Erreur fondamentale d’attribution ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Nous commençons d’avoir un patrimoine de textes solides qui s’est butiné aux cours de tant d’échanges de textes. Ainsi, la certitude démontrée que le milieu social où perdurent le plus d’aliénations c’est chez les prétendus dirigeants. C’est là où se concentrent le plus d’idées fausses. Comment vous dites-vous ils osent prétendre diriger le monde en en sachant quasiment rien de concret ? Aussi bien, ne le dirigent-ils pas…ils le désorganisent. Et pas plus. Ils n’ont jamais les rênes en main…que du virtuel. Aussi, la réalité qui reste toujours plus forte qu’eux (…oui, avoir fourni tant d’efforts afin de devenir…expert(e)s du réel nous revient en très gratifiant. Tandis que, pour ces aliénés basiques – il n’y a plus que les retours des refoulés, les chocs en retour des auto-hypnoses, etc. !) nous dévoile tous leurs dysfonctionnements.

En illustration de la perte tendancielle d’intelligences, d’entendements, de perspicacités, de compréhensions, de savoirs des décisions, etc. de ces prétendus dirigeants – ces nouvelles données. En fait, « dans la place », comme rappent les rappeurs, il n’y a plus que des esprits comme les nôtres ! Eux se sont dissous et dix sous c’est pas grand-chose…Nous sommes dans la place.

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L’Erreur fondamentale d’attribution ? C’est être complètement influencé (jusqu’à l’aveuglement) par la « situation » apparente (que l’on va même jusqu’à …supposer être !) d’une personne – afin de « juger » de tout. De la valeur et de la portée de ses analyses, remarques, conclusions. De la pertinence de ses vues. Etc. Bref, c’est en quelque sorte prendre des vessies pour des lanternes. Ses lubies pour de la rationalité supérieure. Ses vagues suppositions pour des vérités scientifiques…A côté de la plaque et hors sujet. Et de projeter cette grave erreur sur qui nous avons fait un si piètre diagnostic…comme si elle/ étaient réellement nos illusions ! C’est leur responsabilité qui reste engagée : vous attribuer une défectueuse attribution n’est plus qu’une erreur d’attribution. Le contraire de la vérité – en clair !

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Nous prolongeons cet angle tout neuf de vue, par diverses de nos propres observations – puisque l’ensemble de nos activités passés et actuelles nous font comme couvrir toute la société en fait (ce qui n’est pas le cas des prétendus dirigeants enfermés dans une minuscule bulle fors sol et ne connaissant strictement plus rien du monde réel où l’écrasante majorité de leurs contemporains vivent – ne leur est connu rien d’autre que ce que les flatteurs leur permettent de voir, triste prison, non ?)…ce sont ces :

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Si je suis riche – je SAIS TOUT.

Si je suis dirigeant – je SAIS TOUT.

Si je suis élu – je SAIS TOUT. Etc.

** /// *** - or tout ceci appartient à un comportement dit « superstitieux ». Qui « croit » qu’il y a une relation causale entre son ressenti intérieur et l’évènement objectif lui-même. Comme il peut être vérifié en détail en toute fin d’article.

Cette erreur fondamentale d’attribution décrit deux concomitances qui n’ont rien à voir l’une avec l’autre et y place, étourdiment, du sens. L’histoire nous a montré des hommes de pouvoir qui apprenaient sans cesse, utilisaient toutes les occasions pour comprendre, écoutaient (voire recherchaient) toutes les opinions les plus diverses…etc. Aujourd’hui c’est d’une aliénation (demeurer en vase clos avec des personnages ayant eu la même formation scolaire, fréquentant les mêmes lieux et…n’en sortant jamais. Congelés dans des routines où il n’y a jamais de remises en questions de quoi que ce soit, zéro brain storming !) et d’un refus de connaitre et reconnaitre la réalité globale (…le déni de « fou du roi » c’est ne plus supporter les moindres critiques ou questions constructives - ne plus s’entourer que de flatteurs et non d’esprits indépendants mais justes, ne peut aider à vraiment penser)…Donc ces liens « illusionnés » – qui leur paraissent aveuglants qu’à eux seuls – les laissent plus que perdus. Du moins dès que leur machinerie médiatique (toutes ces technologies qui pensent pour eux, à leur place, qui leur font perdre le…sens des mesures et des proportions) oui cette machinerie pour handicapés médiatiques (…sans cet appareillage ils ne…peuvent plus rien. Pouvoir bien trop court pour qui se prétend…homme de pouvoir)…oui ces mécanismes acéphales les égarent toujours plus loin de la raison.

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Ceci nous est apparu clairement après un témoignage. Celui qui suit… : “J’ai toujours, sans le vouloir, attiré les confidences ; des humains viennent spontanément se confier à moins. Je suis un personnage de beaucoup de rencontres. Ce qui m’aura permis de frôler des stars, sans que j’ai cherché à prolonger ces hasards – et j’ai bien ressenti que je leur arrachais comme des secrets. Ainsi – afin de faire image – ce raccourci mien pour rendre compte de parties de conversations. A la question de que pouvons-nous faire pour mettre fin aux misères ? Ou bien Comment semer plus de justices partout ? Etc. j’ai pu déceler une récurrence entre tous ces courts dialogues. D’abord, j’admets que la question reste embarrassante et que donc la réponse ne peut qu’être difficile à mener – pourtant j’ai ressenti (…étant hyper sensitif) comme un petit robot qui pointait ses pouces vers lui-même en scandant « mon succès, mon succès, mon succès ». Il suffit donc qu’elles/ils aient du succès pour que…mondialement tout aille mieux. Ce ressenti m’a marqué à vie. Ces erreurs d’affectations des causes, ces rapprochements impossibles, ces raccourcis irrationnels, ces fausses attributions d’un évènement personnel restant local (le succès) vers un impact très collectif (le changement du système), ces méconnaissances des rouages réels de la société ou ces lacunes dans les facultés de raisonnements m’ont rendu assez triste à leur sujet. Et bienheureux de découvrir que je n’étais pas atteint de ce strabisme mental qui égare

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Ce témoignage poursuivi, ensuite, dans nos discussions nous a mis en mémoire ces rapprochements proprement erronés. Des causalités mécaniques, des attributions inexistantes de qualités se trouvant dans un tout autre site mental. Être riche ne rend pas – automatiquement et comme par essence – intelligent et clairvoyant. L’un peut aller sans l’autre. Il n’y pas de couplage nécessaire. La « position » (toujours rêvée puisque tout le monde est à la même hauteur physiologique – et que, sauf dans les discours, il n’y pas des humains naturellement en haut et d’autres en…bas ! Une vue de l’esprit !), oui la position (posée et donc supposée !) n’offre pas de pilule qui fasse omniscient. Être élu ne dégage pas une qualité immanente qui porte, dans ses plis, l’infaillibilité, etc. Ce peut même être l’inverse…Ce pourquoi notre tableau de l’aliénation maximale (par effet de groupes) place la plus haute aliénation dans les sphères qui s’autoproclament dirigeantes – ce qui intègre nombres de non-dits. Aliénation prend, ici, le sens de : qui ne perçoit pas bien le réel. Ce qui s’ajoute à : ils n’essaient jamais, non plus, de le comprendre, de s’informer objectivement, de confronter tous les points de vue, d’utiliser les feedbacks (techniques de retour sur les résultats des actions et des argumentaires)…bref, ce sont ceux-là mêmes du « cachez le réel que je refuse de voir en face ». En conclusion : de réels fardeaux, d’encombrants fardeaux pour des esprits adultes (qui tentent de tout inclure et non d’exclure, de s’ouvrir et non de se refermer, de rester toujours du côté des solutions et pas des problèmes, de demeurer désintéressés et honnêtes, d’endosser toutes les responsabilités et même, parfois, celles des autres, etc.…) qui doivent, en plus, se charger des dysfonctionnements intellectuels des prétendus dirigeants. Et en tenir compte pour les expertises du réel complet.

Voici qui (…ajouté à l’erreur fondamentale d’attribution) change tous les « points » de vue. Il y a des points de vue qui ne sont que dans le dopage et la gonflette. Dans l’excès ivre des médias, l’abus de positions prétendues dominantes, etc. D’autres (non reconnus) qui dominent l’époque et donc demeurent les seuls qui détiennent les…solutions…Guère étonnant, alors, que la majorité des ces sujets aux aliénations ne comprennent pas ceci : deux positions dissymétriques (socialement « construites », en plus) ne permettent pas de déduire ou d’inférer que le placé arbitrairement (sans son avis préalable) en position dite «d’infériorité» - pense mal, ne sait pas raisonner et ne peut jamais avoir raison. Tout cela n’est que basses erreurs d’imputations. Et non fruits d’un réel savoir. Les véridiques qualités individuelles ne sont pas incluses dans ces « effets de position ». En clair, ce n’est pas parce que la personne vous voit, de façon erronée, que vous êtes comme cela (dans l’erreur). C’est sa seule responsabilité de frivolité mentale. Ce n’est pas du tout votre réalité. Se laisser «influencer» par les feignant(e)s des apparences disqualifie – à la longue – qui s’y adonne. Ce qui à la longue arrive aujourd’hui…Pile poil.

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https://fr.wikipedia.org/wiki/Erreur_fondamentale_d'attribution

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Dans Wikipedia il est formulé ainsi : l’erreur d’attribution situationnelle c’est d’y mêler des causes dispositionnelles qui n’ont absolument rien à y voir – dans le témoignage d’un évènement. Ou d’évaluation d’un être humain. C’est par fainéantises des apparences qu’auront, déloyalement, été favorisés les facteurs internes plutôt que les conditions environnementales, ou encore qu’aura été minimisée l'importance du poids de la situation extérieure qui tombe sur le sujet - quand on cherche à trouver les causes du comportement d'un individu. En gros, ceci parvient à tout est toujours de la faute de l’individu. Jamais du système et de la société !

Ce qui, formulé autrement, parvient à :

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Psychologie percutante en ...économie

« Une tendance générale des individus à sous évaluer, dans l’explication du comportement d’une personne, l’effet lié à la situation dans laquelle elle se trouve et à sur estimer, au contraire, l’effet associé au caractère de cette personne.

  • Lorsque les individus anticipent leur comportement, ils sur estiment donc leur capacité au libre arbitre (et leur degré d’autonomie) et sous estiment la pression de l’autorité.
  • Ils tombent dans l’erreur fondamentale d’attribution. Et ne comprennent donc plus rien à la réalité des faits.

En économie, l’erreur fondamentale d’attribution implique une erreur d’appréciation d’un agent sur le type de l’autre, c’est-à-dire sur sa personnalité. » Ce pourquoi les têtes des financiers ne connaissent absolument pas les êtres humains et, de ce fait, et en aucun cas, ne doivent diriger les sociétés

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« Si l’agent utilise de l’information sur le comportement de l’autre, sans prendre pleinement en compte le contexte de la décision, il risque ainsi de se méprendre sur ses intentions ou sur la nature de ses préférences. » Et c’est ce qui arrive : les autres humains sont bombardés de préJugés hors sujet – mais comme ils ne sont pas les dénommés « experts » il va être fait comme si les divagations erronées de ces financiers sont…vraies !

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« En utilisant un protocole astucieux, Weber et ses collègues [WEBER R., CAMERER C., ROTTENSTREICH Y., KNEZ M. [2001], The illusion of Leadership : Misattribution of Cause in Coordination Games, Organization Science, 12, p. 582-598.] montrent que les membres d’un groupe ont tendance à blâmer (injustement) le leader pour son incapacité à faire émerger une solution avantageuse pour tous dans un jeu de coordination ». Tout en faisant, en douce, tout afin qu'il n'y...parvienne pas !

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Psychologie sociale.

  • On doit cette expérience, datant de 1977, à Ross, Amabile et Steinmetz.

L’Erreur fondamentale est le fait de privilégier les explications internes (dues au sujet) et de sous estimer le Rôle des facteurs externes ou environnementaux. ..

Ross monte une expérience comparable à « Question pour un champion » ; on a un public (Sujets) qui assiste à la scène suivante : …

Un premier sujet, désigné comme « questionneur », pose des questions, qu’il construit lui-même en fonction de ses propres compétences ; sur ses centres d’intérêt par exemple, à un autre sujet.

.. Le « questionné » ne sait bien évidemment pas toujours répondre aux différentes questions qu’a choisit « le questionneur ».

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Ross pose ensuite à tout le public la question suivante:

  • Quel est selon vous, le plus cultivé des deux ; le questionneur ou le questionné ?
  • Il pose également la question aux acteurs du jeu de rôle sous la forme suivante :
  • Évaluer votre culture générale et celle de l’autre

… Résultats : ..

  • Tous les sujets font des attributions internes sans penser à la consigne de départ. Le questionneur va toujours être le mieux jugé. On ne prend pas du prendre en compte les déterminants de l’environnement incarné par les positions occupées de questionneur et de questionné. »

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Et tout demeure dans les apparences, dans les futilités, dans les préjugés, dans les lacunes de raisonnements, dans le manque de profondeur et dans l’absence d’exigences envers soi-même ‘(si je me permets de juger autrui je dois prendre toutes les précautions et offrir toutes les garanties ! Et là non !)… En fait tout est bâclé, traité négligemment, tout est pensé à la va vite, précipité, hâtif, etc. Nous pouvons dire que le social se voit souillé par tant d’esprits superficiels et arrogants. N’utilisant que rament la précaution envers les autres mais exigeant, abusivement, tous les égards envers eux-mêmes !

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Se méfier toujours de qui favorise, systématiquement, les facteurs internes aux dépens des conditions environnementales.L’être humain doit être respecté et les systèmes qui l’oppriment pas vraiment.

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Pertes du sens des...mesures et des...proportions : incapacité à exercer sa faculté de "juger"..

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http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article2191

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« À partir des années 70, un nombre croissant de psychologues ont compris que les attributions constituent une variable cruciale pour comprendre et modifier des comportements. Il s’en est suivi un nombre considérable de recherches. Nous faisons très couramment des inférences causales, le plus souvent de façon irréfléchie ou peu réfléchie. Nous les produisons de façon consciente et méthodique dans certaines circonstances, comme l’observation d’un comportement exceptionnel, une expérience pénible de manque de contrôle, la recherche d’une stratégie d’action efficace. Ce processus cognitif a une fonction essentielle pour la survie : il fournit des repères pour organiser le flux des expériences vécues, prédire des événements et les contrôler.

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Des attributions fausses ou illusoires

Chez l’animal également

Le psychologue américain Skinner a placé des pigeons individuellement dans une cage. Un dispositif automatique distribuait de temps à autre, de façon aléatoire, une petite quantité de nourriture, indépendamment de ce que faisaient les pigeons.

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Au moment de la première réception de nourriture, un pigeon battait des ailes, un autre se déplaçait en décrivant un cercle, un troisième bougeait la tête selon un mouvement pendulaire, etc. La plupart des animaux ont alors répété plusieurs fois ce qu’ils faisaient à ce moment précis. La nourriture arrivant plus ou moins vite après ce comportement, les pigeons ont apparemment attribué l’obtention de nourriture à cette action particulière. En effet, remis plus tard dans le même environnement, ils ont adopté immédiatement leur comportement initial.

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** /// *** - Skinner a appelé cette réaction un comportement« superstitieux ». Il écrit : « L’animal se comporte comme s’il y avait une relation causale entre son comportement et la présentation de nourriture, alors que cette relation est inexistante ». On peut facilement observer le même processus chez l’Homo sapiens.

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Des attributions peuvent être fausses. C’est le cas lorsque nous croyons en l’existence d’un rapport causal entre des phénomènes qui sont simplement en relation de concordance temporelle (c’est le célèbre paralogisme Cum hoc, ergo propter hoc, « Avec cela, donc à cause de cela »). Il y a à peine quelques siècles, les Occidentaux attribuaient souvent les épidémies à des femmes et des hommes qualifiés de sorcières et sorciers, une erreur qui a entraîné la mise à mort, dans des conditions atroces, de nombreux innocents.

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Plus souvent nos explications, sans être radicalement fausses, sont biaisées, incomplètes, simplificatrices. C’est le cas de « l’erreur du déterminant unique », la méconnaissance de la pluralité des facteurs en jeu. Ce type de mésattribution est fréquent pour des phénomènes habituels, par exemple les résultats scolaires d’un enfant. Pour rendre compte d’un phénomène exceptionnel, la plupart des gens ont plutôt tendance à invoquer une configuration causale complexe.

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Classiquement, les psychologues analysent les attributions en fonction de quatre dimensions :

la perception du « lieu » des causes (interne ou externe) ;

le degré de stabilité des causes ;

le degré de contrôle de l’acteur sur les déterminants ;

le degré de globalité (ou de spécificité) des facteurs. »

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Ces ensembles de données anormalement non diffusées (ce qui permet aux médias déloyaux de les utiliser pour manipuler ?) décrivent les comportements de la majorité des humains (sauf ceux des très salubres et sains anticonformistes !). Mais les prétendus dirigeants, enfermés et refermés dans une bulle d’aliénation maximale, vont grossir tous les défauts remarqués. Vont en amplifier gravement les nuisances Et les porter, parfois, jusqu’à l’intolérable. Et donc se rendre réellement insupportables à toute la collectivité humaine.

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La non-prise en compte, et sans motifs « présentables », des puissants savoirs anti-conformistes augmentent par 100 000 toutes les souffrances subies par tout le monde. Les conformistes, dans ce contexte, agissent donc en bourreaux très illégaux.

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Les erreurs d’attribution sont cruciales pour toute la société et ces erreurs fondamentales pullulent au sommet de la société. C’est donc bien contre eux que nous devons mettre

……………………… en place toutes les précautions thérapeutiques…

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

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Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

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(à suivre)

……………. tous ces posts sont bien reliés à une pensée globale

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et "L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie", onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, LE ROMAN DE L'ECONOMIE, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Plus il y a d’opinions très différentes moins le monde risque de se tromper ………………………

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 000 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

l'erreur est dans l'erreur qui est dans....

l'erreur est dans l'erreur qui est dans....

erreur d’attribution ?

erreur d’attribution ?

Erreur fondamentale d’attribution ?

effet Julien Lepers

Je vois ce que je crois tout en me croyant très rusé avec un je ne crois pas ce que je vois. Patatrac ! les deux confinent aux comportements indaptés…

dans mémoire de singe et paroles d’homme de Boris Cyrulnik

ceci correspond à nombres d’interactions sociales humaines -

nous ne sommes pas - en société - ce que nous croyons être !

le capitalisme tel qu’il est tout nu ne serait pas supporté par l’énorme majorité de la population : aussi faut-il le déguiser sans cesse. Le faire passer pour ce qu’il n’est pas. Le miracle actuel est que les prétendus dirigeants ont oublié cette pensée de base, et se croyant en pays conquis, accumulent toutes les bourdes (…dont les erreurs fondamentales d’attributions) qui rendent leurs règlments complètement intolérables …? Et donc à terme…

erreur sur sa “position” sociale (purement imaginée) qui le rendrait omniscient par nature. Le ras le bol général c’est que les riches ne paient pas d’impôt, se vautrent dans cette illégalité et osent qu’ils paient « trop » d’impôts. Ce qui est un clair déni du réel…ce qui les montrent trop nus…

dans le texte http://www.imagiter.fr/2016/03/t-erreur-ou-bien-miss-take.html l’erreur y était civilisatrice – ici (dirigée que « contre » les autres !) elle n’a pas de bons résultats

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