Face à la Sécurité Sociale, les confuses Assurances ?
Ce qui devient la déroute complète du privé qui ne pourra jamais, loyalement, s’aligner face à ce joyau du Conseil National de la Résistance : la Sécurité Sociale ! Et ce malgré la campagne, quasi diffamatoire, actuelle pour casser la meilleure des protections sociales existantes aujourd’hui.
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Vérifions, ici, pourquoi ! Et, d’abord, en le voyant, complètement nu, ce monde des assurances privées qui a la prétention de faire mieux que le service public. Alors que son but inavouable ( utiliser l’argent des versements des « clients » pour spéculer, dans leur dos et à leur seuls risques et périls : s’ils gagnent ils ont la malhonnêteté de ne pas partager avec le client et s’ils perdent le client perd tout…pire qu’un scandale, non ?) ne répond certainement pas à la déontologie de la protection sociale !!!
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Leurs" marges sont constitués " des commissions versées aux apporteurs (de 14 à 20 %, voire 25 % pour ces assureurs) (p. 260 - Gérard Morgal -"Assurances, mode d'emploi à l'usage des incrédules, 2006). » Ce livre de Gérard Morgal est, à ce jour, le meilleur sur ce sujet.et n’a pas pris une ride Où vous découvrez, incrédules, que ce commerce, qui nous vole notre intime, n'est que du "gain", sans déontologie juridique aucune. Et dont le "profit" n'augmente que si diminue le "coût des sinistres" (la mauvaise volonté à verser ce "qui vous est contractuellement dû" prédomine…). L'intermédiaire, courtier ou autres, touche "au minimum 16 % du montant de "notre" prime d'assurances". Tandis qu'il nous "plaint" pour…l'augmentation de cette prime, il empoche, donc, simultanément, une partie de cette augmentation (p. 253 - ibidem). Une ribambelle des prétendus "bienfaits" de la concurrence (Galbraith décrit, pertinemment, le capitalisme comme le refus de toute concurrence avec comme but oligopolistique de fixer ses propres prix, sans passer, évidemment, devant aucune "loi d'offre et de demande" (dérégulée !)) - se clarifie dès la moindre recherche dans notre quotidien. Le bénéfice collectif du "profit" semble très très illusoire. Quelles vertus autres que les plus grands gaspillages des ressources et des moyens ? Et, du reste, si tant de vertus à la « vraie » concurrence - pourquoi pas une réelle concurrence dans les œuvres diffusées: quasiment toutes le même moule, donc guère de diversités par la concurrence. Idem pour l'info, même moule aucun avantage sinon moutonnier tout le monde copie qui copie copie etc. Encore pire pour la culture où il n’y a AUCUNE concurrence : seulement une mafia illégitime. Qui s’avoue elle-même, d’ailleurs : « show business » cela sonne comme très anti-culture pour tous, non ? Et, après, ils viennent nous la jouer comme luttant contre…l’élitisme…oui, après nous avoir carrément volé tant de millia$rds de dollars…soit l’élitisme monopolistique insurpassable de la vulgarité.
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L'acharnement à privatiser s'habillant, effrontément, de la sournoise "motivation" de sauver le Public (de quoi? de lui-même?), devient la seconde preuve contre ce privé. "Ils se font fort de rétablir en moins d'une décennie la rentabilité de l'énorme gâteau de la Sécurité Sociale" de 150 milliards d'€uros" (p. 261 - ibid). Comme s'il y avait besoin de "rentabilité" dans ce domaine public. Juste d'un adulte équilibre des comptes, non? Là où se voit " réparti " (c'est à dire "non réparti"!) ce gâteau, ils se le monopolisent et ils appellent cela "rentabilité" (s'approprier ce qui est à tous parce que sans buts lucratifs…). Donc nulle rentabilité "supérieure" puisque, sur plusieurs années, le "surcoût" causé par les énormes rémunérations, stock options, primes à la traditure, etc et etc;, va diminuer d'autant "ce qui nous est dû" tout en augmentant… nos primes, cotisations, contributions. Où est la "rentabilité" de dépecer ce qui existait très bien, pour tous, sans réelle rentabilité intrusive ? Aucune : en quelques années, ils ont ajouté de nombreux surcoûts ! La prochaine fois que quelqu'un vous dira que la concurrence fait baisser les prix (la vraie oui! pas celle-ci!) rappelez-vous tous ces… surcoûts…Et osez un, d'accord, concurrence partout alors, dans les conversations - nationalisons les conversations des télés, prenons notre part etc. – dans les livres – plus de monopoles "conformistes", mais le tout diffusion, oui la véritable libre expression bien diffusée - etc. Et, en tous les domaines, vous vous apercevrez, à le pratiquer, que le privé a "supprimé toute concurrence"! Bizarre aveuglement collectif non ?
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Quand même s'ils s'acharnent tant à "privatiser" c'est que c'est "déjà" rentable et qu'ils vont "voler cette rentabilité" (pas d'autre mot!) pour eux seuls ! La prochaine fois qu'ils diront "privatisations" dites-vous c'est "déjà"…rentable, pas touche. Dégage du service public. Et, s'ils voulaient "sauver" ce public qu'ils y "souscrivent" donc, généreusement, par des aides directes de la générosité, non? Etc.
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Tout est dans lire, le saviez-vous? "Ne lisent-ils ni leurs statistiques ni leur presse spécialisée? Il semble que non et qu'en France, durant les 50 dernières années, ils se soient contentés de se rassasier de primes rondelettes ( p. 179 - Gérard Morgal -"Assurances, mode d'emploi à l'usage des incrédules », 2006). » Plus que les vrais écrivains pour se taper les lectures auxquelles ces "experts" (non élus!) ne procèdent plus du tout. Tout cela pour une vision avachie du monde : ne rien faire que de bloquer toute la société (mais son futur!) juste pour se fourvoyer dans cette seule "activité" de l'inactivité pétrifiante du "profit". Ce blocus importun se voit doublé d'une conception infantile: ils osent appeler "réalistes" ces comportements de claires "dépendances" (aux grands esprits de tout résoudre, aux assurés de se laisser pressurer…etc). Les deux attitudes reposant sur "ne rien savoir des conséquences de ces irresponsabilités": oser nommer de "réaliste" le comportement qui ne veut rien "savoir sur le réel" lui-même, n'est pas du tout "réaliste"."Réalistes", par contre, qui sait que "manipuler des symboles" n'a rien à voir avec penser (p. 18 - Marc Jeannerod - La nature de l'esprit, 2002 ).
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Le profit moyen des assurances = "les frais généraux engendrés par la branche d'assurance + le coût global des sinistres payés + les commissions versées aux apporteurs (de 14 à 20 % en moyenne) + le taux de rentabilité fixé chaque année par les directions" (…) "à noter, qu'en général, ce taux de rentabilité est élevé, pouvant aller de 20 à 40 % dans cette branche couramment dénommée: maladie ou assurances de personnes" (p. 260 - ibidem). Comme dans l'équation "le coût ces sinistres" devient la seule variable sur laquelle ces obtus entêtés vont s'acharner – renier la norme juridique pour que les assurances ne soient que commerces (hors juridique) sinon pour utiliser les circuits de la justice à seules fins de semer leurs injustices, de faire clairement des affaires tordues. Tout ne s'effondre que de la déchéance de "centres de profits" alors que pas un seul raisonnement n'a pu rendre respectable le si infantile profit (combien coûte-t-il globalement? Tiens! Plus que le "supposé" et solipsiste profit lui-même! alors tutelle sur qui délire "profits" ?)
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Encore, oui, avec ces esprits "le privé c'est la concurrence", nous payons deux fois, oui. Et jusqu'à…7 fois…pour les appauvris (par qui ?)… voir http://www.imagiter.fr/2015/10/lorsque-les-appauvris-paient-7-fois-plus.html...
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Une vraie catastrophe pour nous que le privé !!! Des subventions ou des « participations » sont rapidement obtenues, pour eux, avec « notre » argent ! Ce qui signifie que nous allons participer 2 (ou plus) fois à l'addition: en qualité d'assurés toujours « sur-augmentés », puis de citoyens légaux et nous ne serons jamais tenus au courant des recours juridiques que leurs services "contentieux" entreprendront contre les…États, les administrations (p. 245 - Assurances, mode d'emploi pour les incrédules, Gérard Morgal). » Et, souvent, illégalement, les assurances qui ne "garantissent plus vraiment les risques" mais raflent le maximum en augmentant les risques systémiques. Si les médias mercenaires publiaient les jugements, arrêts ou décisions qui feraient apparaître les assureurs comme partie civile et qui, à ce titre, sont encore parfois indemnisées" (p. 245 - ibidem) - nous aurions une plus claire vue de leurs impostures. Qu'ont-ils fait sinon avoir empoché les primes d'assurances sans rien rembourser: oui ou non est-ce délit ? Les médias n'ont divulgué, dans un langage, sans aucune prise possible où agripper le réel, que des tartines de généralités et de paillettes des procès nationaux ou internationaux retentissants (ou bien leurs "infos" qui ne servent strictement à rien: tandis qu'une analyse des jugements et de leurs « attendus »… alors là "hyper que ça sert!"). Qui a vu une seule fois sa prime baisser? Productivité augmente, coût baissent, mais primes augmentent toujours: où est l'anomalie? Les bénéfices des assurances et de la grande distribution sont "colossaux" parce qu'ils ne "font plus leurs métiers du tout". Ils ne font que de la finance: ça a l'air plus facile que ça en a l'air.
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Réduction de l'espace mental à une seule obsession, plus indifférence inhumaine aux autres (qui se tordent dans la complexité – au regard de votre seul simplisme – mais, aussi, de la qualité des produits et de multiples autres critères). Si la finance l'emportait, alors, ce serait uniquement par son aliénée désinvolture par rapport aux conséquences et enchaînements systémiques de ses non-choix: la finance ce qui représente le manque de sérieux insurpassable. Seul commentaire passe-partout des assurances, le "pour assumer nos responsabilités et faire face à nos garanties"... Lisez et vous n'y trouvez que faux et usages de faux, non respect des règles contractuelles, rétentions d'informations créant des déséquilibres contractuels, indices variables de 3 à 8 % par an (tricheurs aux tarifications), insertions dans le contrat de nombreuses clauses jamais utilisées (+ de 60 % des clients n'usent jamais du "recours juridique") mais bien acquittées, non paiement des garanties réglées par les primes, "thésaurisant sur le dos des victimes des contrats et des tiers de tous ordres, ignorants volontairement leurs droits desservis" (en moyenne n'est proposée que la moitié de la somme effectivement due!). Expertises bidonnées "avec injonction à conclure dans le sens de leurs intérêts" (p. 204) ;"jamais les assureurs ne reviennent à un amoindrissement des primes quand leurs marges bénéficiaires redeviennent normales soit à 15 % et plus" ( p. 148). Pures irresponsabilités et attaques directes de l'avenir de la Société. Ce privé là qui encombre les couloirs de la Justice devrait donc bifurquer par ses cellules carcérales…
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Toujours le même but inavouable (mais clairement dessiné dans la pratique quotidienne!), "indemniser le moins possible", sortir indemne d'indemniser… Seul commentaire passe-partout des assurances, le "pour assumer nos responsabilités et faire face à nos garanties"...
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Privatiser les pertes est-ce bien assumer leurs responsabilités? Quant aux garanties, faire durer en moyenne 2 ans, le "paiement de ce qui est effectivement dû" avec démarches d'intimidations, d'abus de faiblesse et quasiment toutes les délinquances, appelle au questionnement "que sont nos garanties contre la grande délinquance du privé?". Nous protéger, en priorité, d'eux! "Il faut le savoir: dans les compagnies d'assurances, plus on monte dans la hiérarchie bureaucratique, moins on en fait" (p. 242) alors Claude Bébéar, d'Axa osant " les grands patrons (nagent?) ne sont jamais trop payés " se plante: les grands patrons sont toujours trop payés, ils pèsent trop sur les coûts avec leur mentalité corporatiste archaïque d’un ancien temps. Ils sont causes structurelles du chômage. Ils "jouent avec l'argent des autres" cela reste carrément inexcusable (leur arrogant discours ne s'en ressent même pas).
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Soit le fond du débat : Que cela soit public ou privé l’assurance sociale repose sur le…juridique. Or, dans le privé (fonds de pensions et autres) où se trouvent les notions de PROTECTIONS ? protections de l’individu comme de la société ? où est-il parlé de…« juridique » des garanties lorsque l’argent fait taire la raison ? Comment la collectivité se voit défendue dans cette obsession qui place les pratiques cupides (d’utiliser l’argent des primes d’assurances pour la seule spéculation) 1) hors de la réalité - 2) et hors de la vie commune ? Où peuvent donc se trouver ces deux mots : la vraie Sécurité (se sentir « en sécurité dans la sécurité » et non plus, ainsi, agressés) ? Et Sociale : qui pense au bien de tous, à l’intérêt général et reste au service DU Public (comme les services publics sans monopole puisque à buts non lucratifs) dans le gonflement trop égoïste des intérêts privés qui écrasent tout ? Malheureusement, toutes les réponses à ces légitimes questions sont…négatives, dès qu’il s’agit du privé !!! Par contraste, la Sécurité Sociale à buts non lucratifs reste le système le plus fiable pour notre réelle protection.
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Eh bien : de voir ainsi le privé complètement démystifié aboutit à ce qu’il n’est même plus besoin d’établir une comparaison avec la Sécurité Sociale publique…
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Nos valeureux pionniers qui, dès les années 1985, avaient dévoilé tout le pot aux roses nous auront offert des analyses, dont il n’y a quasiment rien à changer. Gains collectifs immenses pour le temps présent gavé de confusions..
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Analyses et synthèses qui reviennent, de surcroit, en force puisque nous avons – en plus – toutes les PREUVES A L’APPUI…
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Sans exagérer nous pouvons dire que ces pionniers ont, déjà,…
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………………………………….. CHANGÉ LE MONDE…
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………..face à la Sécurité Sociale - "leur" Privé: un inutile et encombrant circuit supplémentaire?
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Cet article est adapté du livre "L'anticommunication comment ça fonctionne ?", que vous pouvez avoir gratuitement en cliquant sur l’onglet 4 du site (si prémonitoire) http://www.freethewords.org/ ou…la bibliothèque du futur. Suggérant qu’il faudrait attendre avant qu’il se trouve des humains capables de lire ces documents !!!
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Documents absolument nécessaires si l’on veut comprendre les ENJEUX actuels :
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que va-t-il être fait de ces excédents ? Encore les donner aux seuls « assistés » visibles – les trop riches ? ou à ces « migrants » bien camouflés : les spéculateurs, les exonérées-onéreuses multinationales et les paradis fiscaux alimentés par le fait que les États ne portent pas plainte contre ?
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http://www.politique-actu.com/actualite/deficit-securite-sociale/15045/
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le déficit de la sécurité sociale est en fait un net excédent….
Voir, aussi, la réponse de la Sécurité Sociale réfutant la réalité de l'excédent.
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
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Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
(à suivre)
……………. tous ces posts sont bien reliés à une pensée globale
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuitshttp://www.freethewords.org/, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et "L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie", onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, LE ROMAN DE L’ÉCONOMIE, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 3 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
en affirmant tranquillement que ce n'est pas un monople puisque sans buts lucratifs - et que le privé ologopolistique "fausse" tout et tend à empêcher toute réelle concurrence (dans la culture et l'information cela saute même aux yeux) !!!