La générosité des uns fait le bonheur des autres ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

La générosité des uns fait le bonheur des autres ?

Remettre les paroles à l’endroit ? La crasse morale, la corruption politique, des concepts antisociaux farouchement non universels, l’insensibilité à toute humanité, la sordidité comme philosophie et l’exclusion maximale comme pratique – ceci est le fait massif des dirigeants. Et de personne d’autre. Des nihilistes de la société, des destructeurs de la civilisation. Tout ce qu’ils disent est retenu contre eux. Ainsi se montre le début de la justice mondiale. Le moindre détail semble bien plaider contre eux. Mélanger qualité (bonheur) et quantité (fait le) sous-entend qu’il y aurait vase communiquant, équivalence de valeurs. Que cela passerait d’un récipient dans l’autre comme si tout était la même chose ? Or tout ceci reste antilogique, superbement non rationnel. Le bonheur des uns fait le bonheur des autres. Tout comme le malheur des uns fait le malheur des autres. Un qualité comme le bonheur reste inépuisable – il y a place pour tout le monde. Et même en multipliant par 7 ou 10 000 il en demeurera toujours assez de bonheur. Aucune inégalités dans les répartitions du bonheur…

Nous pouvons tout à fait sortir de la corruption des dirigeants sans aucun dommage.

…temps en effet d’inverser le diktat en « la générosité des uns fait le bonheur des autres ». Puisque – en aucun cas – le malheur des uns « ne peut » faire le bonheur des autres. Peut-être l’enrichissement, plus ou moins illicite. Peut-être le profit glacé et insensible. Encore, la glaciation des satisfactions sans joie…etc. Et pas plus. Quantité, que de crimes sont commis en ton nom. Car aucun malheur ne procure du bonheur. Qui reste, à jamais, pur et innocent. Et jamais aux dépens d’autrui. Puisque c’est une qualité inaltérable et non une quantité…

C’est donc d’un affaissement moral restreignant, malingrement, le bonheur qu’à du très matériel. Une unique quantité très limité. Le domaine trop fini des richesses issues de la corruption. Récupérer les biens des autres cela rendrait heureux. Hors de l’argent il n’y pas de vie. La vie n’a que de la monnaie dans les veines ? La Nature n’existe plus, ni l’univers, ni l’humanité. Rien. Le règne de tout nier, dit, aussi, du nihilisme anarchiste content de lui – c’est la vie inférieure des prétendus dominants. Eux seuls vivent en anarchistes – si personne ne voulait s’en rendre compte…. Mais, comment peuvent-ils être contents s’ils ne connaissent plus rien ? Que la réactivité brownienne descriptible ainsi. Et les autres ? Autres = à voir juste comme possibilité de pertes de ceux-ci. Je récupère tout. Je m’auto-hypnose à dire que je nage dans le bonheur. Sans me retourner sur ma vie d’une misère insupportable, oui ou non, ? Et qui procède à cette primitivisation de la vie sociale ? A cette régression pré-historique de la civilisation ? Sinon ces plus que répréhensibles prétendus dirigeants ? Avec eux, c’est sûr, nous retournons rapidement à l’âge des cavernes.

A nous, alors, de sortir, rapidement, d’une organisation sociale qui se résume en de telles impasses multipliées à l’infini. C’est indigne de tout le monde. Le faire délibérément, dans un autre contexte, pourrait, d’ailleurs, correspondre à une torture. Comment donc une telle torture pourrait être, alors, du bonheur ? Toutes les compréhensions se joignent dans le fait que le bonheur d’altitudes d’attitudes reste une qualité. Inépuisable. Le bonheur de chacun ne nuit à personne. La folie occidentale de « la quantité qui a pris toute la place » dans les cerveaux parvient donc à ceci. Si l’autre est heureux ma dose personnelle diminue. L’autre empiète sur ma part. Personne n’a le droit d’être heureux sauf moi. Sinon je casse en milles morceaux toute joie des autres (…fondation de la philosophie dite bourgeoise que cette destruction de tout bonheur autour de soi…). Le bonheur est juste cochonné comme un gâteau absurdement très limité, Faut que j’écrase toute le monde pour avoir la plus grande part. et autres délires graves, etc. Qui relève tous de la…psychose profonde. Sociopathies (… « la plus grande part du bonheur » n’existe pas…le bonheur subsume toutes les quantités…). Parvenir, ainsi, à un tel taux d’irrationalité, avoir contaminé sa raison dans l’insensé à 100 %, etc. - devrait conduire à des sursauts de santé. Tels. La pensée occidentale est vraiment folle : elle ne sait absolument pas…penser (…peser, mesurer, jauger). Elle nous conduit donc à la perdition collective. Faut en changer. Et à 100 %.

La générosité des uns fait le bonheur des autres

Les antipoisons seront…D’abord, retourner à la racine. Où un événement néfaste à une personne est prétendu ( grave calomnie…) bénéfique à une autre. Et, plus cyniquement : d’une situation malheureuse pour les uns, les autres tirer partie et profit. Des vautours, alors. Des détrousseurs de cadavres. Pas de quoi être si arrogants. Que du miteux et du piteux.

Le proverbe peut même être utilisé en inversant ses termes : « Le bonheur des uns fait le malheur des autres ». Il garde le même cynisme. Cynisme n’est qu’une maladie des quantités dérégulées

Pourquoi tant de vacarme alors ? C’est qu’il faut – à tout prix - effacer, faire oublier, perdre le souvenir de ceci…Montaigne peut aussi être considéré comme père sincère du proverbe. Dans ses Essais (1, 1580), il écrit : « Le profit de l’un est le dommage de l’autre ». Ce qui est la condamnation, en peu de mots, de l’anticivilisation du profit. Le profit n’est plus un cadeau divin attribué aux « méritants »…mais un enrichissement illicite (faire du bénéfice avec l’argent des autres en vivant en parasites dessus). Le profit de l’un est un coût pour les autres. C’est l’ouvrage des seuls déméritants, que le profit. Déméritants à qui indifférent le mal et le dommage qu’ils font aux autres. La société y reconnaît les siens. Les capitalistes sont des antisociaux. Des ennemis de la civilisation saine.

Ennemis de la vérité. Celle qui dit : La générosité des uns fait le bonheur des autres.

Ennemis donc de la civilisation que, nous, nous protégeons. Piégés qu’ils sont par leurs mots… « de sorte que plus il y a de malheurs particuliers et collectifs, et plus tout est bien. » Bien pour tous le monde ? Entendu que…seuls les corrompus vont en…profiter (comme des macs de la vie ?). Ce désir de l’échec commun bat tous les prétendus alarmistes, les millénaristes, les défaitistes : à croire que le capitalisme ne peut s’enrichir que dans/ par les catastrophes, les drames, les malheurs, les crises (sans cesse reconduites), le chômage de masse, les pauvretés qui ne cessent d’exploser et les problèmes interdits de solutions ? Il « faut » que cela aille mal pour que tout aille… bien…pour lui seul. D’où l’aveu (recevable au tribunal) dit dans toute la naïveté des cyniques du : «le malheur des uns fait le bonheur des autres ». L’aveu limpide à 100 % : ils « veulent » le malheur général. Que cette phrase pue. Il faut être pourri pour s’en délecter. Cela dépasse l’incitation à tous les délits. Et au non respect des lois républicaines (défendre les plus faibles, par exemple.). Nous avons, ici, un…flagrant délit…

L’horreur du «le malheur des uns fait le bonheur des autres » - pensée tribale, primitive, du sacrifice humain, de la cruauté incitée, de la bestialité des bêtises, et de la pré-civilisation brutale du « dépêches-toi d’avoir du malheur que je te dépouille »…a, fort heureusement, des antipoisons qui sonnent, eux, si bien…

**** « Le malheur d’autrui ne guérit pas une peine. (Portugais). Aimer le malheur des autres c’est vivre la grande misère intérieure. Le malheur du « profiteur » est alors bien pire. Pas très malin.Aucun sens des « vraies » affaires…

**** « Ne te moque pas des malheureux, Yattou, car le malheur est contagieux ». (Berbère). Ne croupir que dans les concepts de malheur et de profits dépeceurs ne peuvent qu’entrainer au malheur collectif. Et à s’aigrir, exagérément, son propre fonctionnement corporel. Claire observation scientifique.

*** « Deux bestes paissent bien en un pré », il y a de la place pour être heureux ensemble

..etc.

Vient de triompher, solairement, que…

……..La générosité des uns fait vraiment le bonheur des autres.

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(à suivre)

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

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Résistances au changement Impliquent changement de résistances

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Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

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La générosité des uns fait le bonheur des autres ?
La générosité des uns fait le bonheur des autres ?
La générosité des uns fait le bonheur des autres ?

c’est la générosité qui génère et l’egoisme qui stérilise. La genérosite c’est le gène de tous les gènes…aucune propagande dépréciative , venant des prétendues élites, ne pourra donc détrôner la générosité. Qu'ils n'ont pas ou plus.

Publié dans méthodes de pensée

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