Le langage dit comment sauver l’hôpital public !

Publié le par imagiter.over-blog.com

Le langage dit comment sauver l’hôpital public !

Hôpital vient d’hospital, qui a offert…hospitalité ( c’est sa fonction toute hospitalière – et pas hôpitalière !) *. Et alors ? La reconquête verbale (lorsque lexique vient de lex, loi) va sauver l’hôpital comme accueil universel…inconditionnel. Pour absolument tout le monde sans distinction ! Car ? Tous les mots de l’économie (et économisons donc l’économie !) viennent de la…médecine, des soins, des thérapies et du salubre salut (le salut te salue bien)  - comme du salvateur qui «salve» en salves tous les braves bravos. Et il faut rester braves (si honnêtes Et courageux à la fois) pour aller jusqu’au bout de la merde semée par les…faux dirigeants !

 

*  - Pourquoi les étymologies furent-elles plus visibles : -pourquoi-les-étymologies-furent-plus-visibles- : Richelieu et ses sbires de l’Aca démi(s)e – dans le but de brouiller les origines du langage et de (donc) constituer le monopole de son Clergé occulte – osèrent affubler de ô, de ê, etc. ce qui fut os- ou es- précédemment. Ce qui se découvre bien dans hôpital et hospitalier (de hospitalité) ou bien dans tempête mais intempestif. Soit des oublis étourdis de ces têtes peu rationnelles - de trop devenir voraces à se vautrer dans des…faux pouvoirs. Ils oublièrent… hospitalité (fonction fondatrice de l’hôpital) - et nous pas ! – En 2020,  leurs psychorigidités, si inadaptées au 3 ème millénaire, se montrent dans leur très extrême hideur. Pourquoi ces hospitalière (de hospitalité non de…hôpital) et intempestif (et non intempêtif), etc. passèrent à travers les gouttes ? – Oui la très franco française… délicatesse d’oreille. Euphonie = heureux par le son, douceur angevine et autres merveilles. Voici l’histoire véridique, dame, ma brav’ dame !

Alors pourquoi entrer dans « le langage dit comment sauver l’hôpital public ! » ? Nous avons eu un avant-goût très prometteur. Nous allons nous lancer dans cette vraiment passionnante aventure en plusieurs temps ! Soit, d’abord, qui blasphèment ? -- eh bien ce sont les pouvoirs ! Et contre quoi ? -- Le sens sensé des mots (sensé c’est parce que le Sens vient par les… sens (5 au moins !) et que de le dénier ou renier rend… in-sensé ! Comme nous allons le découvrir plus loin). D’autant plus que la raison adore le son des mots qui font…sens (ce que les pouvoirs acariâtres, malheureux, aigris et caractériels (oui à ce point) ne…supportent pas ? Alors que «sensé» (pourvu de sens) et raison (celle qui sait…résonner) sont très très…proches – oui dans le même combat. Celui de limiter au maximum ces pouvoirs toujours abusifs, par exemple Et alors ? C’est le passer outre ! Puisque ? Nous le découvrons en… fin de texte !!

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A-chaque-inquisiteur-son-hérétique

« Le crime de pensée (Orwell) : Pour faire des choix éclairés il importe, d’abord et avant tout, d’avoir accès à une mémoire, sorte de répertoire des petits et grands moments d’une histoire toujours à réécrire. Quoi qu’il en soit. C’est ici qu’intervient l’écriture du lexique [[ lexique et lex loi c’est trop pareil alors…les éléments de langage ne sont plus bienvenus : plus jamais ça !]] du discours dominant, soit la charpente de cette doxa qui sert à pérenniser les assises d’un pouvoir qui ne se partage JAMAIS [[ et meurt séparé dans sa solitude plus qu’inutile…le séparatisme c’est bien le refus de partager, de se mettre en commun, non ? C’est un absolutisme comme le pouvoir séparateur alors ? Comme accuser de séparatistes ceux/celles que l’on aurait soi-même…séparés ? Pas futé du tout…]]. Et, pour que les vaincus puissent faire «amende honorable» il convient, de gré ou de force, de traquer la liberté de nommer, d’exprimer, les faits qui émaillent le vécu du commun des mortels [[ bref, d’empêcher que soient…partagées les réalités bien concrètes du vécu quotidien d’au moins 80 % de la population blasphémée au point de lui interdire de…participer de plein pied à la société…pour, ensuite, lui balancer (crétinement) qu’elle ne participe pas à la société et est donc …séparatiste de quoi on se demande ? De ne pas radoter les discours irrationnels des médias menteurs c’est ça…c’est pas du séparatisme mais de la très bonne Raison !]]. Les doctrines catholique ou bolchévique n’y changent rien. S’appuyant sur les promesses de l’émancipation de «l’homme ancien» afin qu’émerge «l’homme nouveau», les inquisiteurs au service du pouvoir en place [[ qui les 2 refusent, peureusement et piteusement, d’être remis en question, d’être placés sous les projecteurs  et de devoir…répondre et de leurs agissements et de leurs théories fumeuses ! C’est dire : tour d’ivoire que nul ne puisse y voir !]] ambitionnent de refonder l’histoire de l’humanité à partir d’un « moment de vérité » perçu comme coupure épistémologique. Initiative de prétendue vérité [[ tout y est falsifié ]], cette parole fondatrice représente le lit d’une doxa qui ambitionne de créer un «homme nouveau» . Parce que l’« homme ancien », ne parvenant plus à s’extirper de sa fange [[ où les ont placé  ces trop «anciens» inquisiteurs d’arriérations évidentes !]] et de ses lieux communs, il fallait bien donner un coup de pouce à la destinée afin d’accélérer le cours des choses. Armés de cette conviction [( toute d’hypocrisie jésuistique…]], les inquisiteurs s’acharneront toujours à débusquer les esprits critiques [[ les meilleurs en fait !]] – esprits chagrins – inaptes à se conformer [[ conformismes c’est une maladie…d’inadaptation, non ?]] à la nouvelle doxa en cours d’édification [[ si peu…édifiante par elle-même !]]. Il devient, ainsi, aisé de comprendre que l’hérésie représente la volonté de certains esprits rétifs [[ non la rétivité butée appartient à ces sourDingues «médiocrates» incapables d’écouter ce que le futur dit, à l’aide de ces humains les mieux pourvus de lui ! Renverser l’ordre historique des compétences c’est le propre des fanatiques de toutes les violences policières (qui ne sont pas que des…violences d’état, voyons !). Les médiocres parlent aux médiocres et ne reconnaissent jamais les véridiques intelligences ni les grands génies de l’époque *- ce sont eux/elles le Blasphème absolu !]] de préserver leurs anciens habitus. Mais, elle représente, tout autant, une volte, un sursaut, le réflexe de profiter de cet interstice historique pour défier l’ORDO des institutions déclinantes. In fine, les hérétiques traqués par l’inquisition médiévale étaient issus de certaines corporations de magiciens, voire d’ouvriers, de gnostiques et autres adeptes des pratiques spirituelles anciennes qui avaient réussi à se fondre dans le décor de cette chrétienté ascendante [[ les hérétiques par rapport à cet ordre de la Tradition respectable étant donc les…. inquisiteurs – mais de quoi je me mêle et avec tes trop gros sabots qui sabotent tout… ?]]. Elle pouvait, cette prétendue hérésie, aller jusqu’à défier l’ordre non nouveau en se repliant sur ses terres pour attirer de nouveaux adeptes, des cohortes de laissés-pour-compte, tels les Fraticelles ou les Spirituels, actifs en Italie ou dans le Languedoc [[ ceci est l’histoire très incomplète contée du seul point de vue des…blasphémateurs ( soit, les pouvoirs très meurtriers et meurtrissant de meurtres !)]].

Il appert que bien des hérétiques auront tenté, désespérément, de soustraire leurs anciennes pratiques spirituelles ou religieuses à la mainmise du nouvel ORDO religieux de l’heure ou … du siècle en ce qui concerne la Révolution des lumières. Une masse indescriptible d’hérétiques [[ point tant que cela pour les regards objectifs et désintéressés : ce sont les pouvoirs qui gardent tous les torts en fin de périple !]] a donc été exterminée, sans coup férir, afin de « fermer la gueule » des contrevenants et, partant, de pouvoir effacer la mémoire collective [[ voit plus haut le trafic des…étymologies !]] pour que s’écrive cette nouvelle…fausse histoire des vainqueurs. Georges Orwell, avec son concept de « crime de pensée », pose un jalon incontournable de la généalogie des totalitarismes et de leurs modus operandi [[ oui pour le si peu d’intérêt que ces détraqués laids peuvent susciter – sauf de se protéger de leurs barbaries ( au sens qui ne savent pas parler et ne veulent surtout pas apprendre !)…]].

Extirper la dissidence : Orwell avait, déjà, anticipé la mise en place de notre actuelle société de la surveillance. En effet, le déploiement des outils de contrôles, de monitoring, de cueillette et de partage [[ sic ]] de l’information sur Internet permet d’instituer une « prison virtuelle », citadelle panoptique qui fait en sorte que l’«état profond» puisse surveiller les moindres pensées de ses commettants [[et alors – ce sont bien eux qui se mettent dans «leurs» torts : c’est quoi cet Avilissement à espionner les autres sans jamais supporter un regard objectif sur soi ? Leur « loi du plus fort » n’est que celle de leurs…faiblesses partout !]]. Et, il s’agit, fort justement, de ne point COMMETTRE ce crime de pensée [[ mettre un Gilet jaune…solaire dans le rue est un crime de pensée pour ces blasphémateurs…]] qui représente véritablement un crime de lèse-majesté contre la doxa dominante ou doctrine du parti…unique. »…Pas très tentant et tant tentant du tout ces excentricité maladives…et les solutions (lorsque être résolus = qui vivent vraiment les solutions. Toutes. Oui qui vivent sans les problèmes ! Et qui ont (donc) fait le saut quantique qui modifie le paradigme : le langage a du sens et nul.le ne peut plus l’utiliser pour nuire aux autres…Voyons pratiquement comment…

 On-nous-demande-de-soigner-que-le-patient-le-plus-rentable

 « On est complètement submergés, tout tarde, on doit combler les absences, le manque de formations, et on nous demande de faire du chiffre [[ ce qui n’a, rationnellement, rien à voir avec la…santé !]], de faire des actes : le gouvernement [[ qui se met dans ses gigantesques tort – ces errements ne lui seront pas remis !]] est en train de laisser couler l’hôpital public », résume une psychologue rencontrée le 14 février lors d’une manifestation de « déclaration d’amour à l’hôpital public » à Paris [[ ce sont donc de fins… psychologues qui diagnostiquent la folie inhumaine de ce gouvernement !]]. Une infirmière proche de l’âge de la retraite - à son cou est accrochée une pancarte On nous met la tête sous l’eau - évoque, elle, les baisses de budget successives, les « hospitalisations reportées faute de lits », l’épuisement et le rythme intenable « quitte à mettre en danger la vie des malades » [[ ce qui ne semble guère préoccuper les prétendus responsables très fortement…irresponsables ! Qui peut encore les Croire ? ]]. Deux infirmières de 26 ans en pédopsychiatrie témoignent enfin, dans un débit mitraillette, de manque de lits les obligeant à « renvoyer des enfants chez eux en devant décider lequel est le moins suicidaire », de conditions de travail… dangereuses [[ ne leur parler pas de…pénibilités – c’est que presque toutes les Réalités dé-rangent ces maniaques compulsifs !]], de formations de plus en plus rares et d’un quotidien si éloigné de ce qu’elles avaient imaginé quelques années plus tôt en école qu’elles pensent déjà à leur reconversion. Le même jour, nous rencontrons donc Stéphane Velut, chef du service de neurochirurgie du CHU de Tours, et auteur d’un essai, L’hôpital, une nouvelle industrie - le langage comme symptôme , paru en janvier [[ d’où le titre du texte !]]. 

 

Usbek & Rica : Comment en est-on arrivé à cette crise sans précédent ? Si l’on prend les choses dans l’ordre, tout commence avec l’augmentation progressive des dépenses de santé ? 

Stéphane Velut : Le déficit propre aux dépenses en matière de santé inquiète dès le milieu des années 1970. On lui donne un nom [[ menti…]] à la fin des années 1980 : le trou de la Sécu - un vilain terme auquel l’assuré et le praticien ne portaient qu’une attention relative. Puis la fin du 20 ème et le début du 21ème siècle voient ce trou se creuser davantage, en raison de l’allongement de l’espérance de vie et du coût grandissant des techniques [[ les technocrates veulent du tout technologie mais en…évacuant les coûts sur les autres…et en oubliant que ce sont eux…les vrais dépensiers !]]. Avec un cercle vicieux : les soins et appareillages toujours plus nombreux et onéreux ont continué d’accentuer, en raison de leur… efficacité sur l’espérance de vie, le déficit qu’ils engendraient déjà. Ensuite, ce qu'il faut bien comprendre, et là-dessus il ne faut pas se voiler la face, c’est que nous sommes passés du citoyen à l'individu [[ de la faute de la déviance consumériste (summum des…corruptions) et du libéralisme profondément corrompu et corrupteur !]]. La notion du citoyen qui se demandait au sortir de la guerre ce qu’il pouvait faire pour son pays [[ par exemple le Conseil National de la Résistance si plein de vertus ! Et qui a porté la société à bout de bras…jusqu’à aujourd’hui !]] a été progressivement mise à mal [[par les mêmes prédateurs qui squattent les gouvernements !]]. Dès les années 1980, un État très centralisateur et protecteur - ce qui peut avoir ses avantages - a contribué, il me semble, à majorer cet individualisme,[[ vivent les fraudes fiscales - vivent les enrichissements…nihilistes qui Cassent le sociable…]] et l'individu a fini par se demander ce que l'Etat pouvait pour lui [[ surtout les grands déserteurs que sont les Trop riches, remarquez – ceux qui fuient leurs Devoirs impératifs et demeurent au stade infantile des seuls Droits ! Tout pour moi et Rien pour les autres…]]. Dès lors, il a consommé du soin. Et ce, avec l'aval de nous, les praticiens, parce que le système est fait de telle façon qu'on a pensé que la Sécurité sociale était très riche, une vache à lait [[ ce sont bien les médias Irresponsables qui ont…susurré ces idées folles ! Qu’ils paient leur… (du mot devoir, vous vous rappelez ?]]. On prescrivait d’ailleurs de façon d'autant plus importante que l'individualisme a augmenté [[ cravaché par ces mêmes médias…]] la judiciarisation entre soignés et soignants, et les médecins ont dû se parer contre les plaintes en multipliant les examens complémentaires [[ de la faute Première des médias consommatoires…qui osent se…désister à l’heure des vrais Comptes !]]; c’est aussi un facteur, parmi d’autres. En tout cas, on a consommé sans regarder [ très bonne définition du…néolibéralisme – celui qui Fuit le vrai réel !]]. 

(…) S'immiscer dans l'organisation des soins, c'est imaginer que tous les services, tous les praticiens se ressemblent.[[ le simplisme inexcusable des gestionnaires est de ne jamais…distinguer les différences – si l’on veut piétiner pourquoi regarder…avant ?]]. Or non. Je serais strictement incapable de gérer la moindre organisation d'un service de dialyse rénale ou d’un service de chirurgie maxillo-faciale. Ils ont imaginé [[ lubies d’immatures !]] que l'hôpital public était une sorte d'industrie au sein de laquelle les praticiens concouraient tous à guérir les patients [[ toujours dans leurs nurseries…affectives ces technocrates ne comprennent donc…rien !]], mais sans tenir compte des spécificités de chacun. Ça a été, et c'est encore un problème considérable [[ ce sont eux Le problème et pas l’hôpital !]]. Il y a 20 ans, on pouvait parler entre chefs de service et un administratif dans des petits locaux, chaque «village» de l'hôpital discutait, on s'entendait plus ou moins, mais on arrivait à des consensus, sur tel point financier, d'organisation, de recrutement, etc.[( donc la barbarie néolibérale c’est d’empêcher toute Parole collective et de tout… simplifier par leur Monologue profondément…aliéné (soit qui prend ses…lubies pour «la» réalité) et avec qui il est…impossible de communiquer en…adultes (ils demeurent des enfant à vie ). Soit on se met à leur…niveau (donc on accepte que tout ne soit que leur Monologue insensé) soit on coupe ce monologue…d’insensibilités… Voilà le non-dit actuel !]]. Mais faisant l'hypothèse qu'il fallait lisser [[…mot des graves feignasses du cœur !]] toutes les spécialités dans un espèce d'énorme magma, on a réuni les services en pôles, et la table est devenue si énorme que les CME - les commissions médicales d'établissement - ne sont plus maintenant que des chambres d'enregistrement, des grand-messes où plus personne ne peut s'exprimer réellement [[Monologue de l’idéologie…folle…]]. Je pense que quand, dans un hôpital, vous avez un peu plus d'administratifs que… de médecins titulaires, il y a un problème [[ soit le « nommer » c’est souligner le Raffarin du « Bâton et de la carotte» (le seul « fait comptable » fait la leçon aux grands du pays sans jamais les…écouter – ce monologue séparatiste aura fait un mal immense au pays – le comptable n’est pas omniscient, ne sait surtout pas écouter (donc agir poly-factoriellement pour le bien de tous !) et impose son travers (qui coûte en dommages collatéraux à une fortune à la société) : et nous payons, en 2020, le coût insensé de cette version verticale du « on ne discute pas » si…hors des réalités…partagées des politiciens (s’auto-plaçant à part…à part que c’est…à part que c’est…etc.) - devenus si ennemis des pays !]]. Quand vous avez plus de chefs d'équipe que de rameurs dans un aviron, ça ne marche pas bien [[ ce à quoi aboutit la Très Mauvaise éducation de l’Ena – qui apprend à faire des conflictuels tyrans du haut de leurs mépris qui se méprend sur tout et non…des animateurs bienveillants du grand tout, du tous ensembles quoi !]]. Donc je crois que cette inflation administrative, ça n'est plus possible [[ or voir Graeber l’administration c’est surtout…le privé qui la répand (leur fortune vient de la…paperasse !)]]. Ça ne veut pas dire qu'il ne faut pas des gestionnaires, attention !  Mais multiplier les couches, donc les procédures [[ voir ENA ]], c’est encore augmenter le recrutement d'administratifs, c’est encore manger le temps du soignant [[ ce pourquoi le langage (qui…économise et gratuitement tant de conflits et de pertes de temps) va nous…soigner (en direct) la maladie du Privé…]].

Vous citez un chiffre frappant, issu d'un article du New Yorker : sur les quatre dernières décennies, le nombre d’administratifs travaillant dans le domaine des soins a augmenté de… 3 200 % et le nombre de médecins de 150 %. Y a-t-il un moment de bascule, une date où le corps administrant prend le dessus sur le corps soignant ? Non. C'est venu progressivement. Il y a eu la création de la T2A (tarification à l’activité, ndlr) en 2003, le plan Hôpital 2007, et puis en 2009 le don de tous les pouvoirs aux directeurs[[ que des…lubies de technocrates…hors sol…qui viennent (ensuite) accuser les autres de leurs graves…divagations !]]. Mais sans moment de bascule. Car ça s'est introduit avec une extrême lenteur, avec le néolibéralisme ennemi en France. Le néolibéralisme, né dans les têtes d’économistes [[ sans coeur !]] qui, en août 1938 se disent qu’il faut pour parer la crise de 1929 moins d’Etat et plus de pouvoir aux marchés,[[ soit des délires de…cancres voyous !]] s'est introduit de manière très brutale avec Margaret Thatcher ou Reagan - avec l'argument “on ne peut pas faire autrement” [[ soit ils ne peuvent pas faire autrement – parce qu’ils sont…malades. Nous (la santé de la société) nous pouvons tout à fait faire …autrement…]] quand il s’agit de privatiser telle ou telle entreprise publique [[ soit de foutre de l’administratif privé (veiller à Leur fric) partout – les résultats c’est tout vu…T’enlève le privé de l’hôpital… public et tout redevient bonnard !]]  - et de façon moins directe en France, et on n'a pas vu venir les choses. Ce néolibéralisme extrêmement puissant a progressé sur vingt ans. On a aussi le nez dans le guidon, l’activité de soin nous prend 8h-20h et notre seul souci quotidien, c'est les gens. Moi, je me suis réveillé très tard [[ donc la fonction de Vrai écrivain que nous assumons du haut de nos faiblesses – est Primordiale – nous avions alerté depuis 30 ans – l’argent fou a étouffé l’ampleur du message- et nos impeccables déMonstrations (de se tirer du Monstre ! Les chronologies sont nos efficaces alliées…)]]. Je crois que j'ai acquis une conscience politique [[ ce que nous évidemment pas les conformistes néolibéraux !]] il y a seulement quelques années. Et c'est de ma faute, j'en suis navré, mais jusqu'alors je ne travaillais pas en regardant ce qui se passait autour de moi, je travaillais pour les gens [[ non c’est surtout la faute du on ne publie pas les génies – les grands synthétiseurs qui font…résonner les cœurs !]]. 

Vous parlez également de l’abnégation propre au corps médical. Le corps soignant a été très longtemps porté par les sœurs de l'Eglise catholique et s'était distingué de manière très remarquable au moment des deux guerres. Il y a encore dans ce corps soignant un esprit sacerdotal, c'est-à-dire une abnégation complète, qui fait que ce corps soignant se tait. Il est au chevet, il travaille, il y fait un travail artisanal, et il se tait [[… terrible défaut s’il n’y a pas de vrai.e.s écrivain.e.s !]]. Et là je crois que c'est la plus grande critique qu'on peut apporter au néolibéralisme actuel, c'est qu’il profite du fait qu'il sait que ce corps est dans l'abnégation [[ ce parasite indigne ne survit que sur le bien que font certain.e.s. Sans les gens honnêtes qui…assument à sa place – il n’est…Rien !]]. Et ce dont se rend compte ce corps soignant qui est aujourd'hui dans la rue, c'est cela. Finalement on profite du fait [[…et ces Voraces hideux (qui squattent tous les médias dits dominants !) sont désormais…vomi ! ]] que je donne une partie de mon existence, de ma qualité de vie [[ ce qui est le propre des Voraces abominables qui souillent toute la société en « profitant » outrageusement des humains qui font du bien, en les suçant indignement…ce qui peut aboutir au blasphème central du nihilisme …soit ne plus Vouloir faire le …bien , puisque cela n’apporte que des douleurs, des complications, des coups injustes dans sa vie…et donc ? La société est gangstérisée par le haut : historiquement cela se nomme…les fascismes !]] - parce que quand vous travaillez 70 heures par semaine, quand vous êtes infirmière aux urgences, que vous êtes débordée [[ ce qui n’est pas le cas des…feignasses technocrates, croyez-nus…leur principal Effort ( !) étant de ramasser du fric si…immérité !]], ou aide-soignante dans un service de réanimation, vous donnez de votre qualité de vie, croyez-moi - et en retour vous n'avez ni l'estime, ni les revenus [[ si mais hors des brutes incivilisées sus-nommées…]]. D’ailleurs, quand vous entendez le corps soignant dire « On veut plus de lits » pour accueillir les malades, vous vous rendez compte de ce que ça veut dire ? Ca veut dire « on veut travailler encore plus », finalement ! On veut travailler plus, pour pouvoir soigner… plus de gens [[ et ces ignobles comptables font semblant de comprendre de travers – faisant entrer tout le monde de dans leurs incapacités antisociales de savoir…mesurer, peser, ressentir, comprendre, évaluer…l’humain. Il faut cesser cela : c’est la financiarisation de tout qu’il faut…sacrifier. Soit ces intermédiaires qui n’ont jamais une vue d’ENSEMBLE et qui saccagent la société…trop avides de persister dans leurs si…toxiques parasitismes !]]. Ils demandent aussi plus de moyens bien sûr, plus de personnel, mais ils ne rechignent pas, au contraire, ils veulent pouvoir offrir des soins dont ils sont les porteurs [[ que des paroles immensément…honorables…et louables !]]. 

Comment expliquez-vous que cette abnégation cette fois se rompe aujourd'hui, et que la résistance se fasse, avec une partie du personnel hospitalier [[accueillant ]] mobilisé depuis mars dernier (pour les Urgences), des grèves, des centaines de démissions de médecins… ?  Que le mouvement fédère aujourd’hui tous les soignants, de différents métiers, c'est sans précédent [[ du jamais vu …oui une forme de miracle…]]. Je crois que le corps soignant ne veut plus entendre parler de rentabilité [[ soit la…rente mais que pour les 1 % indignes – soit des gouvernements toujours plus inhumains qui ne  sont là que pour gangstériser et rançonner tout le monde…sauf ce 1 % (et très peu de leurs larbins !)…]]. Il faut lui redonner la main sur l'organisation des soins de son village [[ virer les administratifs…du privé, tiens !]] reconnaître que certes, il n'est pas gestionnaire, qu'il est incapable de s'occuper de finances mais que ses compétences, il les connaît [[et le faux gestionnaire non – à n’accuser que les autres jamais il te voit sa poutre !]]. Je vais vous prendre un exemple simple. J'arrivais un matin à l'hôpital, je prends l'ascenseur, j'arrive à l'étage du bloc opératoire. Rentrait au bloc opératoire un monsieur que j'allais opérer d'une pathologie grave, très risquée, et qui était poussé par un brancardier. Ni l'un ni l'autre ne m'avaient vu, j'étais en retrait [[ ce qui appartient à l’art…d’écouter !]], et je les ai suivis sur quelques mètres pour rejoindre mon bureau. Et le brancardier parlait de choses et d'autres avec ce monsieur, et à un moment, il l'a fait rire. Eh bien vous voyez ce rire, ça, c'est la première étape du soin, c'est-à-dire qu'en lui faisant une petite blague, il l'a décontracté, il lui a permis de rentrer en salle d'opérations de façon plus sereine [[« petites » choses que les médiocrates, grossiers inéduqués, ne comprendront…jamais !]]. Et ça pour le gestionnaire, le polytechnicien, c'est un concept [[ et ce polytechnicien a infiniment tort – il ne crée que des dommages dans le sociable (où les cordes sont…cordiales) , ce sont donc ses abstractions (qui ne veulent pas visiter la terre à terre) qui…ruinent la vraie société !]]. Mais nous, c'est le quotidien [[ quotidien vient de…quotité donc de l’art de mesurer, soupeser, de vraiment…évaluer (sens savoir la …valeur !) – tu piges ?]]. Face à ce système qui devient de type industriel, où on ne parle que de rentabilité, le corps soignant désarmé, désemparé, en état de désarroi, dit : ce n’est plus possible [[ et nous avec eux eux/elles nous disons ce n’est plus possible. Faut que de tels gouvernements soient éjectés…ils ne font plus que des…dégâts. Et, à l’évidence, ne sauront jamais…réparer leurs propres dommages…! ]]

Vous proposez dans votre essai un certain nombre de pistes, qui répondent aux différentes sources du malaise profond que vous identifiez, la première étant le… langage [[ temps fort…]]. Il faut, dites-vous, « oser dire : consommer moins de soins [[ …mais Prendre soin…être …attentionné.e.s, faire attention aux…attentions, etc !]] ». Vous racontez le choc que vous avez subi à l’écoute d’un jeune membre d’un cabinet de consulting qui vous invitait « tout en restant une démarche d’excellence », à « transformer l’hôpital de stock en hôpital de flux ».  Les études sur le langage pour fabriquer extorquer le faux consentement sont très connues [[ mais peu mises en pratiques – voir la diction du dictionnaire !]]. Je vous renvoie à Edward Bernays qui a conceptualisé aux Etats-Unis la communication (et est considéré comme le père de la propagande politique et d’entreprise). C'est lui qui a fait admettre aux Américains l'entrée en guerre en 1917-1918, par des systèmes de langage… Aujourd’hui il suffit que vous ouvriez la revue du Harvard Business Review, et vous avez ce langage [[ à notre immense horreur…]]. Ce langage tend à dire : on ne va pas réduire le nombre de lits, on fait un «redimensionnement capacitaire» [[ soit la…désincarnation qui insensibilise…le Sens est sensible, sensuel (oui sensuel), mais sensitif et sensationnel (de sensation) et sensé (sensé comme la Raison)…il faut rendre de nouveau le langage CORPOREL oui physique (les puritains n’amènent que du…purin !]]. Il ne dit pas : gardez les malades le moins longtemps possible, on n'en veut plus dans vos lits, il dit « passez d'un hôpital de stock à un hôpital de flux [[ soit la…lamentable incapacité d’être humain , de dire les choses comme…elles sont mais de les…déguiser d’une minable langue de léviathans, de faux surhommes qui ne font que…Fuir toutes les conséquences de leurs actes Et paroles …]]». On parle même d' « hôpital aéroport » [[ soit des…fourches verbeuses...pour…éloigner tout ce qui parle au corps, au cœur et à l’humain en nous – désincarner c’est la dernier crétins soubresaut de ce système du toujours plus…minable !]]. C'est quand on passe d'une langue à un… langage que les crises surviennent [[ les éléments de langage c’est juste la fuite…hors du réel : oui dès que l’essentiel n’est plus dit le plus…SIMPLEMENT possible ce sont les dommages…centraux ! Le langage est central qui en veut pas l’admettre a perdu l’essentiel de son…humanité relationnelle. Oui ? Ce qui reste d’intolérable dans qui parle de nov’langue c’est qu’ils/elles ne disent jamais PAR QUOI la…remplacer…Nous oui et à fond. N’est-ce pas cela lutter efficacement contre ce chancre ?]]. Cela permet d'obtenir d’escroquer le consentement, cela permet d'obtenir un certain pouvoir [[ uniquement si tout demeure…monologue ]], mais ça ne peut pas tenir… longtemps [[…Effectivement : 2 ans après le macronisme que verbeux plus personne ne veut (que 14 % !) la moindre…prolongation !]]Ici, ce langage intervient parce qu'il y a une réelle nécessité de réduire les coûts, dont le corps soignant n'a peut-être pas suffisamment pris acte, écrivez-vous, mais cette nécessité ne peut pas être dite comme telle, donc des périphrases ont été inventées, ou des métiers comme celui de « bed managers »... 

Mais ne pas pouvoir dire cela aux gens, c'est laisser entendre que vous et moi sommes des naïfs. C'est rejoindre la théorie de l'économiste Ludwig Von Mises selon laquelle la majorité des êtres humains «ne pensent pas» [[ mais…dépensent oui, d’où le scandale du…consumérisme – ceux qui « pensent » (sic) inventent le système de tous les gaspillages qui souillent la vie (dont les « conditions limites » de nos survies sont contenues) et imposent (donc ne savent pas…penser !)…l’irresponsabilité généralisée (ne sont réprimés que les grands cœurs qui disent justement « Pour le futur de tous Stop ! Changer quelques…mauvaises habitudes, vous verrez ce n’est pas si dur »…Oui ? Le temps où un CRS comprendra ces paroles la société sera tirée…d’affaire (et d’affairisme parasitaire) !]]. Si ce n’est pas un manque d'estime radical, qu'est-ce que c'est ? Et ça, c'est l'école autrichienne. On en revient au néolibéralisme, et à la fabrication d'un faux langage [[ d’une nullité repoussante !]] pour faire accepter les choses. Alors bien évidemment je ne doute pas que ce langage ait une utilité [[ oui mais que pour les choses…inertes – surtout pas pour la vraie vie et les humains !]], apparemment il a sauvé les industries automobiles de la faillite, Nissan, par exemple, avait, paraît-il, un grand manager…Seulement le problème, c'est qu'il y a une grosse différence entre un CHU et une usine de voitures.[[ c’est l’évidence sauf pour les …lunatiques technocrates pour qui « les retraités sont des stocks à mettre en flux » !]]. Et vouloir adapter ce système au CHU, ça a été et c'est maintenant la plus grande erreur [[ erreur Terreur qui erre sans cesse…]] politique [[ enfin il était temps de… le formuler fermement…les administratifs glacés et les politiques trop hors sol ne créent que des…dégâts ]] qu'ont utilisé les tutelles et les directeurs d'hôpitaux. Contre ça, il faut absolument de l'authenticité, de la sincérité. 

Un autre axe important de votre propos consiste à dire qu’il ne s’agit pas seulement d’injecter plus d’argent dans l’hôpital public. Il s’agit à vos yeux de mieux le répartir. Vous proposez même qu’une partie des revenus issus des dépassements d’honoraires libéraux soit reversée dans la masse salariale médicale publique [[ ce qui reste soigneusement caché par les scandaleux médias Menteurs !]]Il faut bien comprendre que le système de soins coûte beaucoup d'argent, et ce système est en réalité alimenté par de l'argent… public, qui va dans deux secteurs : un secteur public et un secteur… libéral [[ ce qu’ils omettent peu glorieusement de souligner !]] -  je ne parle pas de la médecine générale qui elle est une médecine d'ordre public, mais des instituts, des institutions de soin lucratives privées.[[ qui s’engraissent – en cachette – avec l’argent public qui, peut eux, ne…manque jamais. Cette folle injustice doit stopper nette !]] Ce qui est déjà un paradoxe en soi [[ folie des gestionnaires mais remise…en question !]]. Et le système public alimente d'une…deuxième façon le système libéral par le simple fait que tous les praticiens, les infirmier.es, le personnel paramédical, qui travaillent dans ce secteur libéral, viennent du secteur… public [[ donc restent des…biens publics !]]. Prenons l'exemple que je connais le mieux : j'ai fait 15 ans d'études, 7 ans de médecine, 5 ans d'internat, 4 ans de post-internat, aux frais des contribuables, car j'ai bénéficié du plateau technique du CHU, j'ai bénéficié d'un nombre considérable de très bons professeurs, d'enseignants, de locaux payés par le contribuable. Si j'avais quitté ce secteur public, j'aurais pu avoir des revenus 2, 3, 4 fois, pour certains 6, 7 fois supérieurs aux revenus |[[ donc on… Trahit et on est récompensé par l’immoralité d’effondrement du néolibéralisme – cette médiocratie qui voudrait que tout le monde tombe aussi bas qu’eux, oui soit de plus en plus nul. Ah bien t’es soumis, tu rampes, tu as donc…toutes les compétences !...ils se croient où donc : chez les voyous ?]] - qui sont corrects, je ne dis pas le contraire - que j'ai dans le secteur public. Mais ne trouvez-vous pas qu'il y a là un paradoxe ? De savoir qu'on a pendant 15 ans acquis des compétences grâce au public [[ spolié, extorqué, pris en…otage ]], grâce à vous, au contribuable [[ spolié, extorqué, pris en…otage ]], mais qu'ensuite, on le quitte pour gagner …plus d'argent [[ la honte qui déborde de découvrir toutes ces avidités…infantiles que tout le système pousse uniquement – ce système est abject – en effet, il ne peut se présenter à visage découvert sous peine d’être vomi – il s’agit, il s’agite alors qu’il soit…démasqué oui démaqué, en fait !]] …Il y a un déséquilibre considérable entre les revenus du secteur libéral [[ d’où…la crise jamais explicitée…]] et le secteur public, et pour rééquilibrer les deux [[ il ne s’agit pas de priver le public si…généreux mais de ramener à la raison les cupides…stupides du privé ! Facile à comprendre non même pour la REM !]], il suffirait simplement - c'est une piste que je lance, qui peut ne pas faire plaisir aux médecins libéraux - qu'ils reversent un peu de leurs dépassements d'honoraires, sur le secteur public,[[en effet, sur quoi…désinforment tous ces médias…vendus !]] ne serait-ce que pour mieux payer les internes. Rendez-vous compte : un interne qui est à bac+10 et qui travaille 70 heures par semaine est au SMIC, 1 200 € alors qu'il est la cheville ouvrière majeure du service hospitalier, il fait tourner l'hôpital [[ pendant que les lâches des goinfrent…]].

Comment mobiliser l'opinion publique, qui, quand on lui demande, exprime pourtant son attachement fort à l'hôpital public ? C'est la raison pour laquelle j'ai voulu ce petit texte court et accessible à n'importe qui. C'est ma petite contribution. Mais j'ai envie de citer Régis Debray qui disait à propos des intellectuels - dont je ne suis pas, j’ai écrit 48 pages de réflexion, pas plus, je ne me range pas parmi les philosophes, je vous rassure ! - : « J’ai l'impression de jouer du clavecin dans une rave party ». Oui, sur tous les problèmes - la banlieue, les migrations, la religion, la santé, la liberté, la prison… - les intellectuels jouent du clavecin dans une rave party [[ ne servent strictement à rien sinon nourrir l’inertie du on ne change pas un gramme du système … on l’empire !– ce qui, par contraste, rend toute l’urgence des vrai.e.s écrivain.e.s qui écrivent par nécessité collective non pout faire plaisir à…une inculte f®action.]] On ne les entend pas, on ne les entend plus, parce que leur petite musique est trop faible dans cette espèce de mouvance techno qui nous assourdit. C'est ça qui fait peur [[es fanatiques qui ont…perdu la raison…pratique !]].  La politique, ce n'est pas faire une Fausse loi en trois semaines [[surtout pas…]], ce n'est pas satisfaire les gens demain. Là, la politique qui devrait être menée pour redresser ce qui se passe demande trois, quatre ans au moins [[ que du long terme , - le court termisme c’est le suicide collectif…]]. Il faut en tout cas dire les choses, même celles qui ne font pas plaisir [[ donc il faut de vrai.e.s écrivain.e.s !]]. Dire des choses qui emportent l'adhésion de tout le monde [[idem…]], ça n'annonce jamais rien de bon en politique. »…La catharsis c’est de faire des dissensus des consensus …bien plus Larges !

La-prison-de-verre

« Nos "données personnelles" ne nous appartiennent plus. Elles sont devenues une « ressource brute gratuite » que nous livrons ([[ soi-disant ]] à chaque instant de notre « vie numérique » à des intérêts très privés [[ même chose que pour la médecine…publique…ces parasites ne survivent que sur le bien, les biens, les contenus réels des autres…cela ne peut durer sans changer…]]. Pour ces derniers, elles constituent une rente - une véritable « mine d’or » à ciel ouvert exploitée gra-tui-te-ment... un « moi numérique » amplifié à chaque clic, soumis à une surveillance électronique constante qui supplante graduellement notre identité sociale de citoyen et de sujet privé. [[ cette ignominie a ses limites et c’est en les limitant que nous les dépassons par un savoir de…partage qui ne surgit qu’aux…bons moments…]]. Bernard E. Harcourt : « c’est ainsi que la surveillance fonctionne aujourd’hui dans les pseudos démocraties libérales : avec des désirs simplistes, aménagés et recommandés pour nous, comme l’envie de jouer à un jeu vidéo préféré, poster sur Facebook une vidéo virale, instagrammer un selfie, tweeter une conférence, consulter la météo, vérifier ses messages, skyper avec notre amoureux (se), envoyer une émoticône sur Messenger. Nous avons le réflexe de nous quantifier, de surveiller nos constantes, nos variations et nos changements physiques. Et, ce faisant, nous nous exposons [[et alors le sillon toujours le même de ces descriptifs ne semble pas être…fertile !]]. » Mise à nu et servitude volontaires...

Non seulement nous survivons de plus en plus mal sous une surveillance et une coercition constantes mais nous nous exposons de nous-mêmes, sans même y être contraints le moins du monde : « Chacun de nous travaille à s’exposer et à partager nos informations personnelles. Le secteur de la sécurité nous a, de fait, délégué ce travail, et ce à un prix dérisoire : le programme Prism ne coûte que 20 millions de dollars par an, ce qui n’est rien pour un programme de surveillance de cette ampleur [[ sauf que le créativité sait cela et contourne ceci sans expliciter ces stratégies –  eux ne peuvent quitter ces états, nous oui et sans cesse d’ailleurs…c’est d’ailleurs que c’est dit !]].  » Aurions-nous vraiment besoin de "ça" [[ non…]] ? C’est-à-dire d’être connectés en permanence à nos gadgets électroniques dont nous devenons les esclaves sans en avoir le moindre besoin, comme des moules sans rocher ou des naufragés sans île, en suscitant cette quantité de traces numériques susceptibles d’une exploitation mal intentionnée ?

Nous avons bel et bien consenti [[ faux, rien de consenti – c’est pour transformer, soit travers les Formes…]] à laisser notre « réalité » se réduire à un «fait techniquement produit» par l’appareillage de notre système technique... La « révolution numérique » est sociale et prend les populations dans sa nasse logicielle en une vertigineuse convergence de toutes les formes de surveillance [[et alors ils ne connaissent rien aux grands voyages…]]. Les « algorithmes de prédiction » permettant d’établir des profils de « suspects » à partir de la masse de big data nous font entrer dans la sphère inconnue d’une justice et d’une police « par anticipation » [[ sauf à n’être personne à force d’éclectismes et d’intérêt pour absolument tout – imprédictible et inidentifiable soit sans…ambition  personnelle que collective…]]. Mais il faudra bien commencer par « l’acte de nous considérer comme un nous [[ déjà Fait et depuis le début on vient de te l’expliquer …]] ». En sommes-nous encore capables dans notre "réalité" aussi optionnelle que notre "Etat de droit" [[ne bref, c’est Nous qui augmentons notre…réalité et pas eux…malgré tous leurs moyens !]] ? Il y avait une vie avant « le numérique », il y en aura une après [[et les parasites ne saurons pas y…accéder…]]... Cette ère reste à construire après l'affaissement de nos défenses immunitaires, en bien plus stimulant encore et avec la joie en plus [[et les Voraces vivent sans joies…que par des…réflexes vides…]] – celle d’être revenus de si loin pour accomplir enfin une humanité digne d’être vécue [[ oui vécue ! incarnée…]] selon un art de la reliance véritable [[ c’est nous ou d’autres qu’on les a arnaqué au final…]]. Faut-il avoir déjà dépensé son avenir en pure perte pour en revenir à la grâce de l'instant nu éclairé par les âges incalculables ? »…eh oui c’est la Joie sans limites …et toi le pitre chapitré tu ne peux nous calculer !

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Paradoxes-qui-détricotent-l-économie-

 

Les mots de l’économie sont issues du corpus médical – le lien ci-dessus le montre abondamment…reprenons juste quelques mots. Celui qui dit « bénéfices» vient de…bénéfiques – mais, avec la régression si mal intentionnée néolibérale c’est donc maléfiques bénéfices…Oui au point de ne plus épargner l’épargne ( ce qui place l’épargne du côté de la vie à…épargner, fort évidemment !). Rentrons dans le véridique…économiser l’économie (oui s’en passer entièrement comme maigre délire insensé des grandeurs) - rien ne tient ses promesses (tout s’inverse)…offrez l’offre, et ils rançonnent l’offerte offre, ils la font payer…toujours trop cher…L’intérêt…ce n’est plus s’intéresser aux autre mais –le sinistre contraire -…se… désintéresser d’eux dans l’extrême cruauté…quel intérêt de continuer en cette chute ?

Puisque ? Les ressources Offertes gratuitement par la Terre (la propriété du capital n’est pas fondée en raison…ce n’est qu’une convention « du plus Fou « – laquelle ? Contre services plus jamais rendus à la société…) Or la propriété « véritable »… ce sont la matière et ses trésors, ses caractéristiques nommées «propriétés» (soi l’étendue incroyable de ses…potentiels). Ce qui supplante tant là…la propriété qui enserre dans des mains…ignorantes ce qui n’est ni aimé, ni protégé, ni centre d’attentions est donc une…appellation très abusive…les ressources sont sources et non…des dus pour des vulgarités qui se trouvent si… en dessous de la mater (la matière-mère) et sa …matérialité… Et ainsi ? Le matérialisme Respectueux de toute matière est donc bien le contraire du capitalisme un super...idéalisme complètement ancré dans la …métaphysique…En lui aucun  pragmatisme attentif, aucun sens du concret possible…il n’est que perdu…égaré… Les preuves :  ses con-sommations proviennent de faire des sommes (sommations) mais dans l’indifférence anormale du total final. Ils s’en foutent de tout et prétendant…diriger. Non mais jamais …lorsque économiser c’est ne pas dépenser…soit faire l’inverse de penser…tout dé…penser = quitter le terrain  solide de penser…aux autres, tiens !  Ce pourquoi qui gaspille pille et que des pillages dans gaspillages- Et que - au très final - la chienlit vient de ces faux…spécialistes…et autre pertes ex-pertes !

 

…….Les mots guérissent (même avant Freud) – Les mots guérissent : la diction du dictionnaire en apporte la preuve pour chacun d’entre eux…

…………………….tant ils sont d’irremplaçables aides aux solutions

.......................................................partageables par toutes et tous (à suivre)… 

 

 ……………….(à suivre)

……   ……….…………….%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%

 

…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

 

.. Que la grande fraternité affective et mentale nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 300 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

couverture …de Daman Dhanjal

couverture …de Daman Dhanjal

Le langage dit comment sauver l’hôpital public !
Le langage dit comment sauver l’hôpital public !
Le langage dit comment sauver l’hôpital public !
Dans notre société prétendue d’exposition permanente, rappelle le philosophe franco-américain Bernard E. Harcourt, « nous sommes vus, observés et surveillés comme si nous étions dans un pavillon en verre-miroir » - et nous y prenons… même plaisir...Assertion absolument mensongère : qui, à part des masochistes, veulent subir de telles plaies d’inculture et de grossièretés ? Personne ne VEUT de ce pourrissement d’internet par des cupides stupides !!

Dans notre société prétendue d’exposition permanente, rappelle le philosophe franco-américain Bernard E. Harcourt, « nous sommes vus, observés et surveillés comme si nous étions dans un pavillon en verre-miroir » - et nous y prenons… même plaisir...Assertion absolument mensongère : qui, à part des masochistes, veulent subir de telles plaies d’inculture et de grossièretés ? Personne ne VEUT de ce pourrissement d’internet par des cupides stupides !!

séduction c’est réduction – c’est donc une anti-société de rapetissement de tout le monde – oui même les détraqués qui croient mettre tout le monde en servitude – que des fantasmes qu’ils ne contrôlent jamais – ils/elles en sortent tellement amoindri-e-s !..

séduction c’est réduction – c’est donc une anti-société de rapetissement de tout le monde – oui même les détraqués qui croient mettre tout le monde en servitude – que des fantasmes qu’ils ne contrôlent jamais – ils/elles en sortent tellement amoindri-e-s !..

  Ni Foucault ni Debord …ah bon, c’est d’Harcourt qui ose que nous…voulons le monde que l’on nous fait subir ! Et tous les soulèvements qui se multiplient sont donc preuves…d’acceptations !

Ni Foucault ni Debord …ah bon, c’est d’Harcourt qui ose que nous…voulons le monde que l’on nous fait subir ! Et tous les soulèvements qui se multiplient sont donc preuves…d’acceptations !

de Seen This…

de Seen This…

télérama – les crétins des sommets vieillissent tout le monde…ils ne savent donc pas ce qu’ils FONT !!

télérama – les crétins des sommets vieillissent tout le monde…ils ne savent donc pas ce qu’ils FONT !!

On peut dire que le management par la « bordélisation » (en sociologie des organisations anglo-saxonne, on parle de « management by chaos »), c’est la meilleure manière de déclencher la lutte de tous contre tous, selon la loi du plus fort. Et cela tant pour les étudiants, les enseignants que pour les établissements. La hiérarchisation entre les établissements universitaires va se creuser. Faute de moyens suffisants, la dégradation du métier d’enseignant va s’accentuer. La numérisation de l’espace éducatif, conçu selon une logique marchande et néolibérale, permettra de contrôler le travail d’enseignement ainsi que ses contenus. La liberté académique sera jetée aux poubelles de l’histoire.

On peut dire que le management par la « bordélisation » (en sociologie des organisations anglo-saxonne, on parle de « management by chaos »), c’est la meilleure manière de déclencher la lutte de tous contre tous, selon la loi du plus fort. Et cela tant pour les étudiants, les enseignants que pour les établissements. La hiérarchisation entre les établissements universitaires va se creuser. Faute de moyens suffisants, la dégradation du métier d’enseignant va s’accentuer. La numérisation de l’espace éducatif, conçu selon une logique marchande et néolibérale, permettra de contrôler le travail d’enseignement ainsi que ses contenus. La liberté académique sera jetée aux poubelles de l’histoire.

Le langage dit comment sauver l’hôpital public !
De Heyman Center

De Heyman Center

Bernard E. Harcourt - De la société d'exposition à la contre-insurrection…56 mn…

1 h 20 mn…l'Hôpital malade du management !!

De nos jours, l’hôpital serait sur-administré et sous-managé! Pourquoi et comment améliorer son fonctionnement? Georges Nizard fait un parallèle avec les obligations d'une entreprise et nous donne ses réponses.

"On en a marre de servir d'esclave au système féodal des stars de la monarchie du showbiz français"…11 mn…

Le langage dit comment sauver l’hôpital public !

J'entends dire, il faut « rentabiliser », mais je ne peux plus entendre ça, parce que je suis un être humain qui m'occupe d'autres êtres humains… Je prendrai toujours tout patient qui a besoin de nos soins. Mais dans les réunions, on me montre des tableaux Excel, on me parle de durées… moyennes de séjour [[restes indélébiles d’hospitalités]], de nombre…de consultations, de nombres… d'actes, etc... Et c'est un tiraillement moral, parce qu'en réalité jamais je ne pense comme ça, on ne peut pas me demander de penser comme ça. [[ le vrai problème… ?]]…Bien sûr je me fais beaucoup d'ennemis en disant ça, tout comme je me fais des ennemis quand je dis qu'il faut reverser un peu… du privé au public, mais quand même, ça en vaut la peine… Parce que le système public actuel, c'est quoi ? Vous gagnez 1 200 euros par mois, vous avez un problème cardiaque grave et vous pouvez être opéré par le plus grand chirurgien cardiaque d'Europe, du pays, croyez-moi, ce sont les meilleurs du monde, et vous ne paierez pas un centime. Ce système-là, est-ce qu'il y a plus précieux que ça ? Si on va vers ce…néolibéralisme Régressif qui est en train de poindre, ça veut dire que ce ne sera plus possible [[la barbarie à visage inhumain aura semé sa pandémie…]], ça veut dire que si vous n'avez pas un salaire… de 4 ou 6 000 euros par mois, vous ne pourrez pas payer une mutuelle à grands frais, et vous ne pourrez pas vous offrir les meilleurs. »…L’injustice par l’argent (lorsque les « meilleurs » ne sont plus emplis de bonté et de gentillesse mais sont…les pires, antisociaux et hyper égoïstes ! Nul.le ne peut parler…de valeurs là-dedans !! Tout y est tant dévalorisé…

Le langage dit comment sauver l’hôpital public !
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