Le décalant triez ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Le décalant triez ?

Qui sait que calendrier dit le premier jour du mois ? Ceci afin d’accentuer que, périodiquement, nous réunirons tous les faits étranges, impossibles à caser nulle part, à rétrécir sous une maigre étiquette ahurie. Ce qui n’a rien, non plus, à voir avec les politiciens et leurs effets d’annonces sans jamais de suites, leurs lois trahies par les décrets d’applications ou leurs menteries permanentes – tout cela ce sont des faits anormaux mais sans la moindre étrangeté attirante. Donc se verra le très exactement opposé de fait. Puisque en sera, aussi, absent le rire comme se moquer, ricaner, grincer, vouloir faire du mal. Seulement le rire de bon cœur ( le décalant riez) qui répare tant de blessures et jamais ne se raille - mais ouvre grand tous ses bras à ce que la barbarie dominante se permet d’exclure…oui ce sont bien des arriérés flagrants et nous sommes passés  à autre chose.

 

-Les-livres-

« Le livre, une sacrée valeur. La multiplicité des titres et des maisons d’édition inciterait à croire que « le livre n’est pas un produit comme les autres ». Qu’il y a au moins respect de ces brutes incultes, des attentions envers ce qui nous dépasse… « Pourtant, là comme ailleurs, la concentration du capital s’exerce avec vigueur inappropriations et n’a pas pour seules conséquences d’aimables (sic) prises de bénéfice. » Ce qui reste une attaque frontale contre le futur de la société : qui veut lire un livre où chaque page n’est qu’une triste copie de billet de banque, où cette mono-maniaquerie efface toute qualité ? La quantité n’apportant rien. Et ce qui nous transporte (métaphore), nous transcende (aphorisme), nous rend meilleur (ces expressions justes) ou nous motive tant envers les autres (tous les mots heureux)…se voit aplati pour quoi…rien en somme ?

« Dans l’édition comme ailleurs, le capital va au capital (ce qui représente une si énorme déperdition collective ; seule la plus grande diversité, la sociodiversité, peut nous sortir des problèmes…). Commençons par les années d’après la joyeuse collaboration de la plupart des éditeurs français avec l’occupant nazi, quand les plus compromis et les plus faibles furent rachetés par plus roués (Denoël et Mercure de France par Gallimard) ou plus gros (Grasset, Fayard et Stock par Hachette) (… pas très représentatif sauf que, question libération de l’écrit, c’est encore l’obsession d’occupation ennemie qui surnage ?). Pendant ce temps, une maison née sous l’Occupation, Presses de la Cité, se préparait à faire des «trente glorieuses» son terrain de jeu, devenant Groupe de la Cité après avoir racheté un premier lot dans les années 1960 (dont Perrin, Plon, Julliard) et un autre vingt ans plus tard (dont Bordas, Dalloz, Larousse, Nathan). Dans l’édition comme ailleurs, on célèbre alors la crise et l’esprit d’entreprise (un esprit d’entreprise qui… empêche celui des autres ne correspond vraiment pas à sa définition…tout abus de concentrations ne peut qu’être nocif, non ?). Fringant patron de la Compagnie générale des eaux, M. Jean-Marie Messier rachète Havas (fondateur de Canal Plus, qui venait d’absorber le Groupe de la Cité) ; puis il bâtit, à partir de 1998, sous le nom de Vivendi, un château de cartes qui ne tiendra pas cinq ans (et ce très petit monde toujours vraiment hors sujet étouffe toute Libre littérature, pendant que des journalistes millionnaires vendus tentent (à leur sinistre déshonneur) de transformer les écrivains en clown. Et la société y perd atrocement puisque aucune des fonctions marchandes ne peut unifier les humains, parler crédiblement à leurs cœurs, se prouver vraisemblables – jamais ne sera pardonné à ces casseurs leurs besognes de destructions massives puisque…rien n’aura été mis à la place. Culturellement – nous sommes dans le pire des déserts… Ces nihilistes sans excuses, ennemis du genre humain, doivent être poussés vers la sortie…).

Plus discrètement que dans le commerce du nucléaire et de l’armement, l’édition bénéficie de la veille présidentielle (peu de le dire – après l’argent inculte et la médiocrité d’incompétents, les politiciens sans grandeur interviennent pour empêcher les parutions…Ceci ne nous apporte qu’une civilisation tirée vers le bas…où il faut chercher les vraies œuvres ailleurs qu’à Paris, la perdante qui fait tout perdre au pays…Plutôt échecs massifs qu’ont causé ce ces… intrus : la vraie culture s’est reconstruite ailleurs !)…. Depuis un siècle et demi, la descendance de Louis Hachette croissait et se démultipliait à la tête du premier groupe d’édition et de distribution français, assuré du monopole des messageries de presse et de la vente en gare (avec les boutiques Relay). Mais, peu avant que François Mitterrand soit élu président de la République en mai 1981, quand une banque d’affaires devient le principal actionnaire d’Hachette (au capital très éparpillé et sous-évalué en Bourse), le président Valéry Giscard d’Estaing impose le nom de Jean-Luc Lagardère (triste idée non ?). Fin 1980, sa société Matra (aéronautique et armement) rachètera « l’éditeur de la République » au fil de l’eau pour en prendre le contrôle à bon compte. En 2002, c’est encore sous les bons auspices d’un président, cette fois Jacques Chirac, qu’Hachette devient le…désastreux…»…Ces historiettes pour immatures et esprits infantiles ne peuvent plus nous intéresser. Comment les bourgeois (inadaptés à vie) souillent absolument tout ! Et comment la beauté du monde…se passe entièrement d’eux. Il ne leur reste que les…vides apparences. Vous savez celles qui sonnent creuses. 

 

……………………. Qui vous pressent trop vous pressent si mal !!

 

Qui vous pressent (de presser) trop vous pressent (de pressentir) si mal. Qui vous pressent trop vous pressent si mal : que c’est donc beau pour les yeux…Mais c’est quoi la signification éblouissante ? Si vous n'êtes rien vous pouvez recevoir tout. Si vous ne voulez rien pour vous vous obtenez tellement plus que qui veut tout pour lui…Ce genre de phrases (et nous allons en faire émerger le palimpseste) sculpte la sagesse… Puisque qui se croit tout, gavé de ses narcissismes inconsistants, oui qui croit tout avoir que peut-il donc… recevoir lorsqu’il n’y a plus aucune place Libre en lui ? L’inconnu et l’invisible représentent bien plus de 80 % du réel qui nous reste accessible, et ces fous égarés croient Tout savoir Tout avoir ? Barrant la route (…jamais il n‘y a eu autant de Censures qu’actuellement, jamais des œuvres essentielles publiables de qualité n’ont pas été transmises ne gardant que la lie sans esprit…mais sans…issues aussi !). Au lieu de regarder nos admirables anticonformistes toujours les yeux émerveillés d’horizons…Horizons que les faux dirigeants ne connaîtront …jamais…La société en plein effondrement bouche toute possibilité de Futur ! Le trésor est là (la vraie littérature qui ne peut revivre que par la libre circulation des idées) et ces puceaux tremblent comme des feuilles sans arbres…devant ce qu’ils croient avoir…

 

Dans cette époque suicidaire, chaque phrase semble obtenir la phrase opposée. Tout se contrebalance, tout s'annule, tout s'efface, tout disparaît accroché au même baiser empoisonné des deux côtés. Cela sonne tellement comme vrai – sinon pourquoi, lorsque vous sortez du cadre, vous voyez non la moitié du réel contre l'autre (que la puérilité guerrière si peu relayée dans la vie réelle – de qui se "bat" tout temps dans les mots, se démasque, trop souvent, en vrai… lâche social…) mais bien la moitié du réel QUI SE PRIVE de l'autre. Ceci c'est crétin, maso, irréaliste, contreproductif, inefficace. Et n'appartient qu'à qui n'a aucun sens des affaires. Pour nous le bourgeois est Celui qui ne connaît et ne comprend rien aux vraies affaires qui ne sont que…collectives (le collectif qui collecte tout sans omettre une seule personne) et globales (agir localement) ? Cette vérité paraît méconnue : mais voyez comment ces balourds sans grâce saccagent le monde - ils sont tellement stupides qu’ils détruisent la montagne des possibles que pour ne…récupérer qu’un caillou de faux profits (le coût réel de ces faux profits partout excédant la valeur affichée)… Donc nuls… les financiers et les économistes (que des…falsificateurs): tant que vous abandonnerez le destin du monde à leurs mains aveugles et débiles – nous resterons en grand danger…Ils ne pigent rien à rien (facile d'aller vérifier!) et leurs prédations s'amoncellent en de tellement pires dégâts que tous les voyous assemblés pourraient commettre

 

Ne vous tracassez pas outre mesure (ce" qui vous "permet" de vous casser en douce?) – un certain nombre d'entre nous leur a, déjà, glissé entre les doigts. Et situés dans un site mental tout autre (loin de leurs auras vénéneuses) elles/ ils  les perçoivent tels qu'en eux-mêmes. Tout est en train de leur… échapper: d'abord, nos esprits et nos cœurs… Nous nous situons dans un site mental où si vous n'êtes rien (apparemment) vous pouvez recevoir Tout. Débarrassés du fardeau de l'excès des pulsions identitaires ou des plaisirs mal compris (l'individualisme sans issue rend 10 000 fois plus malheureux que toute forme de collectivisme tempéré) – nous sommes entrés dans l'utilisation "sensualisée" de notre esprit. Nous ouvrant aux trois amours…Découvrant, à chaque seconde (chair, émotions, sentiments, pensées) un monde radicalement nouveau. Où les impasses toxiques actuelles n'ont plus cours: un vrai saut quantique obligatoirement survenu. L'Evolution nous appelait à une évolution réelle – normal qu'elle s'infuse dans les minuscules détails avant que d'apparaître, entièrement, façonnée. Tant pis pour qui ne croit que ce qu'il se voit – se privant, si connement, de 90 % du réel. Le réel demeure pour l'essentiel INVISIBLE.  Air, vents, espaces, temps, être et atmosphère restent invisibles: sauf dans leurs effets et pas toujours. La "masse noire" (la matière manquante) de l'univers reste sa matière très prédominante. Notre fonctionnement corporel est, essentiellement, automatisé. Il nous échappe, tout comme l'inconscient qui prend tellement plus de volume que le conscient (jusqu'à 90 % pour les plus rétifs aux vrais efforts!). Tout plaide pour l'invisibilité du réel entier. Le langage possède une géométrie invisible, une structure universelle, un schéma cosmique, tout habillé d'invisible. Si, avec cela, ce n'est pas le meilleur guide du réel - c'est signer que vous n'avez jamais pigé que couic à rien. L'usage précieux et précis des mots nous ramène du sens "profond" de tout …etc.

 

Qui vous presse trop vous pressent si mal. Qui vous presse de questions anthropométrique SE PRIVE de vous connaître réellement (enfermé dans ce savoir bidon qui éloigne tant des êtres réels). Qui vous presse de questions s'enfuit, à l'avance, de toutes les réponses possibles. Se positionnant en dehors de l'espace de leurs apports (comme de tout langage non verbal). Qui vous presse de questions se presse, comme une orange, à ne participer DE PLEIN PIED à rien d'essentiel. Toujours en devanture jamais (dans le plus modeste d'apparence, mais si ruisselant d'abondances, atelier réel) dans…l’aventure vibrante. Toujours se mettant de l'avant mais jamais ne se montrant en avance sur rien. Prendre trop de place en restant suiviste des autres, n'est-ce pas le grand écart impossible ? Cela craque, immanquablement, sur un des deux côtés. Qui vous presse trop vous pressent si mal – il fait même la pire des affaires possibles. Nous savons tout sur lui/elle. Et lui/elle rien, absolument, de nous. Mauvais deal. Qui vous presse de questions perd, pour lui, toutes les réponses et leurs nourritures si structurantes…Ce qui offre quelques éléments afin de comprendre où se situe, exactement, le "miracle" actuel…Toutes les méthodes de penser et de ressentir ont changé, sous leur barbe, sous leurs yeux, si loin de leurs invisibles mains trop visibles…Et les esprits inquisiteurs, accusateurs, envieux, malhonnêtes, calomniateurs, répressifs, flicards et juges des autres (sans qu'il soit possible de les mener identiquement!) – perdent tout…Lorsque les "qualités" requises furent minérales – transparences, irisations, globalités, cosmos, puretés, cristaux, clartés, extases, non propriétés des "propriétés" de la matière, réflexions, etc. – bref, tout un fonctionnement interne à 1 million de kilomètres du maniaque et obsessionnel fonctionnement dominant…Les "success stories" sont bien en train de virer à la tonitruante défaite…

 

Qui pressait trop autrui se pressentait si mal – que lui/elle ne pouvait plus rien découvrir, deviner, prévoir ou trouver…A nous les chemins d'abondance: et dont le panneau indicateur dit " Si vous n'êtes rien vous pouvez recevoir tout"…l'aspect "paradoxal" de la  formulation ne disqualifie pas le fondement raisonnable, sage ou très argumenté du mot. Paradoxe veut dire "à côté du" discours orthodoxe. C'est tout: cette position "à côté du" vous préserve, parfois, de recevoir en pleine poire, la masse chutante de l'orthodoxie qui s'effondre. Rongée par les vers de la malhonnête intellectuelle: on ne fuit pas le réel sans dangers… 

 

Vous n'avez confié votre liberté (toute votre liberté) qu'à qui la connaît si mal…A s'en montrer toujours si pressant…A avoir été "trop" complices des dominants – normal, que vous y laissiez quelques plumes. Le dommage d'in entêtement déraisonnable serait de persister et d'y égarer toutes les autres…Qui vous a trop pressé, vous pressentait si mal…Facile, de la sorte, de faire comme nous: de leur glisser entre les doigts !!!

 

…………………….*******************************************************

 

Face aux récurrences : -- nous allons faire et toujours plus tard et toujours reporté et encore se mentir et se surmentir à soi-même (…nous nous faisons tout de suite, les bénéfices de vie en rutilent chaque jour…), le projet va… se construire et chaque jour ces hallucinés ne font rien que dégoiser (nous construisons en avançant), nous avons déjà vécu ce qu’ils disent découvrir ( leurs découvertes qui n’en sont donc pas autant qu’il est dit, sont faites pour les vivre…ensuite…sauf que cet ensuite ne devient pas un tout de suite – nous les vivons déjà sans attendre mais avec d’autres mots), leurs atermoiements bourgeois (combien de faux contestataires de racornissent vains bourgeois ?) ne sont pas les nôtres…nous vivons direct, ressentons amplifiés, disons exactement pareil à qui que ce soit –(aucune hiérarchie en Vrai donc, ce que tu dis, tu…l’es limpidement – les imposteurs ne sont que (hideusement) hiérarchiques, eux supérieurs et tout le monde inf…comment Communique-t-on dans ce bordel pitoyable ? On ne communique pas le commun unique ?)…Ouais si tu as un langage différent selon qui (la classe sociale (sic)) tu t’adresses c’est que tu trahis tout le monde (même toi en fait). Fini pourtant le temps des marchandises où les marchands disent…rien, oui rien…(ils ont volé l’édition et la musique, etc. et ils n’en ont Rien fait ! mais rien : tout se passe ailleurs voilà tout…tristes figures que celles des imposteurs.

Découverte-d'un-signal-cérébral-qui-découvre-la-puissance-phénomenale-de-notre-cerveau/

« Des scientifiques ont récemment découvert que les cellules nichées dans les couches les plus externes de notre cerveau généraient un signal électrique particulier, qui pourrait expliquer ses capacités uniques »…Dire qu’avant on parlait de…vibrations (t’as de bonnes vibrations) et qu’elles existaient charnellement...maintenant, ils parlent à vide, glacés, déconnectés, sans cœur et sans sensualités – à quoi ça sert de thésauriser de vains savoirs plus jamais…mis en pratique ? Nous pouvons garantir avoir vécu et vivre toute cette électricité corporelle mais avec d’autres noms. Une anecdote ? Chez les dentistes apparition d’un «arc électrique» dans la bouche, qui oblige au non usage des appareillages électronique, ayant bien dû revenir aux roulettes mécaniques d’avant…Cela c’est bien vivre à fond ce que l’on dit non ?

« Les neurones communiquent quant à eux par le biais d’événements électriques appelés « potentiels d’action » : une poussée d’activité électrique lorsqu’un neurone envoie de l’information à l’extérieur de la cellule (le Vivre est tellement mieux que de le voit…de l’extérieur. De manières si…étrangères. Comme non impliquées ?). Des centaines d’entrées synaptiques dans un neurone déterminent si un potentiel d’action en résulte tandis que les propriétés électriques actives des dendrites déterminent les nombreuses transformations de l’entrée synaptique en potentiel d’action, ce qui signifie qu’elles constituent en quelque sorte la clé de la puissance de calcul d’un neurone. »…Savoir si l’action marche, passe, vibre c’est d’agir donc…d’agir localement avant tout…«En combinant technique électrophysiologique d’enregistrement des courants transitant à travers les membranes cellulaires, et imagerie par fluorescence, l’équipe a découvert dans les dendrites de ces neurones des classes de potentiel d’action « inconnues » auparavant ( vous croyez… « inconnues » ?Nous pas, vu que nous les avons déjà… parcourues…S’il y a influx nerveux c’est bien que des pulsions…leur allument l’idée d’influer ; de fluer ; non ?), ce qui sous-entend que leur activité est beaucoup plus complexe qu’on ne l’imaginait (complexe pour entier, intégral, incarné, immensités des ressentis, complexe pour… global – nous prouvent à quel point les bourgeois ne savent pas de quoi ils parlent, ne savent pas, non plus, le sens de ce qu’ils disent…complexe c’est la vrai vie mais ce n’est pas si… compliqué si vous avez le cœur simple, aussi simple comme un bonjour…) . Les chercheurs ont noté que l’un de ces nouveaux types de potentiels d’action se déplaçait en utilisant uniquement des ions calcium chez l’humain, au lieu d’ions sodium et calcium chez les autres mammifères étudiés précédemment, ce qui lui permettait d’être beaucoup plus rapide et puissant. »…Nous avions déjà parlé de ce différentiel : c’est que plus de 40 % de tout ce que nous buvons et mangeons c’est pour le cerveau, la plus grande usine chimique que nous puissions imaginer (nus l’avons sous la main la merveille et personne – ou quasi – ne va la visiter et plus !!  Et reproduire ses séquences les plus bénéfiques, en existentiels.… ). Et – en plus- il faut la voir superposée à une circulation intense de grandes villes…avec des dizaines de milliers de feux rouges en même temps…toute cette vision gigantesque qui nous…offre toute la mémoire en acte. Après ces exemples mais tant d’autres - à quoi sert une science…si…éloignée de la vie ? Nous nous vivons directe et nous nous occupons que… ensuite de comprendre. Pourquoi faut pas – et bien nous ferons tout de même. Les faux dirigeants ne savent rien, mais rien, de ce qui constitue la vie. Il ne sert à rien de les attendre pour commencer. Ils ne participent déjà plus à l’essentiel – sinon avec des maladresses trop révélatrices en tentant de censurer…ce qu’ils ne comprennent pas !!

Checker-les-privilèges-ou-renverser-l'ordre-symbolique-?

« On dit des Noirs qu’ils sont Noirs par rapport aux Blancs, mais les Blancs sont, tout court. Il n’est d’ailleurs par sûr que les Blancs soient d’une quelconque couleur. » Par ces mots, la sociologue française Colette Guillaumin suggère la nécessité de penser le pendant relationnel de la condition minoritaire, soit la condition majoritaire dite «blanche» (…il semblait que cela avait déjà été fait…voir le texte « id-entité »). En ce sens, la « blanchité » (de l’anglais « whiteness ») désigne, en sciences sociales, une position sociale dynamique (…si peu dynamique lorsque c’est du…sur place permanent !), historiquement produite, et continument traversée par d’autres principes de… hiérarchisation (sic) — au premier rang desquels la classe et le genre (qui n’a plus…besoin de hiérarchies dans ses relations devenues Sincères avec les autres…n’a plus besoin de s’encombrer d’une telle quincaillerie, non ? Qu’est-ce que nous perdons comme temps avec qui ne Veut pas vraiment penser…). Elle se caractérise par une… perception précise (charabia qui se mord la queue sans tête aussi…) : celle de se croire, en tant qu’individu rattaché à la « condition blanche », irréductible à des stéréotypes fixes et immuables, a fortiori négatifs, tandis que les autres, non-blancs, le seraient — et, de ce fait, le sont (bien après avoir tant…piétiné sur…toujours rien – on fait quoi maintenant !).

Ne pas changer les règles du jeu : en bâtir un autre (depuis le temps que nous le disons, il serait temps de le mettre en pratique, au concret, en vrai, en action. C’est donc ça l’imposture 2020 : dire toujours nous allons changer les règles et ne jamais les CHANGER, juste en radoter sans cesse mais sans le …faire concrètement…Nous allons changer les règles, les règles nous allons changer, les règles ah oui nous allons changer les règles. Mais quand ? Là tout de suite ? Ah bien sûr que nous allons changer les règles mais là il faut réfléchir (encore ? Pas déjà suffisant ? Stop !  c’est quand changer…en vrai !)…etc.

 

Vaut-il vraiment la peine de changer les règles du jeu, de s’épuiser à vouloir jouer mieux, de s’exténuer à jouer dans telle équipe plutôt que dans telle autre, de tenter de changer de capitaine de jeu, de se rêver être ce capitaine, de changer de terrain de jeu, quand on ne sait que trop bien que ce jeu est toujours perdant pour ces mêmes-là, toujours gagnant pour ces mêmes autres ? (tout ce pour dire rien…égarer et ne pas Respecter les lecteurs pour dire toujours…rien. Fatiguer pour dire ça fatigue, tiens, c’est donc bien des immobilistes…traîtres à tout ? Même à leurs frères humains ?…]]. Et si même ce jeu finissait par rendre victorieux ne serait-ce qu’un individu que le destin social prédestinait à perdre, jamais cela n’effacerait l’injustice qui continuerait à frapper le destin de tous les autres. Et cela, qui peut s’y résoudre ? Concentrons, bien davantage, nos forces à nous retirer de la partie pour mieux détruire le jeu (et les voici encore avec faut pas de Leaders sauf qu’ils /elles se posent en leaders intrus tout ce temps et juste pour dire faut…attendre 2 022 (ah bon pourquoi), faut rien faire surtout, ne pas agir localement c’est ne pas agir globalement (non plus) ne pas faire c’est ça.. agir, et autres tromperies de faux leaders qui fusent pas de leaders…sauf eux qui (pendant tout ce temps) ne  nous font que perdre notre temps…oui il faut des leaders non  hiérarchiques – c’est même ce qui manque le plus complètement ! Là c’est flagrant non qu’ils/elles se foutent carrément de nos gueules. De quel côté seraient ils si nous nous posons la question ?). Réinventons-en un (pile au moment où plus rien n’est inventé…du réinventé…que non point…), tout autre, égalitaire et autonome, révolutionnaire, inconditionnellement juste (ah ben ouais des se payer de mots = nous faire payer l’addition !). Ce que l’essayiste et militante afroféministe Fania Noël-Thomassint4 formule en ces termes : « Nous ne sommes pas intéressé·es par le changement de places. Ce que nous voulons, c’est qu’il n’y ait plus personne au bas de l’échelle ; que l’échelle disparaisse, d’ailleurs. »…Bien la première parole Saine de tout la gadoue et pourtant il n’y a que changement de places, Censures effrontées (mais qui n’osent surtout pas se montrer en plein jour)…car il ne faudrait pas, surtout pas qu’ils/elles perdent leurs places si peu…méritées non ? Et pourtant ils disent que c’est ce qu’il y a de plus…important. Plus que vous qu’eux et que nous réunis ?)

Le recours intensif au concept de « privilège blanc » signe l’avancement sinueux du néolibéralisme jusqu’au cœur des pratiques politiques de résistance. Il individualise la question politique raciale et, de là, la dépolitise (ben ouais grâce à qui alors ?). Plus encore : ce sont les possibilités d’émancipation des groupes dominés que l’on indexe et conditionne, paradoxalement, au bon vouloir autocritique des groupes dominants (et faire des pseudos textes qui les empêchent en très direct..). Comme il importe de travailler à une société sans classe — entendre sans domination de la classe capitaliste sur le reste de la société —, il importe de travailler à l’édification d’un monde libéré des catégories sociales de race (…déjà fait enfin – faut diffuser les Bons textes…). Cela, seules l’organisation, la mobilisation et l’action collectives le… permettront »…

………………………*********************************

Le permettront…Encore du futur qui évite toute Présence présente et sensualités qui ouvrent toutes les portes...

Tant de mobilisations appelées sans ferveur qui se déferont dès que soi-disant faites…clair, que ces personnages floutés ne sont pas du bon bord sans bien savoir de quel bord ils sont...

 

……………………………..En tout cas pas de celui A l’abordage ! A l’abordage

 

................……(à suivre)

…………………………….....%%%%%%%%%%%%%%

…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

 Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 500 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Couverture de pinterest – ici de chouette calendrier, écrivains en prison…

Couverture de pinterest – ici de chouette calendrier, écrivains en prison…

où est la Terre sur Terre ?

où est la Terre sur Terre ?

Le décalant triez ?
Charles Fort Le Livre des damnés, avec « les faits maudits » - ceux que la science pucellement guindée et avec des malencontreuses œillères, n’est pas capable d’assumer…

Charles Fort Le Livre des damnés, avec « les faits maudits » - ceux que la science pucellement guindée et avec des malencontreuses œillères, n’est pas capable d’assumer…

de Rembrandt

de Rembrandt

« Une procession de damnés. Par les damnés, j'entends bien les exclus. Nous tiendrons une procession de toutes les données que la Science a jugé bon d'exclure. »….Ainsi commence Le livre des damnés, publié en 1919 aux Etats-Unis par un génial autodidacte qui consacra toute sa vie à collecter et classer (après en avoir scrupuleusement vérifié, par recoupements, les sources) des milliers de « faits maudits », c'est-à-dire de phénomènes et événements mystérieux dont aucune explication rationnelle ne pouvait être donnée et que la science de son époque préférait donc… ignorer. Comme c’est trop facile hein ?

« Une procession de damnés. Par les damnés, j'entends bien les exclus. Nous tiendrons une procession de toutes les données que la Science a jugé bon d'exclure. »….Ainsi commence Le livre des damnés, publié en 1919 aux Etats-Unis par un génial autodidacte qui consacra toute sa vie à collecter et classer (après en avoir scrupuleusement vérifié, par recoupements, les sources) des milliers de « faits maudits », c'est-à-dire de phénomènes et événements mystérieux dont aucune explication rationnelle ne pouvait être donnée et que la science de son époque préférait donc… ignorer. Comme c’est trop facile hein ?

Le décalant triez ?
Marion Verboom, Cartouche, VdF2013, ©Morgane Rul

Marion Verboom, Cartouche, VdF2013, ©Morgane Rul

Théodore Fivel, Salut pour tous. VdF2012, Guillaume Ramon

Théodore Fivel, Salut pour tous. VdF2012, Guillaume Ramon

Maya Mihindou

Maya Mihindou

Le décalant triez ?
Le décalant triez ?

Les données damnées parviendraient à faire passer la science pour une série de…croyances. Pourquoi «ignorer» ce qui dérange vous fait passer pour d’insistants…ignorants ?…13 mn

extraits…Charles Fort Le Livre des damnés et données,

10 mn

ISOLEMENT & PANDÉMIES changent nos LANGUES – 23 mn…

43 mn…sa difficile existence à Melville

Humour à la bourre : Haroun - Pas que…15 mn…

2 suns in the sunset...

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article