Le capitalisme ne peut plus ni être humanisé ni socialisé
Ce qui signifie qu’aucune réforme n’est possible ? Son obstination à ne rien débattre et ne rien écouter annule tout ce qui pourrait y avoir de positif dans les améliorations parcellaires des réformes. C’est que, peut-être, ses comportements antisociaux et anti-humains, au capitalisme, peuvent contraindre à son abandon ?
Pourquoi ? Afin d’une réponse exhaustive, voyons ses réformistes et procédons à un début de bilan !!!
Mise sur la touche du keynésianisme qui a compris que les excès d’exploitations du capitalisme conduisent à des surproductions récurrentes et plus personne pour acheter ces productions excédentaires. S’il y a surproductions c’est que, parallèlement, il y a sous-consommations. Oui ou non ? La majorité des humains n’a pas assez d’argent pour…consommer. Or, la consommation est le moteur de l’économie néolibérale !!! Quelle inconséquence donc ou trou de…mémoire ? John M. Keynes avait trouvé que plus d’État avec une fiscalité vraiment redistributive, aux dépens du capitalisme sauvage, permettait de s’occuper, enfin, de la demande et de relancer cette consommation centrale. Ce qui a nourri tous les « New Deals » et autres Plans Marshall – depuis. Or, des barbares régressifs tels les Bush, Thatcher ou Reagan ont suicidé toutes ces ouvertures !!!
Au niveau théorique, le capitalisme connaît, désormais, la débâcle complète. Rien ne fonctionne comme sa prétendue théorie l’ose. C’est même tout l’inverse. Il n’ose plus parler : il monologue dorénavant…La soi-disant « main invisible » d’Adam Smith c’est de la métaphysique pas de la pensée raisonnable. Le « In God we trust » c’est du flagrant mysticisme pas un argument pondéré – de plus, il s’est tant déconsidéré en le corrompu « In Gold we trust » que…!!! Ce qui lui a fait rater toutes les possibilités de réformes intelligentes. Avec des économistes tels Jacques Dubouin et l’économie distributive, Clifford H. Douglas et son crédit social et Silvio Gesell (qui aura permis…Keynes !) et sa monnaie fondante ne servant qu’à l’échange et se dépréciant, si thésaurisée…et, surtout, tout ce qu’ils ont pu inspirer à leur suite. Toutes ces potentielles réformes complètement gâchées.
Ce qui fait que, désormais, le capitalisme rétréci dans son absence de vision globale, étriqué par ses absences de choix, ayant dévasté le mot « confiance » et fuyant tout débat de fond nourricier, est acculé – à la position de la terre brûlée. Vivre sur ses seules réserves. Il a « besoin » des chômeurs pour survivre. En effet, il doit toujours créer de la pauvreté quelque part pour recréer ailleurs…du profit. Quelle misère mentale, non ? Il reste si incapable de répondre aux besoins fondamentaux des humains - mais ne produit plus, absurdement, que pour…vendre. Sans même créer les moyens de consommer cet inexcusable gaspillage. Faute de se préoccuper de la répartition des revenus. Toujours plus inapte de comprendre le réel global tel : détruire la « valeur » incommensurable de la Nature pour une telle économie si imprévoyante et si inconsciente (une économie qui « coûte », en réalité, toujours plus !!!) est le plus mauvais calcul qu’il était possible…quelle niaiserie et quelle puérilité braillante que ce capitalisme, non ?
En clair, le capitalisme s’autodétruit. Toute réformette ne peut être, désormais, qu’une erreur. Ayant des répercussions très « révélatrices » dans un autre secteur et un autre et un autre. Il va tout avouer. Il ne peut plus rien rafistoler, rien récupérer, rien imiter. Il ne lui reste même plus la marge de manœuvre de se « déguiser » en plus rien (le coup du capitalisme écologique reçoit, à chaque seconde, un démenti cinglant des faits !!!) oui lorsque se déguiser n’entraine que de nouvelles catastrophes…internes !!! Bref, et de sa seule et unique faute, il est arrivé au moment crucial de sa fin. Et cela par pure insuffisance intellectuelle et par les poisons de sa suffisance arrogante. Ceci se nomme « auto-renversement ». Ou bien le serpent qui se mord la queue. Ou l’auto-dissolution involontaire…ou, encore, l’auto-révolution négative !!!
Un peu comme s’il était ligoté dans/par toutes ses contradictions. Tous ses mensonges conscients ou ses impossibilités par le réel prennent, actuellement – dans une pluie drue – le devant de « sa » scène. Il n’aura donc été qu’une suite de bricolages d’à-peu-près et surtout pas une vraie pensée. Apte à répondre de tout et à corriger par rétroactions les défauts de fonctionnements. Les psychorigidités, surtout dues à un orgueil…mortel, auront empêché toutes modifications salutaires de caps. Ayant exclu tous les génies de la pensée collective *** – il y aura ramassé un aveuglement immense depuis, tiens, 25 ans !!!
*** preuve par le négatif ? La société des écrivains qui fait de la publicité pour les…éditeurs se rongeant les sangs d’avoir refusé les grands talents. Et qui croient pouvoir rattraper le coût/ coup…
La conclusion tranchante étant devenue :
Du fait de l’entêtement suicidaire des capitalistes d’Ancien Régime…
……le capitalisme ne peut absolument plus être réformé, il ne peut être qu’aboli !!!
…………………..
…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
……………………..
Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
(à suivre)
tous ces posts sont bien reliés à une pensée globale
…………………….
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/ , onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 " La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir " et "L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie", onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, Le Roman de L’Économie, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim il a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
………………………
Si ce post a su retenir votre attention dans les 3 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu