Pourquoi faut-il, absolument, que les histoires d'amour finissent mal ? (2/ 5)

Publié le par imagiter.over-blog.com

Pourquoi faut-il, absolument,  que les histoires d'amour finissent mal ? (2/ 5)

Pour que la guerre puisse « exister »…Interdisant toute vision unifiée, englobante, intégrante des deux moitiés du réel à une égalité – elle seule se leurre-t-elle ? Puisque, pour la paix, faut bien commencer un jour, et par un bout. Faisons-le à l’instant ! La paix va-t-elle enfin se voir octroyer toutes les lettres de noblesse, du courage vrai, de l'esprit d'aventure, de la rationalité, de la scientificité vraie. De la sensualité qui se peut vivre un siècle durant par le même être humain…La paix c'est désamorcer dans les mots toute la charge émotionnelle (le moi qui se suppose agressé) et toute la charge réductrice (la fin justifie n'importe quel moyen – aucun - surtout lorsqu'on ne décrit pas la fin ?).

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La paix est vision bien plus large, englobante, elle ingère la guerre, et l'inverse n'est pas vrai. «Dépouiller de ses enveloppes, le nœud de l'opposition, c'est déjà entreprendre de la dépasser. Les ennemis qui s'affrontent en l’occurrence parlent de part et d'autre comme s'ils avaient reçu leur savoir du ciel ou de la raison hors toute expérience (p. 44 - Norbert Élias - La société des individus, 1969). » Refuser de se remettre en question ne peut prouver que l'impossibilité de la réponse. La paix affronte, si l'on peut dire, mais c'est pour la marquer du courage absolu, le discours de la guerre. La guerre? Chacun fait figuration. Mais dans la configuration de toutes les figurations. Si tous les êtres ne sont que Fabrice à Waterloo, l'eau pourtant forme un entier océan. Et pas qu’un peu…et pas qu’un plus : le discours des classes moyennes qui « noie » tout dans l’indétermination, le relativisme des lâches, l’indécidable, la nausée de tout est pareil (alors que leurs comportements cruels et barbelés renient cette justice des égaux !), etc…bref – n’est plus « audible » !!!

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Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii… Je ne sais plus pourquoi mais, depuis tellement longtemps, je ne suis plus égo-ïste, je ne m'occupe plus de moi, mais de tout le reste, de TOUT quoi. Et le champ de bataille m'apparaît complet. Comme une configuration de toutes les figurations. C'est là ma transfiguration. Chacun valant plus que tout. Mais l'autre aussi et l'autre de même. Comment leur dire que leur figuration est parfaite puisqu'elle forme configuration ? Par qui commencer ? L'harmonie est absolue, insurpassable, avec son envers subjectif (le regard unique) et son revers objectif (le regard de tous en faisceaux de flèches). N'y voir que leur petit et seul monologue, chaque mot dit tournant tout seul dans leur tête, c'est manquer la compréhension qui cueille l'angle objectif, blessant ou blessé ; sans interruption. J'aime avoir le maximum de points de vue assemblés à la recherche de tout le cercle de l'intelligence : en cela, je semble bien seul, eux n'aiment qu'un seul POINT de vue, en général le leur. Et avec un seul point de vue nulle vision est possible, tout sombre en échec - l'Harmonie est une vision (la vision de toutes les visions), le bon usage des mots une autre. Et…(secrets chuchotés…)

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Aussi, leurs visions n'apportent-elles que la di-vision, c'est-à-dire plusieurs restrictives visions. Avec un seul point de vue on ne peut-être que pointilleux. Plus qu’insupportable. Ainsi, à chaque moment ou étape, à chaque enchaînement d'effets ou de solutions visibles, il ne peut être, glacialement, vu les mots comme plates descriptions : la di-Vision, c'est-à dire plusieurs visions, selon l'étymologie et le déroulement factuel, ou bien en leur résonance toute subjective, la rupture douloureuse de la perte d'une union possible, d'une ENTENTE dont les mots sont le principal ciment ou garant puisque les mots vrais pacifient et que leur annihilation est justement, ce que la bataille veut !!! Où qu'aille la bataille elle taille sans rime ni raison. La guerre c'est AVANT TOUT contre les mots. Puis, la guerre c'est AVANT TOUT contre les mots. Et « après » tout aussi…Puisqu'elle refuse le débat : de dé-Battre décline, évidement, de se battre en se dé – privatif de se battre. Inutile de se battre. L’immense métaphore des mots résout tout…Oui, seul un des « jeux de mots » du bord du gouffre qui invente la paix. Pour désarmer ne faut-il pas être désarmant ?

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Rien donc de plus noble que les mots, c'est bien pour cela qu'ils sont traités comme des moins que rien. Le Tao se reconnaît au rire stupide qu'il suscite. La guerre c’est juste pour avoir le DERNIER mot. Afin qu'il n'en reste aucun et que disparaissent le langage et sa transcendance inexplicable, se dresse fièrement Dogan.

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Nous savons POURQUOI il y a guerre, mais nous en ignorons – au sens de tourner le dos – le déroulement. Seuls l’amoureux/ se le savent. L’amour ouvre les yeux et la haine rend très oui lunatique : tout le contraire de la minable propagande…La guerre est, dès le début, ce dé-but même, une défaite qui n'a que dé-faite ce que la vie avait parfaitement fait. Toute guerre demeurera défaite, il n'y a jamais non jamais de victoire puisque ce n'est qu'absurde destruction : en quoi détruire prouve que l'on a raison ? C'est créer qui le prouve, non ? Tout le monde, intimement, en silence, au fond de soi-même, sait qu'il n'y a aucun motif valable, qui se tient, à aucune guerre. La guerre c'est à cause des mots ( vouloir leur suppression).

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…………………..La paix c'est grâce aux mots – POURPARLERS, est-il dit.

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

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Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

(à suivre)

tous ces posts sont bien reliés à une pensée globale

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trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 " La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir " et "L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie", onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, Le Roman de L’Économie, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim il a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 3 500 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Publié dans sentez la santé

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T
Sublime abîme, qui n’abîme, mais magnifie, que les mots...
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