des hommes », héhé (hé hé, leur monde l’est tout autant impitoyable –et elles ne « croient » pas du tout dans le féminisme, mais l’utilise seulement…pour tous les vils marchandages !)…Aussi – aucune solidarité, mais aucune, avec leurs soeurs humaines : le but n’est pas d’initier l’émancipation partout, de commander la libération de la domination capitaliste. Non ces inégalités les arrangent bien, elles sont pour, elles ne veulent surtout pas les changer, mais les tourner à leurs seuls avantages : avancer avec le biais de la mauvaise conscience masculine envers l’infini servage de la femme leur semble le plus percutant. Leurs si peu sœurs du peuple sert à alimenter le nombre – mais pas question qu’elles participent aux décisions cruciales…et ainsi, le dit féminise occidental semble tant figé depuis les années 1970…malgré le si bon transversal « Je ne parle plus à qui a raison » (offert ici !)…]]? Pour moi, le féminisme serait une manière d’analyser le monde, une méthode par laquelle lire les conflits et les résistances à ses oppressions, à ses multiples oppressions [[ donc une méthodologie qui ne peut qu’être locale, même si l’idée de questionnement de départ aura été globale…]].

R.P. : Une dernière question, parce que ton livre commence par une référence aux travailleuses d’Onet, aux travailleuses du nettoyage. Révolution Permanente a suivi, a beaucoup supporté leur lutte, qui a été une lutte exemplaire et victorieuse. A quelles réflexions t’ont amenée ces expériences de lutte de femmes ? -- F.V. : Je m’intéresse de plus en plus à cette question de nettoyage, de l’industrie du nettoyage, d’une part parce que c’est une industrie qui explose, qui devient de plus en plus importante. Elle a un lien avec le néolibéralisme parce que le néolibéralisme a de plus en plus besoin de milliers de mètres carrés de bureaux, d’endroits pour faire fonctionner sa machine [[ la « technostructure » représente 15 % de personnes en France et ce sont les seules que le fanatisme macroniste veut épargner, sauf que, depuis 9 mois, un petit 5 % de ces technostructurés s’interroge sur ce macronisme… anachronique - notamment à Bercy ! Donc on peut résumer macronisme = ces 10-15 %, plus la police fanatisée, la magistrature…divisée, et les médias vendus qui rétrécissent sans  cesse face au réel. Cela ne tiendra pas la route avec ou sans feuille ! Le macronisme n’est évidement que pour ce féminisme racisé, soit «réservé» aux femmes prétendues supérieures si prêtes à matraquer cruellement leurs sœurs…féminines. Pas un pli. Pas un quiproquo ! Ils sont contre le vrai féminisme…]]. Le sujet rassemble les questions de migration, le fait d’avoir des papiers ou non... de racialisation et de féminisation du travail [[ tout ce qui est transversal, qui empêche que quoi que ce soit s’enferme dans sa bulle à hégémonie, est très…émancipateur…Ces traversées scandaleuses (profanatrices disent les égarés de la contre-révolution…) demeure toujours aussi fertile que dans le passé)…c’est du comment plein tube…]]... C’est un travail à la fois présenté comme absolument nécessaire - on parle même, quand on regarde les sites de grandes entreprises, pratiquement d’une science du nettoyage - et en même temps il est quand même toujours considéré comme sous-qualifié et donc sous-payé [[ stratégie éculée de la minablerie néolibérale, mentir sur tout et tricher sur le reste. Eux qui « nomment » survalorisent leurs minuscules activités si…minables (vraiment) et dévalorisent (symétriquement) tout ce qui a de la valeur. Et donc ? Je veux vous voler à fond, je dis que votre boulot c’est de merde comme cela je paie… rien. Pas de bol pour ces honteux truqueurs – de solides études…transversales ont prouvé que les travaux manuels demandent un déploiement de cognitivités parfois supérieur à des travaux dits…intellectuels. Pire (ou mieux) que les travaux de nettoyage (donc féminin), afin de lutter contre les douleurs chroniques que provoque ce travail très dur…ont inventés des montages de stratégies qui allègent si parfaitement les surpressions corporelles. De cela nul cadre ne le pourrait. Ouais, elles sont douées de la tête ces femmes que l’on méprise (socialement s’entend !). Et la clarté que soient surpayés qui ne le méritent pas et sous payés qui ne le méritent pas vient prouver que le néolibéralisme c’est uniquement une désorganisation  de la société par des crétins absolus. Crétins oui mais cruels, ultras violents et sournois sur le fond (dans le sens ne respectant rien pour eux-mêmes mais exigeant, si acariâtres, un hyper respect à leur égard…tel que le décrivait malgré tout Wilhelm Reich ]]. Donc à partir de là pour moi c’est un nœud, un nœud de plusieurs choses [[ une convergence, un centre de rencontre de lignes de forces ]].

Et une leçon qu’on peut tirer, c’est que le capitalisme est un producteur d’ordures, de déchets [[ surtout au sens moral c’est de la corruption grande production…être pour la véridique moralisation de la vie publique c’est virer les déchets lobbies et privés de toutes les décisions…publiques ! Etc.]]. Il produit, et sa surproduction c’est aussi une constante production de déchets et d’ordures. Donc il faut nettoyer et qui nettoie ? Ce sont ces femmes, ou alors c’est envoyé dans les pays du Tiers-monde, comme on le sait. Récemment encore, la Malaisie a renvoyé au Canada des tonnes d’ordures [[ très bonnes doubles occurrences…cela prend en biais tout le dysfonctionnement de la société…le consumérisme (cette maladie mentale) ne produit que de la merde, gaspille tout, saccage tout, fout la merde partout et…se montre si désemparé face à ses résultats (le macronisme c’est l’aveu désemparé que les résultats du néolibéralisme sont…insupportables. Aussi, la réaction  caractérielle devient de cogner sur les…résultats mêmes. Et donc d’entrer dans une spirale de folie institutionnelle qui va s’auto-finir d’elle-même. Non, il n’a aucun avenir pour le macronisme nulle part…ce n’est qu’un égarement !]].

Donc qu’est-ce qu’on fait de cette ordure ? Comment repenser la question de la surproduction, le fait que le capitalisme est une production d’ordures et qu’à partir de là on peut lier la question du nettoyage à la question qui est le fait que le capitalisme délègue aux femmes ou aux peuples du Sud global le soin de nettoyer son ordure ? [[ et leur offre là – si étourdiment – un pouvoir colossal ! Bien qu’inaperçu et inemployé. Encore ]]. Et en même temps [[ tout se joint, ce n’est plus de la magie de truqueurs bateleurs mais bien les convergences de solutions qui s’y mirent…Ce n’est pas du tout pareil…tout ce qui a été dit est bien retenu contre eux/elles ! Le capitalisme est foutu…]], c’est en lien avec la question environnementale. Le capitalisme néolibéral dévaste absolument la Terre, l’eau, les rivières, les océans, l’habitat [[c’est une minablerie machos,  machos trop aidés par ces «machas» (des femmes machos) vendues à cette…monstruosité même !]]... et en même temps [[idem]] se construisent des espaces de plus en plus « verts » pour la classe moyenne supérieure [[ l’inférieure elle est dans la rue !]] bourgeoise qui a besoin de courir dans des parcs, dont les enfants ont besoin de respirer un bon air, que les femmes puissent courir sans craindre quoi que ce soit, en pleine sécurité [[ c’est trop à la fois et surtout trop cher payé pour le reste de la société…surtout trop pour les femmes pauvres !]]... Donc liée à la gentrification [[ ce racisme par le haut qui commence à se faire reconnaîitre...c’est le pire de tous, à côté l’antisémitisme c’est tranquille ! Au point si bizarre que celui-ci n’apparaît que pile lorsque les médias menteurs et sales en ont…besoin. Le reste du temps quasiment pas un signe…Les racismes par le haut c’est tout le temps, ce ne sont pas des graffitis, eux, et ils blessent si cruellement tant de milliards de vies… !]], il y a aussi la question de toutes ces femmes qui viennent nettoyer cet endroit, propre pour la classe bourgeoise néo-capitaliste, néolibérale, et puis qui sont renvoyées elles dans des endroits où il n’y aura pas d’air propre, où l’air sera pollué, où il n’y aura pas d’espaces verts, pas d’espace pour jouer pour les enfants [[ la schizophrénie de la folie inégalitaire crée elle –même les esprits-cœurs qui vont la démanteler…on ne peut (si on conserve un grain de jugeote) extraire des personnages d’un milieu surexploité et les faire plonger, sans transitions, dans le milieu brutal des surexploiteurs inhumains… sans que des milliers d’idées et ressentis ne germent…]]. Quand on parle de colonialisme, on touche donc aussi à la question de la pollution et de l’environnement, et de la manière dont le capitalisme l’aborde [[ clair…ces hideux monstres s’auto-nomment supérieurs faussement puisque parmi eux sont ces 10 % qui vont causer 50 % de toutes les pollutions mondiales, oui 50 %, plus qu’énorme non (alors que les 50 % les plus pauvres de l’humanité c’est un minuscule 13 % des pollutions complètes)…et que ces monstres crassous, dégoûtants de crasses sont l’anti-modèle (surtout ne rien  faire et ressentir comme eux) ils imposent au monde de nettoyer leur merde…par 2 bifurcations aussi cyniques …soit les pauvres sont Accusés de Toutes les pollutions (dégueulasseries des propagandes fausses…sauf qu’elles omettent de capter qu’elles attribuent TOUS les pouvoirs aux pauvres si capables d’avoir autant d’impacts et d’efficacités alors que les trop riches n’en auraient…aucun…Trop Incapables complets alors ? Bizarre de chez bizarre non ?) …Soit 2) -- ils doivent tout payer (avec les moyens) ; taxes pour une transition écologique qui n’arrêtera pas de rester au stade de la…transition. Et mon tout ? Les monstres qui salissent tout ne changeront rien à leurs pollutions, ils auront juste extorqué plein d’argent…salement aux pauvres et moyens…et ? Les femmes stratégiquement peuvent ou non…changer la donne. Bon, oui nous savons que certaines en sont au stade puéril du les hommes doivent payer (oui mais Quels hommes,  Tous,  Sont-ils tous pareils ? et comment fait-on pour ne pas les reconnaître? etc. Pour nous, la fausse problématique (pour l’action) du genre a sa solution dans le… « le seul genre qui vaille c’est le genre humain »…oui ce n’est pas la différence femme homme homme femme qui prédomine mais entre humains et non humains…ces féministes européennes (aliénées de classes) ne sont pas humaines…la plupart des non occidentales le sont déjà ou peuvent le devenir…]]. Donc ces luttes de femmes sont pour moi des luttes qui sont au cœur de cette contradiction, de ce conflit. »…dans le sens qu’elles sont en positions, transpositions, dispositions, de tout…dénouer…ou non !

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La-vie-solide-plaidoyer-pour-le-Faire

« Alors, Arthur Lochmann a repris un CAP en charpenterie, est allé faire un apprentissage en Allemagne, puis est retourné au centre de formation du pays basque, à Anglet. Il y a rencontré un amour du travail bien fait, du compagnonnage, de la saine fatigue, du respect du temps et des délais [[ bref tout ce qui sort de la …zone d’attention si limitée des faux dirigeants. Qui cumulent tant d’œillères, qu’ils ne captent que toujours moins du réel !]]. De pairs à pères [[ nous entrons ici, dans la zone aussi scandaleuse que le servage des femmes, dans les diffamations reconduites, sans cesse, du travail manuel – et les gilet jaunes c’est (aussi) la jonction directe femmes seules surexploitées et portant la charge de la société sur leurs épaules et des travailleurs manuels ayant compris que transports, flux, circulations, fluidités c’est l’essentiel actuel. Ils l’ont compris en assumant (surexploités et méprisés par des crétins qui n’y ont, eux, rien  compris) toute le charge…Oui le scandale devient la réhabilitation de l’intelligence manuelle (tout ce que le cerveau déploie afin de résoudre chaque étape de résistance de la matière…et souvent sans modèle approprié de la…maîtrise !) et donc le vol organisé par certains intellectuels (pas par tous) de ces manuels  (femmes et hommes ) si…surexploités.  Vu l’ampleur de leurs apports…Plus clair ?]]

Ce livre est la rencontre de ses deux passions : un récit méticuleux de son apprentissage des gestes manuels et une mise à distance intellectuelle (et historique puisque sa formation remonte à 2009) de ce que sa nouvelle vie lui apporte [[ s’extraire des aliénations et intoxications par les préjugés impulsent, en effet, une nouvelle vie…A croiser des bourgeois, parfois, eh bien on dirait des drogués durs !]]. Il le fait sans angélisme, il n’enjolive pas les ouvriers qui ne sont pas parés de toutes les vertus [[ surtout pas – politiquement ce n’est pas toujours très futés, les prolos !]]. Comme dans nombre d’équipes, le jeune homme connaît un gentil bizutage : ses compagnons, qui attendent que le « binoclard » fasse ses preuves, lui donnent un marteau normalement dévolu aux ouvriers confirmés ayant des avant-bras comme des cuisses. Les siens sont graciles et il endure la douleur pendant quelques jours, comme un rite initiatique pour gagner le respect et l’estime de ses pairs [[ ben ouais, il fallait le dire…mais ne pas masquer que le travail manuel c’est une GRANDE intelligence qui peut être derrière…même si elle ne se prouve pas d’une manière scolaire mais…mais très physique avec domptage des nerfs, pas fastoche…entre autres. De qui éveiller l’attention de…tout le monde !]].

Einstein écrivait qu’il est « plus facile de briser un atome qu’un préjugé » ; un bout de bois aussi, apparemment [[ la connerie des faux intellectuels aussi – aussi cruels qui ne sont pas très…intelligent.e.s non plus…le manuel aidera à la libération de tous, ils doivent entrer cela dans leur petite tête…et apprendre à…écouter pour une fois (écouter ce n’est pas les faux débats à la bourgeoise où chacun.e dit son speech séparé des autres (et pas grand monde, de leurs propres aveux, n’écoute…suffit de suivre, au loin, le bourdonnement de la voix, lorsqu’on ne l’entend plus c’est fini !)…non non cela c’est du faux débat (il n’y en pas…)…les vrais c’est interactifs complets…et on peut couper la parole (la preuve même que l’on écoute) pour la faire aller…plus loin, mieux, plus vaste, plus dans l’unité…la parole est Collective (on la construit ensembles, ducon !) et chacun.e la sculpte selon ses élans et ses instincts. Le taux d’écoute est à son maximum. Et la mémorisation des transmutations communes va devenir incroyable…ras le bol des bourgeois où tu tournes tes menottes jolies pour dire oui, on fait semblant en tout…non il faut tonner, chuchoter, tout utiliser, il faut convaincre, passionner, pas jouer à faire joli, tout propre et inutile, sans  ne rien déranger dans une cour de récréation…à vie. Bref on fait…semblant de débattre (imitant si maladroitement) l’aspect extérieur…dans la promesses d’un grand débat qui n’arrive jamais…non, là, on plonge direct…Et les corps manuels, une fois libérés, passionné.e.s par les enjeux tu vas voir comme tout le monde va… danser les débats…sentir la caresse des harmonies (du vécu), comme des questions-qui-dérangent qui font houler la foule parfois jusqu’à la pré-rupture (du vécu), lorsqu’un mot « léger et bien placé » (très difficile, faut être sacrément rodés) vient stopper net l’orage électrique et offre cette fraîcheur qui fait sourire… les cerveaux (oui cela se ressent –du vécu !)]].

De pairs à pères, il y a peu de lettres, et Lochmann n’élude pas l’univers masculiniste de la charpenterie ; il interroge ses raisons historiques et construites plus que la réalité physique du métier, les nouveaux outils qu’il utilise désormais permettant de faire ce métier sans une force herculéenne (dont certaines femmes sont pourvues, évidemment). La force de la tradition et des stéréotypes expliquent sans doute cette permanence. Einstein écrivait qu’il est « plus facile de briser un atome qu’un préjugé » ; un bout de bois aussi, apparemment. Plaidoyer pour une vie alignée [[pas rangée mais alignée coeur cerveau et corps – ensembles, tendus vers le même but !]] …Mis à part ces menues critiques, Lochmann ne tarit pas d’éloges sur cette carrière qui lui laisse une complète autonomie, le remplit d’estime de soi quand la pièce est finie et montée, et lui apporte le calme et la sérénité des rituels immuables dans un monde qui bouge trop vite. Le tout en perpétuant des savoir-faire historiques qui tendent à se perdre… »…

………………… Mais ne se perdront plus…Juste à temps !

Lorsque nous  ne sommes plus absent.e.s de nos vies...

…………….........................………………….ni de celles des autres !

……………(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

                        Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

 Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

Nous sommes la santé de la société

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 200 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu