La métaphysique sert-elle encore et à quoi ?
Ontologie, philosophie, métaphysique, théologie, longtemps, concourraient en de mêmes interrogations. Aujourd'hui, si la philosophie reste incontournable pour tout choix de communication, de société, voire de civilisation...il était légitime d'entamer une recherche afin de vérifier pour quelle fondation la métaphysique resterait incontournable. En traversant le pragmatisme, le comportementalisme ou l'utilitarisme, une méthode s'est profilée : comme une archéologie ; vérifier où se trouvent les dépôts du vocable de la métaphysique (versus religieux) dans la civilisation d'aujourd'hui. A partir de là c'est de découverte en découverte que nous voguons, parcourant l'Armée et la Guerre, le Politique ou le Capitalisme*** (trio pour qui la métaphysique s'avère bien n'être pas lettre morte !)*** voir les coordonnées sur le site "freethewords.org" plus loin dans l'article !!! Le périple se clôt par une récapitulation qui montre que si les religions n'ont gardé qu'un masque oppressif, il demeure utile de reconnaître dans la métaphysique (nettoyée des formes religieuses) un aiguillon heuristique à protéger.
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Métaphysique ? La métaphysique s'attrape par son étymologie. Meta, préfixe qui exprime la succession, le changement: après la physique, qui suit la physique. Mais aussi au-delà de la physique, tel le changement inclus dans métamorphose, de morphê, forme, en changement de forme, qui succède à la forme. Mais pas de forme, pas de changement possible de celle-ci. Dernier arbre de sens, ce qui dépasse, englobe (un objet de pensée, une science) : tout autour de la physique, qui est plus vaste Ailleurs que dans la physique, dit la métaphore, meta-phôrien, porter ailleurs. La métaphysique la poursuite de la physique par d'autres moyens? Toutes deux n'ont elles pas le même but : trouver les principes premiers de la connaissance, connaître les principes de l'univers, de la matière et de l'esprit ? Mais la métaphysique c'est à travers l'Être absolu (ontologie) ou bien les bases de toutes les activités humaines (philosophie) qu'elle piste l'interrogation. Ce qui, d'un bloc, semble la disqualifier : la métaphysique serait pensée uniquement spéculative qui prétend parvenir à l'adéquation parfaite de l'idée et du monde extérieur. Cette connaissance ne se voit pas atteinte par la vérification des expériences et du laboratoire. Alors qu'en sait-on ? Le pragmatisme, en ses prémisses, fut ainsi comme une mise en pièce de la métaphysique, et par extension du but de la philosophie. Mais Bertrand Russell rétorqua, cinglant: "Les deux qualités que je tiens pour importantes sont l'amour de la vérité et celui de notre prochain. Je trouve que l'amour de la vérité est obscurci en Amérique par l'esprit du commerce dont le pragmatisme est l'expression philosophique, et que l'amour du prochain y est entravé par la morale puritaine." Les deux seraient ils liés ?
Bref, nous n'en savons guère plus sur la différence fondamentale (spatiale ou substantielle) qui règne entre physique et métaphysique. Réessayons.
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La physique, elle, ne répond pas tout à fait à notre corps physique, fût-il corpusculaire, la première semblant parfois flotter du côté du microscopique ou du macroscopique, si souvent invisibles, fussent-ils ondulatoires. Toutes les questions formulées qui demeurent sans réponses satisfaisantes surgissent du fait que la physique ne concerne que la matière avec son étendue et son énergie, les choses, les objets massifs et passifs inscrits dans l'espace-temps géométrisés. Pas nous ! Chargés d’un corps ! Nous, affublés d'un cerveau et son inconscient ! La métaphysique semble, alors, se préoccuper de cet invisible, par définition très difficile à décrire et saisir. Nous possédons, là, un angle d'approche où la métaphysique se situe d'emblée dans ce qui n'est pas mesurable, testable à volonté, identifiable par mécanisme et reproductible. Ce versant, suffisamment passionnant, pour que des savants daignent s'y intéresser, ne va pourtant pas nous retenir.
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C'est un tout autre angle, qui va s'écarter promptement de cette approche attendue, qui va bien mieux solliciter notre attention. Présentons cet angle autre - d'abord, par un schématisme très temporaire. La métaphysique, plus qu'un amassement de discours, choisira de se définir comme l'interrogation persistante sur l'invisible, l'au-delà de notre ici et maintenant. Cette interrogation est longtemps restée comme un processus permanent, une histoire : et la métaphysique a ouvert, visiblement, le (les) religions comme noyau(x) actif(s) du travail de cet invisible sur chaque époque. Voici la trajectoire.
Voilà le trajet : où se trouve aujourd'hui ce religieux actif, étant entendu que les religions "révélées" ne fonctionnent plus que comme des rites, quelque peu vidés de leur contenu et de leur sens ? Ou bien, dit autrement, où se situe dans la Société, la légitimation (anciennement dite de "droit divin"), qu'importe, qu'apporte la Religion? Cette "légitimation" par le religieux accordant un très fort pouvoir symbolique à son détenteur. Cet angle d'approche, que ne désavouerait pas l'utilitarisme (à quoi cela sert?) ou le fonctionnalisme (l'esprit n'est qu'un input ou un output), nous permet pourtant de répondre à la question : la métaphysique aboutit elle à quelque chose ? Ou bien est elle lettre morte? La métaphysique sert elle encore à quoi que ce soit aujourd'hui ?
..........Il va nous falloir, en conséquence, ausculter le bel aujourd'hui, ce quotidien qui reste le moins bien perçu, le plus invisible (par humour et "ruse de l'histoire"), le plus mal connu et représenté : par là sujet potentiel du discours métaphysique? Le quotidien demeure le plus que réel. Un des meilleurs guides de ce réel invisible et inconnu demeurent ces "mots de tous les jours". Le langage subit même discrimination et dévalorisation que ce quotidien : en effet, il lui est asséné " ce ne sont que des mots"! Mais oui, les mots sont des mots. Et il ne viendrait à l'idée de personne d'oser ce n'est qu'un arbre, ce n'est qu'un ciel, ce n'est qu'une table. Cet usage tout à fait irrationnel et incohérent du ce ne sont que des mots, dans le but (inavoué) de les disqualifier comme guides du réel - n'a jamais été pointé. Or cela cache énormément de choses !
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Nous allons, munis des mots de la métaphysique, ausculter l'invisible (car déjà vu, déjà là, soi disant banal) quotidien : vérifier où ses mots sont utilisés. Voir comment ces mots, essentialisés de métaphysique, "légitiment" (selon le manque strident où aucun savoir, aucune science ne peut s'auto-fonder lui-même, selon Gödel), oui « légitiment » certains secteurs de le Société. Ensuite, nous serons de plein pied avec ce discours qui cherche à s'auto-fonder sans avoir rien d'autre à affirmer que le tout -tautologique de la propagande du c'est comme ça PARCE QUE c'est comme ça. Ça a toujours été comme ça. Et, même plus, ce serait toujours comme ça. L'humour du toujours plus invisible quotidien persiste dans le fait que le "comme ça" ne sera jamais décrit, défini, argumenté. Juste asséné !!!
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Le rythme verbal de l'auto-justificatif c'est comme ça ne résonne-t-il pas comme à l'armée, siège du discours péremptoire ? Le "service national" s’étant achevé, il devient donc loisible d'en parler "historiquement" (sous couvert d'histoire de la philosophie) sans encourir d'irrationnelles retombées.
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Qu'un télescopage aussi gigantesque entre Religion et armée soit resté totalement inaperçu, ne peut s'admettre que par une méconnaissance méticuleuse de l'histoire, et une lacune encore plus conformiste dans la vie quotidienne…*****Afin de « vérifier » ces éléments surprenants vous pouvez télécharger et lire gratuitement, soit tout un livre, sur le site freethewords.org, *** en cliquant sur l'onglet 4 au titre de "Assentiments aux sentiments"
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L'histoire appartient au terrain du réel. Mais la réalité de la vie quotidienne reste très rejeté, nous l'avons vu. Réel et histoire se rétrécissent donc.
Mais, pour le moment, c'est la politique + le commerce (bref le capitalisme sans foi ni loi) qui règnent, grâce au fait central que le conformiste soit un être dangereux puisque inaccessible au réel (indémontrable ici, mais argumentaire à votre disposition).
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La réponse devient, enfin, accessible. Si l'archéologie détient quelque valeur, recomposant, remodelant, reconstituant le passé à partir de minces vestiges, de tessons ou d'infimes traces, l'archéologie du savoir, le savoir comme archéologie, peut très bien, à partir de traces langagières, de vestiges cachés dans les mots, aboutir à semblable résultat. L'inattendue conclusion se fait, par cette vérification expérimentale même, oui admettre ceci : la métaphysique, loin d'être lettre morte, sert et dessert les pouvoirs dans ce qui demeure de plus infondable et indémontrable pour eux - leur légitimité ! Incapables de prouver leur légitimité, ces pouvoirs pratiquent le rapt un peu partout : volant l'image des pauvres (mais uniquement leur image médiatique) si elle est pourvue de la moindre valeur ajoutée, rackettant la poésie en omettant que la poésie reste toujours plus inadmissible, se drapant de tous les succès ( sportifs, artistiques, intellectuels ...etc) comme s'ils y étaient pour quelque chose d'autre que de les empêcher, censurer et diffamer...etc. La métaphysique conserve une valeur ajoutée pour ces pouvoirs : n'ayant aucun droit véridique de faire ce qu'ils font, ils sèment la confusion en distordant ainsi la métaphysique.
………………Cela paraît il encore incompréhensible ?
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Voyons et convoyons. La révolution française c'est bien de traiter la métaphysique dans l'arène politique? Par son acte irruptif de la Déclaration UNIVERSELLE des Droits de l'Homme!!! La règle de l'universalité (métaphysique) invente donc l'espace politique actuel. Et il n'est que de réfléchir à l'argument des "universalistes" contre la parité : la citoyenneté est une et indivisible et ne peut ainsi se réaliser à deux - pour ne plus dévier de la recherche de toute trace métaphysique. La République est une parce qu'universelle, et inversement, et les rapports spécifiques des deux sexes ne peuvent intervenir dans ce principe, même si cela semble bien dérisoire. Ça ne l'est pas !!! La séparation de l'Église et de l'État ne s'est elle pas fondée sur la seule unité et indivisibilité de la citoyenneté ? Toucher à cette unité de la déesse Raison et des institutions c'est profaner le "sacré". Le sacré de cette universalité s'utilise ainsi en légitimation politique (selon la tautologie, le pouvoir politique protège les garanties de la souveraineté et de l'universalité parce que le pouvoir...etc.). C'est pourquoi la mise en place de la parité s'est uniquement centrée sur le terrain métaphysique. L'espace politique français est le seul à avoir procédé ainsi : partir des grands principes métaphysiques pour parvenir à un pouvoir très circonstanciel, qui ne surgit que dans l'inscription locale de ces principes premiers. Mais fait bien oublier cette irruption primitive pour ne plus arguer que d'une légitimité tautologique ( genre remettre en question ce qui est, c'est oiseux!!! - alors que c'est de cette façon que ce qui existe s'est introduit, subrepticement, dans nos prémices!!!). Ce qui a fait sert à défaire, prétend l'utilitarisme. Vérifions : verbe d'action correspondant, en plus, à la vérité !
L'occlusion de la métaphysique dans le Pouvoir - et tout n'y semble intéressant que pour obtenir encore plus de pouvoir, et toute hiérarchie se dresse vers le plus en plus grand pouvoir où trônerait l'Être ultime - a bien occulté la valeur heuristique de la métaphysique dans tous les potentiels débats de fond. Toutes les contradictions centrales que l'on peut égrener : si la "non séparabilité' existe pour la matière existe-t-elle pour l'humain? Si oui, quelles sont toutes les implications pour l'humain? Comment expliquer ces déplacements et communications instantanées? Est-ce qu'un peu de matière peut donner naissance à toute la matière ? Et – encore - la matière serait une longue scissiparité, un dédoublement perpétuel du Même? Mais avant ce peu de matière déclencheuse du big bang qu'est ce qui avait donné naissance à ce peu de matière ? L'esprit n'a-t-il pas plus de chance de donner naissance à la matière que l'inverse ? La matière ne semble-t-elle pas toujours locale, jamais panoptique, assidûment issue d'une arborescence et donc non susceptible de se retrousser en cause première de cette arborescence ? L'étendue peut-elle envelopper ce qui l'enveloppe ? Puisque le DÉBUT de l'univers se trouve toujours là (ici et maintenant) à treize milliards sept cent millions d'années lumière de nous, non séparé de nous par du temps mais par de l'espace, que signifie ce phénomène inaperçu pour le Temps ? Et si le Temps n'existe pas, quelles sont de manières de vivre qui méritent d'être abolies ? Comment devons nous mieux vivre?...etc ; toutes ces contradictions centrales ne nous sont utiles à rien. La physique n'aide pas notre corps physique. Mais, surtout, la hiérarchie physique-métaphysique, comme moyen de connaissance ultime du réel, peut sensiblement basculer, lorsque de nouvelles chaînes de raisonnement montrent leurs brillantes articulations.
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Exemple.
La matière n'existe jamais comme quelque chose de déterminé dans l'ordre de ce qui existe. Elle reste toujours relative à quelque chose d'antérieur, n'est nommable, définissable qu'après que ce qui précède soit. Elle est con-créée, ne s'explique pas par la création. La création n'est pas pour la matière mais par la matière. Pour quoi (ou pour qui,) serait la création ? La matière ne peut mettre en présence immédiate du 1° bruissement, de la 1° palpitation, du 1° mouvement, de la 1° pulsation, du 1° visible, du 1° enregistrable de la création. Elle, la matière, ne peut se ramener qu'à toujours plus d'avant : et avant le big bang ? -- Le big crunch ? Et avant le big crunch ? -- La création instantanée à partir de rien ? Et avant ce rien ? Et avant avant ? S'avant toujours le savant ? Et avant le savant qui EST - dans l'ordre humain s'entend ? La matière n'ouvre pas à la mémoire, à la sensibilité, à la douleur, au plaisir, à la transformation du réflexe en réflexion puisqu'il reste toujours aussi improbable et miraculeux que nous pensions, selon Einstein. La matière permet assurément de décrire, dans tous les sens, mais, en aucun cas, d'expliquer sinon par tautologies. Le bas- matérialisme, et ses succédanées pour aveugles et insensibles que sont fonctionnalisme, utilitarisme ou pragmatisme, nous ont conduit dans cette impasse : nous pouvons décrire et décrire, mais nous ne pouvons expliquer. Aussi, doit-il exister une manière de pensée, qui ne renie pas l'acquis positif des sciences, qui ne se laisse plus piéger par le défaitisme, le nihilisme, le cynisme insensible, l'incompétence au réel du conformiste.
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Le fait que le capitalisme soit une Religion masquée va vraiment nous faire sortir de toute possibilité ultérieure de Religions, les religions seront toutes quittées comme coquilles vides et délaissées, laissées en arrière vestigiales. Grâce au capitalisme nous voici débarrassés de toute forme de religion ! Parce, tout de même de mettre In God we trust sur de l'ARGENT (et pas sur la solidarité, le partage, le collectif...etc.) c'est bien une façon de blasphème, non ? Contre l’Humanité !!! A tout le moins un sauvage acte de dérision, ou une opération de gangster. Ce sont les mots de relapses ! Il reste étrange qu'aucun clergé, jamais, n'ait noté ce sacrilège absolu - par lequel les U.S.A. se montrent comme le peuple élu, et, par là, ayant droit d'exercer une dictature économique complètement DÉLOYALE. Comme nous l'avons démontré ci-dessus. Que toutes religions ne relient plus rien, mais SE RÉSUMENT dans la distorsion Pouvoir et Argent : voici qui les disqualifient définitivement!
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Cependant, qu'un chemin tracé par physique et métaphysique exigeantes commencent de nous conduire vers les stades successifs de la connaissance, avec la re-connaissance en gratitude, la co-naissance en mutation, perdre et reprendre connaissance, ce qui sert effectivement à faire de bonnes connaissances en paix perpétuelle. Comme le but de la Vie. Tout inclure (et non exclure) est qualité à la fois de la matière et de l'esprit, et qui nous chemine vers pourquoi se priver du fait que le réel soit double ? A l'image exacte où la lumière est à la fois onde et particule, tout ce qui participe du réel se présente toujours sous double facette. Si la métaphysique maintient le tout pour l'unique, l'unicité, alors elle resterait lettre morte, ainsi que tous les pouvoirs qui se sont affublés de son discours. Et, comme tous les pouvoirs excessifs qui restent si solitaires, la métaphysique ne trouverait plus de RÉPONDANT, d'écho, résonnerait comme lettre morte. Fort heureusement, la fin prévisible de toute Religion, par le "tout pour moi et rien pour les autres!" du capitalisme, permet l'espoir que tout redevienne deux. Nous allons, toutes et tous, retrouver notre indivis dualité de l'individualité supramentale ET scientifique ; cerveau droit - prouver, et puis cerveau gauche - é-prouver. Corpuscules des démonstrations et ondes des sentiments. Retour à une métaphysique reflet distinct et indépendant de la physique, mais complémentaire - et inversement !
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Quand à nous, nous ne devons plus craindre d'affronter les paradoxes et les conversations avec le Sphinx : par exemple - si l'univers nous apparaît, effectivement,
………………comme unique c'est pour qu'on communique !!! Oui ou non ?
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Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
(à suivre)
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
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trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" ou bien "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" et "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou, encore, "Présent !", onglet 3 "La diction du dictionnaire" ou comment rendre tous les mots physiques", et "Rien de plus solide que le solidaire", sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ce que je dis, pas de ce que tu comprends
Le si rare moment de la jubilation ?
La façon d’écrire se nomme infini respect
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 3 500 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu