La privatisation de la protection de la nature ? (1/2)
Un nouveau pas de l’aliénation du privé mais qui, cette fois-ci, les déconsidère fortement ? Des éléments tendent à le confirmer. Déjà, avec le privé tout est devenu bien plus cher alors que la qualité a baissé. Mais, là, un sentiment unanime de perte de confiance dans ses buts, ses moyens et ses méthodes est en train d’émerger. Toutes les maladresses que son avidité a semé ont fait saillir tant d’aberrations. Et c’est la société toute entière qui refuse la privatisation de la vie. La protection de la nature c’est, justement, d’empêcher le privé de lui nuire. Il semble alors plus que risible de lui confier la sécurité de la vie – un peu comme de mettre entre les mains des kleptocrates les transports de fonds…
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Ce nouvel état d’esprit est synchrone avec l’examen du projet de loi « Reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages » que les sénateurs ont commencé le 19 janvier 2016. Les documents joints permettent d’approfondir le fait que les enjeux soit de refuser la privatisation des gènes des plantes, d’empêcher la dissémination de nouveaux OGM, d’interdire les insecticides les plus dangereux comme les néonicotinoïdes. De se méfier des mesures de…compensations Mais, aussi, de sanctionner la biopiraterie …biopiraterie qui fera l’objet d’un second article…
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Ce qui n’est pas très connu c’est que la base mondiale de la législation est défavorable au privé. Ainsi, le droit international et la directive 98/44/CE sur les brevets interdisent explicitement la brevetabilité des variétés végétales, des procédés essentiellement biologiques, des races animales et des caractères natifs, y compris lorsque ceux-ci sont obtenus par des procédés naturels. Ceci reste sans équivoque. Mais des avocats véreux et des lobbies mafieux (…donc que la loi peut punir) ont sinué et rampé. Et, aboutit à une interprétation surprenante et contestable du droit sur les brevets de la Grande Chambre de l'Office européen des brevets, dans sa décision de mars 2015. Il s’agit du danger de ne plus permettre à tout sélectionneur d'accéder à des variétés existantes et de les utiliser pour créer de nouvelles variétés, ainsi qu'à tout agriculteur de puiser ses propres semences dans ses récoltes, est avéré, mais aussi celui de permettre seulement à quelques groupes puissants, capables d'obtenir des brevets, de se constituer un monopole sur le vivant dans un seul but commercial et financier, plutôt que d'œuvrer en faveur de l'innovation collective et du progrès partagé. Tout ceci plonge dans le grotesque d’une dictature en lego…
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Début 2016 ? C’est la situation actuelle où une loi pourrait inverser ces tendances lourdes. « Le collectif Semons la biodiversité*** appelle à actualiser le Code de la propriété intellectuelle et celui de l’environnement. Objectif : que les plantes, les animaux, les êtres humains mais aussi leurs gènes ne puissent pas être brevetés. »
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** sa composition en fin d’article
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« Pourtant, les pesticides figurent parmi les principaux ennemis de la biodiversité. La France demeure le troisième consommateur mondial de ces produits toxiques, derrière les États-Unis et le Japon. Un amendement porté par les sénateurs écologistes Joël Labbé, Ronan Dantec, Marie-Cristine Blandin et la sénatrice communiste Evelyne Didier a rencontré un vif succès sur Parlement & Citoyens*** : il demande l’interdiction des néonicotinoïdes d’ici le 1er septembre 2016. Présents sur le marché français depuis vingt ans, les néonicotinoïdes sont une famille d’insecticides agissant sur le système nerveux central des insectes. Chez les abeilles, il a été démontré que l’exposition aux doses réelles nuit à l’orientation, l’apprentissage, la collecte de nourriture, la longévité, la résistance aux maladies et la fécondité ! « La production nationale de miel a été divisée par 3 en 20 ans, passant de 32 000 tonnes en 1995 à 10 000 tonnes en 2014 ». Protéger la Nature c’est donc la détruire ? Les dégâts et catastrophes causés par le seul privé (l’illégale gloutonnerie du privé aura blanchi, par contre coup, les services publics à but non lucratif. L’argent fou tue. L'eau empoisonnée au plomb de Flint, Michigan, par exemple, aura mis en lumière que notre santé et notre protection est le dernier de leurs soucis. Alors s’ils veulent s’en monopoliser le fonctionnement il y a perte totale de CRÉDIBILITÉ…La vision du privé est trop étroite – et monomaniaque. Vouloir ne faire « que » de l’argent peut tourner à la folie très dommageable pour tous. Ce que les « biens communs » éviteraient…
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*** Voir l’innovation introduite par les sénateurs
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https://www.parlement-et-citoyens.fr/
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Le fond du débat touche à ne plus faire que spéculer sur l’écologie. Ce qui représente une reconnaissance par l’absurde de l’écologie supposée ne servir à rien. En tout cas le grave dysfonctionnement de ces cerveaux affleure : l’écologie ne vaut rien mais nous pouvons spéculer sur sa…« valeur ». Le privé ment tellement qu’un nouveau mensonge se prend les pieds dans un autre…ou les recettes vénéneuses de comment s’enrichir en prétendant sauver la planète. Le privé s’étant entièrement discrédité sur ces prétentions mêmes qu’il n’incarne absolument pas…voyons-le ici s’empêtrer dans ses falsifications inattentives à l’aide de quelques extraits provenant du lien suivant :
http://www.bastamag.net/Comment-s-enrichir-en-pretendant
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« À côté des marchés institués par l’action publique (Mécanisme de développement propre de la convention climat, Emission Trading System européen sur le carbone, etc.), des marchés volontaires ont le vent en poupe. Ils témoignent de la privatisation des normes et des politiques environnementales aujourd’hui, alors que l’action publique internationale est enlisée au regard de l’échec […programmé] de Copenhague, du manque d’ambition de Rio+20 […programmé], ou de la crise financière […programmée] des agences de l’ONU. Une foule de bureaux d’étude d’experts, de cabinets d’audit, de chercheurs et de sociétés bancaires se démènent pour codifier des standards, des unités de mesure et des règles d’échange pour ces marchés volontaires.
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Ces marchés permettent à des entreprises dont les activités ont des impacts environnementaux désastreux de les compenser pour restaurer à bon compte leur image auprès des consommateurs, des actionnaires ou des bailleurs (montée de critères « verts » […falsifiés] dans la notation financière), soit en conduisant elles-mêmes un projet autour de leurs sites industriels (minier par exemple, comme le fait le géant Rio Tinto) soit en finançant par du mécénat ou des achat de crédits une opération de conservation ailleurs dans le monde. »
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Ces raisonnements aboutissent à un chaos d’absurdités et d’irrationalités….puisque tous les milieux, tous les écosystèmes seraient substituables les uns aux autres…c’est se montrer hallucinés à voir le fantôme de l’argent-équivalent-universel partout. Dans un monde de spectres morbides, s’égarer donc dans l’anti-diversité du substitut monnaie et le prendre pour de la…biodiversité. Plus « ignorant » difficile de faire pire ! Plaquer sur tout (sans même examiner la spécificité de chaque évènement) le mécanisme glacial argent - c’est prendre le but pour l’introduction, le développement et la synthèse. Bref, un fonctionnement pervers. Prendre des vessies pour des lanternes : oui des hallucinations d’ébriétés constantes…Nous ne pouvons laisser des cerveaux aussi détraqués assurer la protection de la nature et de la vie !
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Ici, sévit le ridicule même des « indulgences de l’Eglise » (donnez de l’argent et vos pêchés vous seront remis avec un ruban autour…)…« En ayant la possibilité de compenser un dégât en un lieu par une « réparation » ailleurs, où cela coûte moins cher, on est dans une logique de flexibilité, de délocalisation [ la pauvreté d’esprits enkystés autour de quelques mots mais égarés dans l’immensité de la réalité - fait peur..]. C’est comme si tous les processus naturels pouvaient être ramenés à une seule grandeur monétaire globale… alors que, dans le cas de la biodiversité notamment, sa nature est profondément liée à des espaces, des pratiques et des cultures qui sont très divers. C’est justement ce qui maintient la biodiversité. Mais à la différence du marché du carbone qui entre dans le cadre des mécanismes de développement propre sous l’égide de l’ONU, les crédits biodiversité seront encadrés par des normes et des certificateurs privés […qui fraude étant jugé par qui…fraude…].
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Il y a notamment une proposition faite par des économistes d’un marché des droits à pêcher la baleine . Ils estiment que plus d’un millier de baleines sont pêchées chaque année, malgré les accords internationaux, ce qui représenterait un marché mondial de 35 millions de dollars. En ramenant cette somme à l’animal, ils évaluent le coût de la baleine à préserver entre 13 000 et 85 000 dollars. Ils ont également calculé que les grandes ONG environnementales dépensaient 25 millions de dollars dans leur campagne de lutte contre la chasse à la baleine. Soit presque autant que ce que vaudrait le marché. » Cela un travail « sérieux », nobélisable – alors qu’il est à la portée d’un comptable débutant ? Non la mascarade ridicule suinte de partout….Cette folie palpable est que le capitaliste doit être considéré comme un enfant malade que l’on ne peut pas contrarier. Particulièrement hystérique puisqu’il entre en crise hurlante à chaque fois qu’il est tenté de débattre sur « toutes les ressources du monde ne leur appartiennent pas de droit divin puisque la nature n’a pas signé un acte de vente ». Ici, c’est le « j’ai le droit d’être hors des lois, de cumuler la grande délinquance et le pillage. Qui veut protéger la nature DOIT me payer pour que j’arrête de tout détruire et tout tuer. Mais je fais cela afin de…protéger la Nature. J’ai tellement plus de compétences en ce domaine que les ONG et les citoyens soigneux. »
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« Ces économistes proposent donc à ces ONG d’utiliser leurs fonds dédiés au lobbying pour acheter des quotas de baleines. Elles paieraient pour la conservation, en faisant par exemple des souscriptions auprès du public et des États, ce qui permettrait aux pêcheurs d’être rémunérés sans pêcher. Cette proposition illustre bien l’idéologie ambiante : il faut transformer la nature en marché pour mieux la conserver […où cela ? il n’est fait nulle mention d’un congélateur ? Et les humains Où vivront-ils ? Dans un congélateur bis ?]. Et il faut transformer les activistes faisant du travail politique en simples clients sur un marché. » Un tel simplisme mental ne peut plus obtenir de que considérer avec pitié de tels cerveaux vides…
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Extension de leurs déires ? Tous services offerts gratuitement par la nature deviendrait de la spéculation… séparée de ses conséquences concrètes. Le défaut de ces déraisonnements c’est que la Nature restera …gratuite. On ne peut donc la protéger en en faisant un marché…marchand. Mais en annihilant qui veut faire de la vie une marchandise. Toute législation allant en ce sens…protègera la nature. De ceux qui veulent la détruire en se déguisant d’un discours de protecteur abusif. Tout autre lui nuira… L’argent, ainsi démasqué, ne peut plus dissimuler son masque hideux. C’est lui les vrais méfaits !!! Continuons à le débusquer dans ses efforts pour rendre l’autre fou. Ici, nous avons bien l’impression de voir des alcooliques se parler entre eux. Levées toutes inhibitions à ne pas délirer énormément...
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« Depuis les années 1990 aux États-Unis, il existe une sorte de marché national de la compensation qui permet à un « développeur », lorsqu’il crée un supermarché sur une zone humide dans un État américain, de « compenser » la dégradation environnementale causée en payant une action de conservation dans une autre zone humide à plusieurs centaines de kilomètres. [ quelle adéquation à la réalité – un chirurgien pourra donc ‘ »compenser » en opérant un « autre » patient à 500 hm ?] L’opérateur qui lance cette restauration écologique (nommé « banque » de compensation) vend de son côté ses « crédits » à divers développeurs qui ont besoin de « compenser » les effets négatifs de leurs activités. Ces crédits correspondent à des surfaces de tel habitat dans tel état écologique, ou bien en nombre de couples de telle espèce protégée […qui aura trouvé un seul mot de sensé dans ces modèles d’extrême confusion mentale aura gagné…un crédit illimité pour changer le monde !].
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Ces critères de calcul de l’équivalence entre l’impact d’un projet de « développement » et ce qu’il faut acheter pour compenser sont plus ou moins encadrés par l’ex-Agence de protection environnementale américaine. Aux États-Unis, ce marché de la biodiversité […oxymore impossible] représente 80 000 hectares, plus 400 banques de zones humides et d’espèces protégées, et 3 milliards de dollars de chiffres d’affaires. Plusieurs projets visent à développer de tels marchés, réglementés ou volontaires, au niveau mondial. »… Et la mécanique sourde et aveugle se répandrait partout. Les parcs naturels pourraient être évalués par des agences de notation – dans quel but, tout le monde s’en foutrait. Les performances des forêts en matière de recyclage du carbone seraient quantifiées avec des critères aussi farfelus que le capitalisme. Des produits financiers dérivés biodiversité vous assureraient contre l’extinction d’une espèce – oui comme les subprimes si protégées...etc. Bref, le pire des modèles du monde. Celui où on délire les yeux ouverts. Mais celui où le respect des autres reste le plus bas du monde. Celui où l’argent a cramé toutes les neurones et éteint toutes les sensibilités. Celui qui a le faciès de la…mort. Et qui… voudrait étendre son virus non-dégradable partout sur la Terre. La protéger d’eux-mêmes en ne…la protégeant pas (comme d’un condom mis à…l’index !). Ce qui aboutit à la monstruosité mentale incarnée.
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« Tout échange marchand de tout type de services liés aux écosystèmes comporte des risques […surtout que le cataclysme privé s’en occupe] : que le service ne soit pas rendu, qu’un aléa climatique ou écologique survienne, etc. Pour sécuriser les marchés émergents des services écosystémiques, on recourt donc à des assurances […contre le privé ?]. C’est le début de marchés dérivés et de la possibilité de parier sur la disparition de telle zone ou de telle espèce pour toucher l’assurance […angélismes des puceaux de la tête ? C’est le moyen le plus terrorisant d’inciter à détruite la planète ? Pour que – lorsque tout sera en cendres – toucher l’argent ? Plus intelligent on est…déjà morts], ou faire monter le cours de tel produit financier dérivé. Avec le carbone, les forêts et autres « services écosystémiques », on est en train d’étendre à des processus vitaux de notre planète les mêmes (il)logiques de financiarisation qui ont causé la crise financière de 2008…
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Tout cela se déroule dans un contexte où l’ONU a de moins en moins de volonté politique et ne fonctionne que par des partenariats public-privé, où la communauté politique internationale n’a plus les moyens d’agir. Elle dit aux entreprises : aidez-nous à sauver la planète. Depuis le sommet de Johannesburg en 2002, on a officiellement intronisé les entreprises comme des acteurs légitimes dans l’effort international de protection environnementale. Mais pour que les entreprises sauvent la planète, il est impératif pour leurs actionnaires que cette activité devienne lucrative. Et donc on s’ingénie, dans les agences de l’ONU ou à la Banque mondiale, à instaurer de nouveaux marchés de la nature.
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Fini, les taxes, les parcs ou les régulations publiques, on ne jure plus que par les « instruments de marché » : paiements, enchères, marchés de droits à polluer et de compensation, prêts hypothécaires basés sur la nature… comme la bonne façon « innovante », souple et efficace de gérer l’environnement et de « sauver la planète ». De même qu’il y a un projet néolibéral pour l’eau, les services ou pour l’éducation, on voit bien ici se dessiner les contours du projet néolibéral pour financiariser la gestion de l’ensemble de la biosphère et l’atmosphère… Et il y a de bonnes raisons de trouver tout ceci dément ! »
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Le lien suivant permet de faire un point global sur tous les thèmes abordés.
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Le fonctionnement à vide de cerveaux entièrement mécanisés – plaquant ,toujours de manières plus inadéquates, des procédés supposés « faire » de l’argent….mais en n’examinant jamais les conséquences globales et les coûts collectifs de ces simplismes outrageant – a avoué l’incompétence radicale en ce qui concerne le privé par rapport à la nature et la vie. Il n’y connaît rien, ne veut rien y connaitre, ne veut rien protéger - juste coller ses mécanismes trop sommaires. Ce sont des êtres immatures qui ne savent pas quoi faire de leurs…jouets. Auto-enfermés dans des apprentissages qu'ils n'ont pas compris !
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Sauf que cette fois-ci ils ont mis tous les doigts dans les engrenages des ridicules (ceux donnent des rides à tout)…et qu’il va devenir très facile et très didactique de les…caricaturer !!!
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…..Le rire devenant la route la plus rapide pour tout…comprendre !!!
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>>>>>> AUSSI
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http://www.semonslabiodiversite.com/les-membres-du-collectif/
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http://www.bastamag.net/Les-firmes-defendent-leurs
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Pendant plus d'un an, dans cette ancienne ville industrielle durement touchée par la pauvreté, les habitants ont consommé de l'eau empoisonnée au plomb. Le scandale a mis en lumière des réalités économiques et politiques désastreuses.
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http://lesmoutonsenrages.fr/2016/01/22/bolivie-le-deuxieme-plus-grand-lac-du-pays-bientot-a-sec/
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Dans une civilisation où il deviendrait prohibé de montrer ce qui est beau, bien, vrai, juste, de peur que cela ne dresse les êtres les uns contre les autres – nou serions dans une civilisation du moins disant. Où il est devenu vraiment impossible que le bien, le beau, le vrai, le juste surviennent.
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
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Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
(à suivre)
……………. tous ces posts sont bien reliés à une pensée globale
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et "L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie", onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, LE ROMAN DE L’ÉCONOMIE, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 3 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
La vie est-elle un produit marchand ? C'est là tout l'enjeu du débat sur la brevetabilité du vivant. De quoi s'agit-il exactement ? Tout simplement d'autoriser, ou non, des entreprises à déposer un brevet sur une plante, un animal ou même un être humain. Bref, de permettre à l'entreprise de faire du commerce avec le vivant.
le ridicule pointe dru...les macs de la vie !!!