Sur la Terre il y a plein d’autres moi comme moi…
Le feu d’artifices de la plénitude collective commence…la société de consommation c’était rabaisser tout le monde à nos éteints regards – sauf le roi con ( pas le nous you you, le nous du moi moi moi je) !!! Rien à foutre des autres, aussi inconsistants qu’une brume effilochée… tellement plus présents les objets…les tonitruants faux besoins avec gadgets & gadgets qui nous volent la « vraie » présence des êtres humains…tout ceci s’enfuit déjà dans la honte que rien ne pourra boire même jusqu’à la lie !!!
Sur la Terre il y a plein d’autres moi comme moi…chante toute la Nature qui était là bien avant nous, et dont le moindre « mouvement » peut, pour cela, remplir d’allégresse … qu’on se le dise !!!
Le rideau se déchire…la nostalgie nous remplit le corps…c’est qui c’est autre moi ? Mais comment est-ce « possible » - d’autres moi « comme » moi…pas vrai, délires, irréalistes, etc…
Oui et où sont-ils, que vivent-ils/ elles…les pubs n’explosent que d’objets glacés et sans rapports humains !!! Très hiérarchiquement supérieurs à nous : nous sommes à leur service et plus l’inverse…leur présence d’occupants illégitimes nous expulsent des lieux « publics », etc…
Sur la Terre il y a plein d’autres moi comme moi…ensembles, nous pourrons donc y remédier !!!
Un autre moi – par contre, c'est l'égalité radicale, l'équivalence de droits reconnue, le regard de réciprocité, l'accueil ardent bardé de tant de curiosités, l'insatiabilité des rencontres…l'autre est bien le feu qui vous foute le feu partout, des milliers de kilomètres de routes, le doigt levé, hitch hike, pour le découvrir, dénicher, déceler…tiens tiens ça c'est passé près de chez vous, tout autour de chez vos…oooos…partout sur le Terre en même temps…un "mouvement" qui a désoclé tant d'individus qui ont pris la "route" comme l'on chevauche les merveilles…oui qui avaient des étoiles partout dans les yeux, le sourire qui cultivait un champ de patiences sans limites…le désir si long de boire les autres !!!
Et ce n'était point pour courir après des chimères, pour s'ensabler dans des illusions, pour s'égarer dans des utopies – comme les médias mercenaires (vendus au plus offrant – et sans garantie de probité d'information !) se sont précipités à le calomnier…non non, l'exact inverse – tout à fleur de vie, l'esprit pratique plein le sac à dos, des solutions locales localisées dans un tout global … tout global brassé de ces centaines d'histoires qu'ils/ elles avaient à vous raconter…qu'ils/ elles avaient à écouter…rarement le monde a autant nagé dans le concret, le réalisme, le bâtisseur, le tissage, les liens, les tâtonnements, les essais, les réussites, les expériences, en un mot les abondances, etc…que ces inoubliables années…le bout du monde débarquait chaque jour chez vous !!!
Partout fleurissaient un autre moi. Toutes et tous aussi étincelant-e-s que moi, tous étoiles, toutes firmaments, des feux aussi brûlants que moi qui tous brûlaient de former le brasier commun…sororités & fraternités un autre moi ça se serre sur le cœur, non – tous les regards brillaient tant que les ténèbres furent vaincues…combien transperçaient la nuit terrestre de leurs regards qui voyaient plus loin que l'époque ? Et disaient un tel fait ci, une telle cela – sans l'ombre d'une hésitation…et juste le poids d'une seconde, après on oublie, il y a tellement de choses à vivre – nul qui se vante jamais de ces "dons", tous offerts par le collectif…
Bien – mais comment fait-on pour rejoindre cette nouvelle aventure ? On peut, parfois, être seul-e mais sans jamais ressentir la glace glaciale de la solitude…la solitude parait une insuffisance collective, une incompétence commune à vivre comme il faut vivre…la personne « en solitude » est si pauvre en énergie vitale qu’il reste inefficace de s’acharner sur elle. Mais c’est la société qui « crée » la solitude !!! Personne d’autre…Et que – dans ces conditions – suivre les conseils de « qui n’est jamais seul-e » (technique nommée, ici « comment devenir l’ami de soi-même » (en gros le pire critique c’est soi mais qui ne se blesse jamais !!!) mais qu’importe le nom pourvu qu’on ai l’extase…
IL NOUS FAUT UN SAUT QUANTIQUE de changement de niveau de réalité…
Le léger problème – « léger » puisque qui « vit » à 100 % les expériences conserve 10 000 milliards de km sur un conformiste pétrifié – c’est que qui a « fait » le saut quantique est traité-e en…retardataire…et qui ne fait « que » suivre la consommation totémique, préhistoire, inconsciente, mimétique, mécanique, arriérée, etc. non !!! Sauf que, placez-les devant le « Sur la Terre il y a plein d’autres moi comme moi… » ils/ elles tombent en…poussières…semblerait donc que la LUMIÈRE leur reste insupportable…
Rien dans la réalité ne permet de se « sentir » seul…bien - nous sommes dans une société de déraison, de séparation, de solitude temporaire et d’anti-communication, etc. pire encore, etc. - il ne faut pas prendre « leurs » messages pour nous – seulement tels des symptômes de « leur » folie…ils/elles ne pourront y échapper…Protégeons la Société (nous seuls sommes responsables et conscients) de leurs …retombées !!!
Allons-y – rapidement, puisque plus que marre de la sensation putride des égoïsmes – Oui « comment » l'autre que moi – très dérangeant, intrus devant ma montagne d’égoïsme, importun non bienvenue, gêneur encombrant pourrait tenir la comparaison avec….moi ? On s’en fout de ces chochottes – nous voulons le SILENCE de la générosité…
De tout le monde séparé de tout le monde – LE DÉSERT SOCIAL – explose la prison qui nous enfermait…milles morceaux morcelés et…sans intérêt…tout ce qui en 2014 « passionnant » les têtes folles – dans quelques mois va DISPARAITRE !!!
Oui nous en sommes là….Qui retrouve ce qui unissait tous les individus, les propulsait à opter pour les côtés moins "confortables" de la vie (vraiment faire gaffe aux autres, tout le temps, et pour toute chose, que c’est désaâââââââââââââgréable – un caillou dans ma godasse tu te rends compte – quelle arrogance, quel excès d’existence… – je l’ai toujours dit la pauvreté n’a pas « le droit » d’exister …hé-hé la misère n’existe pas (nous avons étouffé jusque sa voix)… ma pov’dame en plein 2014, ma pov’ dame l’immontrable misère EXISTE de quoi faire qu’un discours de trop riche explose en vol – oui, « si » la misère existe sa parole devient un poison qui l’immole sur le bûcher des vanités du mensonge…en 2014, milliardaire et INSUPPORTABLE misère ne peuvent coexistera ? Un des 2 doit disparaître et ce n’est pas nous !!!
A rester si heureux/ ses des désagréments apaisés…
…. par le baume des rencontres ?
Simple : l'amour !!!
……
…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
(à suivre)
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 " La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir " et "L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie", onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, LE ROMAN DE L’ÉCONOMIE, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
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