Le capitalisme supprime la pauvreté en…l’augmentant ?
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100 millions de pauvres en plus depuis 1990. Oui en Afrique. Et ce malgré une croissance économique moyenne africaine de 4,5%, (selon les estimations de la Banque mondiale du 9 octobre 2015). C’est que la réalité s’entête à rester une et unifiée : on ne peut séparer les données les unes des autres. Croissance ? Et lorsque 50 % de la croissance mondiale est « monopolisée » par quelques centaines de multinationales et très peu d’humains , l’on « sait » que la croissance n’est « solution » qu’à peu de situations. Sinon à enrichir toujours plus ceux qui ont déjà beaucoup trop. Et font donc barrage au développement des autres. Le train de « solutions » appartient au changement complet de l’organisation sociale. Ce qui va provoquer, enfin, un fonctionnement global non vicieux et pervers – mais vertueux. Changer de dirigeants et surtout de philosophie sociale va même créer une abondance de solutions !!!
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Au niveau de la propagande il ne reste qu’un barrage ahurissant. Le seul « alibi » à la présence de la prédation capitaliste, en fait. Nombre de gens rassis, comme on dit, le gobe toujours…ce… « oui, le capitalisme a beaucoup de dysfonctionnements mais il est le SEUL SYSTÈME qui abolira la pauvreté. Pour nos frères les trop pauvres il nous faut donc subir ce système. L’accepter »…Toujours utiliser les absents et les sans voix comme « argument s» - lorsque l’on en aucun autre…
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Face à cet incompréhensible blocage de la civilisation, nous allons démontrer que :
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1) le capitalisme, dans les totaux têtus des faits, augmente la pauvreté et accroit les inégalités, le terreau où pousse la pauvreté.
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2) que, depuis 2 siècle, et entre les pays et dans chaque pays, les écarts entre riches et pauvres n’arrêtent pas d’AMPLIFIER.
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Comment, dans ces conditions, supposer la moindre reddition des faits courant, alors, vers l’abolition de la pauvreté ? Rien de plus benêt qu’un cynique. Comme rien de plus arriéré qu’un conformiste. Chez les deux plus aucune faculté de raisonnement ne fonctionne. Ils vivent dans un monde de complets lunatiques, rêvasseurs chimériques. Suffit de regarder leurs visages suffisants pour s’en convaincre !!!
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La conclusion devient bien : abolir le capitalisme c’est, du même coup, abolir la pauvreté…et ne pas l’abolir c’est, bien au contraire, renforcer la pauvreté. Ainsi 80 % de l’Humanité n’a que 6 % de toutes les richesses mondiales à se partager. Ce qui semble bien insuffisant…Et que si l’escroquerie mondiale aux prétendues aides occidentales s’élèvent, annuellement, à 100 milliards d’€. Le total annuel des spoliations, lui, est de 1 508 milliards d’€. 15 fois plus. Soit 680 milliards d’€ dus aux évasions fiscales ou aux non paiements délinquants des impôts dus aux pays pauvres. 450 milliards d’€ de remboursements de dettes payées déjà plusieurs fois. Et 378 milliards d’€ de pillages des ressources naturelles des pauvres, grâce aux organismes « commerciaux » (sic) internationaux, construits que pour les intérêts indéfendables des trop riches. Et, comme tous les ans, les scandaleux pays trop riches prennent 15 fois plus qu’ils font semblant d’aider – les écarts ne peuvent que s’agrandir. Et A CAUSE du capitalisme prédateur ne peuvent qu’être toujours plus pauvres et plus nombreux à l’être. Mettre fin au parasitisme capitaliste c’est bien soulager, à fond, la pauvreté.
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Dans un monde fini, il n’y pas de profit qui ne se fasse au détriment de quelqu’un d’autre. Votre prétendu profit est donc un coût pour d’autres. Exporté sur eux – en tant qu’externalité négative. Soit cette réalité des faits que l’on empêche d’entrer dans les comptes comptables…Le profit n’existe donc que chez les hypocrites. Et le capitalisme est une escroquerie institutionnelle qui se fait sur le dos des pauvres. Au point que pour un seul riche, du temps d’Adam Smith (le prétendu inventeur du capitalisme – alors qu’il reste, 300 ans après, son grand ennemi. Lui qui ne parlait que de …commerce mondial et de…partage du travail bénéfique pour chacun) - il fallait 20 000 pauvres pour « un » seul riche. Aujourd’hui, pour chaque nouveau trop riches – c’est combien la multiplication des pauvres. Et il y en a si peu de trop riches : 2 ou 3 grand maximum de plus par an, selon Forbes…une misère. Il « faut » pourtant des …millions et millions d’appauvris…pour ce très peu de riches. Puisque si 300 de trop riches ont plus que 3 milliards des plus pauvres de l’Humanité – nous avons du mal à discerner « où » se produit donc la résorption de la pauvreté ? Ainsi, sans aucune redistribution des richesses, toutes collectives, la misère s’évaporerait ? Et c’est donc à coups de monopoles et de concentrations que l’on partage les richesses ? Vraiment il faut pire plus qu’un lunatique pour gober tout cela. Bref, un bourgeois-archi-plouc !!!
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Ce pourquoi – nous devons, sans cesse, affiner les concepts. Et leurs mots. Désormais, dire « les appauvris »…et non plus pauvre….puisque « appauvri » l’est par une action toute extérieure, un préjudice subi, et non un état intérieur, une fatalité cosmo-génétique que l’on peut alors stigmatiser honteusement. Oui, cumuler le tort d’être trop riche avec la torture de reprocher au pauvre d’être pauvre. Lorsque toute la société est INSTITUTIONNELLEMENT organisée pour voler les pauvres…c’est pire que du cynisme.
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Donc des appauvris. Causés. Très exactement comme qui a démuni les démunis ? Ils ne se sont pas auto-démunis tout seuls ? ils l’ont été, démunis, par d’autres – les munis !!! Oui qui a déshérité les déshérités? Il demeure impossible de s’auto- déshériter , c’est toujours dévêtu par d’autres que l’injuste nudité frappe. Et, comme après toutes les guerres injustes, et leurs pillages – les spoliés doivent être dédommagés. Et récupérer leurs biens, leurs héritages légaux il ne devrait plus y avoir de déshérités. Il y en a plus…… Le pré-jugé n'a aucun autre fondement logique que de masquer tous les vols effectués sur le dos des pauvres – parce que le pré-jugé n'a aucun autre fondement que de tout s'ad-juger. Qui nuit nuit toujours plus. Qui a tort torture en plus… les déshérité-e-s le sont, uniquement par autrui. Le preste mouvement se fait, d'ailleurs, prendre en flagrant délit : tout reste si présent sous nos yeux. Grâce aux mots…Puisque qui s'est emparé des dés-emparés ? Oui qui ? LES NON ASSISTES notoires que sont les trop pauvres – sinon ils ne seraient plus "pauvres assistés" !!! Eux qui se voient ainsi plus que maltraités par la société. Insultés et humiliés sans cesse… comme l’article ici le déroule…
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http://www.imagiter.fr/article-qui-a-detresse-les-detresses-96929976.html
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Autre effet « d’ignorance » préméditée. On se dit que les pays « riches » d’Afrique (pour qui ces richesses ? Lorsque les pays « trop » riches se permettent de les piller ?) vivent mieux. Or c’est tout le contraire. PREUVE JURIDIQUE recevable que c’est bien le capitalisme qui appauvrit les…appauvris. Et donc augmente, partout, les pauvretés structurelles. Et – de ce fait – ne pourra jamais les diminuer…
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« Phénomène préoccupant, les pays riches en ressources naturelles sont souvent moins bien lotis que les autres, en raison de la convoitise suscitée par ces richesses, qui engendre incurie des gouvernements et corruption ainsi que des conflits internes et externes.
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Les ressortissants de pays dont le sous-sol est riche sont plus illettrés, ont une espérance de vie inférieure de 4,5 années tandis que les femmes et les enfants souffrent davantage de malnutrition que dans les autres États africains. » Quelle calamité que d’avoir des richesses naturelles. Un comble…
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https://fr.news.yahoo.com/cent-millions-pauvres-en-plus-en-afrique-depuis-155900853--business.html
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Le fond du débat, ici, reste ceci : qu’est-ce qui PERMET aux pays trop riches de venir piller les pauvres. De faire – illégalement oui très illégalement même – irruption chez eux pour les dépouiller. Et de se permettre – en plus- de les insulter et calomnier sans cesse ? La « convoitise » n’est pas une explication mais bien l’aveu d’une maladie grave qu’il s’agit de soigner. Même par la mise sous tutelle juridique des pays riches. Cette convoitise en convoi n’est pas une excuse. Au contraire, elle en devient une ACCUSATION ferme. Si le malade refuse de se soigne. Faudra bien s’adjoindre à lui afin qu’il en trouve…la force !!! La protection du plus faible exige un cordon sanitaire autour des pays pauvres ayant des ressources naturelles – afin que les gangsters trop riches ne puissent plus contrevenir à la …loi. Vous voyez que l’on dira que c’est, encore, pour rendre service..aux trop riches. Oui afin qu’ils puissent conserver une conscience pure. Non mais des fois !
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Ce qui nous raccorde à « comment voit le futur la majorité ? » Eh bien, justement, elle ne le voit pas. Insistant toujours pour s’égarer dans la recherche des miracles instantanés. Alors que, de savoir quels concepts changer introduit une suite de miracles mais…dans le temps. Et que l’art d’anticiper une …trajectoire s’apprend. Sachant le présent de tout le corps, sensibilité toute ouverte – l’on peut en déduire ce que certaines modifications peuvent entrainer ensuite. La géométrie en devient très corporelle…De combien de degrés d’angle tel concept va impacter dans le futur et obtenir tellement plus de degré d’angle…etc. Bien, bien - vouloir des miracles, des hommes « providentiels » (mais par qui propulsés alors ?) oui des réponses trop « simples » à « mais quelle société mettre à la place ? » c’est comme devenir du béton armé, un mur toujours plus haut, de l’anti-communication en acte, la violence extrême exercée contre les pionniers et la dureté de cœur bien en place. Puisque nous pourrions déchirer nos cœurs, faire éclater nos têtes ou détruire nos muscles – que rien ne servirait à rien devant ces barbares régressifs. Les conformistes. Qui n’ont plus aucun contact avec la réalité. Exigeant tout des autres mais rien d’eux-mêmes…refusant d’apprendre les mots pratiques de la transformation. Le calcul des forces à mettre en place. Juste exiger de dire en UN mot « que faire ? » – comme si les meilleurs esprits qui offrent gratuitement leur travail – n’étaient que leurs employés n’ayant pas à recevoir de respect ni d’attention. Toute nouvelle société ne peut se faire « qu’avec » des acteurs du changement. Non des spectateurs inertes sur le côté…
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Comme si des « programmes » complets. Avec des mots ronflants pour faire dormir. Oui ne nous avait pas été non proposés mais assénés, matraqués. Et qu’à peine l’encre sèche PLUS PERSONNE ne s’en occupe plus. Alors, mauvaise foi, mauvaise volonté que d’exiger, na na na voilà en tapant areûûûûrgh du pied le que mettre à la place. Sans d’ailleurs écouter la réponse. Comme si en UN mot on peut tout dire. Surtout avec des personnages qui ne fournissent aucun effort, qui ne sont que des forces négatives tout autant que de l’inerte contradiction sourde et aveugle…
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Chaque texte avance un ACTE concret pour le que faire ? ici, la société nouvelle n’acceptera plus la pauvreté. L’acte le moins coûteux, socialement, et semant le maximum de paix et de consensus c’est un salaire universel à vie ou un revenu d’existence définitif. Selon le déroulement de la transformation : le salaire à vie bouscule moins l’ordre social mais le fait jusque dans ses fondements, ses racines, et risque donc de se montrer plus durable…le revenu d’existence exige une mutation plus complète : le revenu et les activités séparées. L’abolition du travail inégal et ne respectant aucune loi précède la fondation des activités librement consenties. Activités qui répondent aux besoins réels des êtres humains ( extinction donc de l’irresponsable société de consommation aux gaspillages les plus énormes qui soit et au non respect de la réalité – état des ressources finies, protection du futur, exploitation raisonnée de tout ce qui existe, etc. – donc retour du planifié ni étatique ni privé mais celui des « biens communs ». Tel le CNR créa la Sécurité Sociale – seront créés les Biens communs…retour à la propriété d’usage excluant toute propriété spéculative, de cumuls et de thésaurisations, etc…les droits de la Terre prédominent…
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Nous luttons donc pour la disparition de toutes formes de misères matérielles – les dirigeants font tout (mais derrière un rideau de manipulations) pour maintenir ce désordre établi…Ceci dessine déjà certains traits de cette neuve société proche…
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Sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, en cliquant sur l’onglet 4 au titre " La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir "…vous pouvez lire ce livre très utile…dont voici l’épilogue…
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ÉPILOGUE :Et, au fait, vous interrogez-vous , qui est le vrai démagogue ?
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Vous admettrez que nous avons pris toute précaution. Et qu'ayant pris toute précaution, nous pouvons avancer comme une réponse. Depuis 1990, il existe des bases de données qui couvrent presque tous les pays sur une période remontant jusqu'en 1820. "Elles démontrent de façon incontestable la divergence croissante des revenus par tête sur longue période. Ainsi, par exemple, l'écart entre le revenu du pays le plus riche et le revenu du pays le plus pauvre était de un à quatre en 1820, de un à treize en 1913, de un à vingt-six en 1950, de un à trente neuf en 1989 et de 1 à 80 en 2015" (p. 153, Jacques NIKONOFF, La comédie des fonds de pension - une faillite intellectuelle,). Le capitalisme n'a supprimé aucune misère, n'a diminué aucune inégalité. Il a tout augmenté. Il n'existe donc pas de plus grand démagogue que le capitalisme qui leurre le monde entier en osant qu'il diminuera, partout, la pauvreté. C'est faux. Le capitalo est un démago !!!
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Pour ce qui est des écarts entre individus, l'accélération est nettement plus forte et les inégalités encore plus criantes : ainsi un homme seul possède plus que le P.I.B. des 17 pays les plus pauvres, presque bientôt d'un continent vous entendez. Un homme seul ! La propagande nous a fait croire : l'inégalité c'est dans le passé, nous allons vers plus d'égalité. Nous venons de voir que c'est très exactement l'inverse. Les écarts individuels moyens sont passés de 1…à 849. Beau progrès vers plus d’équuité, vous voyez ! La démagogie, depuis deux siècles, a donc sauvagement régnée.
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Comme il n'y a aucune raison de croire que cette double tendance (écarts entre pays et écarts entre individus) puisse s'inverser, nous sommes bien obligés de souligner que le plus grand démago, que la Terre ait jamais porté, c'est le capitalisme, le néo-libéralisme avec leurs scandaleux mensonges. Rien de plus démago que de faire croire l'inverse de ce qui est.
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Ensuite, sur l'échelle de séisme de la démagogie, vous trouverez que ce sont toujours, toujours les personnes au pouvoir qui excellent dans la démagogie. Notamment en masquant le béant mensonge qu’est le capitalisme. Ensuite, en faisant tout pour que cette escroquerie se poursuive. Enfin, en décrétant que les esprits honnêtes tentant de leur barrer la route sont…démagogiques, populistes, eux. N'ayant, de la sorte, pour seul argument pour ce faire que ce mot magique qui semble clouer le bec, sans frais et sans effort. Mais ce mot persiste à être magique puisqu'il inverse, entièrement, la situation. Au point que d'insulte il va devenir solide compliment. Qui se verra accusé de « démago » par les pouvoirs sera donc un très bon et très utile pour le plus grand nombre. Pour le changement réel. Tâches de diffusions simplifiées…
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De tenter de tâtonner vers les possibles mérite collectif compliment. De, partout et toujours, chercher la plus gigantesque redistribution entre chaque individu et entre tous les pays, mérite compliment collectif. Par contre, de croire que l'état actuel d'inégalités galopantes, de mensonges caracolant, ne peut perdurer autrement que par la désinformation et l'intox (quelque chose comme la démagogie, en fait) c'est se montrer particulièrement illuminé. Si le vocable de démagogie devait persister il serait défini comme suit : qui disqualifie celui qui l'emploie. Dans le cas contraire, ce serait une des plus belles félicitations qui existât.,
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En effet, inverser le fanatique "Tout pour moi, rien pour les autres", ou bien même tout pour nous (la minuscule minorité irrationnelle des capitalistes) et rien pour les autres, en le bénéfique "Tout pour les autres, rien pour nous" appelle à quelque sympathie.
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En effet, passer son temps à l'amélioration du collectif, de l'intérêt général, sans rien attendre pour soi que cette seule amélioration du collectif, appelle à quelque désir d'imitation.
En effet, conserver le bon sens de savoir qu'un partage universel demeure toujours possible, que l'encre de seiche des fanatiques capitalistes sème, peut-être, la confusion temporaire, mais, en aucune façon, n'en extrait l'inéluctable possibilité, appelle à quelque affection.
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En effet, prendre soin du Peuple tout simplement parce que nous y séjournons, en aucun cas, ne correspond à la délinquante définition de le tromper…etc. (tel que vous le trouvez dans les écrits donc stipendiés) mais est, bien au contraire, lui ouvrir les yeux, appelle à quelque solidarité.
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Aimer le Peuple ce n'est sûrement pas le fourvoyer.
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Et de poursuivre, ainsi très longtemps, cette nouvelle liste de constats…conduit à se préoccuper du final.
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Pour terminer, la meilleure fin reste celle qui donne raison au contradicteur mais en affinant ses définitions. Nous venons de voir, adoptant sa définition, que les démagos ne sont pas du tout ceux que l'on croit. Nous pourrions opérer autre inversion en profilant "démagogique" tout ce qui ne court pas dans la direction de punir sans cesse le peuple, de le dévaloriser encore plus, de l'affubler (sans aucune démonstration scientifique) de tous les maux et méfaits tout en, simultanément, le plumant toujours plus et l'arnaquant encore mieux. Tout ce qui refuse de ne redistribuer illégitimement que le strict "minimum" lorsque ce minimum l'est tellement qu'il porte atteinte à la simple dignité humaine. Comme les trop honteux "minimas sociaux". Reste démago. Se profile "non démagogue" qui ne trouve "rien d'impossible" à augmenter plus que très sérieusement les ressources des pauvres. Tandis que, tout au contraire se profile que qui menace, sans cesse, de la soi-disant insulte "démago", prouve, par là, qu'il vit sur le dos du peuple, tout en ayant l'extrême impudeur de lui donner des leçons. Vous savez ces "règles du jeu" toujours bien inconnues, surtout si nous ne "jouons" pas, que ceux qui les édictent pour les autres, ne les suivent jamais eux-mêmes. La définition qui réhabilite ferait du "démago" l'ami du peuple et que qui dénonce, sans arrêt, de démagogie se démasque comme ennemi de ce même peuple. Ainsi se prononce la nouvelle définition.
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Qu'y a-t-il de vraiment plus passionnant que d'inverser les inversions ?
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…………………….Et de remettre la réalité sur ses deux pieds ?
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………………………Dont un va botter le cul du capitalisme !!!
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
(à suivre)
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et"L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie", onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, LE ROMAN DE L’ÉCONOMIE, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 3 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
14 pays africains paient encore un impôt colonial à la France – l’aide est inversée c’est le Sud qui donne au Nord. Non l’inverse…
pourquoi et par qui l’Afrique si riche est autant appauvrie… ?
flagrants délits sur qui pille le monde ?
Pourquoi les statistiques sur l’Afrique sont fausses ? Par exemple, pour démoraliser les Africains et les faire fuir afin que des prédateurs se précipitent sur les 30 millions d km² si riches...en les prétendant si pauvres… .. Aussi, tous les discours tenus sur l'Afrique sont fondés sur des données statistiques totalement fausses. (...) Cette illusion perdure parce qu'elle arrange beaucoup de monde. Les économistes (occidentaux) du développement, qui ont passé leur carrière à analyser les différences de parcours et expliquer le sous-développement africain, n'ont pas tellement envie de reconnaître que tous leurs travaux n'ont été en fait que du commentaire de bruit statistique. Les gouvernements bénéficiaires de l'aide internationale n'ont pas tellement envie de reconnaître que leur pays est plus prospère qu'on le croyait, car cela risquerait de réduire des flux d'aide importants pour le budget de l'Etat; Les organismes donateurs n'ont pas très envie de reconnaître que leurs décisions d'allocation de l'aide internationale ont été fondées sur des statistiques totalement fausses . Etc.
si l’Afrique est un eldorado c’est DONC pour le voler aux africains…
si l’Afrique est l’avenir du monde le monde n’est pas celui de l’Afrique – pourquoi alors ce plus 100 millions de pauvres en 25 ans (le seul cadeau du monde) ? Il y a 2 discours et 2 parties d’une réalité que les cupides ne veulent pas que nous les fassions se rencontrer…nous le faisons.
et son argent sale...