La Terre est un corps/ et votre corps est la terre (6) Géomancies...

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Comment ne pas admettre, maître, que la Terre ne reçoive pas vraiment de l'Energie émise de l'extérieur, c'est-à-dire des autres planantes planètes et tout le spécial spatial ; cela entendrait qu'elle s'envelopperait d'une infranchissable coque ou que ces énergies n'existent pas, comme le miel du ciel ? Faut-il penser aux tropismes des tropiques ? A l'équation de l'équateur? Faut-il s'entraîner à percevoir les gazeuses tribus de la redistribution des énergies ou de ce qui n'est  pas encore nommé? Comment la Terre se nourrit, s'en imbibe, s'en biberonne, lorsque le volatil se sait partout volatilisé? Et le subtil tout subtilisé? Comment transforme-t-elle ce qui va nous nourrir ? Développer une idée c'est, aussi, de la photosynthèse. La Terre admise, enfin, comme non autarcique ni autiste (la beauté de la radioastronomie), plus guère anthropocentrique ni anthropocosmique - c'est-à-dire le cosmos comme l'entrepôt de l'homme - vous êtes passé à un autre regard. Alors pourquoi ne pas éprouver cette innommée (pour encore!) carte où la longe des longitudes ne sait pas ce qu'elles longe, où l'attitude des latitudes buveuses n'en dispute pas moins à une très haut "câble" à haute tension (comme un jet stream mental) - lorsque, d'avoir feuilleté les parchemins où par chemins cherchés et retrouvé, époussette que tu ambules, funambule, en réalité cette étrange carte. Et c'est la piété des pieds pour le sourcier des sorciers mutés. Car si la géographie n'est que l'extérieur graphisme de la raide peau de pierre de la Terre, marcher SUR c'est sentir au moins deux fois (sentir et res-sentir). Sentir quoi? Que si les énergies circulaient partout pour se joindre d'oindre tout le corps de l'homme, de la même manière, rouleraient à "la surface" et dans les profondeurs de la Terre par de rauques nerfs et de chanceuses veines...etc. Que vaut-il mieux enfin ? Un squelette net ou des chairs floues mais si palpitantes?  Comme les plexus de nos corps les font, parfois, radieux et dieux, des nœuds d'aimantation et de subtiles directions rayonnantes feraient mandala de l'esprit de la Terre. Comme dans tout notre corps tous les soins de nos besoins savent - hors de notre conscience et de notre attention - tout joindre d'oindre, la Terre doit le faire aussi. Et si le langage était plus proche de "sa" compréhension que de la notre? Des exemples ? Ainsi, vous parliez et parlez de concret comme si c'était un "argument" autosuffisant, mais en omettant d'élargir votre attention sur ses CONCRETIONS au concret (action de s'épaissir, de former un solide, d'émerger condensé - quand le concret se rassemble, se concentre, se centre) - ce qui nous a, barbarement, privé d'entrevoir les voies que le "concret" emploie pour nous apparaître, FAIRE surface, se révéler à nous - se concrétiser enfin - aussi, ne gardiez-vous du concret qu'un squelette : où se sont-elles envolées, où sont-elles ses concrétions abolies? N'est-c'queue laiteuse? Le GLAND oui le gland étant la seule GLANDE qui s'exprime. Le gland étant le masculin pôle de la glande qui, dans cette action de s'épaissir épaisse en paissant sa concrétion, sonne cette trans-spiration (qui traverse les spires, les cercles de giration - mais comment et pourquoi  : ne serions-nous pas si loin, si loin du "réel" savoir ?)  qui, de la re-spiration à la con-spiration, dévoile la forme même des sucs de cette muette mue après laquelle, seul, le pire vent soupire...Voilà que les vents soufflent des pôles vers l'équateur et que les alizés de directions constantes, reprenant la flambeau, soufflent vers l'équateur - cette équation de l'eau - Tandis que, aux tropes des tropiques, deux bourgeons de hautes pressions s'écartent de l'équateur, s'en font l'écho en renvoyant la balle, jetant leurs vents vers les pôles, mais qui dons épaule le fusil de l'Energie? A cette image, comment les plexus vénusiens, lunaires, jupitériens, solaires et tant d'autres, se mêlent à l'argile aquatique de nos chairs? Les vents par frottements des muscles de l'air sur la graisse de l'eau déterminent les courants. et les courants courent pour vous y tenir. Partout le ballet de l'eau et de l'air - voyez cette colline loin, sa forme est due à la direction des cours d'eau, débiteurs eux-mêmes de l'influence des vents - cette vitesse gazeuse de la rotation et dotation de la Terre. N'est-ce pas que la massive part de la réalité nous reste "invisible" (sinon par effets en reflets) ? N'est-ce pas que ce que nous percevons du réel, et le gonflons à nous le faire croire "réaliste", est une insuffisance énorme? La carte la plus précise n'est-elle pas, alors, comme la "carte écartelée" et pourquoi écartez-vous trop vite cette carte ? Tout semble de ce tissu issu. Regardez, autour de vous, couler le sang cosmique, frémir les nerfs très unis de l'univers, regardez le pollen suspendu de la vie, la poudreuse corde des fleurs encordées, les oiselées graines du petit poucet des arbres, le réveil parfumé de l'instinct animal (qui existe SANS explications) et ces flots des sectes d'insectes, le nacre des vaisseaux génitaux relié du fil rouge des gènes de l'éros érogène...Tout un ballet déballé qui se faufile, ruisselle, court, virevolte autour des électrons de la réalité squelettique et métallique des sciences sûres comme ces aigres poires. Les concrétions du concret ne surpassent-elles pas le concret, n'appartiennent-elles pas à l'abondance? N'est-il pas plus réaliste d'éprouver toutes ces concrétions plutôt que de se diminuer, se restreindre, se rapetir en stationnant dans un concret figé? Quand au pollen suspendu des mots, qui ne s'est mis à entendre les mots entendus entre eux... Comment alors oublier de vous dire que lorsque nous nous penchions sur nos grimoires grimés, nos corps libres et légers pouvaient prendre la forme, la chaleur, l'énergie de tout signe d'écriture? Comme UN RECHARGEMENT, une revitalisation, un reminéralisation, un revitamination, une réénergétisation . Les mots s'ouvrent comme des fruits et vous pouvez en avaler le nectar. Les chiffres et les lettres sont tout de même des dessins. Les dessins de la danse des corps concentrée dans sa seule main. Aucune séparation entre les formes (des lettres ou autres) et les possibilités du corps. Le mot n'est-il pas la grandissante spirale de la lettre? Les "positions" mentales sont (aussi)des positions physiques, pourquoi ne pas les amplement visiter? L'on se demanderait, sinon, pourquoi d'admiration tu capotes sur la ration d'admis? Comprends-tu que les sons des mots iront, désormais, jusque dans les moindres replis de nos sens? Pour notre plus grand bonheur. La morale reste orale, n'en demeure qu'où est l'oralité reste la moralité : et si donc un livre est cri écrit c'est faute de pouvoir le parler...Les mots, les mots, l'émotion... Chacun et chacun , avec son POINT de vue, se trouve immergés dans le gigantesque cercle de la Société, avec sa trame de résonance des mots si inextricablement liée à sa sensibilité, si fermement tissée à sa POSITION sociale : le langage étant Un se voit, ainsi, tiraillé par et dans toute la Société. Parler y devient une gigantesque prouesse car il s'ait bien de deviner, en un millième de seconde tout ceci? Parler étant perler les mots, trouver l'angle de résonance qui respecte si infiniment ton point de vue. En ce presque impossible entretien, où, entre tien et mien, tu choisis ta manière de dire. Par la trop cher chercher! Parles moi de ce qui compense et récompense : si, du moins, tu ne pouvais parler que par compensation, ta pensée en pension...Si je me soumets au mots, tels quels - c'est pour RIEN. Sinon la justice qui est déjà dans les mots…

 

A la bague du sablier le passage fut brutal, comme l'aspiration qui nous gonfla. Le temps fut retourné. Toutes ces genres d'écoles, d'où l'on ne décolle, celles qui nous engloutissaient dans un angle aigu, col tranchant, asphyxie, tam tam - comprimé des compétitions qui saignent, savoir ce qui fait briller sans profondeur et qui ne fait que tourner autour des pots de la vie, le toujours même piétinement. Les oiseaux de nos amours ouvrirent leurs ailes d'angles aussi vastes que les horizons. Le sable tombant au vaste fond du sablier. L'école inversée. Les cancres, ceux qui tiennent l'ancre, à force de trop sentir, ceux qui battaient les œufs des rires, ceux qui aimaient, qui prenaient de l'avance sur l'enfance pour l'y retrouver dans un espace immense, ceux-là nous arrachaient de toutes les sortes d'écoles, fonds de bouteille. Arriver à tout exprimer, l'ambition de la nuit, la nuit entre l'enfance et la blasée vieillesse sans blason, de quoi retourner la cape maussade des bars bus en des chromes de rires. La vie au galop. Une vitesse qui cravacha le spectacle, des gens l'engeance, l'exigence infinie de l'amour, rayonner. Toute la vie réinventée. Les vêtements chatoyants, individualisés, cheveux longs, yeux profonds comme leurs rayures rieuses pour charmer, séduire. Tant est foulard que la mode se croit toujours la mode d'être moderne. Mais la mode est modique ou n'est pas : modeste modiste : vos yeux en poudre à délayer en l'eau de vos illusions. Les princes de la pauvreté. Les gestes vêtant et dévêtant les mots de passe pour continuer la simplification existante. Les solutions sont les mots mêmes en lesquels le problème est posé. Et, en effets, la ie est bien nue. Cette parure aérienne, il paraît, et donc par rues incendions ce don. Ces vêtements qui irradient le corps et le tendent à craquer, en respirations serties de l'image des énergies, de l'image imprimée des mouvements de la matière. Les marées de nos corps : tuniques uniques, pantalons d'étalons, bottes comme la beauté qui les bottait. Le tout en joyaux de couleurs. Foulards. Bijou sur la joue. Qui joue? Ces vêtements à cycloïdes, à rebroussements, à inflexions serpentines et à boucles où semblaient s'épuiser les combinaisons de tous les enroulements, étaient la vie qui irradiait radieuse du corps…Lorsque le signe, l'énergie cosmique qui le gaine s'est signé, achevé en toi, en ce vide suprême enroulé dans le vide terminal, le déclic a eu lieu - tout se refait dans l'autre sens désorais. L'énergie déboule entière de toi. Vêtements vous m'êtes vent pour déroider la broderie…Dressé sur notre fierté, brandi par tous les efforts forts - je vis tout être aspiré dans le gigantesque tourbillon qui attirait tout, en se glissant dans l'infracassable noyau des rêves sans trêves Nouvelle attitude physique, affective face à la vie, l'émerveillement fait amerrir ces rêves qui contiennent en eux toute la trame de la réalité, à chacun son style englobé dans "devant chaque limite l'imite"…Tous partirent sans le savoir, vers où, vers quoi, quel horizontal horizon, mais enfin, sachez qu'ils partirent, lâchant ce qu'ils avaient connu, plus ou moins douillet, plus ou moins sécurisant - un sou à la science et c'est l'insouciance. Ils partirent sans frontières, tout soudain, sans peau sur les yeux, sans conditions à leurs mains, ils partirent, aucun ne disait la même langue mais tous parlaient de la même chose et ils ne le savaient pas, sans écran à leurs bouches, à leurs cœurs, ils savaient tout ce qu'il y a à savoir pour faire la Terre. TOUT…Et depuis la musique s'élève sur la blessure de ces mots. Et ils étaient partis dans le silence de leurs vies, ils avaient su presque à la même minute la même chose, que leurs vies étaient leurs solutions pas leurs problèmes, qu'ils avaient abattu toutes les cloisons étanches, il n'y a que la Terre donc qu'un pays, il n'y a qu'une humanité dons tous frères et sœurs, il n'y a que végétale et animale mouvance donc énergie, et le temple que tu contemples pour l'éternité de l'étreinte de tous UNIS VERS, tous univers de l'univers lui-même. L'eau de tout leur corps coulait entre les secs récifs de tous vos alibis, cette eau rassemblait tout, réunissait tout, ruisselets, ruisseaux, rivières, fleuves, océans de nous retrouvés. Que proposez-vous ? Posez-vous là et passez votre vie à la proposer, propos-position à tenir toute votre entière existence : comme cela nous obstinerons le carnage du fric le plus fou…Que proposez-vous ? Mais oser le propos, voyons…Et ils étaient partis, ils avaient tout réussi, de nouveau ré-issue. Le soleil, chacun était sûr que l'autre en avait une moisson abondante, chaque jour de nouvelles grappes. Des enfants sans ressorts s'étaient détendus, assis dans leurs vêtements déjà usés de couleurs. La vie était déclarée comme une fête de tous les jours : pétards fêtards - la rendre vivante, vivable une fois pour toute. Tant l'homme en complet se prétend complet. Des enfants sans ambitions oui avaient catapulté de réussir leur vie comme un rêve, reconnaître la lumière de leur enfance coupée à la machette - les yeux brillants d'un secret à partager. Les parts d'âges. Pourquoi, oui pourquoi étaient-ils tous partis pour la même raison, sans la savoir? Mais qui était, où était l'organiste, le chef d'orchestre de tout cet unisson des organes? Tout a réussi dans toutes les directions, sur tous les fronts radieux, dans tous les aspects de la vie Lorsque "diriger" mais vers où, vers quoi, semble tant monodirectionnel. Toujours partis sur le lait en poudre de nouvelles pistes. De nouveaux gestes s'agenouillaient pour les humbles partages, de nouvelles fiertés, le cœur qui bout et coule de donner, de nouvelles paroles, chacun dévoilant le passage, le point d'eau de ses rêves, le moment où il avait changé, tourné vers le sablier. Le chez soi des autres. Le chez soi collectif. La chaleur s'extériorisait en étés de vacances qui devaient durer toujours. Si beaucoup se sont rangés dans les casiers d'eux-mêmes c'est qu'ils ne voulaient plus être dérangés par n'importe qui (alors, maintenant, ils le sont par n'importe quoi) tu étais n'importe qui, tous pouvaient t'adresser la parole, plonger au fond de toi, de tes pudeurs, de tes liens, de tes idées, au farfouillis de toi. Si beaucoup ont interrompu, rompu ces vacances, malgré leurs apparences, c'est qu'ils n'avaient pas compris que vacance c'est d'être libre, disponible, vacant. Non manipulable. Ils font l'occupation d'eux-mêmes! La Terre demeure promise et la marche tenue. Tous avaient eu le même silencieux déclic sautant, s'ôtant de tout ce qui enferme (frontières, activités, rôles sociaux, propagandes dévalorisantes, manipulations désinformatrices, etc.), étant juste eux-mêmes (plus "d'accès" à cette Société de tromperies organisées), inutile d'insister sister. Nous pouvons être tellement d'autres choses tellement…Ils étaient devenus la Terre, de vrais terriens totalement terrestres. Nous savons la Terre où t'erres. Cours et recours : la Terre fut vécue dans son entière sphère : t'es plus que témoin!…Et tous partirent, quittèrent tout pour la Terre, comprenez-vous, pour la Terre. Je ne connais que les pierres où pi erre, les épines de ce chemin qui mène , dit-on, à ce beau pays : la Terre, comprenez-vous. La Terre dé-terrée. La boucle était bouclée. J'étais fier mais à qui se fier…Les pôles polarisant cette fine toile où ces fils de la vierge, mais les fils du fils enfin, oui ce lent tissage du métissage. Ces mêmes chemins - la main du chemin. Tu reviendras de venir, c'est certain. A force de venir et de venir tu parviendras à devenir. Le temps battant au temps et à ses sécrétions : les tempes qui nous permettent de temporaliser.

Oui enfin, ces pôles épaulés qui polarisèrent ces actes ramifiés de l'Abel premier de notre alphabet…

 

 Oui oui ces pôles disséminés, séminé et séminal, semés de semelles de Terre, ces pôles tous connus ouvertement, je ne peux même plus vous en parler … Puisque ces vêtements en étaient la calligraphie. Comme de nouveaux errants de l'ère recherchaient le contact ( et contact vous le savez désormais!) avec les cycles de la vie animale et végétales, la marche des saisons, le perron où chacune sait son son sous les mouvements célestes - l'est céleste ne l'oublies moins. Et la saison sait son son. Le printemps c'est le temps, son empreinte, le principe épique du temps lorsque l'été n' a jamais ETE et l'automne autonome mnémonique ne peut faire oublier justement que le vernal hivernal nous esquisse que l'hivers vers quoi d'ailleurs…Les quatre flèches cardinales t'en rendrait raison…Le graduel annuel : où loge l'horloge à trimer le trimestre et semer le semestre? Où? Le choix est clair : ou ouest ou est, mais si l'est est le choix de l'ouest (ou-est) où est l'ouest, si tout est est ? Tous les choix deviennent limpides, rond est anagramme de nord refermé sur lui-même; Tandis que le Sud c'est tous ces droits nous restant dus : sud (son anagramme). Parcourant toute la vastitude d'un nouveau territoire, la Terre comme une unité, comme une suprême réalité qui englobe toutes les autres et les ennoblit de son reflet permanent, où chaque lieu, chaque trait de paysage ayant l'âge du pays même, se montre comme un nœud, une antenne, une pointe conductrice, un creux réceptif, un long ruban, un pivot, une rivière souterraine d'énergie - dont la réceptivité de l'univers tout entier s'ouvre toute entière Les chemins entre ces nouveaux sacrés lieux nacrés, véritables conducteurs d'énergie naturelle, se laissent apercevoir comme les voies de l'esprit de la Terre réceptive de tout l'univers Le regard radicalement changé : au lieu de s'autodétruire en ne regardant "qu'à l'intérieur" nous nous ouvrons, comme fleurs, au grand extérieur. Nous parvient, alors seulement, la compréhension des concrétions du concret, des sécrétions du secret, de s'oigner de soigner, d'oindre de joindre, de panser par penser et tant d'ex-pressions, libérées du poids du passé et son passif fardeau, afin que les cerveaux vite en acti-vités psychiques le redeviennent…Si les directions des cours d'eau sont déterminées par l'influence flux de vents et liquides autant que par les barrières rocheuses, n'est-ce pas, simplement, que le corps humain et le corps de la Terre se circulent, s'écoulent de la même façon? Plus précisément quels sont les flux et barrières pour le corps humain ? Et s'il représente, ce corps, toutes les formes et mouvements possibles de l'eau, que savons du vent pour ne point chercher à l'aider à épousseter les gradins de nos os, les ciments de nos électrons de sa rapide et nécessaire caresse. Est-il si simple de croire que la Terre soit un aimant avec contractions et expansions, attirant ou refluant les serpents d'étoiles, les serpents de lait, ceux-ci faisant couvaison dans les sombres replis du sol? L'extérieur ne serait-il pas ce que nous nommons de notre niche mentale l'ex terrier (terrien ou terrier?) oui, est-il si facile de croire qu'en connaissant, à la fois, la grandiose réception que fait la Terre à l'énergie cosmique et tous les chemins des ramifications les plus fines de sa distribution "interne", de son juste partage des stances de substances - nous retrouverions les pôles où la Terre polarise très exactement tous ces fluides et énergies?

 Comprendre le sens du partage n'est accessible qu'à qui a atteint la globalité : comme quoi la "mondialisation" économique est l'exact contraire d'une compréhension globale puisque cette "mondialisation" est la barbare incompréhension de tout ce qui englobe (Terre, Humanité, Tout, Un etc.) et qui permet au tout d'être toujours plus que ses parties, élevant chacune d'elle à l'unité de l'imm-unité comme de l'imp-unité Le partage agrandit toutes les possibilités existantes et abonde dans le sens de l'abondance, tandis que le profit racornit tout, vide tout en ne mettant que le plus local, le plus mesquin dans le plus gigantesque Et, surtout, contraint, bien plus que toute prison à fermer sa "réceptivité" puisqu'il faut cacher, masquer l'information, empêcher sa propriété vitale de circuler partout, donc la forcer à être rétrécie, en rétention, en constriction, écrasée, aplatie Cette posture psychologique si désagréable ne peut se camper comme réaliste. Objecter seulement d'objets ne peut plus défaire que "l'objectivité", ainsi "recadrée" ne soit par trop le seul point de vue des objets, un point de vue qui se replie, s'amoindrit, se rapetisse, puisqu'il refuse de tout englober.

 

Le langage, ainsi remis à la pointe du plus grand modernisme, dévoile que les élites autoproclamées actuelles tournent le dos à la vraie modernité, en sont les barbares les plus arriérés et forment (du fait de leurs mentalités empoisonnées et leurs styles de vie empoisonneurs) le principal problème mondial Pendant ce temps, le langage est tout à ses récoltes. Ainsi "profit" (et tout vocable adjacent) n'est-il absolument ^pas réaliste ni objectif. C'est le détournement d'un gain global, d'une activité collective par un point local insubordonné. C'est vouloir faire croire que la "richesse" 'un est la "richesse" de tous, que si un seul "profite" l'économie mondiale(sic- la sienne seulement!) va "bien"  En effet, il n'existe nul profit possible lorsque nous nous plaçons dans le global - juste équilibrer les coûts et résultats. Et le "profit" est cette posture malsaine (qui a si peur de se montrer pourtant) si obstinée, qui refuse de savoir (comme de répondre) à "Combien coûte le profit"? Quel est son coût "global"? Quel est son coût pour tout ce qui est le plus englobalisant? Avec cet entêtement arriéré, entièrement gonflé de mauvaise foi et de mauvaise volonté (que l'on ne trouve que chez les "élites" autoproclamées) - le profit c'est le refermé, le renfermé, ce qui "ignore" "tout" et ne s'aveugle que sur le "petit rien" de son propre "profit" (détournement égoïste - une des définitions "réalistes" du mot), qui coûte si cher au global L'esquisse de la réponse à "combien coûte le profit" est infiniment plus que n'importe quel autre système. Le système de "profit" ne "bénéficie" qu'à 5 % à peine de l'Humanité : le capitalisme est bien un système de marginaux arriérés. CQFD.

 

 

Vous pouvez lire et/ ou télécharger gratos sur freethewords.org , signet 1 titre « les mamelles du repos »… pp. 61 à 68…

 

(à suivre)

 

 

La Terre est un corps/ et votre corps est la terre (7)   Océans...

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