Le goût de la vie préfère quelle alimentation ?
Comment redevenir acteurs/trices de notre alimentation ? C’est que les vents sont très contraires. La chasse aux bons goûts, à la civilisation, aux raffinements simples est bien ouverte. Uniformisé, industrialisé, aseptisé, le contenu de nos assiettes harcèle notre humanité du goût depuis plus d’un demi-siècle. Au point que des scientifiques ont relevé que ce n’est plus qu’avec 10 ingrédients basiques que l’on nous contraint à nous sustenter.
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Cette régression barbare qui fuit tout progrès civilisé appelle de nombreuses interrogations. Dont les plus pénibles demeurent : pourquoi détestent-ils l’Humanité à ce point pour la punir de vivre sans arrêt ? Pour la priver de la moindre petite joie ? Pour lui obscurcir la vie, même la plus discrète, de leurs comportements de hooligans ? etc.. Puisque l’explication simpliste « c’est pour le profit » n’explique quasiment rien. En effet – lors de la dite jouissance de ce profit – que ressentir, que penser si l’on ne l’a obtenu, ce profit, que par l’extrême désagrément de tous ? Le profit ne « profiterait » alors à personne ? Méfaits trop occultés du puritanisme ? L cause de tant de cruautés ? Ce sont bien des êtres de chairs et d’os qui ont une sensibilité – pourquoi ne pas penser qu’ils voudraient aller dans le sens de faire plaisir, mais qu’ils en sont empêchés par les réactions du plus grand nombre ? Auquel cas ce seraient les consommateurs conformistes qui seraient les principaux initiateurs de cette barbarisation des goûts ? Car, il ne faut guère l’oublier, de tels « profits » de l’agroalimentaire ont un coût social colossal – en soins médicaux, en mal-êtres, en pertes de la qualité de la vie et en douleurs mentales. La société a tout intérêt à maintenir le…goût de la vie…Le concept de complot intégral présuppose, lui, des êtres, 24 h sur 24 distillant la mal (donc dans leurs corps les mauvaises sensations !), lui aussi, a bien du mal à suffire à une pensée libre et exigeante. Alors ? Y a-t-il plus à comprendre ?
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Le constat ?
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« La cuisine d’une société est un langage dans lequel elle traduit inconsciemment sa structure, à moins que, sans le savoir davantage, elle ne se résigne à y dévoiler ses contradictions », écrivait l’anthropologue Claude Lévi-Strauss il y a quelques décennies. Notre alimentation déborde de ces contradictions. Uniformisé, industrialisé, aseptisé, le contenu de nos assiettes fait la chasse au goût depuis plus d’un demi-siècle. On consacre d’ailleurs moins de temps à la cuisine – -29% entre 1986 et 2010, soit cinquante-trois minutes par jour –, on mange moins de produits frais et davantage de plats préparés… mais on passe plus de temps à table ! Le goût, oui, mais à moindre prix et au prix du moindre effort. L’industrie agroalimentaire, fille du capitalisme et de la mondialisation, n’est pas la dernière des responsables. Mais il serait bien commode de la laisser seule porter la toque. Nous devons être ou redevenir acteurs de notre alimentation. »
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La tendance est donc de supprimer tout effort pour le consommateur traité comme un grand malade. Et ce serait, aussi, à sa demande ? La société, en général, sombre dans une fainéantise générale : tous les problèmes s’accumulent à la porte mais son auto-laxisme l’empêche de lever le petit doigt afin de, seulement, ouvrir la porte. Ceci peut se déduire, directement, du fait que la société se montrer imperméable à toute réprimande. Elle n’a plus de fierté. Les engueulades ne la touchent plus. Elle a perdu tout honneur, cette société. Et « sait », intimement, que face à, au moins un tiers (33 %) de ses membres (les libéré(e)s du système), elle ne peut plus assumer. Elle se sent réellement inférieure à elles/eux. Sa chute est trop grande. Etc. Là, les réponses tiennent plus la route. Et ressemblent à des pensées d’adultes. Que faire alors ?
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L’offre de saveurs se rétrécit dramatiquement. Ce qui vient de deux sources égale en nuisances collectives :
1 - ) – « Avec l’augmentation des rendements agricoles, nos aliments sont devenus des coquilles vides… de nutriments. Combien de pêches, d’oranges, de brocolis faut-il ingurgiter pour retrouver les bienfaits d’il y a un demi-siècle ? » Oui 100 pommes pour une seule des années 1950. Imaginons-nous ingurgiter 100 pommes à chaque fois. La déchéance commune dépasse l’entendement…Nous assistons bien à une inversion de tous les…progrès !!!
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http://www.terraeco.net/Pourquoi-une-pomme-des-annees-1950,58246.html
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Mordre à pleines dents dans une pêche et avaler… de l’eau sucrée. Manger toujours plus, pour se nourrir de moins en moins. » Et la société qui a le culot et la cruauté de calomnier et de persécuter les humains qui « grossissent ». Comment pourrait-il en être autrement s’il faut 100 fois plus d’apports pour se…nourrir. Et cet abus de calories « vides » n’aurait aucuns résultats ? L’agriculture intensive est condamnée pour cela : elle ne sait pas NOURRIR les humains. Elle n’apporte plus que nuisances. C’est à la société donc de…s’excuser et de réparer pour tous les citoyens honnêtes ( au moins 1 sur 3) !!!
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2 -) - L’industrie agroalimentaire veut plaire au plus grand nombre ? C’est l’avachissement de la volonté du consommateur passif (…sauf lorsqu’il lui est prouvé qu’il doit CHANGER ! Nous le voyons se « rebeller » aussi ridiculement qu’un…enfant.). Cuisine sans effort ? Strictement impossible ! Il y a un prix plus élevé à payer ! Non résistance à la connaissance adulte que les 4 (quatre) basiques du goût – doux, amer et sucré, salé – sont les plus « manipulés » par l’industrie non respectueuse des aliments. Ainsi, certaines farines au glutamate demeurent prédominantes dans tous les plats préparés (oui tous) de l’agroalimentaire. Résister c’est combattre l’esclavage par la perte du…goût. Par des actes coûtant si peu d’efforts : diversifier les épices, retourner aux produits frais, juxtaposer la maximum de « couleurs » dans les plats, se concentrer ( …lorsque nous mangeons…) sur le goût dans la bouche et ne plus frimer en blablatant pour rien (les plats pris en silence…signent qu’ils font vraiment…plaisir), etc.…
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De ce constat contrasté : l’agroalimentaire réduit, du même coup, les coûts… et les goûts. Mais le consommateur est, aussi, « collabo » et ne combat pas les dérives qui sont contraires à ses intérêts vitaux – oui nous extrayons, enfin, une « politique du goût ». C’est que le « que faire ? » ne peut avoir de RÉPONSE en 2 lignes. 1) il nécessite le constat préalable de l’état des lieux -- 2) l’esquisse, au moins, de ce qu’il faut changer et de ce qu’il faut conserver -- 3) les méthodes utilisées pour la transformation à la vue de tous -- 4) le fait que (dans ce monde déshonoré) les solutions ne peuvent pas être explicitées – seulement suggérées (par déductions…). En effet, il ne faut pas enseigner les salauds. Des tableaux exhaustifs de solutions (réutilisées… et non « récupérées » - cela c’est pour les fonds avilis de poubelles…) ne peuvent que, dangereusement, prolonger le système. Qui doit être aboli. Par le jeu interne de ses contradictions. Donc ne jamais relayer ces contradictions mais les dénuder toutes…
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Par contre – toutes les informations occultées depuis tant d’années participent, activement, au « que faire ? ». Oui, déjà, faire connaître toutes ces informations.
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*** Manger bien c’est manger moins. Plus c’est « bon » moins, en pourcentage, on se « bâfre ». On déguste gustatif, à la place.
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*** Le savoir est une saveur. Et qui « sait » penser reçoit corporellement des saveurs inconnues. D’extases pures. Les êtres volontaristes d’usage maximum de l’intelligence sont, donc aussi…les défenseurs les plus fermes de la nourriture de…goût.
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*** Avoir du goût c’est dans tous les domaines. Tous les arts sauveront-ils la nourriture saine ?
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*** Avoir bon goût (…donc un jugement sûr et humain) commence par la nourriture. Assez des assauts d’injustices de la malbouffe.
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*** Même si le partage (tous les partages) est socialement persécuté : les « bons » (bonté) repas c’est la source des nécessaires partages guidés par les… plaisirs !!!
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*** Continuer à engueuler, sans cesse, les conformistes. Leur fainéantise permanente accumule tous les efforts à accomplir sur les épaules seuls qui n’aient pas besoin de changer (c’est déjà fait). La paresse des conformistes (ce qui reste « cachée » comme cause de leur résistance aux changements !) est devenue piteuse et miteuse. Il s’agit de leur faire sentir, aux conformistes, qu’ils/elles ont dépassé la dose. Et que ce n’est plus supportable pour personne.
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*** Évidemment s’y ajoute l’interdiction (oui l’interdiction) de l’agriculture intensive. Parce qu’elle se montre incompétente à « bien » nourrir l’Humanité. Le contrat tacite est révoqué et le capitalisme sera aboli de n’avoir que des complices aussi …délinquants. Personne de raisonnable et sensé à le soutenir.
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https://fr.wikipedia.org/wiki/Go%C3%BBt
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Pour l’heure (celle d’être heureux) combattons l’obscurantisme partout. Donc chez les médias mercenaires. Et leurs diktats plus insensés les uns que les autres. Les goûts et les couleurs ne se DISCUTENT PAS. Justement ils se discutent. Pour le bien de tous – il « faut » même les discuter abondamment. Chaque témoignage sincère sur ses propres « goûts » nous rapproche des solutions collectives. Des goûts et des couleurs, on ne discutait plus. « On peut évaluer si un produit est plus ou moins sucré, salé, épicé, doux, amer, en décrire les arômes, la densité de son goût, si celui-ci est présent au premier degré ou en arrière-bouche », énumère Pascale Grelot-Girard. C’est le premier pas.
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http://www.terraeco.net/Le-gout-assassine,59034.html
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Nous faire perdre le goût de la vie ?
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Et le respect dû aux enfants, aux générations futures, ne commence –t-il pas dès aujourd’hui ? Et à l’instant, à la seconde, là tout de suite. Or que disent les vidéos jointes ?
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*** A force de raffiner et de dénaturer les matières premières, les industriels se retrouvent avec un fâcheux un problème : nos aliments n'ont plus de goût ! Plus de moyens de reconnaissances naturels du goût de vivre ? Mais est-ce bien étonnant ? Entre le jambon gonflé à l'eau, le minerai de viande et des produits hors-saison, difficile de retrouver des saveurs dans l'assiette. Mais pour pallier ce manque, les industriels n'hésitent pas à dégainer des exhausteurs de saveurs, non sans risques pour notre santé ! Charlotte Savreux décrypte, pour vous et nous, ces caches misères alimentaires et nous aide à mieux comprendre les étiquettes de nos produits pour faire les bons choix.
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*** Les pertes (irréparables ?) de la QUALITÉ de la vie ? Les enfants « n’aiment plus» les légumes, les fruits, la cuisine saine. Leurs goûts sont …atrophiés. Ce sont des handicapés des saveurs : réduits (comme punis…) à une nourriture primaire sans guère de civilisation…les sapidités rétrécies au minimum. La pauvreté généralisée des succulences. Si peu de goûts qui restent en… bouche…et distillent, dans tout le corps enchanté, leurs univers immenses. Un peu comme s’ils étaient complètement anesthésiés des papilles ou habitués à des sortes de…stupéfiants…Comment 1) les désintoxiquer 2) les sevrer 3) les réhabituer au simple goût de la…vie ?
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*** Les additifs que créent les entreprises de l'industrie agro-alimentaire ont trouvé une place de plus en plus encombrante dans tout le panel d'aliments qu'aujourd'hui nous consommons, et cela sans que nous n'en ayons réellement conscience. Sous des appellations obscures "d'arômes", de "goût de synthèse", "d'édulcorants" et autres qualificatifs sortis tout droit d'une boîte chimique de Pandore, ces industriels procèdent à un empoisonnement pernicieux de tout ce que nous mettons dans nos assiettes. Et, en toute première ligne de danger les…enfants. Devenus addictifs à …l’artificiel « unique » !!!
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……………Avant tout – comment leur REDONNER le goût de la vie ?
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
(à suivre)
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" ou bien "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" et "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou, encore, "Présent !", onglet 3 "La diction du dictionnaire" ou comment rendre tous les mots physiques", et "Rien de plus solide que le solidaire", sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 3 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
A force de raffiner et de dénaturer les matières premières, les industriels se retrouvent avec un fâcheux un problème : nos aliments n'ont plus de goût ! Mais est-ce bien étonnant ? Entre le jambon gonflé à l'eau, le minerai de viande et des produits hors-saison, difficile de retrouver des saveurs dans l'assiette. Mais pour pallier ce manque, les industriels n'hésitent pas à dégainer des exhausteurs de saveurs, non sans risques pour votre santé ! Charlotte Savreux décrypte pour nous ces caches misères alimentaires et nous aide à mieux comprendre les étiquettes de nos produits pour faire les bons choix.
le goût qui…tue dangereusement
Les additifs que créent les entreprises de l'industrie agro-alimentaire ont trouvé une place de plus en plus encombrante dans tout le panel d'aliments qu'aujourd'hui nous consommons, et cela sans que nous n'en ayons réellement conscience. Sous des appellations obscures "d'arômes", de "goût de synthèse", "d'édulcorants" et autres qualificatifs sortis tout droit d'une boîte chimique de pandore, ces industriels procèdent à un empoisonnement pernicieux de tout ce que nous mettons dans nos assiettes.