Epoque pré-… ?
A peu près ? Auprès ? Ou très près et prêts à ? Ou même juste avant le basculement ? Etc. Qui n’a pas une pensée existentielle (ne dire que ce qui a été vécu et expérimenté directement) peut facilement s’égarer dans des abstractions. Comme erre, perdu et désorienté, qui ne pratique pas « l’intelligence impersonnelle » - ce n’est parce que c’est moi qui le dit que c’est vrai mais c’est parce que c’est vrai que je le dis – ou bien, aussi, effacer tout ce qui est individuel dans une réflexion afin qu’il n’en demeure qu’un texte objectif reproductible et vérifiable par tout le monde – et, enfin, à ne surtout pas mélanger avec ces abstractions stériles, répétitions irréfléchies des conclusions antérieures par les conformismes les plus inutiles. Et toujours hors…contextes. Donc, la créativité à tous crins comme l’invention la plus ardente peuvent faire partie de l’intelligence impersonnelle. C’est le traitement de la méthode ou la méthode du traitement qui prouve la présence de « l’intelligence impersonnelle » et non pas le…style. Sinon ce serait une pensée de « sans » : sans style, sans personnalité, sans mordant, sans argument, sans imagination, sans désir de convaincre, sans métaphore, sans beauté sémantique, sans – bref, un très anti-culturel irRéalisme soviétique…Ce qui n’est absolument pas le cas !!!
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La preuve ? Cette mise en contexte de notre époque pré-… ?, c’est afin de parvenir à dire ceci dans la plus grande clarté possible. Notre époque précède un mouvement bien plus ample qui arrive. Notre époque est donc pré-, pré- quelque chose qui n’a pas encore de nom, que nous ne pouvons que pressentir et non formuler, qui reste plus proche de son introduction. Que de la conclusion.
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De ce fait, nous pouvons sonder des évènements passés qui ressembleraient à notre époque pré- ! Oui, par de très nombreux points notre époque se trouve des similitudes avec celle des situationnistes…précédant leur époque. Qui les a rejoint ensuite. Elle a, aussi, de très divergentes caractéristiques, mais en bien moindre quantité. Ce qui veut dire ? Même si ceci peut déplaire à des spectateurs de cette méthode de vivre – il faut bien admettre que quasiment plus aucun des écrits, des documents ou des visuels de ce passé n’a de sens et d’utilité aujourd’hui. Nous ne pouvons retranscrire tel quel leur pensée sans la faire tourner à vide. Par contre – et ceci appartient à savoir lire entre les lignes – tout de leur existentiel de leur vécu et des expériences qu’ils ont transmises, en intelligence impersonnelle, demeurent aussi ardent. Ce pourquoi les médias désensualisés autant que peu… «sensés» n’en ont nulle connaissance. Ni faculté de transmission. Rappelons que qui est « sensé » utilise absolument tous les sens. Même le sens des mots et le sens de la vie…
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Vérification rapide ? «( …) devait vite recéler le caractère pour ce qu’il est : une défense contre la communication, une défaillance de la faculté de rencontre. (…) Il n’est pas besoin de s’étendre sur l’origine de l’angoisse […la démonstration du fait que la « carapace caractérielle » ait « pour fonction de protéger de l’angoisse » ayant fait l’objet d’un paragraphe précédent..], sur ses causes et sur la permanence de celle-ci. Disons que la forme particulière du caractère est un pli qui se prend avant la dixième année, ce qui ne surprend personne. » Cet extrait, et les suivants, proviennent du texte-affiche « Reich, mode d’emploi » de Jean-Pierre Voyer de l’Institut de Préhistoire Contemporaine, placardé le 4ème trimestre 1971. Où nous apprenons, aussi, que tout trait de caractère est pathologique puisque… « L’énergie que l’individu peut employer à reconnaître et à être reconnu est liée dans le caractère, c’est-à-dire employée à se neutraliser elle-même. » En tant que suicide social intégral difficile de faire donc pire. Devenir ainsi son pire ennemi - pouahhhh. Se laisser gangréner par des poisons sociétaux, non mais des fois…L’individu content et arrogant de lui-même est, en fait, un complet…antisocial et ça se voit. Comment ? L’acceptation de cette excroissance maladive, de cette greffe étrangère du caractère (l’Alien de l’aliénation), provoque que tout un chacun ne peut supporter une société malade qu’en aggravant, sempiternellement, le mal…Et que, donc,…« Les gens sont dans une grande mesure complices du spectacle régnant. Le caractère est la forme de cette complicité. » L’anéantissement des individus par le caractère, en somme. Qui n’a aucun caractère (comme névrose caractérielle) survit donc et d’autant plus largement (et joyeusement..) que la part fossile du caractère est proche de zéro !!!
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Mais encore ? « Ce qui nous importe n’est pas la structure individuelle de notre caractère, ni l’explication de sa formation, c’est l’impossibilité de son application à la construction des situations ». En d’autres mots, les situationnistes existentiels de l’époque, n’avaient nul caractère. Et encore moins de traits de caractère. Pour la simple raison que, au lieu d’en avoir un seul, ils les pratiquaient tous, les « retraits » de caractère. Ce qui ne pouvait conduire qu’à leur effacement complet dans le même individu. Comme l’on se vide les poches – on te jetait tout le superflu de la névrose caractérielle par-dessus bord…aujourd’hui, identiquement, des humains ne jouent plus aucun rôle, ne vivent que dans la pauvreté succulente de n’être qu’eux seuls. Ce qui augmente, à l’évidence, toutes les surfaces de contacts avec le réel. Bref, ces humains triomphent, sans que le regard myope et drogué du spectateur ne puisse…s’en rendre…compte. Compte de quoi ? Sans rôle – impossible de les enRôler et impossible, aussi, qu’il joue le moindre…rôle dans la société corrompue par sa bêtise même. Ne jouant plus aucun rôle le système ne peut plus fonctionner. C’est les retrouvailles avec la salubrité sociale (abandon de la carapace caractérielle comme fardeau du vieil homme et aisance physique à ne plus jouer à rien comme à ne plus jouer aucun rôle, etc.)…évidemment, toute cette alchimie victorieuse des non égoïstes (oui des non caractériels) ne pouvait que rester invisible et incompréhensible aux regards abusés des prétendus dirigeants. Puisque, comme le thérapeute Michel Foucault l’avait diagnostiqué, le taux d’aliénation et d’auto-enfermement mental augmente à mesure que l’on monte dans les hautes sphères de la société…
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Et c’est ce côté…disons incompréhensible, impénétrable, trop mystérieux, qui rejoint la trame des deux époques. Et doit relever les mêmes défis. Comment ces diables d’hommes ont-ils fait ? comment influencent-ils tant (alors qu’ils ne font que diagnostiquer et, en aucun cas, mener ?) ? comment leur savoir semble issu de nulle part dans la civilisation ? comment se fait-il que, nous dirigeants, n’en ayons absolument ni l’information ni la compréhension, si nous obtenons l’information ? comment mettent-ils tant de chaos en ne faisant strictement rien et ce sont nos réactions, clairement irrationnelles, qui déclenchent tout, Oui, nous les réels fauteurs de troubles, les fouteurs de désordres ? comment se fait-il qu’ils aient le cœur si pur sans la moindre ambition personnelle ? où leur personnalité se nourrit-elle ? en quoi sont-ils millionnaires de la vie intérieure ? Etc…la même incompréhension massive – de celle qui alimente les légendes et les personnages légendaires - plus de 50 ans après. Comme la même impossibilité de se passer de la source vive de compréhension de l’intelligence impersonnelle de l’époque. Ces personnages ne précèdent pas l’époque, en fait, ils l’épousent dans ses moindres courbes et la disent précisément avec leur style très singulier. Au point atteint par les maladies sociétales, qui étalent leur hideur, que de puérils incultes vont grincer…ils exagèrent (au contraire ils modèrent), ils se vantent (au contraire ils sont trop discrets)…ils affabulent (au contraire, les réponses à leurs phrases limpides ne sont, elles, que grotesques ou bouffonneries), ils veulent le pouvoir (au contraire ils n’ont nul besoin de « pouvoir » et ils veulent que celui-ci s’arrête et que nous entrions dans la vie de tout autre chose), ils ont besoin du système (au contraire ils en inventent un nouveau et le vieux systèmes actuel a « besoin » de ce nouveau système (de sa connaissance). Au point que son avidité stupide lui fait commettre bêtises sur bêtises et s’emmêler tous ses corrompus qui tombent comme des fruits nauséeux bien en vu de tout le monde)…
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Incompréhension complète du « mais qu’est-ce qui nous veulent ? » voué aux situationnistes qui trouve la même réponse aujourd’hui. Soit ... « nous ne voulons rien. C’est l’époque qui veut. Elle veut sa transformation intégrale. Apparemment vous ne savez ni la comprendre ni la diriger. Nous si, sauf que nous n’avons nulle pulsion de diriger…ce pourquoi nous diagnostiquons si efficacement. C’est donc tout le monde qui va « mouvementer » l’époque. Il n’y a bien là rien de catastrophique ni de, fondamentalement, inaccessible à la compréhension. Or, c’est vous qui êtes complètement hors du coup. Qui êtes frénétisés par vos immenses peurs. Et vos seules gesticulations, afin de sortir de vos auto-pièges, vont faire avancer toutes choses. Nous, ne voulant pas contraindre autrui à faire avancer les choses – ce sera votre paranoïa complète à notre égard, cette perte farfelue de la mesure rationnelle des choses, qui va secouer les engrenages. Et faire dérailler « votre » société. C’est pas grave nous nous en passions déjà complètement…et la nouvelle c’est nous ! ». Époque pré-…en plein dedans.
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C’est ainsi que l’esprit est venu aux filles et aux garçons…
…et que si vous n’êtes pas « dans » l’expérience – vous ne pouvez pas en parler…
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…Humour cosmique que des DIREigeants ne sachent plus parler de !!!
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……………>>>>>>>>> ANNEXES <<<<<<<<<
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https://fr.wikisource.org/wiki/Page:Revue_des_Deux_Mondes_-_1844_-_tome_5.djvu/981
…il le répète mainte fois : « Je ne puis pas, dit-il, admettre l’erreur dans la raison. — Le problème le plus difficile est celui de l’erreur. » M. Rosmifli croit résoudre ce problème en combinant une théorie de Descartes (le prédécesseur de Kant) avec une théorie de Locke le premier attribuait l’erreur à la volonté, le second à un jeu de la réflexion ; le philosophe italien, en unissant la volonté et la réflexion, constitue une seconde intelligence hors de l’intelligence, une seconde raison en même temps volontaire et réfléchie, libre et arbitraire, et qu’il rend responsable de toutes les aberrations. Nous avons la conscience intime et profonde que toute erreur est involontaire ; nous voyons les hommes divisés en partis, en sectes, et cependant nous savons que la mauvaise foi dans la dissidence est une exception ; le sens commun ne confond jamais l’erreur avec le mensonge. D’ailleurs, rien de plus évident que l’unité et la fatalité logique de la pensée : cette fatalité supprimée, nous serions les maîtres de la vérité et de la réalité. N’importe, M. Rosmini impute l’erreur à la volonté ; l’alternative est inévitable : ou son système est faux, ou il faut rejeter le témoignage du sens commun et de la conscience. M. Rosmini n’hésite pas ; ne pouvant ni expliquer l’erreur, ni la nier, il imagine deux intelligences, l’une infaillible, l’autre faillible ; l’une impersonnelle, l’autre personnelle, et, par cet étrange dédoublement de la raison, il transforme l’erreur en un mensonge, en une révolte de l’intelligence personnelle et volontaire contre l’intelligence impersonnelle.
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http://www.davidciussi.com/#!personnellement-impersonnels/clg7
nul besoin de caractère pour vivre ? juste d’un instinct irréductible…
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http://leuven.pagesperso-orange.fr/
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Jean.Pierre Voyer ? Une autre façon de décrypter le réel ? Le reconnaître n’est pas, non plus, adhèrer à sa pensée mais juste reconnaître sa nécessité.
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http://xlucarno.blogspot.com.es/2012/01/le-maitre-du-bas-chateau-portrait-de_26.html
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La partie secrète de l’Histoire grâce à lui, en devient même plus lisible.
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
(à suivre)
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" ou bien "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" et "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou, encore, "Présent !", onglet 3 "La diction du dictionnaire" ou comment rendre tous les mots physiques", et "Rien de plus solide que le solidaire", sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 3 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
bonnes questions ? mais mauvaises réponses !!!
avant tout se libérer du connu...
bonnes questions ? mais mauvaises réponses !!!
l'intelligence impersonnelle demeure trop méconnue...la preuve pas une vidéo en français
la science sert-elle encore à quelque chose ? Lorsque les prétendus dirigeants ne l’écoutent plus du tout. Ainsi qu’une grande majorité de conformistes dès qu’il s’agit de prescriptions, de limites raisonnables à leurs délires mégalomaniaques ? Or la science ne peut plus faire autrement. Sinon montrez donc comment ?