L’imagerie sociale (1/2)

Publié le par imagiter.over-blog.com

L’imagerie sociale (1/2)

La problématique c’est notre immense difficulté à digérer que nous sommes des produits sociaux. Tout issus d’une construction complète de la société. La construction de la réalité. Ce qui nous fait rater le lieu même où nous pouvons agir : l’imagerie sociale. Comment se construisent les images qui font consensus ? Celles que – malgré nous – nous arrivons à considérer comme…allant de soi. Aller de soi n’est-ce pas là un vocable de robot qui marche tout seul, une expression qui ne reflète aucune intervention de notre part ? L’imagerie sociale ? Afin, surtout, de découvrir comment redevenir maitres de nos propres vies.

Mais, tout d’abord, en préambule un bref regard sur la cuisine de l’imagerie. Comment cela se mitonne…

Le monde de la vie quotidienne ? Celui-ci est perçu par l'individu qui s'y meut comme certain (je puis difficilement douter de sa réalité), sensé (je comprends ce qui s'y passe) et intersubjectif (je le partage avec d'autres). La connaissance de ce monde se base sur des schémas de pensée (ou « typifications ») qui permettent de prévoir un certain type de comportement. Par exemple, la triple typification « jeune étudiant américain » me permet, si je rencontre une personne y correspondant, d'anticiper ses comportements et de savoir comment adapter les miens. Le langage est le principal moyen de partager et de transmettre ces typifications. Ces éléments permettent une description dialectique de la construction sociale de la réalité qui capitalise notamment les apports de Max Weber (les faits sociaux ont un sens subjectif), Emile Durkheim (les faits sociaux sont des choses) et Karl Marx (l'homme produit le monde qui le produit). Elle se résume en une formule synthétique : « La société est une production humaine. La société est une réalité objective. L'homme est une production sociale. » De lui-même – en toute dernière analyse.

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Ce résumé incisif nous approche de ce qui nous répugne fortement : de comprendre que nous puissions être une…production sociale. Cependant, la pleine conscience du processus permet d’y échapper. Ainsi de nous rendre compte que l'activité humaine est marquée par la «routinisation». Qu’elle tend à se perpétuer et à se spécialiser en un système de rôles (on ne réinvente pas tous les jours les rôles familiaux ou les manières de rendre la justice). Nous sommes les …enfants de nos propres activités et pensées qui nous…perpétuent à nous-mêmes. Mais – nous pouvons apprendre à ne « jouer » aucun rôle : « n’avoir » rie à prouver ni montrer. Juste…être… Berger et Luckmann ( dans leur livre « La Construction sociale de la réalité », 1997) nomment ce processus mécanique « institutionnalisation », entendu comme une « typification réciproque d'actions habituelles ». Si les individus qui ont créé une institution y voient encore la trace de leur activité, les générations suivantes la perçoivent comme inhérente à la nature des choses. Et c’est, là, le très grand danger. Auquel les vrais écrivains veillent, en général. Pourchassés donc par toutes les…routines.et paresses institutionnelles. La société est mille fois plus fainéante que les individus qu’elle se permet de houspiller…

Poursuivons. Ce monde social objectivé est doté de sens par le langage (nommer les choses, c'est déjà légitimer leur existence), les proverbes (du type « le temps, c'est de l'argent ») ou encore les « univers symboliques » (religion, science, mythologie), qui fournissent une explication générale du monde. C'est essentiellement au cours de l'enfance que cette légitimation est incorporée. Qu’elle entre par chacune des parcelles de nos corps. Ou n’y…parviennent pas entièrement. Instinct oblige…La socialisation primaire est réussie quand l'enfant généralise les attentes de ses proches (« maman veut que je sois présentable pour sortir ») et les étend à l'ensemble de la société, que symbolise le « on » : on doit être présentable pour sortir. Cet enfant produira à son tour le monde qui produira les hommes, dans un processus sans fin.

http://www.scienceshumaines.com/la-construction-sociale-de-la-realite_fr_13014.html

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Clairement introduits dans cette mécanique permanente qui fonctionne d’autant plus que nous n’en n’avons pas conscience – quels sont les éléments, à notre portée, qui nous permettent d’infléchir l’emprise de la société sur nous?

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La démarche sociologique nous est, ici, d’un grand secours. Voici de brefs extraits d’une méthodologie d’approche afin de se constituer des matériaux bruts. A théoriser ensuite…

Représentation sociale et imagerie mentale du monde de l’entreprise

« Rappelons tout d’abord que selon l’approche structurale des représentations (Abric, 1976, 1994), ces dernières seraient organisées selon un double système. Le système « central », constitué de cognitions relativement abstraites (Moliner, 1988), et consensuelles, aurait pour fonction première de déterminer la signification globale d’une représentation. Le système « périphérique » serait, quant à lui, constitué d’éléments beaucoup plus concrets, renvoyant aux expériences et aux pratiques individuelles relatives à l’objet. On dispose aujourd’hui de nombreux travaux confortant la validité de cette approche théorique (Moliner, 1989, 1993, Rateau, 1995, Abric et Tafani, 1995). Par ailleurs, on a pu montrer que les éléments centraux se distinguaient par leur fort pouvoir associatif. La méthode des Schèmes Cognitif de Base montre, en effet, que les liens associatifs entre des éléments centraux et d’autres éléments d’une représentation sont nombreux et variés (Guimelli et Rouquette, 1992). Enfin, des travaux plus récents suggèrent que les cognitions centrales seraient davantage polysémiques que les cognitions périphériques (Moliner et Martos, 2005). En d’autres termes, en raison de leur polysémie, les éléments centraux auraient la propriété d’évoquer de nombreuses significations.

A partir de ces considérations, si l’on suppose que les représentations sociales jouent, dans l’élaboration et l’interprétation des images, un rôle comparable à celui des récits mythiques, on doit faire l’hypothèse que comme eux, elles réalisent des associations figure / signification. Cela signifie donc que, parmi les éléments qui constituent une représentation, on devrait rencontrer, comme dans les discours mythiques, des éléments à forte capacité d’imagerie mentale. C’est pour tester cette hypothèse que nous avons réalisé l’expérience qui suit.

Matériel, procédure et hypothèses

Pour cette expérience, nous avons utilisé un matériel lexical extrait des recherches sur la représentation du monde de l’entreprise chez des étudiants (Moliner, 1993, 1996). Nous avons ainsi sélectionné trois mots désignant des éléments périphériques de cette représentation (emploi, organisation et production), et quatre mots désignant des éléments centraux (concurrence, économie, patron et profit). La procédure consistait à présenter ces mots à des sujets comparables à ceux des études antérieures. On indiquait que l’expérience concernait le « monde de l’entreprise », et on leur lisait chacun des 7 mots. Après l’audition de chaque mot, on demandait aux participants d’indiquer l’image mentale qui leur venait à l’esprit. Les 30 participants à l’expérience étaient interrogés individuellement.

Puisque les éléments périphériques correspondent à des expériences individuelles, on s’attendait à ce que l’imagerie qu’ils génèrent soit disparate d’un individu à l’autre. Au contraire, on s’attendait à ce que les éléments centraux génèrent une imagerie mentale plus consensuelle.

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D’autre part, puisque ce sont les éléments centraux qui structurent les représentations, on s’attendait à rencontrer des éléments centraux figuratifs, à forte capacité d’imagerie et des éléments centraux informatifs, à faible capacité d’imagerie mentale.

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Résultats

Les 210 réponses obtenues ont fait l’objet d’une analyse de contenu faisant apparaître sept catégories. Le tableau 1 présente, pour chaque catégorie, des exemples de réponses ainsi que le nombre de réponses obtenues. Notre analyse fait apparaître cinq types d’images mentales et une catégorie de réponses ne correspondant pas à des images mentales. Dans cette catégorie « autre » (22 % des réponses), nous avons regroupé les réponses qui n’indiquaient pas explicitement une image concrète (ex : système, relations publiques, hiérarchie), ainsi que les non réponses.

Au total 163 images mentales ont été identifiées. La première catégorie d’images regroupe des images d’objets ou de lieux (45 % du total des images recueillies), la seconde regroupe des images de personnes (18 %), la troisième rassemble des images de lieux de travail (15 %), la quatrième correspond à des dessins ou des représentations graphiques (12 %). Enfin la dernière catégorie d’images regroupe des situations, c’est-à-dire des images de personnes en action (11 %). »

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……………………………..%%%%%%%%%%%%%%%sur la s

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La dispersion mentale que peut introduire ce genre d’écrits ne peut persister que si nous n’avons aucun but qui subsume l’ensemble. Oui s’élève au dessus du magma impraticable. Que pouvons-nous, concrètement, faire ? Armés de toutes ces données structurées et structurantes, nous pouvons nous extirper de ces mécanisations outrancières de nos vies. Nous avons l’héritage de tous les combattants de l’image (iconoclastes, poètes rebelles, Marx, situationnistes, etc) pour avoir compris que c’est « par » l’image que nous sommes séparés les uns des autres. Et de nous-mêmes : ceci étant l’aliénation sociale. Mais que, grâce à de nombreuses techniques, nous pouvons nous éloigner de ces emprises. Et ne plus les laisser nous mettre la main…dessus…dessus ? Ce qui présuppose que nous serions…dessous. Demeurons toujours au-dessus de nous mêmes !!!

L’examen de quelques propriétés des images visuelles, des images mentales et de leur rapport au langage aura conduit à s’intéresser au discours mythique comme illustration des associations entre figure et signification. Cette analyse est transférée, au cas de la représentation sociale du monde de l’Entreprise, abordée sous l’angle de l’approche structurale. Une étude expérimentale montre, dès lors, que les éléments de cette représentation peuvent générer de l’imagerie mentale et que c’est parmi les éléments centraux que l’on rencontre ceux qui génèrent l’imagerie la plus consensuelle. On s’interroge enfin sur les propriétés de l’iconographie lorsqu’elle s’intègre dans des stratégies de diffusion, de propagation ou de propagande.

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http://www.imagiter.fr/2015/10/lorsque-l-image-nous-separe-de-l-essentiel.html

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Ce précédent article illustre notre méthode centrale. Celle d’investigation de toute la réalité. Et – article après article – prouver d’une libération complète des chaines du présent…soit – à chaque fois – nous surlignons des solutions adaptées. Ce qui devient plutôt rare dans cette époque – de préférer les solutions aux problèmes. Seulement nous n’en présentons pas la synthèse. Nous n’avons pas à nourrir ce système. Mais à l’abolir. Comme nous le verrons dans la partie (2) de cet article.

Pour le moment nous devons terminer la récollection des faits et compréhensions qui vont finaliser notre entière libération.

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La notion de « construction sociale » mériterait davantage d’attention. « C’est ce que Marc Loriol cherche à démontrer dans l’ouvrage issu de son habilitation à diriger des recherches soutenue en 2010. Les phénomènes que les sciences sociales se donnent pour but de comprendre ou d’expliquer sont souvent dénommés « constructions sociales » sans que la notion ne soit vraiment ni développée, ni explicitée. Celle-ci s’impose d’ailleurs d’autant plus et mieux qu’elle est stabilisée, aboutie et ne fait plus l'objet de remises en cause. Un travail de genèse est alors nécessaire pour faire apparaître, grâce à l’histoire, une réalité qui n’est pas intangible. Mais une contrainte qui peut être dépassée. Parmi les exemples qui servent sa démonstration, Marc Loriol puise dans ses recherches antérieures sur la fatigue et explique ainsi que « la question n’est pas de savoir si la ‟mauvaise fatigue” existe comme entité propre […] mais de comprendre […] comment cette distinction est posée, quel sens elle prend et quelle conséquence elle semble avoir sur l’expérience sociale et la prise en charge de la fatigue » (p. 13). La reconnaissance des entités permettant de saisir la santé mentale au travail n’est donc pas en soi un donné. Il s’agit d’un acquis qui émerge d’un contexte favorable ou se conquiert parfois à l’issue d’une lutte acharnée dont le résultat dépend d’un rapport de force à un moment donné entre les différents acteurs mobilisés.

Le premier chapitre propose un état de l’art sur les espaces du constructivisme. Il part des détracteurs du constructivisme, parfois associé au relativisme ou subjectivisme, pour établir une typologie des différentes approches (allant du constructivisme radical à modéré). Il s’appuie sur l’exemple du stress pour montrer que ce sont moins les dimensions biologiques que les interactions avec les représentations sociales que la notion véhicule qui sont centrales avec ce type d’approche. Selon Marc Loriol, la notion de construction « permet de montrer comment les représentations sociales, les rhétoriques professionnelles, les ‟images” du travail, se concrétisent ou non ; de mettre au jour les stratégies des différents acteurs, les négociations et les compromis, les conditions organisationnelles qui permettent de faire exister, au moins partiellement, ces représentations » (p. 33). En exposant le modèle de construction des revendications et problèmes publics en trois étapes (« naming, blaming and claiming », Felstiner, Abel & Soret, 1980), l’auteur montre comment la définition première s’incarne ensuite par le biais d’un étiquetage, diagnostic ou autre et produit des effets (sur la façon dont les malades sont traités selon que leur affection est reconnue ou pas comme une TMS par exemple). S’interroger sur la notion de construction du social revient à comprendre comment une définition s’impose au détriment d’une autre (Gusfield, 1981 ; Gilbert & Henry, 2009) : le processus d’émergence et de reconnaissance de la santé mentale au travail (les risques psycho-sociaux notamment) en est un bon exemple et fait l’objet du deuxième chapitre.

La deuxième chapitre utilise la notion de construction sociale pour traiter la reconnaissance des entités cliniques en santé mentale au travail (fatigue, stress, burn out…). La définition de ces entités n’étant pas stabilisée, un travail de reconnaissance par ceux que Marc Loriol appelle les « entrepreneurs de cause» (p. 79) est en cours. Les différents acteurs du champ des risques psycho-sociaux au travail s’opposent pour qu’une entité plutôt qu’une autre puisse émerger, ils se confrontent pour imposer leur propre lecture d’une catégorie comme le stress ou la fatigue, chaque approche proposant une définition, des cibles et des méthodes différentes. Le résultat des actions et positions d’acteurs qui s’accordent ou s’opposent est donc variable : mise sur agenda ou au rebut d’un problème public, émergence d’une notion, médiatisation ou passage sous silence d’une maladie…

Le troisième et dernier chapitre s’intéresse à la catégorisation des usagers dans les politiques publiques. Cela implique de s’interroger sur la façon dont l’étiquetage interagit avec l’expérience des acteurs concernés, avec les politiques publiques produites, avec la transformation des groupes professionnels impliqués : dans ce cas, le dernier chapitre montre comment les perceptions se modifient en même temps que les catégorisations. À mesure que les agents en contact avec du public cherchent à façonner les usagers, ils forgent, donnent, maintiennent un sens à leur activité professionnelle. Ainsi la définition de « bons » et « mauvais » usagers par les infirmières comme les policiers permet d’étudier le sens et les enjeux de ces catégorisations dans les pratiques quotidiennes. La rhétorique de l’usager renvoie ainsi à un idéal professionnel pour les salariés qui cherchent à les positionner au sein des différentes catégories à leur disposition. Mais « les usagers ne restent pas nécessairement passifs face à cet étiquetage, ils peuvent chercher à lever le stigmate, à produire un travail sur eux-mêmes afin de tenter de gérer dans le sens qui leur convient mieux les impressions qu’ils produisent » (p. 164). (…) Cette approche s’accorde en ce sens très bien avec une sociologie des groupes professionnels puisqu’elle questionne à la fois les partitions de territoires entre segments professionnels plus ou moins concurrents, la légitimité et le contenu des tâches (parfois monopolistiques) attribués aux groupes professionnels étudiés, l’évaluation et la pratique réflexive par rapport à son activité de travail.

L’approche proposée par l’auteur implique une analyse processuelle et historique du social. Mais elle se veut surtout englobante, dépassant les clivages disciplinaires et les frontières en termes d’objet de recherche. Par ailleurs, l’un des apports principaux de l’ouvrage consiste à éviter les deux écueils du constructivisme, « on lui reproche parfois de ne se concentrer que sur les micro-processus interprétatifs, mais aussi en d’autres occasions de n’étudier que l’histoire des grandes catégories sans tenir compte de la façon dont les acteurs les mobilisent ou non concrètement » (p. 193). Par la mobilisation de la notion de construction sociale, le livre de Marc Loriol montre enfin tout l’intérêt qu’il y a à mêler les échelles d’analyse (micro, méso et macro). L’approche constructiviste est en effet élaborée de manière très riche et instructive dans la première partie de son ouvrage qui comporte de nombreuses références à des travaux anglo-saxons. Cette première partie trouve son application dans l’étude macro et méso des risques psycho-sociaux (deuxième partie) puis dans celle, plus micro, des métiers en contact avec du public et de la catégorisation des usagers (dernière partie du livre).

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Marc Loriol (2012), La Construction du social. Souffrance, travail et catégorisation des usagers dans l’action publique,

https://sociologie.revues.org/1576

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Rien absolument rien n’est joué. Des interventions, mêmes solitaires, peuvent obtenir avec la patience du temps, des impacts tout à fait incroyables. Si nous entrons dans l’image de la société comme la conduite d’un véhicule – ce serait alors comme si un coup de volant ingénieux pouvait faire changer de direction à la société. Le concret de cette immense montagne devient, ainsi, de ne pas quitter ce que cet article nous a permis de récolter.

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La certitude du lien indissoluble du langage comme transmetteur de l’imagerie sociale. Qui méconnait le pouvoir des mots est l’ennemi des autres.et de lui-même.

Apprenons donc à « imager » nos mentalités (les images mentales demeurent infiniment supérieures aux images de plastique de la propagande. La pensée ne se fait pas dans l’œil – illégalement bombardé par la propagande – mais avec tout le fonctionnement neuronal). Et les images que transportent les mots sont très fertiles – pas comme la stérilité pesante des images de plastique.

….Se rappeler, principalement, 3 pépites ici désincrustées de la grisaille…

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C’est l’étiquette, l’étiquetage de tout qui devient, ensuite, barricade afin de nous empêcher de vouloir changer ces mécanismes. De comprendre comment ça fonctionne. Et de le faire fonctionner complètement différemment…

L’étiquetage a un point fort et un point faible…

*** comment une définition s’impose au détriment d’une autre

*** les perceptions se modifient en même temps que les catégorisations

Ce point prétendu faible devient donc un point fort pour ,nous : là où l’effet de levier de la force mentale peut faire…

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……………………………………..basculer le système !!!

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Annexes : ce que l’on voudrait que nous ne sachions pas. Ou comment les mandarins universitaires en place occultent le réel savoir actuel :

http://mip-ms.cnam.fr/servlet/com.univ.collaboratif.utils.LectureFichiergw?ID_FICHIER=1295877017861

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http://www.paris-sorbonne.fr/article/les-limites-de-la-construction

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

(à suivre)

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" ou bien "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" et "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou, encore, "Présent !", onglet 3 "La diction du dictionnaire" ou comment rendre tous les mots physiques", et "Rien de plus solide que le solidaire", sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 3 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

L’imagerie sociale (1/2)
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V
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