Comment le repos repose vos questions ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

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Nous sommes une telle boule survoltée de milliers de questions que de connaître les techniques afin d'apaiser cette tempête reste bienvenue.

 

Bienvenue ? Vous croyez ? Ce système (définitivement déshonoré !) a besoin que nous "n'allions pas trop bien" afin d'avoir, d’une façon biaisée ou d’un autre, "besoin de lui". Ne serait-ce qu'un peu ! Son manque de savoir- vivre intégral de brute barbare va s'insinuer (comme dans vos boites aux lettres), s'infiltrer (comme le web sali de leurs illégitimes assauts) se faufiler (comme les commerciaux) s’imposer tyranniquement (tel les pubs) etc. (tels les  écœurements qu’il nous procure).

 

Ainsi, (penser sphériquement oblige !) les questions pourraient « rendre dispos ». Oui oui reposer – augmenter la paix qui est en vous tout autant que rendre vos fibres plus langoureuses ? Les questions défatiguent et le système, à coups de pas bien légaux « harcèlements économiques », vise à nous exténuer !!!

 

Comment cela se passe ? Dans se passe il ya notion de « passage », vous remarquez, donc aventure entre l’invisible et notre monde tel que nous le vivons. Tout autant que les abstractions « fonctionnent » procurant aux plus intrépides d’entre nous des nectars rares, l’invisible in- forme, aussi pareillement. Plus vous savez concentrer votre « attention’ » plus tout semble faire attention à vous. Inutile de s’encombrer d’une version occidentale des « orientalismes » - vous pouvez, tout aussi bien, y accéder sans intermédiaires à cette « matière qui donne des extases » lorsque l’on apprend à la manipuler.

 

Ainsi les questions qui « rendent dispos » vous dispose en bonne disposition. Notre corps contient du gigantisme, genre poumons déployés sur 10 hectares, longueur du système nerveux qui parcourt la distance Terre- Lune et retour, etc…Donc disposé au disponible- le dispositif du corps rencontre celui des immensités….La question appartient aux gigantismes. N’est- elle pas une « queste » (avec l’élision du s devenue quête !) entière. Y répondre (de repoisier (poser) « s’engager en retour ») se profile, précisément, comme s’aboucher, se coller à la question.

 

Et parcourir tout le périple nécessaire à la réponse. Respons (réponse !) que vous trouvez dans respons-abilité, habilité aux respons, celui qui peut répondre, en fait…La dignité émouvante se situe, en conséquence, autant dans la queste de la question que dans le périple nécessaire afin que la réponse à la question soit à sa taille. Les « qualités » n’ont absolument pas besoin des si déloyales concurrences. D’où un si long voyage demande de la disponibilité. Le meilleur de disponibilité c’est de se rendre dispos, reposé, vacant, tranquille, délassé. Afin de parvenir au dispos le plus fluide – être en de très bonnes dispositions. Si vous avez de sempiternelles amicales conversations avec votre corps, vous détenez l’interface COMPLET. Parfois, il offre les positions et dispositions physiques. D’autres, c’est toute la psychologie ou le mental qui l’in- Forme. Qui des forces en font des formes (ou inversement). D’ailleurs, ça nous arrive, aussi, d’être « en forme »…et si nous en sommes capables, ici et là, nous pouvons en décalquer comme la trace. Et la reproduire à des moments moins fastes…

 

D’où apprendre à « poser » une question tel qu’un paillon se pose devient nettement plus important et productif que de se précipiter, étourdi et indisposé, sur la réponse bouillonnante « d’intérêts ». Donc gâchant tous les goûts par accélérations des satiétés. Se vouloir avidement « propriétaire » vous fait perdre toutes les « propriétés » (invisibles)  de toute la matière. Qui est perdant au change ?

 

Cette démonstration cingle comme un net désaveu sur tout utilitarisme (se précipiter goulument sur toute utilité supposée vous fait perdre les sucs rarissimes des questes questionnantes où vous aviez invité tout votre corps. D’un côté la sécheresse infertile d’êtres abstraits (même d’eux-mêmes) de l’autre la splendeur abondante de qui, ne cherchant pas à « gagner » quoi que ce soit, obtient les faveurs de beaucoup plus.

 

Poser un question peut nous reposer, ainsi, jusqu’aux étamines de tout accalmie savourée. Comportementalisme, fonctionnalisme, le tout réflexes, le y’a que la superficie superficielle qui compte, etc et donc inutile utilitarisme ne savent que rater tout questionnement. L’interrogation centre bien sur ce « dont il s’agit ». ? il s’agit donc que quelque agit bien, que si vous apprenez aussi vous agirez (comme vêtus de l’univers entier) et il s’agit d’agir : interroger c’est savoir (une bonne fois) que toute réponse se trouve déjà comme formulée par la formule qui l’amène au bout de la langue de la question. PENSER C’EST AGIR c’est aussi simple que cela.

 

D’où l’abondance des conséquences. S’intoxiquer aux abstractions même si c’est très courant , croyez bien que ce n’est pas si recommandable que ce soit. Tout être qui « n »’incarne » pas ses pensées jusqu’au moindre de ses muscles, tendons, cheveux ou battements de cœur ne peut que penser « inhumainement »…Les grands penseurs sont de grands hommes/femmes d’action qui « résulte » en un acte une enfilade d’autres. Qui nous rend le monde possible les architectes discrets de l’ensemble ou les énervés remueurs d’apparences trop pressés de ne fermer la main avide que sur des leurres et des chimères ? L’époque semble ne courir qu’après les seconds, archi démagos, qui ne disent toujours comme vous que pour vous subtiliser votre subtil. Tandis que les archées se montrent si exigeants (donc anti démagos) parce qu’ils/ elles savent que ce « n’est pas rendre service » que de masquer les vraies techniques. Les déguiser de facilités. Ayez plutôt confiance en qui peut vous « couper » la parole (il est interactif donc peut affilié aux mensonges) ou qui n’est pas obligatoirement d’accord avec vous. Avec quelques autres ingrédients – sûr que ce sont « les bons » !!!

 

Le plus comique de l’histoire c’est que le départ seul demeure « difficile ». Vous vous rendez compte se tirer de sa part, son dé-part, oui je me carapate de ma supposée part. Partir constitue pourtant une part « supérieure » (mais tenter de niquer l’invisible vraiment c’est pas très futé !) . Bien, vous dé-rouillez, mais ce n’est que de la rouille qui tombe. Les corps les plus souples (ça devrait être l’évidence !) sont les « plus emplis de bonté » (en un mot « les meilleurs »). Le meilleur se savoure mais s’améliorant sans cesse il ne peut stationner dans le flétrissant orgueil de soi. Tu serais comme une fleur, tu te vanterais de tes pétales sépales, qu’aussi « sec », ça se flétrit. Se vanter c’est bien ni mal d’ailleurs que parce que tu t’égares avec ces leurres et argent des leurres…Sinon pas grave sinon que NOUS N’AVONS PLUS LE TEMPS !!!

 

La perfection demeure admirable et qui a reçu ne serait-ce qu’une caresse effleurée d’elle le « sait » – que parce que elle ne sert qu’à se « perfectionner ». Et autres mots et concepts (articuler les concepts avec ses propres articulations des membres oui c’est « action » pleine et entière !) qui appartiennent au stratégique. Et le stratégique ,ne se dit toujours pas. Pourquoi ? Qui n’est pas uniformément amical ou bien Veillant ne « dispose » d’aucun accueil en lui. Donc ne peut « recevoir ». L’univers se tait quand il vient vacarmer ses voies sans issues. Donc le relous ne « sait » rien de la pensée incarnée qui « est » action. Et donc (d’autant plus) il pige queue dalle à comment le repos repose nos questions ?

 

Simple – Ce sont vos questions qui reposent le  repos à « sa » place ? par peinture, danse, art oratoire, musique, aide aux autres, rire du cœur écriture, etc (les chercheurs de l’or des mots, non seulement, possèdent tous les filons mais, grâce à eux, ils sont devenus inépuisables ces filons – qui va venir s’excuser des excès de censures et de brutalités à leur égard ?)…

 

Trouvez toutes les questions assez grandes pour contenir les embrassades des réponses ? Ah oui ! La connaissance c’est bien pour faire connaissance ?.

 

Oui ou non ?

 

(à suivre)

 

trouvez un complément à cette réflexion sur le site internet freethewords.org,   onglet 1  "Les mamelles du repos" et  "Remue- ménage",  onglet 2 "Présent !", onglet 3 "La diction du dictionnaire", onglet 4  "Nul n'est nul" ou, encore,  "Je ne parle plus à qui a raison".

Résistance au changement      Implique changement de la résistance

 

Si ce blog a su retenir votre attention dans les 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on trouve plus que prévu

 

Publié dans corps des langages

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