L’argent ne fait pas la vérité
L’escalade permanente des études biomédicales falsifiées atteint un tel niveau qu’il faut bien se dire que l’argent ne peut; ainsi, imposer « sa » vérité. Surtout lorsque « la » vérité objective disparaît. L’argent doit donc cesser d’être le maitre et redevenir le serviteur. Il y tant de valeurs qui lui sont supérieures. Le culte insensé de l’argent n’est, d’ailleurs, le fait que de cœurs médiocres. S’ils semblent dominer le monde, actuellement, il faut juste les empêcher de nuire aux autres qui ne partagent pas du tout cet avis… Le principe restant de ne pas casser les hommes ‘(le fait des esprits minables) mais de casser le système qui les a forcé à devenir comme cela.
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Dans cette perspective, nous abordons ce très difficile sujet, ligoté de tant de controverses et quiproquos, de la manière suivante. 1) Présenter des éléments factuels (vus de l’intérieur, en somme) sur les études biomédicales. Plus un élargissement de la vision : les non-dits méthodologiques de la recherche biomédicale. Ce qui aboutit à circonscrire les quiproquos sur la causalité en épidémiologie et en santé publique. Et même de parvenir à un historique de toutes les erreurs dans l’histoire globale des sciences – erreurs rectifiées par la connaissance scientifique actuelle. Cette approche « philosophique » du savoir (il ne faut rien rejeter, le savoir est unifié et il n’y pas de discipline réellement supérieure elles sont toutes complémentaires) : en effet, des études ont montré que, dans le monde d’aujourd’hui, la grande majorité des esprits sont attachés à des erreurs démontrées fausses depuis peu ou longtemps. Mais à que cela ne tienne, ces esprits « préfèrent » ces erreurs « qui leur conviennent » à la réalité. Ce qui fait qu’à 80 % ces têtes peuvent demeurer dans l’erreur. Puis à 70 %, à 60 %, à 50 %, à 40 %, à 30 %, à 20 % d’erreurs. 10 % ? Très très rare donc qui vit avec 0 % d’erreur en soi. Que ce soit dans n’importe quel domaine, l’erreur semble aider à vivre….aussi, la philosophie reste essentielle pour la santé mentale collective. Sa suppression de la scolarité en dit long sur la corruption des pouvoirs…envers la santé – la problématique en devient que tous les savoirs devraient être isolés de toutes pressions. D’argent et autres. La très judicieuse fonction publique sépare l’ordonnateur de la dépense du comptable de sa réalisation. Montesquieu séparait les pouvoirs exécutifs, législatifs et judiciaires. Le drame politique actuel est la concussion de toutes les activités qui ne respectent plus la hiérarchie de la réalité. Anarchistes (dans le sens de destructeurs de la société par le chaos) que tous les gouvernants mondiaux actuels qui « s’arrêtent » au respect apparent et extérieur des hiérarchies artificielles humaines. Créées par les hommes et sans aucune valeur de …véracité. Ces mêmes autoritaristes abusifs qui, ne portant en eux aucune vision collective, n’ayant rien à offrir ou faire souhaiter, se sont rétrécis à la si aveugle et stupide action de la matraque, ne démontrent plus que…le répressif. Ce qui est une aberration que de matraquer le futur avant qu’il naisse…
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Bien – ainsi, solidement armé mentalement, pour déjouer toute les absurdités d’où qu’elles viennent. Soit l’argent ne fait pas la vérité La hiérarchie artificielle ne fait pas la vérité puisque – sur le fond - l’important est « ce qui » est dit et non « qui » le dit – nous abordons, le plus paisiblement possible ( afin de, surtout, trouver les vraies solutions) la tragédie où l'industrie pharmaceutique à corrompu notre système de santé. Et a tout inversé, renversé, rendu pervers, lus à l’envers : les intérêts ne sont pas la santé mais la maladie, il faut partout augmenter les maladies afin de faire des… bénéfices. Sauf que la réalité, un fois de plus, répond par de grandes claques sur les joues des cancres capitalistes. Bénéfices vient de bénéfiques (bene le bien dans l’étymologie comme bénévole)…bref , leur monde à l’envers doit cesser.
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Solutions ? Y mettre fin. Comment y mettre fin ? En faisant de la santé publique un « bien commun » et, en conséquence, en dessaisissant les mains à fric de toute décision sur la santé. Et, de ce fait, en affrontant les diffamations sur les services publics. A but non lucratif toujours mais bien là pour rendre universel service à égalité d’accès de tous.
Et donc en osant que :
1 – les services publics coûtent bien moins cher que le privé pour la société. Et que, de plus, ils empêchent toute spéculation, tous délires illégaux de la Bourse. Puisqu’ils sont à but non lucratif. Et qu’ils n’ont pas de surcoûts MONSTRUEUX tels les salaires et leurs annexes des dirigeants privés, les dividendes illégaux des actionnaires, les spéculations que seuls des gangsters se permettent, etc.
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2 – que donc l’avalanche d’incompétences (supposées du public) n’existe pas. Ce n’est qu’une propagande hypocrite afin que les dirigeants du privé se servent trop directement dans le trésor public. Dans le sens c’est « compétitif » si cela leur remplit, indécemment, les poches. Dans leur bouche compétent, compétitif n’a AUCUNE valeur, cela ne veut rien dire d’autre que leurs inacceptables avidités. Ne vont-ils pas jusqu’à inventer et fabriquer une dette en, ne payant pas d’impôts et, pour ce surcroît de « charges » (ne pas payer d’impôts), recevoir abusivement des aides...écrasantes…ce qui amorce « leur » dette. Et, ensuite – ils monnaient très cher - ‘la dette en augmente encore d’un tiers – « leur » sortie la dette en l’augmentant toujours plus et en ne la résolvant donc… jamais. Nous restons toujours en plien dedans, toujours plu loin de la sortie…Le tout saupoudré de la folie inacceptable de privatiser les bénéfices ET de nationaliser les pertes. La compétence évidente des services publics c’est …de rendre publics les bénéfices en les partager. Et de privatiser les dettes ; dont « la » prétendue dette publique. Cette nouvelle vision pleine de santé publique rendra saine toute la …santé publique…
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L’argent ne fait pas la vérité. Surtout pas. Le retour cyclique d’études indépendantes sur la perte de crédibilité d’un grand nombre d’études biomédicales est là pour le justifier. Les dernières en date sont du 4 janvier 2016.
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En voici des extraits … « Deux groupes de chercheurs ont porté un coup à la crédibilité d’un grand nombre d’études biomédicales qui, selon eux, fournissent rarement les données et la transparence nécessaires pour vérifier les résultats ou les reproduire indépendamment. Les deux analyses ont été publiées lundi 4 janvier 2016 dans la revue scientifique américaine PLOS Biology. »
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http://www.interet-general.info/spip.php?article22717
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1) – La première investigation porte sur « 441 études publiées entre 2000 et 2014 dans de grandes revues scientifiques. Elle vise à déterminer les données clés fournies pour pouvoir évaluer et reproduire les résultats ainsi que l’accès aux protocoles de ces travaux et la fréquence des études reproduisant leurs conclusions. Les auteurs ont été surpris de constater que seule une de ces 441 études proposait sa méthodologie complète et aucune n’a rendu accessible la totalité des données collectées. De plus, la majorité des travaux ne précisaient pas comment ils avaient été financés ou si les auteurs avaient des conflits d’intérêt. » Le côté excessif « confidentiel défense » conduit à s’interroger défense contre qui ?
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2) - La seconde investigation aura « passé en revue des centaines d’études pré-cliniques menées avec des souris et des rats qui portaient sur le cancer et des accidents vasculaires cérébraux. Conclusion : la vaste majorité des études analysées ne contenaient pas suffisamment d’informations sur le nombre d’animaux utilisés. Dans un grand nombre de ces études, des animaux « disparaissaient » sans explication dans le courant des études. Utilisant un modèle informatique, ces chercheurs allemands ont pu simuler les effets de ces pertes d’animaux de laboratoire sur la validité des résultats des expériences. Ils ont ainsi conclu que plus le nombre des animaux perdus ou retirés était grand, moins solides étaient les conclusions des études.
Pour les auteurs de ces deux études, des milliards de dollars sont gaspillés annuellement pour des études dont on ne peut pas reproduire les résultats. Cette incapacité à pouvoir vérifier les conclusions de ces travaux scientifiques a entraîné une crise de confiance dans la validité des résultats. »
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Nous pouvons trouver, abondamment, de telles dénonciations. En Avril 2015, c’est le Dr Richard Horton, éditeur en chef du très fameux magazine médical dit « de référence » The Lancet, qui conclut ceci : « Une bonne partie de la littérature scientifique, peut-être la moitié, est sans doute tout simplement fausse ». Ce qui est sans équivoque. En quelques mois le pourcentage de fausseté semble même avoir augmenté.
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Et de poursuivre « Affligée par des études sur de petits échantillons, des effets minuscules, des analyses exploratoires non valables, pétrie de flagrants conflits d’intérêts, avec de plus une obsession de participer aux tendances à la mode mais sans importance, la science à pris un virage vers l’obscur. » Ce qui ressemble à un diagnostic de grave régression du savoir, de « désintelligence » en action.
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L’investigation continue ainsi « Ah. Pas très surprenant pour qui suit cette industrie avec un oeil un peu critique, et les quelques grands arrangements financiers entre les tribunaux et certaines entreprises pharmaceutiques pour éviter les procès apparaissent de temps en temps dans la presse mainstream (voir sur le blog: Big Pharma à l’amende), mais ici c’est du lourd.
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Contexte: Richard Horton publie ce brûlot suite à une conférence tenue au Wellcome Trust à Londres sur le thème « Reproductabilité et fiabilité de la recherche biomédicale ». Les règles très particulières de cette conférence empêchent aux participants de divulguer les sources des informations qui y sont présentées, mais Horton ajoute:
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« L’aspect endémique de ce mauvais comportement est alarmant. Dans leur quête d’une histoire captivante, les scientifiques trop souvent sculptent leurs données pour les rendre raccord avec leur conception du monde. Ou ils rétrofitent certaines hypothèses afin de les concilier avec leurs données. Les éditeurs de journaux (scientifiques, ndt) méritent leur part de critique. Nous aidons et facilitons les plus mauvais comportements. Notre reconnaissance du facteur d’impact nourri une compétition malsaine pour une place dans les quelques journaux les plus réputés. »
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Horton fait le tour des éléments qui lui semblent participer à ce comportement délétère et dangereux de la communauté biomédicale, avant de proposer des remèdes. Il cite notamment la méthode développée en physique des particules:
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« Une des propositions les plus convaincantes vient de l’extérieur de la communauté biomédicale. Tony Weidberg est un Professeur de physique des particules à Oxford. Suite à une suite d’erreurs importantes, la communauté autour de la physique des particules investi aujourd’hui de grands efforts dans la vérification et la revérification intensive des données avant publication. En filtrant les résultats au travers de plusieurs groupes de travail, les physiciens sont encouragés à critiquer. Les bonnes critiques sont récompensées. L’objectif commun est d’obtenir un résultat fiable, et les incentives des scientifiques sont en phase avec ce but. »
Mais il ajoute que la route sera longue, les leaders de la communauté biomédicale n’étant guère motivés à initier une telle remise en question. Son article est disponible ici (en anglais).PIIS0140673615606961 »
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http://rhubarbe.net/2015/06/29/la-moitie-des-etudes-biomedicales-seraient-fausses-selon-the-lancet/
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Afin de ne pas multiplier les exemples, nombreux, nous avons préféré joindre des liens et des vidéos afin de pouvoir se constituer assez d’éléments probants pour se faire sa propre idée. Le dommageable de cette ambiance délétère c’est qu’il faille, désormais, traiter la communication médicale comme on traite la communication politique : avec le plus grand scepticisme. Le marketing du mensonge et de la perte de confiance a encore frappé. L’argent ne fait pas la vérité.
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Seulement, il demeure très utile de jeter un regard sur ces méthodes marketing qui visent juste à vendre dans n’importe quelles conditions :
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« Ces techniques sont la création de fausses adresses mail, de faux collègues, d’identités réelles volées pour créer de fausses évaluations, ou encore des auteurs qui publient des avis à la gloire de leurs propres publications, qu’ils font ensuite passer pour des avis indépendants. L’éditeur en question, Springer, annonçait donc le 18 août par cette déclaration qu’il retirait 64 publications dont les évaluations, suite à une enquête interne, se révélaient être bidons. Ceci survient quelques mois après une autre rétractation, par la revue BioMed Central cette fois, de 43 publications. En 2014, l’éditeur SAGE Publications retirait 60 articles du Journal of Vibration and Control suite à la découverte d’un réseau « d’examen par des pairs » fictif où les auteurs évaluaient leurs papiers, et ceux de leurs collègues, sous de faux noms.
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Selon le blog Retraction Watch, qui piste les rétractions d’articles scientifiques sous toutes leurs formes (fraude, plagiat, etc..), cela porte à 230 le nombre de publications dépubliées depuis 3 ans pour fraude dans leur évaluation. Cela fait peu au regard des dizaines de milliers de papiers publiés chaque année, mais ce phénomène semble récent, inconnu avant 2012. Aujourd’hui, ce syndrome de dépublication par évaluation frauduleuse représente 15% de l’ensemble des retraits. Pour Ivan Oransky, journaliste scientifique et co-fondateur de Retraction Watch, ce phénomène fait penser à un virus qui serait resté dormant depuis des années pour se réveiller aujourd’hui. Et il n’est certain de savoir s’il s’agit effectivement d’un phénomène nouveau, ou d’une capacité nouvelle de détection de ce type de fraude. »
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Ce tableau de comportements trop massivement soutenus par la société qui ne remet jamais en question les travers mentaux potentiellement dangereux tels :
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*** - L’argent fait la vérité. Sur le modèle du grand banditisme, si vous étalez de l’argent vous dites la vérité. Oui vous avez toujours raison. Face au peu d’impact des pauvres dans le mainstream, il est clair que ce sont les trop riches qui « font » la corruption. Lorsqu’il s’agit de santé ce comportement en devient barbare et fortement régressif.
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*** - La gloire fait la vérité. Vous êtes connus vous savez tout par essence. Vous ne vous trompez jamais. Il est donc possible de bâcler tout ce que vous entreprenez. Vous critiquer est une faute réprimée par les médias mercenaires. C’est oublier l’aveu limpide que la renommée est…renommée. Par qui renommée ? Ce qui nous fait ressentir que, dans le monde capitaliste sans honneur, aucune renommée n’est crédible a priori. Et qu’il y a des nommé-e-s qui nous apportent bien plus que cette dictature par les noms scandés comme des marches militaires.
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*** - La hiérarchie fait la vérité – la tendance actuelle ce serait plutôt que toute ces hiérarchies « fabriquées », frauduleusement cooptées, «font » le mensonge généralisé. A force d’avoir mélangé, imprudemment, l’autoritarisme vide (l’arme de qui a tort) avec « faire autorité » (lorsque vos apports honnêtes emportent les convictions et sèment le bonheur autour de nous…) – nous pouvons assister à l’implosion de la société par perte de CONFIANCE dans tous les domaines.
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*** - Et autre manières tyranniques de « faire » la vérité comme si tout devait finir dans le terrorisme intellectuel, les pressions malsaines, les magouilles, etc. – Bref, que des comportements qui avouent ne pas aimer la vérité. Et ne pas l’aimer au point de vouloir en effacer toute trace…Sans doute, jusqu’à la... privatisation de la vérité !
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Ce qui nous rend bien plus forts de comprendre à quel point l’argent, devenu fou, n’a plus que les compulsions obsessionnelles de…
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………………………..…..vouloir défaire toutes les vérités
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……………….qu’il en est devenu le pire ennemi de la vérité !!!
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…Sans doute parce que la vérité c’est la fin de son illégitime règne ?
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AUSSI >>>>>>>>>
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
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Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
(à suivre)
……………. tous ces posts sont bien reliés à une pensée globale
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et "L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie", onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, LE ROMAN DE L’ÉCONOMIE, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 3 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Les non-dits méthodologiques de la recherche biomédicale
La causalité en épidémiologie et en santé publique : le quiproquo
les intérêts ne sont pas ramener à la santé mais maintenir la maladie
Lorsque nous découvrons à quel point l'erreur domine le monde...
y a-t-il un rapport de cause à effet ?
les conflits d'intérêts sont potentiellement dominants
Comment l'industrie pharmaceutique à corrompu notre système de santé - participant à la mise en place d'un monde à l'envers...
L'échange d'actifs consiste à échanger un actif contre un autre de même valeur mais présentant des caractéristiques différentes. En 2015, cette opération a séduit certains acteurs de la santé désirant grandir et se développer. À l'image de Sanofi, qui est entrée mardi en négociations exclusives avec Boehringer Ingelheim. La transaction envisagée consisterait à échanger l'activité Santé Animale de la pharma française (Merial), valorisée 11,4 milliards d'euros, contre l'activité Santé Grand Public du groupe allemand, valorisée 6,7 milliards d'euros. Cet échange d'actifs va permettre à Sanofi de devenir le leader mondial de la Santé Grand Public. - Le parcours de santé: chaque jeudi, des experts vous conseillent sur le marché de la santé et l'évolution des biotech.