Lorsque l’image nous sépare de l’essentiel ?
Ce qu’on ne voit pas ( par exemple…les coûts cachés des profits) – face à l’image – n’existe pas…car l’image peut montrer un billet – mais ne peut montrer les dégâts créés par le billet, dégâts qui se superposent, s’entrelacent et s’accumulent, mêlés dans la durée (donc vraiment difficile à percevoir). Prise en très flagrant délit - l’image simplifie à l’extrême, rend idiot de sidération, nous fait satisfaits de toujours moins, sans exigences autres que d’imposer son seul égoïsme. Oui, devenus incapables de raisonnements et de réflexions approfondies… ce qu’on ne voit pas n’existe tout simplement pas. Alors que ce qu’on ne voit pas représente bien la plus grande partie de la SOLUTION à tous les problèmes…et de loin. «Croire» aux images c’est donc s’empêtrer dans toujours plus de problèmes sans solutions !!!
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Il se trouve que l’actualité (la vraie - pas celle des médias mercenaires) nous offre des illustrations de ces flagrantes impasses des images. De quoi apprendre sur le tas. Parce que non - l’image n’est pas notre amie. Toujours à la limite du trompe l’œil, elle trompe, aussi, par les « montages » calculés où elle perd tout contexte. Donc peut dire jusqu’à l’inverse de sa véracité. Ce en quoi elle perd tout sens fiable. Enfin, parce qu’elle sait se faufiler dans les faiblesses de notre cerveau et en profiter – ce qui ne la grandit pas, loin de là...Il n’est que de se permettre de visiter quelques exemples pour s’en ®assurer.
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Tout déjà, la dénaturation possible de nos regards qui peut tirer toutes les présentations en ligne (ou ailleurs) vers le papier glacé ou bien les mises en page qui demandent beaucoup de matériel, d’argent ou de connaissances. Et, qu’ensuite, nous l’exigions (sans y penser) comme le modèle qui s’impose partout. Écrasant – ainsi - les petits moyens par la déqualification et disqualification de leurs œuvres. Sans un regard ni un mot sur le contenu et la profondeur. Non par la seule frivole présentation ! Surtout si présentées gratuitement – oui il faut réclamer plus fort encore. Alignez-vous à vider tout contenu, à saboter les raisonnements, à emplir de mots creux - mais sur papier…glaçant. Tout ceci, alors, qu’au fond de nous, nous savons que les meilleures revues n’ont pas le clinquant du tape à l’œil (mot peu attentionné ni donc très obligeant que ce qui tape, le tapeur, le tape-dur…)… mais un contenu qui a du répondant. Le papier glacé à la longue ça glace. Le trop léché nous dénude l’argent tout derrière qui se pourlèche. Bref, l’image se dandine, souvent comme un véritable piège…
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Acceptons (…afin d’ échapper au piège) le point de vue de Pierre Pachet, page 150 du « Le premier venu – Essai sur la politique baudelairienne, 1976… « « Tout voir », et donc n’être pas vu comme appartenant à ce tout, ou au contraire se réduire à n’être qu’un élément parmi d’autres ; voir l’arabesque du contour, et donc dénier aux individualités marginales le droit d’exister en tant que telles dans le dessin général. Tout se passe comme s’il n’y avait pas assez de places individuelles pour toutes les individualités coexistantes, ce qui donne paradoxalement mais logiquement au quantificateur « tout » une signification d’exclusion (de « sacrifice »). » Tout cela ne vient que de l’image – où il n’y pas assez de place pour tout le monde - et non de la réalité vraie : où, bien au contraire – il y a assez de place pour tellement plus d’êtres, et chacun-e, de plus, augmente l’espace collectif. Seulement les « devenus aliénés » qui sont « sur » l’image ont complètement perverti tout. Délirant grave que si vous n’êtes pas « dans » les médias vous ne…vivez pas du tout…allons bon ! sûr que ce n’est pas perdre sa vie que de la vendre pour une « image » vide ? Mazette – le « spectacle » ne valait même pas le dérangement…
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Oui il est devenu possible de « tout comprendre par mise en enfilade »…rencontre magique de toutes les données se frottant comme des allumettes…seulement – c’est une construction intérieure qui s’est faite dès le commencement de la vie !!! Des efforts encore des efforts oui cela rend fort…ainsi, tous les « exclus » de la culture se comprennent par un grave défaut du regard des inclus…C’est bien à cause de l’image, seule, qu’il y a ces exclusions. Effets très pervers !!! Et ces prétendus inclus ( aux comportements qui leur devient, même à eux-mêmes, étrangers !) n’ont pas des places qui seraient enviables du tout et personne de « sensé » (…usant de tous ses sens) ne les avait jamais enviées. Seulement ils occupent (quasi militairement) un espace non disponible ( de ce fait) pour l’essentiel. Pareil pour l’enrichissement : c’est un effet de « système » non d’intelligence personnelle. N’importe qui, premier ou dernier venu, même un orang-outan peut venir à sa place pour le « même » enrichissement – résultats restant neutres et identiques. C’est le système social tout entier qui produit ces effets. Non une personne.
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Et sachant ceci – tout va ricocher… « la photographie préjuge de la signification du réel, elle tient pour acquis le fait qu’un sens spontanément s’y montre. En définitive, il faut expliquer au lecteur ce qu’il voit lorsqu’il trouve dans le journal ces clichés censés le porter au plus prés du réel, il faut lui indiquer la manière de les comprendre (p. 64 – Frédéric Tellier – La société et son double, Juin 2003). » Ce pourquoi, d’ailleurs, Walter Benjamin disait « la légende est devenue pour la première fois nécessaire ». L’image du « spectacle » ne parle pas d’elle-même : il faut lui mettre des sous-titres. Ce qui renforce son artificialité. Et rend l’écrit tellement plus, oui tellement plus … « imagé » ! Voilà qui décape, fermement, tous les préjugés…
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Lorsque chaque fin de spectacle « réintroduit entre les acteurs sociaux les distances que l’espace que la représentation avait su abolir – obligeant, ainsi, classes et ordres distincts à se voir, à se fréquenter, à avouer leur mésentente » (p. 71 – ibidem). L’image qui parait rassembler dans le très même espace, sur le même fond, tout ce qui, dans la vie de tous les jours, nous reste hors de portée, inaccessible, incompréhensible parce que tout éparpillé, presque dilué dans l’impénétrable – va provoquer au final, les plus fortes séparations !!!
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Lorsque l’image nous égare mais à un point…
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1 - )
D’où victoires (espérons-le peu temporaires) des… « bloqueurs de publicité » !!! Assainir les effets parasitaires, contagieux, destructeurs et antisociaux des images. Bloqueurs qui n’auraient pas besoin de réagir si ces images n’étaient pas…interruptives et envahissantes, déloyales et sans gêne, dupeuses et fuyantes, etc. Comme une illégale armée d’occupation appuyée sur des collabos…
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http://www.courrierinternational.com/article/medias-les-bloqueurs-de-pub-ont-le-vent-en-poupe
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2 - )
Le climat ne doit pas changer mais…nous oui. La COP 21 du climat (comme le si mal venu « développement durable » qui aura causé tant de dommages à la planète…) génère (et en masse…) ses falsificateurs. Ses traitres par l’image. Et ses escrocs d’intentions…ils persistent à croire que « tout est dans l’image » (donc fabriquée, trafiquées et manipulée) : ainsi, « l’agriculture climato-intelligente » va-t-elle, triomphalement, remplacer le plus qu’hypocrite « développement durable » (qui n’est même pas « soutenable » - c’est tout dire) ? Ce qui n’empêche pas que ce soit toujours l’agriculture intensive très nuisible à la planète et au climat. Rien ne change, que l’image. Que, dans ces moments, l’on aimerait que la majorité de nos contemporains ne soit pas addictive à l’image. Le texte la supplante toujours si largement dès qu’il s’agit de comprendre les envers des décors. Décors si bien dénommés qui ne font que créer une…illusion de réalité, un fond artificiel se faisant passer pour du solide concret.
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http://re-informe.com/quand-les-multinationales-de-lagrobusiness-sachetent-une-vertu-climatique/
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« Chez les associations de solidarité internationale, paysannes, environnementales et altermondialistes, la réaction a été unanime : le concept a suscité un tollé. « Atténuation, adaptation, productivité, ce n’est qu’une partie de l’agriculture, soupire Katia Roesch, chargée de mission climat chez Agronomes et vétérinaires sans frontières. On oublie tous les effets sociaux : quel est l’impact de la climate smart agriculture sur l’environnement, l’emploi rural, l’accès au foncier ? ». L’image vole bien toute la réalité. Bloque tous les accès au réel…et fait « oublier » toujours le plus…important.
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Autre critique, l’agriculture climato-intelligente « ne prend pas en compte les différences d’impact entre les systèmes agricoles », regrette Jeanne-Maureen Jorand, du CCFD-Terres Solidaires.« La climate smart agriculture ne remet pas en cause toute une orientation de l’agriculture, confirme Materne Maetz. Chez nous c’est l’intensification, dans les pays du Sud c’est la Révolution verte avec l’irrigation et l’utilisation d’intrants chimiques, qui ont entraîné la dégradation des sols et la pollution de l’eau. » L’image sépare même de toute compréhension de la réalité. Ce qui parait extrêmement grave !!!
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Pourtant, « il faut faire un choix, poursuit Peggy Pascal. Un choix certes difficile, car cela conduit à changer radicalement les politiques agricoles. » Or quel pays serait prêt à sortir du modèle agricole productiviste ? » Ceux qui auraient commencé une politique contre l’image. Car que voyons-nous ? Des grands organismes qui détruisent la planète dévaliser encore plus la vie naturelle pour se faire « une image » qui « prouverait » l’inverse. Et tout ceci, non pas en pensant aux autres, à l’intérêt général – non, uniquement à « son » image. A un enfermement égoïste très grave (que l’image a tout créé). Puisque ce n’est plus la réalité qui compte, c’est son image. Psychotisation généralisée de la société. Dans l’écrit ou la parole cela ne se passe pas du tout ainsi…il y a des anticorps qui permettent de résister. Résister contre la catastrophe climatique (et ce qui la provoque) c’est, en tout premier, remettre l’image…à sa place. Qu’elle ne la prenne pas toute et soit traitée comme un phénomène dangereux. Dont il faut se méfier en prenant des mesures pour…
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« En face, les associations dénoncent de « fausses solutions » imposées d’en-haut. « Ils veulent appliquer les mêmes technologies partout dans le monde, alors que nous défendons justement la diversité des agricultures paysannes », conteste Josie Riffaud, paysanne en charge du dossier climat à la Confédération paysanne. » Le bon sens l’emportera-t-il face aux intoxiqués graves à l’image ?
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3- )
Dans la poursuite de cette idée où l’image, sans mode d’emploi, nous égare. Parfois plus que gravement. Une information sur l’effet placebo : où plus le médicament est cher plus il est…efficace. Ici, c’est l’irruption de l’imagerie sociale. Des valeurs qui schintent notre esprit critique dans le sens du glissement irrationnel plus cher = plus sérieux, plus cher = plus soigné, plus cher = plus fini, plus cher = plus agissant, etc …où des images qui n’ont strictement rien à voir – vont s’accoler à la valeur monétaire. Faire dériver la boussole. Et faire perdre toute orientation…raisonnable. Et l’escalier roulant des valences (la mathématique des valeurs) d’aller en sens inverse… moins cher- moins sérieux, moins cher- moins plus soigné, moins plus cher- moins plus fini, moins plus cher- moins agissant, etc. . Tout à fait irrationnel. Autant le langage nous ancre dans le réel rationnel – autant l’image peut (ce qui ne veut pas dire qu’elle le fasse tout le temps) nous faire glisser, dangereusement, vers l’irrationnel. Et le manipulé. L’image est un facteur d’égarement. Dont il faut doser les limites d’utilisation.
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http://re-informe.com/effet-placebo-plus-un-traitement-est-cher-plus-il-est-efficace/
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4 - )
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Autre aspect de ces très graves illusions - tout ce qui est essentiel pour notre vie quotidienne n’a que rarement son ÉQUIVALENT image. Et donc cette falsification généralisée où l’image pavlovise la pensée (on nous clique une image = on croit capter un sens) obtient que passent à la trappe toute les informations reposant sur une démonstration. L’image infantilise la société – vole les cerveaux et opère de visibles décérébrations.. Il faut sortir, et vite, de la prétendue « évidence » imagé – et revenir à la nécessité de prononcer au moins trois phases – pour « commencer » à parler du réel.. Et, ainsi, le fait que le pourcentage de la masse salariale a encore baissé – va se voir, instantanément, relié au non partage des plus-values, aux délires abusifs des actionnaires, au poids dans l’ombre des propagandes, etc. Et non plus tomber dans le vide indifférent de l’image. Là, masse salariale ? Tilt ?. Le travail qui crée toute la valeur est encore spolié. Et que la rente improductive, prédatrice et parasite enfle encore. Ce qui met le futur collectif en danger…Sans l’excès débordant d’images – ce genre d’information trouverait un écho immédiat en nous…RAREMENT allons-nous soigner à la valeur invisible ?
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http://re-informe.com/la-masse-salariale-chute-de-facon-historique/
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5 - )
L’impérialisme c’est surtout par l’image – qui coupe la parole, qui empêche de réfléchir, qui fait sans cesse irruption voyou sans respect d’aucun être humain – un peu comme un rouleau compresseur qui voudrait installer le règne des machines, machinations, corps machinaux et machins sans plus d’identités intérieures. Bref, l’image est une guerre permanente et sans gilet pare-images nous pouvons recevoir des blessures qui mettront des années pour cicatriser
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A chaque situation dramatique – sûr de débusquer l’image semant tout ses cercles vicieux !
http://www.mondialisation.ca/elections-en-grece-lemprise-de-limage/5482113
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Après l’irruption en force de la prise de conscience que rien d’essentiel n’a encore été dit, tant la découverte de l’image telle qu’en elle même nous sidère, nous pouvons ouvrir les premiers pas de NOUVEAUX CHAMPS de savoirs. Les axiomes pourront en être :
**** - L’image nous sépare de la réalité et des autres.
**** - Croire que voir l’image c’est entrer dans toute la réalité et la…comprendre (sans autre effort) est un égarement mental très dommageable.
**** - le concept de « société du spectacle » doit donc être affiné et changé en celui de « société de la séparation par l’image »
**** - une fois pour toutes - Afin de comprendre il s’agit de construire un raisonnement, une structure intellectuelle complète. Visitable par n’importe qui. Et non de seulement dégainer une image jamais neutre.
**** - La réalité n’a jamais été une image puisqu’elle les est toutes à la fois – jusqu’à leur effacement. Les mots demeurent les outils qui nous rapprochent le plus du réel.
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6 - )
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Pour terminer ce périple si instructif – l’introduction à la vidéo jointe de Basquiat - Son objet est de combattre le sophisme économique de la « vitre cassée », selon lequel le bris d'une vitre se ferait au bénéfice de l'intérêt général, en ce qu'elle donne du travail au vitrier et provoque ainsi une réaction en chaîne vertueuse. Ce sophisme et ses corollaires, participe de l'ignorance économique qui, à la fois, favorise l'application de politiques financièrement et humainement coûteuses et laisse le champ libre aux démagogues (les capitalistes) pour traiter les questions économiques. Et nous sommes en plein dans la découverte des « épidémies d’images » où toute l’imagerie sociale se voit infectée par des impossibilités logiques flagrantes.
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Entre - l’image pour faire diversions clignotantes, afin de nous détourner des priorités et, l’imagerie sociale où il n’est jamais parlé de l’essentiel – non convertible en…images…nous pressentons, soudain, tous les dangers….
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Ce qui aura été, aussi, le sort de la si fausse « main invisible des marchés » alors que son concepteur, Adam Smith, a toujours été un ennemi farouche des financiers et des…marchés. Ce n’est certainement pas pour en faire l’éloge, à eux dont il clarifiait que le slogan est « tout pour moi et rien pour les autres » . Aucune haute pensée de « main invisible » là dedans donc. Que de la bassesse sans…pensée. Cette image apparait une fois à la fin d’une longue démonstration sur la division et le partage du travail. Chacun y trouve son intérêt. Puisque enfermés dans vouloir tout faire par soi-même rend la vie si dure. Et, là, sans qu’aucun métier ne le fasse en pensant à notre bien être – mais au sien seul, la poursuite de l’intérêt particulier va aboutir aux bénéfices collectifs de cette division du travail. Un peu comme si une main invisible opérait. Sa démonstration claire aura donc été spoliée et gravement dénaturée par le …vol de l’image !!!
L’image sans source, sans histoire, sans raisonnement, sans raison ni rien d’autre que son apparition – peut parvenir à dire donc l’exact inverse de ce qu’elle dit. Il s’agit de toujours la traiter en adversaire imprévisible et sans rien d’humain…
…………Et, en dernier ressort, toujours préférer les mots !!!
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
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Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
(à suivre)
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et"L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie", onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, LE ROMAN DE L’ÉCONOMIE, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 3 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
VOIR EN 6) - de l'article...ce qu’on ne voit pas ( par exemple…les coûts cachés des profits) – face à l’image – n’existe pas…car l’image peut montrer un billet – mais ne peut montrer les dégâts qui se superposent, s’entrelacent et s’accumulent, mêlés, dans la durée (donc vraiment difficile à voir). Prise en flagrant délit - l’image simplifie trop, rend idiot, satisfait de toujours moins, sans exigences autres que d’imposer son égoïsme. Oui, devenus incapables de raisonnements et de réflexions approfondies…ce qu’on ne voit pas est donc bien la plus grande partie de la SOLUTION aux problèmes…et de loin. «Croire» aux images c’est donc s’empêtrer dans toujours plus de problèmes sans solutions !!!
et si nous perdions tout cea juste à cause des... images ?
pourquoi ne pas toujours préférer la réalité à son image ?