La croissance est un mythe - les ressources naturelles la réalité
Comment supporter encore des dirigeants métaphysiques, perdus dans des rêvasseries irréalistes ? Dans un monde fini la croissance infinie est impossible. Qui croit l’inverse doit se faire, énergiquement, soigner et pour un « responsable » être démissionné d’autorité !!!
De voir « leur » économie guidée par une main invisible les débusque entièrement égarés dans des illusions et des images hallucinées – qui montrent un clair désabonnement à la réalité et au rationnel…
Il faut donc s’occuper beaucoup plus des ressources naturelles bien tangibles que d’une croissance qui ne sait même pas de quoi la croissance est le nom. Croissance de tout ce qui existe jusqu’à inflation finale ? Non – croissance très monomaniaque de ce qui « fait de l’argent ». Pire encore - le raisonnement circulaire croissance du P.I.B., donc des « seules » ventes marchandes, refuse tout net de répondre à « mais ces ventes marchandes, si elles le sont de produits, d’où viennent donc ces produits ? » Auto-créés, en générations spontanées, par scissiparités, surgis de l’infini invisible, des dogmes cachés ou du pays d’utopie, etc.…tout ce qui ne fleure donc que de la pure métaphysique !!! En surtout pas le réalisme : normalement, le P.I.B. dépend à 100 % des ressources naturelles. Et non l’inverse : ce n’est pas parce que la croissance existe que les ressources naturelles suivent !!!
La croissance rêveuse unidimensionnelle n’est pas un concept scientifique c’est même l’inverse – niant avoir de multiples conséquences induites qui permettent un bilan rationnel : genre, oui cette croissance-là coûte beaucoup plus que ce qu’elle rapporte. Les courbes d’augmentations sont donc négatives sur leurs résultats : ce sont croissances des pertes et des nuisances. Conclusion : malgré l’apparence des courbes qui « montent », il n’y a, là, nulle croissance « positive » globale. C’est une légende, un mythe, de la vraie « pensée primitive »…
S’occuper enfin des ressources naturelles ?
En Europe, l’initiative du peuple islandais aura abouti à un référendum (20 octobre 2012) favorable à la nouvelle Constitution islandaise qui prévoit, entre autres, que les ressources naturelles soient « détenues par le peuple islandais ».
Le 20 octobre 2012 donc 67% des électeurs ont exprimé leur soutien au projet de loi ainsi qu’à ses principales dispositions individuelles, parmi lesquelles l’appropriation nationale des ressources naturelles (83% ont voté Oui), la démocratie directe (73% ont voté Oui), et le « une personne, une voix » (67% ont voté Oui).
http://www.terraeco.net/En-Islande-les-ressources,47767.html
Ce n’est pas parce que ce référendum, soumis au Parlement a été « bloqué » par celui-ci que le projet est définitivement enterré. Tout porte à croire que, dès 2016, il va, au contraire, commencer à se mettre en place. Sous quelle forme – difficile à dire…Pour le reste de l’Europe – puisque le 12 mars 2015 le retrait de la candidature de l’Islande à l'adhésion à l'Union européenne .a été signifié par le gouvernement islandais – ce qui importe c’est la démarche très progressiste de ce pays. La nationalisation des ressources naturelles, données gratuitement par la Terre, devient la démarche la plus responsable et rationnelle qui se puisse trouver.
D’autant plus que, mondialement, la nationalisation des ressources naturelles revient sur le devant de la scène. En toute légalité, d’ailleurs, puisque, depuis 1962, les Nations unies affirment la souveraineté des États sur les ressources naturelles. Ces dernières décennies, les États avaient utilisé ces droits pour privatiser les ressources, sous la pression du FMI et de la Banque mondiale. Mais en pleine illégitimité. Depuis le début des années 2000, le Venezuela, la Bolivie et l’Équateur ont entamé ou renforcé la nationalisation de leurs ressources naturelles, notamment du pétrole mais pas seulement. Ainsi, Poutine a nationalisé la banque Rothschild. Et, face au danger extrême de la spéculation boursière, d’envisager la nationalisation des banques parcourt aussi toute l’Europe !!!
En conclusion :
être adulte et sérieux c’est d’abandonner le mythe si utopiste de la croissance…
et de ne plus s’occuper que de la gestion rationnelle des ressources naturelles !!!
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuitshttp://www.freethewords.org/, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 " La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir " et "L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie", onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, LE ROMAN DE L’ÉCONOMIE, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
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