Courriel à qui veulent savoir pourquoi l’on écrit gratuitement ?
Savoir poser des questions c’est conserver l’immense joie d’obtenir des réponses extrêmement nourrissantes. Un témoignage de Gun Giant « …en musique, la productrice me surnomme « le Rare ». Allez donc savoir pourquoi ? ». Nous le savons, nous : c’est afin de parler le la rareté !!!
« (…)
plus personne et plus aucun pays ne veut de la liberté
il fallait bien qu'elle aille quelque part
elle est venue chez nous
si le summum de la vie est rareté
pourquoi y a-t-il si peu d'êtres rares
et toujours plus rarement reconnus
plus personne et plus aucun pays ne veut de la liberté
il fallait bien qu'elle aille quelque part
elle est venue chez nous
la liberté est la porte qui ouvre la joie si rare
et c'est pourquoi nous dansons
toute la nuit
et nous dansons toute la journée. »
(Gun Giant – Nous danserons)
https://www.jamendo.com/es/track/336822/nous-danserons
L’ami Michel sait trouver les questions qui ouvrent …voyons-les !!!
« Ce n’est pas une découverte récente non seulement de la part des grands humanistes mais aussi des grands économistes qui sont nombreux à considérer que l’économie n’est qu’une étape à franchir car elle est partie liée avec la rareté. Quand cette dernière s’efface, l’économie, au sens classique, du terme devrait disparaître. Marx parlait "du passage du règne de la nécessité au règne de la liberté". Smith était dans le même registre quand il disait : "une fois le problème économique [la rareté] sera réglé, on pourra s’atteler à l’essentiel (…) [la construction] de la "République philosophique", qui est la rencontre des questions premières qui se posent à l’humain (étymologie : humus, ce qui fait de nous des fruits de la Terre) à savoir "la question du vivre ensemble", "la question amoureuse" et "la question du rapport au sens". Keynes parlait, de son côté, "de l’au-delà de l’économie" et il allait jusqu’à inciter ces collègues économistes à l’humilité [on y revient…] en disant qu’un économiste n’aura pas plus d’importance qu’un dentiste. P. Viveret ajoute, non sans humour, que tout en ayant de la considération pour les dentistes, "nul ne songerait à fonder le lien social sur la dentisterie", comparaison implicite avec l’économie à laquelle on assigne absurdement ce rôle.
Pourquoi les écrits des grands économistes sont-ils à ce point contredits par la réalité alors que nos sociétés sont installées depuis des décennies dans l’opulence matérielle ? La rareté n’est plus qu’un mauvais souvenir pour les plus anciens si on excepte la marge de la population survivant avec un revenu inférieur au seuil de pauvreté. »
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« Ils laissent courir des théories depuis longtemps obsolètes – afin, entre autres, de les jeter dans les jambes de qui essaie à fond de comprendre…cela embrouille et fait perdre du temps. L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ! Oui, j’ai étudié ces grands économistes – et je confirme que, depuis pas mal d’années, c’est même l’exact inverse de ces théories qui se passe réellement : par exemple, « la rareté fait le prix », tout dépend - dans beaucoup de domaines de la culture il y a perte totale de qualités. Ce sont des coups montés par de petits groupes riches qui monopolisent le discours sur l’art et font, ainsi, passer des nullités pour des « artistes ». Sans, très rarement, connaître les vrais êtres de talents. Par exemple, le diktat (apparemment incompréhensible…) de « on ne publie pas les génies » donc où la rareté, en fait, est rejetée…difficile de tout regrouper les expériences en une phrase ! : sauf à savoir que « aucune concurrence jamais » dans la culture. On peut élargir à des tas d’activités : le constat c’est bien, la rareté ils s’en foutent c’est le monopole fou qu’ils cherchent."
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Autre témoignage de Gun : « Je me suis mis à faire des blogs pour cette raison : avec les livres et le site j’ai une certaine diffusion. Plus de la moitié des pays du monde téléchargent, notamment dans l’hémisphère Sud. Mais un livre demande du temps et – pendant ce temps…silence radio…comment influer ? Oui. Ce que j’ai appris à écrire ces livres : en face il n’y a RIEN. Que du mou, du vide, de la lâcheté, du piteux et du miteux…aussi, avec l’aide au départ (et encore aujourd’hui…)…de quelques compagnons/agnes des assos de terrains et collectifs – que le voilà, le blog quasi quotidien qui cogne. Mais la position reste assez incomprise : comme les pouvoirs n’existent plus en tant que visions, pensées, structurations de la société, futurs prévus, raisonnements ou sensibilités (seulement en tant que fantasmes médiatiques…) – nous reprenons tout en main. C’est un fait patent non une volonté propre. Ce qui donne une responsabilité lourde : ne pas cogner pour cogner en irresponsables. Cogner cognitif…Oui toujours écrire en « protégeant les solutions du futur ». Ce qui fait que (sans le vouloir) sont démasqués des opportunistes intéressés de partout. D’où, on ramasse des coups hyper violents en première ligne – coups qui ne nous sont pas spécialement destinés. Peut-être vas-tu vivre cela ? Tu en as des qualités sans avoir vécu, encore, toutes les expériences suffisantes. Et, il a aussi ton choix - « d’où » (toute sa vie et son corps entrelacés -), d’où écrire, vivre ou parler ? Puisque ce n’est plus jamais pour ta propre personne mais pour qu’est-ce qui est meilleur pour le plus grand nombre que tu penseras ? Sans précédents ni modèles préexistants ? Inventer, sans cesse, les nouvelles pistes copistes."
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Pour l’Économie , 2 pistes :
1) - Décrire ce qui se passe actuellement sans jamais citer les ex-théories capitalistes – genre « le profit c’est un coût pour d’autres - toujours » – donc le profit net est juste une hallucination égoïste. Pas une réalité. Il n’y a que des coûts et des appropriations non légales…et non un gain surgi de nulle part, autonome de toute externalité négative, etc.
2 - Ou bien partir du fait que le mot « économie » soit surtout « thérapeutique », épargner, ménager, économiser etc. (– la charge des autres que tu aurais..) - et que, en conséquence, la réussite c’est de se passer de…l’économie – de l’économiser, donc de vivre sans. Le revenu d’existence pour tous, allié aux « biens communs et services publics », le permet. Une société SANS économie – il n’y aurait, en fait, que des activités pour répondre aux besoins. De la Nature, de la Vie et des humains. Plus de superflues courses aux profits – que une société attentive à protéger à la nature, à retrouver la qualité et à permettre la prospérité collective. Lancement : la Fête mondiale (voir le texte de ce nom)…La Prospérité c’est, aussi, un sentiment intérieur vécu, en partie, dans les années glorieuses. Le gens étaient bien moins riches mais se « sentaient » plus riches !!! Parce qu’ils accédaient à plus de biens utiles (dont des produits toujours de qualité). Pas de gadgets inexcusables et de publicités intrusives, etc. Tandis que la "civilisation du prétendu profit" (du peu reluisant Obama) c’est que pour le très petit nombre (au détriment de l’énorme majorité exclue…) – Par contre, la prospérité généralisée soit cette « pauvreté » pour tous à 2 000 € par mois – c’est vraiment POUR TOUT LE MONDE. Et c’est le régime socio-politique (sans plus d’économie) acceptable en…démocratie !!!
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Michel Foucault disait que c’est au sommet qu’il y a le plus d’aliénations puisqu’ils restent en tout petit groupes qui se ressassent eux-mêmes. Entropies maximales des idées : usées avant que d’être…comprises. C’est malheureusement très vrai…seul(e)s leur échappent un bon nombre de personnages qui ont expulsé tout discours dominant de leurs cerveaux…et ont « gardé leurs têtes bien à eux»…actuellement, je crois [… «je » du scripteur, ici…] que tous les sommets sont très égarés (il n’est que d’entendre la puérilité ahurissante de leurs propos), voués juste à se radoter sans cesse, incapables de penser encore en totalité de l’acte complet de «penser» (pour tout le monde et dans la globalité des problématiques !). Personnages, de ce fait, pouvant être dangereux…Puisque ne manipulant plus que de l’instrumentalisé (sans savoir pourquoi) ou l’hyper matérialité (or plus t’es star plus tu pollues…en chiffres bien réels). Bref, ils ne CONTRÔLENT plus rien de tangible…En tout cas, plus personne vraiment ne peut compter sur eux…Un DIRIgeant = qui sait « dire » oui la dire-ction !!! Cela fait si longtemps qu’ils ne peuvent se « dire » dirigeant !!! Alors qui ? Qui parviennent à ce que la Société continue avec juste de la virtualité dirigeante ?
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Ce qui n’est pas réjouissant pour les premières lignes. Puisque sur qui retombent toutes les réelles responsabilités (et pas leur spectacle) ? Sur qui n’en ont aucun des moyens matériels pour assumer au meilleur des 100 %. Et qui, en plus, sont sujets à des persécutions purement mécaniques d’un système décervelé. Qui fait sans penser à ce qu’il fait…Ce pourquoi des non-dirigeants aussi vides ont le secours de tonnes de défenseurs inconscients même de l’être du système. Contre cela (la persistance contre-productive de ce qui n’existe pas), il faut profiter de la plus petite faille du discours dominant – afin de soulager le plus grand nombre de la pensée archi morte du capitalisme.
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Les médias disent : le marché perd ses nerfs, à la fièvre, entre en dépression, …toujours des mots très maladifs…etc – il faut sauter sur la plus grande synthèse (soit faire la thérapie la plus vaste du possible) ….donc la finance c’est une… maladie*** – afin d’en détacher, écarter, éloigner le maximum de têtes de ces folies suicidaires. Ceci pour les protéger autant que les aider…Faute de se placer dans cette perspective, l’on ne peut se maintenir en première ligne (celle de la synthèse la plus grande, par exemple) sans subir des destructions de son corps ou de son cerveau. Ne plus avoir dans les nerfs, la sensibilité, la peau, la tête, RIEN du vieux système obsolète, immunise, en quelque sorte…
*** trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org, en cliquant sur l’onglet 2 et en trouvant "Le roman de l'économie"
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http://www.europarl.europa.eu/news/fr/news-room/content/20150702IPR73644/html
Enfin, toutes les vidéos le prouvent – il y a une incompréhension radicale du mot « rareté » - tout n’y est compris que comme des QUANTITÉS. Une abondance quantitative prouvée par les trop antidémocratiques gaspillages !!! C’est le privé qui gaspille Or, la rareté c’est la perte des QUALITÉS. Du sel de la vie, des saveurs du savoirs, de l’eau vive, de la quinte essence, du soma divin, des extases laïques, des ardeurs et des désirs réels qui s’élèvent d’une transmutation, etc. …retour des qualités qui restent…inépuisables, elles…
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Voici une réponse complète à ce qui fait usage de inter-legere (lire entre…toutes les langues et lignes) de l’intelligence. Celles qui sait percevoir ce qui reste « entre le dit », des inter-dits (bien plus forts en 2015 qu’en 1950 à 1970 !!!)…
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……Et de savoir à quoi et comment veux-tu utiliser tes forces vives ??? !!!
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**** A Michel qui est un être…rare !!!
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
(à suivre)
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 " La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir " et"L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie", onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, LE ROMAN DE L’ÉCONOMIE, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 3 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
La banale folie irresponsable du consumérisme = je ne sais pas ce que je veux mais je sais que je ne l’ai pas. Ce qui serait rare ? : un vrai débat dans ces étanches juxtapositions de monologues !!!
En effet, pourquoi l’économie massacre toutes les espèces dites « rares » ? Parce qu’il n’y a absolument rien de sérieux dans cette escroquerie déguisée en pompeuse théorie ? Oui, vu les pompantes pratiques !!!
La liberté et l’égalité sont des vocables de raretés ; l’éternité et la fraternité, elles, parlent de la vraie abondance. Une société « fraternelle » « avec » tout le monde offre des milliards de fois plus de solutions que une économie « sans et « contre » l’écrasante majorité !!!