Ce que les médias dominants ne veulent pas que l’on sache sur eux ? (1/4)
Comment la propagande journalistique séparable des vrais journalistes de Black List ** – aura détruit le sens des réalités de beaucoup de nos concitoyens
** Black List - Kristina Borjesson, mai 2004, le témoignage extrêmement rare de cette journaliste qui prouve que avant les années 2000 les meilleurs journalistes enquêteurs – refusant de modifier leurs…conclusions d’enquêtes – ont tous été chassés des grands journaux comme de la télévision. Chassés par les désastreux pouvoirs de l’argent qui veulent rétrécir le monde à leur simplisme irréaliste. En cas de catastrophe il n’y aura donc plus de société liée et reliante afin de nous en sortir. Juste pour leur fanatisme irréaliste…Depuis, ces grands journalistes n’ont pas eu de remplaçants à leur hauteur. Et seules des initiatives individuelles emplissent ce vide extrêmement dangereux… l’accablante preuve est celle –ci : le nombre d’articles qui ont changé la société. Il y en a eu beaucoup au début du 20ème siècle. Toujours dans les années 1960- 1970, encore en 1980 mais cela baisse. Pire en 1990. Et…depuis 2 000, ZÉRO, plus un seul. Plus un seul article ne change quoi que ce soit. Tout est tellement empêché que plus un article ne va au vrai fond des choses.
Et ils sont des calories vides sans réflexions profondes. Sans compréhension intime des mécanismes. Bref, sans aucun impact… Pourquoi tellement de superflus interdits dans le journalisme ? La grande majorité de ces obstacles sont inutiles donc frauduleux : le on ne parle jamais des grandes entreprises ni des multinationales. Seulement pour des éloges. On fait entrer dans « la vie privée »’ des dominants beaucoup trop de données économiques et financières qui, en démocratie, devraient être connues. Oui tout est tellement désorienté que plus un article ne va au vrai fond des choses. Normal – les médias ne servent plus qu’afin d’empêcher la société DE CHANGER !!! Mais – grâce soit rendue – à leurs gesticulations incohérentes : ce sont les médias eux- mêmes qui « avouent » tout !!!
Si l’on sait écouter du moins…suffit d’apprendre. Et les trésors sont…à nous !!!
En conséquence, nous allons tenter - en plus de l’écoute - de nous libérer de la « mal-expression » (comme la vulgaire malbouffe !!!) journalistique en voyant et entendant tous les trucs de leur trucages :
A) – Sémantiquement.
1 - Usage monstrueux d’euphémismes : inutile de commencer à les parcourir, nous n’en ferions pas le tour ! Ce trucage, le plus employé a, pourtant, une constante très irrationnelle : le moindre mouvement de sourcil d’un pauvre c’est quasiment… l’attentat. Tout est grave : son petit rot met le monde en danger grave. Par contre, le riche quoi qu’il fasse ce n’est pas tragique ni pénible. Ce n’est rien…Il n’a d’impact sur rien, n’accumule pas les nuisances, ne rend pas, à lui, seul, la société invivable. N’est pas la plaie la plus gigantesque du monde. Tout est lisse – il ne laisse aucune empreinte…ce doit être un nuage extra-terrestre. Règle ? Le riche a tous les droits. Les médias sont leur C.R.S sociaux « privatisés » – payés par l’argent de tous des impôts. Comme quoi la « grande littérature » réduit ces raclures d’anti-mots à… néant…Mais qui veut PRIVER les autres de la grande littérature ? Qui pratique donc, ainsi, la non-assistance à personne en danger !!!
http://www.espritdavant.com/DetailElement.aspx?numStructure=79255&numElement=102212
2- La « synonymie cosmétique » c’est afin de débarrasser ces entités si embarrassantes de leurs cris. Et de leurs douleurs : les pauvres deviennent les défavorisés (oui par qui, par qui donc dé-favoriser ; nul ne peut s’auto-défavoriser – l’erreur des incultes journalistes est d’user, n’importe comment, des formes intransitives qui aident une oreille exercée à chercher la CAUSE !!!), vieux par seniors (ce qui permet de dire que le politiquement correct c’est l’irrespect méprisant pour tout – donc la plus grande des…incorrections. Dehors ces grossiers rustres !!!), patron par managers (le mot même patron attire donc, par lui-même, une unanimité de réprobations – dont acte !). Encore l’évitement des vrais lâches : les frappes préventives deviennent des frappes préemptives tellement la guerre actuelle est sale et…lâche ; et qu’ils ne veulent pas que cela se sache …merci donc de l’aide de ces journalistes euphémistes…etc. Tant merci. Avec leurs « vrais » débats lorsqu’il n’y en a soit aucun. Soit un faux débat truqué d’un bout à l’autre. Lorsque le plan « social » se révèle n’être qu’antisocial et sans aucun…plan pour le futur du collectif…qui sème donc le désordre partout ? Même dans les mots !!! Règle ? Que le trop riche ne soit jamais dérangé par les conséquences terrifiantes de toutes ses décisions inhumaines et de ses actes très anti-démocratiques ? D’où l’on maquille la réalité, au Photoshop des mots…Ce n’est, parfois, « que » ça les médias ? Oh que oui !!!.
3 - La métonymie aussi est le trucage pour empêcher de réfléchir (soit, comme Newton, de voir le rapport caché – puisque invisible – entre la pomme qui tombe et la gravitation universelle). Métonymie ? C’est l’intégration d’une partie dans un ensemble plus vaste…Exemples ? Noyer la discrimination anti-pauvre dans « les » discriminations. Évasives et indistinctes. L’insupportable inégalité sociale dans « les » inégalités…où il y en a tellement que nous n’avons plus mal à une seule. Ou bien, inversement, « la » croissance reste uniquement celle des profits – séquestrant ce mot pour empêcher que quoi que ce soit dise la croissance…des barbaries capitalistes, « des » injustices sociales, etc….mais « le » déficit de l’argent volé au pauvres devient « les » déficits », comme s’ils étaient également à l’ensemble de la société alors que « les » déficits ce sont uniquement les riches ( grands assistés et usuriers !) …toujours noyer le poisson !!! Règle : « on pluralise lorsqu’il est question des désagréments dont pâtissent les pauvres. » (P. 68 – Raoul Vilette – La langue du capital – suivi du Décodeur du sabir- politico-médiatique, 2009). »
Pour les trop illégitimes riches « on se contente de constater un fait sans l’attribuer à une cause particulière (p. 69 – ibidem) »…Style « l’embargo a été reconduit » (comment ? par la main ? avait-il des gants ? à pied ?en voiture ? reconduit jusqu’où ?) – merci aux journalistes euphémistes. Ils nous offrent gratos tous les moyens de démasquer leur très antirépublicain travail…. « l’emploi de la forme réfléchie […si peu !] ou pronominale permet de nantir le fait rapporté, et d’analyse problématique, d’un précieux pouvoir d’auto-génération (p. 69 – ibidem) »…En effet, à part l’immaculée conception nul ne peut parvenir à de tels miracles !!! Genre ? « L’embargo n’a cessé [ lui tout seul, de sa propre volonté, auto-produit donc…]de se renforcer » (sur quoi ? comment ? c’est quoi le bâti ? les matériaux employés ? à moins que nous parlions d’un…remède miracle ?, etc.) - si ces êtres perdus nommés « médiatiques » savaient à quels Himalayas de rires ils nous transportent – sûr qu’ils changeraient de langage… « les conséquences dommageables d’une décision peuvent ainsi passer à la trappe par la magie de l’intransitivité (p. 69 – ibidem). »
4- Etc. Ce n’est pas tant d’une compilation complète dont il s’agit que de débusquer de fourbes procédés. Qui rendent une fois pour toutes, les médias mercenaires, donc « dominants », comme de flagrants ENNEMIS DE L’INFORMATION. Il faut les démettre d’urgence de cette fonction dont ils se sont tant montrés indignes. Surtout depuis 20 ans (concentrations mondiales exagérées (et ne respectant aucune loi anti-trust) des médias…).
http://economiespositives.com/pauvrete-du-langage-journalistique/
5)- A ajouter pour la partie « sémantique »…. Si tous ces autres procédés HYPOCRITES ne suffisent pas pour la « communication » c’est alors…le dénigrement pur et simple et la stigmatisation selon plus on est pertinent (donc utiles au plus grand nombre…) – plus on se voit illégalement attaqués. Règle : nous n’avons droit qu’à une nounou « unique » : le capitalisme. Mais quel média va dénoncer les très mauvais traitements à enfants que celui pratique jusqu’à écœurement ? Sauf que le sens trop « unique » (plaqué sur tout) démasque les ridicules béants des médias. Exemples ? Seul un pauvre est dit « terroriste » alors que tout le monde « sait » qu’il faut une fortune colossale pour monter une opération. Que peut donc un pauvre sinon être un exécutant à qui le mot « terroriste » reste très inadéquat ? Seuls les très riches commanditaires le SONT !!! Mais qui va les traiter du nom qui leur revient ? Est donc décrédibilisé tout terme qui fuit « l’universel » (le mot « terrorisme » est donc décrédibilisé et ridiculisé par ses riches mêmes…)…les mots ne se plieront jamais aux caprices des chochotes qui osent « que tout ce qui présenterait un certain danger […appréciation très subjective…] pour le pouvoir des possédants » serait, automatiquement, et sans aucun examen…décrété répréhensible…sauf que parfois, c’est l’action la plus responsable et adulte qui se puisse être. On ne mélange pas les crevettes et les crevures.
http://www.barbarisme.com/rue_des_cliches.htm
Et donc ce qui ressemble au monologue, à ce que dicte la dictature, à l’unilatéral obéit à cette règle déréglée (c’est la faute à la dérégulation…insensée…) : du tout est libre mais rien ne l’est. Sauf le marché qui est « libre » mais aucune communication de libre à l’intérieur de ce pseudo marché inexistant. Or, si le marché est « libre » toute communication devient « libre », toute information est « libre », tout self-défense contre la propagande est « libre », toute réflexion est « libre », comme toute liberté d’expression est DECHARLISEE !!! Le comble du ridicule est donc d’être un média mercenaire qui ne connait RIEN au réel fonctionnement du langage…puisque sans ces libertés connexes le marché n’est pas « libre » - il est FERME. Forcé. Juste un oligopole, juste un monopole « féodal » qui surpasse tant tous les services publics à but…non lucratif. Le ridicule total est que ce « système » c’est du communisme complet sans…communisme. Juste les apparatchiks…du parti « uniquement le même » sous 2 ou 3 appellations différentes (l’UMPSFN ?)….Et tous les secteurs d’activités sacrifient tous les talents (et la crise effroyable actuelle est la preuve…d’absences de talents là où ils DEVRAIENT être) à la condition d’une stupidité dans nom : êtes –vous « pour » ce système ? Pas de détail c’est 100 % pour : vote de despote obscurci – dieu sur terre – mégalomanie suicidaire, et autres diagnostics de graves troubles révélées par une demande aussi…démente !!! Comme si tout pouvait se rétrécir à une telle inconditionnelle mise en vassalité ? Tous les enjeux essentiels évités pour sombrer dans une telle puérilité (qui n’est pas à fond « pour » le système se voit, machinalement, censuré et empêché de partout nanana areûh na na voilà !!!). D’où gaspillages encore plus énormes des…intelligences. Et cela s’entend dans chaque… mot. Là-dessus le capitalisme parait infiniment perdant !!!
http://fr.wikiteka.com/document/caracteristiques-des-textes-journalistiques/
Le message est clair : le capitalisme a « déjà » perdu dans les superstructures !!! Ne reste qu’à rendre cette évidence flagrante dans les infrastructures !!!,
D’où cascade cascadée de conséquences…dont…
*** - Pour usage frauduleux avec récidives chroniques des mots – les médias ont perdu tout droit…d’informer…et de penser pour nous…
Afin de rendre cette honte plus honteuse :
**** - Après sémantique. Déconstruisons le « carré sémioticien » (ou comment les publicités trompent abondamment par cette technique) et la socio-sémiotique (2)
*** - Puis, par les structures des écrits « pyramides inversées » – oppositions des sémèmes et des lexèmes – et le non sens « informatif » objectif des « storytelling » (3)
Et (4) et plus…
Les médias dominants existent, principalement,…
…………………………………….. afin de NOUS EMPÊCHER DE PENSER !!!
Inverser leurs inversions permet – au contraire – de penser encore plus vite !!!
…….Que ces trop maladroits fraudeurs en soient très largement remerciés !!!
….
…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
(à suivre)
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" ou bien "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" et "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou, encore, "Présent !", onglet 3 "La diction du dictionnaire" ou comment rendre tous les mots physiques", et "Rien de plus solide que le solidaire", sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 3 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
La propagande au quotidien...
comment l'argent complètement stupide a mis fin au journalisme qui pouvait changer la société ?
déchéance complète de dirigeants qui ne savent plus aller plus haut que la...propagande ?
ce n'est pas nous qui sommes arrogants, mais bien ces...imposteurs !!!
Le chemin de fer journalistique est un concept qui implique une organisation des données, mais avant tout des ressources humaines et techniques dans un journal. Si l'on se réfère à la théorie du langage de Ludwig Wittgenstein, la publication issue du chemin de fer n'est pas un message simple ni un ensemble de messages, la publication a certains des attributs d'une proposition. Elle traduit la réalité par un échafaudage logique, « elle décrit la réalité par ses propriétés internes » (Wittgenstein, 1993, p. 53.). L'étude du chemin de fer vise la compréhension de cet échafaudage, de ses dynamiques. Elle vise à pérenniser l'analyse du journalisme face aux changements techniques qui brouillent l'étude des titres de presse à travers leurs publications.