La condition humaine ?
A conjuguer le mot, si l’on peut dire, nous le voyons tout entier tourné vers le futur. C’est l’avenir qui dit la condition humaine…tellement que la condition humaine étale tous les termes de la condition conditionnelle. C’est au conditionnel qu’elle s’exprimerait ? Oui de chez oui.
Mais pour exprimer quoi ?
Que…A condition que….vous serez « humain »…et pas du tout l’inverse.
Ce qui en ferait découler ceci : la position de l’homme dans la Nature ne lui permet de poser des conditions nulle part. Par exemple, le règne végétal parait tellement plus NÉCESSAIRE à la poursuite de la vie globale que le règne humain. La vie lui demande juste de ne pas détruire la Nature puisque, apparemment, cet être si mégalomaniaque n’a toujours pas compris le sens de « la » vie ( pas la sienne de vie…si protégée par les végétaux…) non le sens de « la » vie globale. Globalization, hey stupid ! Au moins, que la Nature passe avant l’homme pour la vie - non, s’il n’est pas plus conscientisé – la vie va lui préférer la Nature, c’est tout naturel.
Donc reprenons depuis le début : la condition humaine A condition que….vous serez « humain »…et pas autrement….serait-ce que si nous ne RÉPONDONS pas vraiment aux conditions requises - nous ne sommes pas humains !!! Ou pas encore ? Le mot générique étant l’Humanité qui peut affirmer que l’Humanité existe bien ? Et où cela alors ? Où s’exerce sa visibilité plein pied ?
C’est nous qui sommes interpellés non nous qui questionnons !!! La posture nous a déjà tiré le tapis de dessous les pieds. Nous sommes rappelés à notre état…suspensif, provisoire, éphémère. Conditionnel. Oui rappelé à…l’ordre de la Nature. Tout dépend de nous…nous créons, nous-mêmes, le futur. Que nous vivons ensuite…ce rappel semble alors, ainsi contextualisé, très amical.
Par contre, de rapprocher une humaine condition à la possibilité de la conditionner cette condition nous fait rencontrer :
1- ) Comment des cœurs et des esprits (ce sont toujours les cœurs qui guident les actes…allons allons, pas d’esbroufe !) peuvent rabaisser en bétail ahumain les grandioses être humains ? - Oui la propagande. L’abrutissement distillé sournoisement, lâchement, toujours par des moyens déloyaux !!
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2- ) Et bien au-delà de l’horreur, la barbarie inhumaine.
Ce pan de la condition humaine se découvre en ceci : c’est soi-même, lorsque dominant ou bourreau, qu’il faut conditionner, s’auto-conditionner afin de s’insensibiliser tout en se radotant des illusions à tombereaux fermés. Ce ne sont donc pas les autres qui sont… « conditionnés », sinon par les effets des compulsions monomaniaques que ces personnages rétrécis à une « monoculture » (l’obsession de traiter autrui comme un objet négligeable) frénétisent…Ce niveau le plus bas de cette condition de vie (oui ces dominants et bourreaux auto-conditionnés !) – nous permet de nous élever, échelon à échelon, vers la vraie grandeur humaine…
La condition de misère physique et morale (qu’aucun argent ne pourra jamais combler – ce pourquoi il faut chercher un tout autre « équivalent universel » pour faire fonctionner la société) se rencontre lors des échecs, solitudes, désillusions, maladies, séparations, décès, etc. Ce qui semble, pour le moment, irrémédiable. Tant que les « conditions » sociales n’auront pas nettement évoluées. Oui, ayant pris le chemin du vrai progrès progressant et progressiste. Se cogner à ses limitations-là symétrise que les mots exprimant la désillusion comme appartenant à une « condition humaine » ont tous à voir avec les quantités, les contenus, les contenances : pas content (de continere : contenir). Pas content pas assez de contenu. Pas suffisamment par rapport aux demandes lancées de toutes nos fibres…demande insatisfaite, qui n’est pas faite, remplie, comblée. Répondant à ce qui est attendu. Métaphore pour une attente- récipient !!! Bref, le tout-quantitatif ne fait que de l’insatisfait fait…..
Cette découverte en devient que la condition humaine doit rencontrer des conditions…sociales pour se révéler toutes entières. Conditions sociales qui peuvent et doivent être nombreuses et en congruences les unes avec les autres…la condition humaine est, d’abord, une condition sociale, obligatoirement. Sauf de se trouver désertée sur une ile déserte !!!
https://etudesrurales.revues.org/73
Nous progressons à pas de géants !!! Il ne sert, donc, à rien de rabaisser, humilier, calomnier, discréditer la condition humaine : c’est bien la société qui ne respecte pas le contrat social. Elle doit, alors, accepter les torrents de reproches. La symétrisation est donc bien la Justice. Elle a deux plateaux non un seul. Une pensée unique n’a qu’une seul plateau, oui un plateau unique…uniquement un plateau. Elle n’est pleine ni de justice ni pleine de justesse !!! Elle ne saura jmais ce qui est juste Juste…
La honte va réellement changer de camp…
Nous pouvons – désormais - êtes ramenés aux conditionnements extérieurs de nos vies (conditionnements génétiques, conditionnements des limites corporelles, des limites de compréhensions, conditionnements sociaux ou conditionnements des limites d’un vie humaine, etc.) – oui tout ceci ne nous limitera plus du tout. Puisque se trouve dégagé, désincarcéré, rendu incachable, ne pouvant plus être dissimulé : oui que le fait d’être réceptacle nous rende illimité. Nos ouvertures deviennent sans limites, nos élans, nos projections, nos imaginations, etc. nous sortent de nos conditionnements. Et nous prouvent avoir autant de tangibilité, d’évidence, d’existence que les dites matérialités…
Devenir des robots pour ne plus souffrir de la condition humaine,
http://www.philolog.fr/ambiguite-de-la-condition-humaine/
Plus il y a de richesses matérielles plus nos vies intérieures s’en voient appauvries ?
Et – justement – quels sont, alors, les avantages consistants qu’apporte le fait que la condition humaine soit au conditionnel. ? Soit un état toujours transitoire, que rien ne peut figer dans des intérêts imprononçables ou pétrifier dans des idéologies incrédules ?
C’est que ce n’est pas un destin prédestiné, un asservissement écrit depuis tous les temps, une obligation de soumission. Mais bien une succession de choix : en clair, on peut choisir d’être riche et salaud. On peut choisir de ne pas l’être…ce conditionnel fait tout coulisser, rend tous les supposés rouages….libres de manœuvrer. Libres de changer les manœuvres des œuvres…et riches et salauds sont responsables à 100 % des conséquences de leurs choix…
Et, en conséquence, on peut (choix) mener une vie de prince…oui de prince de la vie intérieure…dans une pauvreté choisie. Et sans conditions.
Ce qui permet l’émergence de l’abolition de toutes misères pour …seulement…vraiment si peu si peu…oui 100 milliards de $…(bien moins que le coût annuel de la pollution de l’air…). Pourquoi choisir la pauvreté non miséreuse ? Comme déclic pour les changements de mentalités boules de neige. Comme phare debout qui clame que c’est bien le choix judicieux qui permet…la meilleure vie possible dans les contextes actuels. Tant de trop riches vivent une vie si misérable ramenée à leur vie intérieure…
Donc fin de la …condition humaine qui ne serait plus que…conditionnée. Les conditions truquées en… conditionnements (dans ce cas-là, la condition inhumaine c’est la vie des supposées dominants)…Plus de condition « humaine » (mot qui dit le provisoire) qui ne réponde pas, fermement, non à tous les conditionnements (propagande), non aux hommes conditionnés ( en marchandises)…oui aux conditions suspensives dépendant du respect du Contrat Social. Rappelons-nous la condition humaine comme soumise à des… conditions, des clauses, des exigences, des modalités à respecter complètement !!! L’optique change : c’est la base qui fait trembler le sommet.
Donc - plus de fatalité sidérante, de fatum hypnotique, de sort inévitable, de prédétermination figeante, de prédestination arrivant toujours à destination – il est clair que les conditionnements forcés, contraints, imposés, ne respectent aucunement le contrat social – or, sans ce contrat social pourquoi suivre la justice, la police et toutes ces multinationales et leurs non-institutions ? Elles seraient-là, parait-il, pour faire respecter le contrat social. Dont l’absence, si elle était connue, serait plus que dramatique….Ce sont les conditions à la …condition…humaine que celles du contrat social ! Que l’irrespect vienne du haut ou du bas c’est toujours de l’irrespect : là, il ne vient que du haut !!!
Capable, de capax, capere, qui peut contenir - c’est le pouvoir faire, de bien faire qui provient d’une capacité en contenance, en contenu, en cubage. Oui ce qui peut recevoir 1 000 litres ou bien plus : en est capable…
Démonstration :
1) L’intériorisation de la réalité peut « remplir » combler, occuper toute la conscience. Ainsi gardée, maintenue, préservée en paix toujours…
2) Les bonheurs intériorisés sont les plus imprenables. Et donc inattaquables.
3) Dialectiquement - ce qui devient le plus rentable de tout ce qui existe sur Terre c’est…
………………………………….. d’avoir établi sa liberté intérieure.
…
Une richesse inépuisable qui suffit à toute une vie…Les termes de la condition conditionnelle sont très clairs, là-dessus !!
Juste un équilibre de «conditions» à trouver. Cette société cherche à nous déséquilibrer.
……………………..Elle a déjà complètement perdu !!!
….
…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
(à suivre)
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" ou bien "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" et "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou, encore, "Présent !", onglet 3 "La diction du dictionnaire" ou comment rendre tous les mots physiques", et "Rien de plus solide que le solidaire", sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 3 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
La propagande qui ose transformer la dignité de l’homme en bétail ahumain
Seules d’incultes brutes peuvent vouloir l’abrutissement des autres.
divertir ? Oui de quoi ? de quoi faut-il nous détourner ? Danger pour eux = ils ne nous divertissent plus
qu’est-ce qu’on fout sur Terre ?
"humaine très humaine" humain dans les mains tout demeure possible pour les coeurs...
lorsqu'un progrès fait régresser "l'humain", le social et la compassion ce n'est PAS un progrès...
la pensée vaint tous les conditionnements...