Les chiffres déchiffrés ? Les riches seuls pèsent sur le budget du pays.

Publié le par imagiter.over-blog.com

Les chiffres déchiffrés ? Les riches seuls pèsent sur le budget du pays.

Ou dit autrement : « la » dette ce n’est que celle des trop riches et de personne d’autre…Oui oui, le terrorisme intellectuel des prétendus dirigeants c’est de faire croire que les pauvres coûtent une fortune au pays. Pas de chance pour ces escrocs : tous les faits disent l’inverse. Ils voudraient que les citoyen-ne-s honnêtes courbent la tête devant « la » dette. Là - encore pas de bol. «La» dette est la dette privée qu’en aucun cas le public peut prendre en compte. Nationaliser les pertes privées est devenu illégal. Et le restera. Devant le front archaïque des trop riches une seule injonction : remboursez ! remboursez !

Puisque – dernier choc frontal des faits avec le « de quoi est donc faite la dette ?», la réponse est surtout, en aucun cas, la dette ne provient des DÉPENSES PUBLIQUES. Qui ont, elles, baissé et non …augmenté…La part des dépenses de l’État dans le PIB français bien baissé de trois points en trente ans… « En détail, total des dépenses de l’État en 1985 : 188,7 milliards, soit 24,8 % du PIB de 760,5 milliards. En 1990 : 241,3 milliards, 22,2 % du PIB de 1 058,6 milliards. En 1995 : 291,5 milliards, 23,7 % du PIB de 1 225 milliards. En 2000 : 330,5 milliards, 22,2 % du PIB de1 485,3 milliards. En 2005, 398,7 milliards, 22,5 % du PIB de 1 772 milliards. En 2010, 482,5 milliards, 24,1 % du PIB de 1 998,5 milliards. En 2012, 451,1 milliards, 21,6 % du PIB de 2 086,9 milliards. En 2014, 463,3 milliards, 21,7 % du PIB de 2 132,4 milliards. »

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Et alors « la » dette de quoi est-elle abondée? Mais elle provient du grand banditisme des trop riches (et de rien d’autre) :

à savoir – évasion fiscale (1/5)

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- *** non paiement d’impôts et cadeaux fiscaux empoisonnés aux trop riches y inclus les non poursuites pour leurs fraudes avérées ( autour de 2/5)

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- *** spéculations et détournements des fonds publics ( autour de 2/5)

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Étant, bien sûr, enlevé le poids si stable des dépenses publiques. Lorsque les deux lignes se sont séparées : la stable toujours pareille des dépenses et l’envol illégal de la dette « privée » qui vient s’incruster frauduleusement – mendiante plus qu’illégitime – dans l’argent de tous. « Si l’État n’avait pas réduit ses recettes et choyé les marchés financiers, le ratio dette publique sur PIB aurait été en 2012 de 43 % au lieu de 97 %. » Ces chiffres sonnent comme un coup de fouet. Cinglant. Le poids des trop riches (très endettés sur …l’argent des autres) est donc écrasant en plus que de carrément illégitime. Aucune loi ne peut recouvrir un tel pillage !!!

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Qu’est-ce à dire ? Une accusation directe des trop riches ? Pas vraiment. Ce ne sont que les faits qui parlent. Et ils parlent d’autant mieux qu’on les laisse parler. Ce que nous faisons. Grâce au judicieux lien joint. Et à notre travail permanent sur ce blog où se peut trouver nombre d’analyses qui complètent et développent ce texte très clair…

Puisque… : une question des répondes directes ?

***** - Pourquoi la dette bondit-elle, si irrationnellement, depuis dix ans malgré un budget national uniformément ? La réponse inclut de quoi est faite la dette puisque sa progression ne peut, en aucun cas, incriminer les dépenses publiques qui n’augmentent pas. Qu’est-ce qui augmente alors dans la dette ? Bien justement, les fraudes multi-variées des trop riches.

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***** - L’austérité existe-t-elle et est-elle unanimement respectée ? Justement non. Nous pouvons observer des processus où :

- à l’entrée ce sont les trop riches qui créent (de toutes pièces) la dette en s’enrichissant sur l’argent public. Comment ? Tellement de façons. Les fraudes à la Sécurité Sociale c’est eux. Etc. Ensuite (scandale public) ce sont encore eux qui vont l’augmenter démesurément en prétendant « résoudre la crise ». Dont ils sont les seules causes. Comment ? Encore des moyens nombreux. Exemple ? Alors que les services administratifs sont très compétents et…gratuits – on va oser donner des études à faire sur la dette…privée à des cabinets…privés aux montants exorbitants. Qui font donc encore plus exploser la dette…pour la résorber !!! Ce qui, en plus, désobéit à la déontologie de l’honnêteté – on ne peut être juge et partie. Il faut séparer l’ordonnateur des dépenses de l’exécutant. Etc. Le mécanisme est clair. La dette « publique » c’est le seul privé qui la cause – et surtout pas les dépenses publiques (spoliées des justes…recettes – ça fait pas…recette !!!). La dette explose, et si anormalement, depuis trente ans alors que les dépenses publiques stagnent ? Réponse ? L’austérité c’est donc juste pour les pauvres – spoliés à 100 % - en « punition » de la trop grande délinquance des trop riches.

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…les preuves ? Extraits … « On pensait l’austérité gravée dans le marbre. « Le pacte de sécurité l’emporte sur le pacte de stabilité », a décidé François Hollande dans son discours à Versailles le 16 novembre (...) [..là, soudain plus d’austérité…]… Il y a encore quelques mois, au moment de la présentation du budget 2016, le discours du gouvernement était tout autre. Priorité à la réduction tous azimuts des dépenses et du déficit ! La dette publique est alors l’ennemi n°1. Car l’explosion de la dette française, bien réelle, sert depuis dix ans à couper dans les dépenses publiques. Si les nouveaux choix politiques du gouvernement inversent la tendance pour les dépenses de sécurité, les dépenses sociales restent, elles, bel et bien soumises à une ligne claire d’austérité. L’hôpital ou l’université peuvent bien être étouffés par les coupes budgétaires, leur utilité se semble pas suffisante pour remettre en cause l’austérité. » L’austérité bafouée sans cesse (sauf pour la majorité des pauvres) est donc l’aveu que ce sont les prétendus élites qui trahissent le pays !!!

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Une dette qui représentait 16 % du PIB en 1974, délire à 97 % en 2015. Ceci est l’accusation contre les antisocialistes et les antirépublicains au pouvoir.

Que de traitres depuis 1974, oui ou non ? Pire ? - « Entre 2008 et 2015, la dette publique française est passée de 68 % à plus de 97 % du produit intérieur brut (PIB). Un chiffre à faire trembler dans les chaumières. Dans ce contexte, le discours sur la rigueur budgétaire [..pour qui et par qui ?] fait facilement recette […justement non – il accuse qui l’emploie…]. On pointe du doigt l’exemple de la Grèce, surendettée, à qui aucun pays ne veut ressembler. Un discours, pourtant, qui omet souvent de préciser d’où vient cette dette qui grossit à grande vitesse. »

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//// - Qui furent les « experts » ? Qu’a-t-il été fait de leurs conseils ? « En 2005, le rapport dit « Pébereau » (concocté par celui qui était alors président du directoire de la banque BNP-Paribas) appelait déjà à « rompre avec la facilité de la dette publique ». Et préconisait d’« utiliser au maximum l’opportunité des départs à la retraite pour supprimer les sureffectifs ». S’en est suivi la politique dite de révision générale des politiques publiques (RGPP), qui a entériné le principe du non-remplacement de un fonctionnaire sur deux partant à la retraite. La recette de Michel Pébereau a-t-elle fonctionné pour réduire la dette ? Manifestement, non. Depuis cette date, la dette publique a encore presque doublé. Et pourtant, dix ans plus tard, le budget initial pour 2016 que l’Assemblée nationale avait voté le 17 novembre poursuivait le même objectif de réduction générale des dépenses. Il prévoyait 16 milliards d’euros d’économies dans les dépenses publiques en 2016, et 50 milliards sur la période 2015-2017. » Conclusion ? Si les personnels des services publics disparaissent et que la dettes augmente – les « vrais » fonctionnaires (surpayés) sont donc les parasites du privé ? Qui voit une autre solution ?

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Ce n’est plus secret défense – mais bien secret dépenses !!! Les dépenses de l’État ? Stables depuis 30 ans

http://www.bastamag.net/Pourquoi-la-dette-publique-francaise-explose-alors-que-les-depenses-de-l-Etat-n

« Le discours dominant sur la montée de la dette publique fait comme si son origine allait de soi : elle résulterait tout simplement d’une croissance excessive des dépenses publiques. Ne reste plus alors qu’à en déduire un discours qui semble relever du sens commun : on ne peut durablement dépenser plus qu’on ne gagne, et, par conséquent, il faut dépenser moins et ajuster les dépenses aux recettes », analysent les auteurs de l’Audit citoyen de la dette française. » Déductions ? Nous savons que les dépenses baissent mais que les recettes…aussi. Tout ce verbiage falsifié ne nous parle donc pas de la recette…pour sortir de la crise. Exit…

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La part des dépenses de l’État dans le PIB français a baissé de trois points en trente ans . Et les recettes aussi ? Les recettes aussi. Démasqués les pillards …aussi…

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Toutes les précautions ont été prises d’où vient donc « leur » dette ?
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1) - Baisses d’impôts et cadeaux fiscaux

« Plus que du côté des dépenses, c’est vers les recettes que l’audit citoyen de la dette publique nous pousse à regarder. « Si le montant des déficits – et, par conséquent, [celui] de la dette – augmente, c’est tout d’abord parce que l’État s’est privé de recettes importantes, en allégeant la fiscalité des ménages aisés et des grandes entreprises », soulignent les auteurs. » Déductions ? Quelle bande d’étourdis, ma pov’dame, vous ne pourriez pas leur coller de bonnes claques (d’une mère à des sales gosses) afin de les ramener à la…réalité ?

« Depuis quinze ans, baisses d’impôts et cadeaux fiscaux se sont multipliés. Avec des effets désastreux sur les finances publiques. Dès 2000, le gouvernement de Lionel Jospin […catastrophe à roulette..] adopte des mesures de baisses d’impôts. Une nouvelle réforme fiscale a suivi en 2006, avec notamment la réduction de la taxe professionnelle et la création du « bouclier fiscal » […que pour les trop riches…] qui plafonne l’imposition globale d’un contribuable […riche] à 60 % de ses revenus. En 2007, Nicolas Sarkozy fait adopter la loi « Travail, emploi, pouvoir d’achat » (dite loi Tepa), qui met en place, entre autres, la baisse de l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF) et des droits de succession […total escroc]. Avec, là encore, une baisse des recettes fiscales de l’État à la clé.

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« Entre 100 et 120 milliards d’euros de recettes fiscales ont ainsi été perdues pour le budget général de l’État entre 2000 et 2010 », souligne le député communiste Nicolas Sansu dans un rapport parlementaire réalisé au printemps dernier. À l’image du bouclier fiscal, de la baisse des droits de succession et de l’ISF, beaucoup de ces réductions d’impôts ont profité aux plus aisés […qui n’en ont nul besoin…]. Autre exemple : le taux le plus élevé de l’impôt sur le revenu. Il était de plus de 60 % au début des années 1980 et de plus de 50 % jusqu’en 2000. Puis il est passé à 48 % en 2005, et même à 40 % en 2007, avant d’être ramené à 45 % après l’élection de François Hollande. »

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2) - Un cinquième de la dette publique est causée par l’évasion fiscale.

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« Résultat : en 1980, les recettes en impôts et cotisations sociales qui arrivaient dans les caisses de l’État représentaient plus de 20 % du PIB français. Le chiffre est retombé à 18 % dans les années 1990, et à environ 16 % depuis 2010. Le budget pour 2016 poursuit cette tendance. En parallèle du plan de réduction globale des dépenses publiques, le budget prévoit plusieurs allégements fiscaux supplémentaires pour les entreprises (Crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi [CICE], mesures du pacte de responsabilité, etc.), à hauteur de 33 milliards d’euros pour 2016 et de 41 milliards pour 2017. » Déductions ? Les marchands d’armes sont surprotégés ? Et pas les civils…

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Sera-ce tout ?

« C’est sans compter les centaines de milliards d’euros potentiels qui échappent aux caisses de l’État par le biais de l’évasion fiscale. Selon les estimations de l’économiste Gabriel Zucman , cette pratique serait responsable d’un manque à gagner de 17 milliards d’euros pour l’État français en 2013. Sans l’évasion fiscale, la dette publique de la France s’élèverait à (seulement) 70 % du PIB, au lieu de dépasser les 97 %. Ce qui veut dire que près de un cinquième de la dette de l’État serait à mettre sur le compte de l’évasion fiscale. « Chaque année, l’État, parce qu’il a été privé des impôts évadés depuis les comptes cachés, a dû s’endetter davantage », souligne l’économiste. Les derniers rapports parlementaires évaluent même le manque à gagner entre 60 et 80 milliards d’euros par an (lire ici).

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3 ) – La dette « créée de toute pièce » parce qui en bénéficient concrètement ? Les spéculateurs et les actionnaires ? Oui oui mon pauvre monsieur, ceux qui AUGMENTENT sans cesse la dette.

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Par abus de biens privés comme de biens publics. Notre part à nous n‘existe pas, même d’un centime, dans la dette puisque c’est nous les…escroqués. Escroqués par des croqueurs escroqueurs qui « font semblant » d’accuser les pauvres. Démarche désastreuse pour les prétendus dominants : c’est…trop facile de prouver l’inverse….La dette, poison pour les États, aubaine pour les rentiers. Poison introduit par les traitres à la République qui voudraient (pourtant) diriger l’argent public !!!

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« Il existe deux façons principales pour un État de financer ses dépenses : par l’impôt, ou par la dette », explique aussi Thomas Piketty dans son Capital au XXIe siècle . « D’une manière générale, l’impôt est une solution infiniment préférable, à la fois en termes de justice et d’efficacité. Le problème de la dette est qu’elle doit le plus souvent être repayée, si bien qu’elle est surtout dans l’intérêt de ceux qui ont eu les moyens de prêter à l’État, et à qui il aurait été préférable de faire payer des impôts. » Conclusion ? Ceux qui « exigent » le paiement de la dette ce sont oui…ceux qui l’ont fomentée à 100 %. En plus à des taux usuraires et d’intérêts composés très mal vus de la vraie loi républicaine…Autant dire que leurs « droits » à exiger le paiement de leur « putsch économique » pas très légal sont très…restreints !!!

« De fait, la France dépense chaque année des dizaines de milliards d’euros pour payer les intérêts de « sa » [ faute de frappe « leur »…] dette. En 2015, l’État a ainsi déboursé plus de 44 milliards d’euros rien que pour le remboursement des intérêts de sa dette. À titre de comparaison, le budget de l’Éducation nationale, hors cotisations retraites, oscille autour des 47 milliards d’euros. Les intérêts de la dette sont autant de milliards qui ne peuvent pas être investis dans l’éducation ou la transition écologique. » Conclusion ? Les voleurs créent la géométrisation des problèmes ? Ils escroquent (1) un argent qui serait « utile » ailleurs (2). Afin d’en sortir : coût doublé. Rembourser ce qui n’est pas dû ET dégager ce qui est nécessaire pour la survie énergétique. Les mettre en prison ne résoudrait-il pas la totalité (1) (2) du problème ?

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« Or l’évolution des taux d’intérêt a largement contribué à l’explosion de la dette publique française depuis trente ans. Aujourd’hui, la France finance sa dette à des taux très bas, à moins de 1 % depuis le début de l’année. Mais cela n’a pas toujours été le cas. Sur la période 1998-2007, le taux moyen auquel l’État français emprunte sur le marché des obligations est, en moyenne, de 4,15 %. Et dans les années 1990, les taux atteignent les 6 % ! « Au début des années 1990, la politique de désinflation compétitive (ou du « franc fort ») menée par le gouvernement Bérégovoy pour préparer l’entrée dans l’euro, puis la crise monétaire due à la spéculation financière contre les monnaies européennes, se traduisent par une envolée inédite des taux d’intérêt », détaille l’audit citoyen de la dette publique. » Calculé pour ?

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« Ces taux élevés ont évidemment profité aux créanciers de l’État français. Qui sont-ils ? Impossible de le savoir exactement. La Banque de France fournit simplement des informations sur la part des résidents et des non-résidents parmi les détenteurs d’obligations de la dette publique française (lire aussi : la dette de la France, un secret bancaire ?). En 1999, 28 % de la dette est détenue par des non-résidents. La proportion a plus que doublé en quinze ans. […ils ont vendu le pays…à des étrangers…mais pas du tout à des étrangers- émigrants – ils ne sont pas là les pillards de la France – on se demande à quoi sert le F.N. ? A rien. Nous on le savait déjà. C’est qui les ennemis de la France ? Ceux qui ne mettent jamais les pieds dans ce pays !!!]. Et c’est au moment de la crise de 2008 qu’elle a dépassé les 60 %, sans revenir en arrière depuis. »

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...CONCLUSION générale ? Près de 60 % de la dette publique serait « illégitime » (comme le F.N. ? oui tout pareil)…

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« Aujourd’hui, les taux sont très bas, ils sont mêmes inférieurs à l’inflation. Mais cela n’empêche pas l’engouement pour la dette publique. Car elle constitue pour les banques prêteuses un gage dans leurs actifs pour obtenir de la Banque centrale européenne (BCE) des prêts quasiment à taux négatif », précise Pascal Franchet, du Comité pour l’annulation de la dette du tiers-monde (CADTM), contributeur de l’audit. « Mais cette baisse est fragile et un retournement du marché est possible. » Des taux d’intérêt qui repartent à la hausse signifieraient de facto une nouvelle augmentation en flèche de la dette publique française. « Il y a cette épée de Damoclès », analyse l’économiste Michel Husson. « Avec cette menace, les marchés financiers ont, de fait, un droit de contrôle sur les politiques publiques. » Conclusion ? La privatisation de la réPublique ne fonctionne que si on accepte leur blabla plutôt dément, Non ? Sinon banques fraudantes comme marchés fous ? On ferme et on nationalise. Pas un pli. En une seconde ? Il n’y a plus d’abonneur à la ligne que vous avez demandé ». Et basta !!!

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« L’audit citoyen réalisé en 2014 a conclu que 59 % de la dette publique, à son niveau de 2012, provenaient des cadeaux fiscaux et des taux d’intérêt excessifs, et étaient donc illégitimes. « Si l’État n’avait pas réduit ses recettes et choyé les marchés financiers, le ratio dette publique sur PIB aurait été en 2012 de 43 % au lieu de 90 % », conclut l’audit. Et ce chiffre ne prend pas en compte le poids du sauvetage des banques par les pouvoirs publics après la crise financière de 2007-2008. Pour mémoire, le seul sauvetage de la banque Dexia a coûté 6,6 milliards d’euros aux contribuables français. » Déductions ? Tout ceci est illégal et doit être traité comme tel…

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Solutions : qu’ils remboursent eux seuls les escrocs définitifs du prétendu « haut de la société »…
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Pour alléger la dette, un impôt exceptionnel (et vraiment perçu) sur le capital privé ?

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« Si la hausse de la dette n’est pas principalement due à l’augmentation des dépenses publiques, quelles sont les solutions possibles, autres qu’un budget d’austérité ? « Économiquement, ce serait tout à fait possible pour la France de ne plus financer sa dette sur les marchés financiers, fait remarquer Michel Husson. C’est un choix antipolitique de ne financer sa dette qu’auprès des marchés financiers. Mais on peut faire tout autrement. Ce serait, par exemple, très possible de demander aux banques privées d’avoir des quotas de dette publique. Et aussi, comme ça se fait aux États-Unis et Royaume uni, de faire financer la dette publique par la banque centrale. »

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« L’audit propose aussi de faire financer les dettes publiques par le Livret A – donc par les épargnants français – à des taux d’intérêt bas mais garantis. Autre solution : un impôt exceptionnel progressif sur les 10 % ou les 1 % les plus riches pour rembourser une partie de la dette. Une idée également émise par Thomas Piketty : un impôt exceptionnel à un taux de 10 % pour les patrimoines entre un et cinq millions d’euros, et au taux de 20 % au-delà de cinq millions. Une telle mesure permettrait d’obtenir en une seule fois 20 % du PIB et donc de réduire considérablement et d’un coup la dette publique. Ce n’est pas du tout la direction prise par le gouvernement. » (Rachel Knaebel)

http://www.bastamag.net/Pourquoi-la-dette-publique-francaise-explose-alors-que-les-depenses-de-l-Etat-n

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Conclusion ? Ces mesurettes pour midinettes ne sont qu’un tout premier pas …

……………………………..Il en restera 99 autres à faire !!!

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Lire aussi : Sur le déficit de la Sécurité sociale, lire aussi notre enquête : Cotisations sociales : pourquoi les patrons fraudeurs sont si rarement poursuivis

Sur le secret des détenteurs de la dette française :
La dette de la France, un secret bancaire ?

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

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Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

(à suivre)

……………. tous ces posts sont bien reliés à une pensée globale

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuitshttp://www.freethewords.org/, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et "L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie", onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, LE ROMAN DE L’ÉCONOMIE, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 3 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Les chiffres déchiffrés ? Les riches seuls pèsent sur le budget du pays.

Publié dans economie et politique

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S
Bonjour chères frères et sœurs<br /> <br /> Je m'appelle Delarue Vanessa<br /> <br /> Je fais ses témoignages pour témoigner la compétence d'un vieux vraiment formidable.<br /> <br /> Je vous assure que j'ai eu à contacter plusieurs marabouts qui sont rien que des faux , des menteurs, des escrocs je ne sais plus quoi les qualifiés mais suite aux plusieurs recherches je suis tombé sur ce vieux qui m'a vraiment redonner le bonheur , le bonheur que je recherche depuis tant d'années il est vraiment formidable je souffrais d'une rupture avec mon mari il m'a quitté cela à fait 1 an 1 mois et même au boulot j'ai perdu le travail mon père était gravement malade mais dans un intervalle de 3 jours je vous rassure que j'ai eu des miracles dans ma vie grasse à ce vieux aujourd'hui je vis bien avec mon mari , mon père est guérit, on m'a ra-pellé au boulot et j'ai même refuser mais actuellement je suis dans un autre service qui est mieux que l'autre vraiment je ne sais pas comment remercié ce vieux il m'a travailler sans me prendre un euro j'ai d'abord eu la satisfaction avant de le récompenser vraiment il est très bon ce vieux . Alors vous qui souffrez de n'importe que problème, vous qui avez n'importe des soucis ne vous faites plus de souci contacté directement ce vieux voici son adresse<br /> <br /> E-email : said.marabout@outlook.fr<br /> <br /> Ou vous pouvez l'appelez directement sur son numéro portable 00229 98 98 29 82<br /> <br /> Ou sur son Whatsapp: 00229 98 98 29 82
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