A quoi sert d'accumuler des excuses ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

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Depuis le "je ne savais pas" ou "j'obéissais aux ordres" du conformiste tortionnaire, jusqu'à le "je n'ai pas fait d'études" (mais je me comporte, pourtant, en juge cruel envers tout travail dont je ne suis pas capable de comprendre la conception) – tous les alibis et les excuses semblent s'accumuler du même côté. De qui se prétend "innocent de tout" mais use de tous les abus de pouvoir et de positions dominantes existants. Alimentant, en douce, les circuits de désinformations et de diffamations – mais oh non! je ne suis "ni coupable ni responsable" (tout en tirant, donc trop inéquitablement, vers moi seul tout ce que procure d'avantages de telles positions "à responsabilités"  (dont – milliards d'excuses et je les ai oui toutes – il s'agit de n'assumer, réellement, aucune responsabilité – mais de les externaliser sur les autres)…

D'où les ruptures de sens, le haut de la société qui se vautre dans les cumuls de ridicules intenses, de déshonneurs complets, d'illogismes flagrants (et tant d'autres turpitudes) et, alors que (voir le blog "Le riche triche") 35 ont "la même chose " que 3,5 milliards oser que ces 3,5 milliards ONT VRAIMENT BEAUCOUP TROP…c'est bien s'auto- ligoter, se foutre soi- même en tôle, se discréditer pour l'éternité. A part dans les monologues (hors desquels les soi- disant élites s'effondreraient ?) qui irait soutenir de telles "excuses" ?

Clair que les soupçons "qui cherche des excuses a obligatoirement tout à cacher" viennent de devenir efficaces. Excuses ? Exemptions, exonérations, décharges, dégrèvements ou quittances…on comprend ce qui attire tant l'effondrement intégral des trop riches vers ce mot plutôt immature !!! un déshonneur de plus !!! et une médaille de déshonneur national, et une !!!

Mettre hors de cause n'est plus mettre hors de conséquences du tout. Le langage qui est issu de la diction du dictionnaire participe de la géométrie universelle, de la métaphore spatiale la plus vaste connaissable. Dans ce cadre – excuse et le versant peu visible du mot accuse. Comme EXCES  (du latin excedere "sortir de"), l'excuse se targue de sortir des causes. Mais se conduit, trop souvent, comme un excès qui parasite le circuit de la vraie communication…Georges Bataille s'est trompé d'excès de dépenses – la part maudite ne se trouve pas du tout où il pensait !!! Aussi, le mécanisme central peut-il être mis à la portée de toutes les bourses. En effet, la chanson, avec cet intrus flagrant "il n'y a pas de pardon puisqu'il n'y a pas faute", illustre, à la perfection, le monologue total qui siège derrière l'excuse unilatérale ; les paroles font, à la fois, les questions et les réponses, jouent déloyalement les 2 rôles pratiquent la version unique, et expulsent tout le monde sauf un de la présence et du débat. Tout pareil au c'est comme ça. Le c'est comme ça qui illustre alors la totalisation capitaliste (en boucle éternelle "…puisque c'est gomme ça" !!!)…Oui ces importunes paroles ressemblent trop à "excusez-moi de vous avoir fait glisser votre pied sous le mien et d'avoir bien appuyé" ou le plus que ridiculisé "même pas mal – normal, c'est toi qu'as tout ramassé et là c'est trop clair que t'as eu mal" – traces de la déshumanisation accélérée des classes moyennes…le trop étrange il n'y a pas de pardon puisqu'il n'y a pas faute puisque, si c'est vrai, c'est fortement inutile d'en parler, oui ou non…

…nous offre la perfection du schéma de l'excuse qui désexcuse entièrement qui trop inéquitablement se cumule toute les excuses possibles. Là, ce sont 2 fautes de plus : celle de prendre toute la place et d'oser qu'il n'y aurait aucune faute là où il y a nets cumuls de fautes et détournement culotté du pardon. Puisque c'est bien à qui subit l'évidente faute (sinon pourquoi oui en parler ?   ) qu'appartient l'usage principal du pardon (qui n'a plus qu'une vertu médicale de ne pas garder les sensations, sentiments et émotions désagréables – pour cela, il est recommandé de "pardonner" mais sans excuser (ne garder dans la tête que la personne pas sérieuse, pas fiable, lâchement irresponsable, qui refuse d'assumer les conséquences et qui va jusqu'à dénier toute réalité, etc)…

L'avantage démonstratif des chansons c'est, alors, que, la majorité ayant perdu toute source d'authenticité, elles ne sont plus que des illustrations hyper calculées et donc qui "avouent" (trop lumineusement) comment les dominants "se cherchent toutes les excuses"…et les enlèvent toutes à qui obtient toutes les raisons d'être plaint-e…

Ne viendrions-nous pas de rendre visible que l'inégalité absolue de la répartition de l'usage des excuses qui ne penche complètement que d'un seul côté (les trop riches et leurs larbins) – prouve à quel point ils ont de tort, à quel point l'objectivité globalisée a tant à leur reprocher ? Toutes ces traces visibles sont recevables comme preuves juridiques : s'excuser devient s'y accuser !!! Bon, là aussi, ils prennent beaucoup trop de place mais "oublient", aussi, qu'ils se rendent absolument visibles (et la manie écœurante des extrêmes gauches de supposer une intelligence extrême des dirigeants déjouant tout, devinant tout, etc – vient de tomber à l'eau : ne sont- ce pas, plutôt, des pitres sordides ?). Puisque le miroir dans le miroir (qui est la puissance de la vérité toujours simple à parvenir à ce que les mensonges chutent, sans intervention extérieure, uniquement dans tous leurs tortueux "déplacements"!).

En clair – le trop riche n'a AUCUNE EXCUSE. Il ne peut être ni mis hors de causes ni mis hors de conséquences du tout.  Tel est pris qui croyait prendre. Tous les arts martiaux usent de la technique d'utiliser l'échauffement du combattant pour le faire chuter de lui-même. Sans intervenir autrement. Pour les trop riches, il suffisait d'utiliser leurs obsessions maniaques compulsives afin de rendre VISIBLE leurs activités réelles. Ils se faisaient toujours passer pour quelqu'un d'autre quelqu'un d'autre quelqu'un d'autre quelqu'un d'autre quelqu'un d'autre …

Nous allons continuer ce système d'auto-négativités en les plaçant, promptement, sous tutelle juridique pour motif premier "d'excès d'excuses" qui… !!!

L'humour est cosmique ou n'est pas !!!

(à suivre)

 

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Résistances au changement      Impliquent changement de résistances

 

Si ce blog a su retenir votre attention dans les  1 100 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on trouve plus que prévu

 

 

Publié dans l'attaquine

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