Expérimenter !

Le quiproquo depuis les années 1970 est bien celui-ci : cesse de paraitre, sois ! Ne bluffe pas, expérimentes – le voyage de la vie est plus intérieur qu’extérieur. Sauf que si tu le fais en toute concentration, que tu te déploies (un peu comme un immense oiseau) et que tu voles…de tes propres ailes. Tu rejoins vraiment l’orbe de la Terre qui est si gigantesque. Plus vite tu le vis et plus vite tu peux transmettre à l’extérieur le goût de cette trajectoire…

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De ne croire que ce que nous voyons présente d’immense défauts : l’essentiel de la vie demeure invisible – nous le ratons donc bêtement. Nous n’apprenons pas, de même, à repérer les frissons de la vie intérieure. Et nous méconnaissons tout le monde et nous en particulier. L’expérience prime – son apparition dans le paraitre social ne prime pas. Sauf dans cette société de frime qui fuit le réel : qui ne vit rien prend toute la place ; qui ne pense pas monopolise la parole publique ; qui n’a guère de sensibilité va parler à la place des autres, etc. Et ces ajouts successifs transforment une société possiblement bruissante, chaleureuse et réactive – en un monstre glacial et mécanique.

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Et tout ceci n’advient que par le…refus d’expérimenter.

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Sauf pour les vrais courageux : celles/ ceux qui expérimentent tout avant d’intervenir dans quelque domaines que ce soi. Les vrais respectueux. Qui affrontent les pires périls qui soient : ceux de l’inconnu mental. Ces êtres sont notre honneur et notre sauvegarde. Cette hiérarchie réelle des valeurs disqualifie, à l’évidence, tous les imposteurs médiatiques. Expérimenter par soi-même et en direct exclut que l’on puisse prendre les autres comme des cobayes de ses propres lâchetés. Qu’ils puissent vivre à leur place. Que les handicapés médiatiques (ceux qui ne peuvent briller par eux-mêmes mais sont juste des prothèses des médias – au point que sans eux ils soient comme éteints)… Oui ces inégalités d’accès à la parole commune sont celles qui les…desservent : et nous ne pouvons que nous méfier des gloires médiatiques. Artificielles, construites et manipulées. Aucun esprit, aucune liberté de manœuvre, aucune initiative…ce ne sont que des radoteurs de propagande. Pas terrible – qui « dépend » à ce point de la technologie ne peut représenter personne…Punis par où ils ont em-pêchés : qui dans ses ténèbres tâtonne « et tu peux te faire payer ? » comme signe « d’appartenance aux médias ». « Si tu ne passes pas à la télé, t’es mort ! » bradent-ils. (Et si c’était, plutôt, en fait, un si nous passons dans « ces » télés « là », que nous sommes…morts !). Médias, dont la police illégitime crée les conditions carcérales qui peuvent forcer à payer. D’où mépris obscurcis pour qui use de la gratuité. Donc – un être…inférieur, inapte à « se faire payer »….venant d’un être qui « fait payer » et à tout le monde, sa soumission castratrice – cette opinion n’est pas recevable. Puisque la frontière est entre qui expérimente par lui-même et donc voit clairement l’immensité du temps perdu à user ses forces dans les circuits trop encombrés de l’argent…sale. Et qui n’aura jamais rien expérimenté (obligation de vivre dans la vraie…vie – pas dans une vie de bulles ahumaines !). Et qui ne peut que rester un enfant à vie, planqué dans le giron de Papa show biz, Père média, Papy édition ou de toutes autres anticommunications. Pantins décervelés déguisés de rôles miteux qui se résument à…faire vendre et…rien d’autre ! La Justice aura fait, justement et ajustée, ses justes tris. Pas justes prix : l’incompatibilité entre les deux mots restera éminente…

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Expérimenter ?

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Evidemment, qui a osé la même libération intérieure (… faut arrêter de se faire du cinéma, il n’y pas d’armées lyriques, de chevauchées vues par toutes les caméras à la fois, de musiques synchrones, de tonnerres ambiants, etc. – mais ce voyage d’aspect modeste vaut tous les DEPLACEMENTS ! Il est l’exubérance de toutes les richesses mêmes…richesses qui durent toute une vie !) – dans la discrétion de soi-même, nous n’allons tout de même pas nous hurler dans nos propres oreilles – nous capte mieux oui qui vit librement dans sa vie intérieure. Bien peu qui savent soupeser la « valeur intrinsèque » de votre voyage : ne prêtez que peu d’attention à leur évaluations ! L’important c’est de ne jamais revenir sur ses pas, d’avancer en toute sérénité comme qui n’a rien à prouver – comprend qui veut. Le principal c’est d’avoir fourni tous les efforts de transmissions puisque si ce monde ne change pas c’est bien qu’il y « trop » de mauvaises volontés et de mauvaises fois. Et que « nous » savons que seuls qui avance puissamment ...mène le monde. Depuis tout le temps, avec toutes les bandes–sons (ces musiques qui ne sont pas sincères) ou les jingles de pub qui le tentent, sans une seconde de répit – c’est non et non, l’argent ne mène pas le monde. Peut-être, et cela dépend dans quelle situation mentale et affective nous nous trouvons : l’argent surmène, démène, promène, malmène ou noumène le monde. En aucun cas, il ne le mène.

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Pourquoi ? Déjà parce qui le dit n’en a pas fait l’expérience directe. Ne sait pas vraiment pas de quoi il/elle parle, prend le reflet pour la vitre et le litre pour la boisson. Ensuite, parce que des milliards d’exemples après… – elle/ il n’a pas encore expérimenté de toutes ses fibres que c’est le cœur qu’il faut convaincre. Avec lui rien ne passe, pas de tours de passe-passes, de sophismes, de jeux de manchettes : ça lui rentre, ça lui chante, ça l’enchante…ou pas ! « Un homme a beau être convaincu dans son esprit, tant que son cœur n’est pas touché, toute persuasion est vouée à l’échec (p. 191 – Stephen Lawhead – Merlin, 1997) »….Evidemment le chemin qui conduit au cœur est tout l’objet du livre. Mais le roc sur lequel il plante sa certitude est bien cette phrase. Expérimenter c’est…savoir penser avec le cœur !

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Tout est simple même si tout ne peut être dit simplement. Mais tout un chacun peut admettre de se sentir sur le dos d’un cheval au galop lorsqu’il lit certains écrits. Nous sommes emportés, transportés et conduits à bon port. Lorsque nous quittons les lignes le souffle de la vitesse remue encore les cheveux. Et ne faut-il pas une assurance complète pour dévaler aussi vite les mots – que si notre énergie est divisée à simuler, à paraitre ce que nous ne sommes pas, à calculer, à supputer, à jouer des rôles, cela devient infranchissable. Il existe donc un langage du cœur. Et pour l’utiliser avec justesse, avec justice, avec précision ne faut-il pas avoir beaucoup vécu ? Et plus même ? Vivre et expérimenter peuvent se rencontrer souvent. Incarner sa vie c’est la ressentir, toutes se fibres ouvertes et ses pores offertes. Cela ne s’imite pas. L’authenticité franchit, d’une aile, les distances – pas les artificialités !

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Le langage du cœur forme à un tri non sélectif, soit les êtres transportent… « l’Oran Mor, la Grande Musique – source intangible de toute mélodie et de toute poésie (p. 205 – ibidem) soit ils ne l’entendent pas. Ce n’est ni mal ni bien : c’est ainsi ! Le tri (3) dénoue tous les conflits (rien n’est négatif c’est la manière de recevoir qui…négativise !) et c’est d’un cœur apaisé que nous expérimentons plus…en avant ! Il existe ainsi des groupes qui fonctionnent crâne contre crâne (3, 4, 5) et qui font monter le son du corps vibrant. Son vibré qui résonne dans chaque os crânien. Une musique qui décolle de la planète. Les 5 crânes étant réunis c’est une musique qui frissonne jusqu’au bout de nerfs et résonne jusqu’au fond refuge de notre être. Expérimenter c’est tellement mieux : même si ces mots sont bien formulés ils ne peuvent suffire pour remplacer la pure émotion. Juste donner le désir de…

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Et, la tête gavée de mitraillettes artificielles, tant d’êtres se montre incapables de silences intérieurs (la musique naît du silence, disent les légendes du blues – si nous ne savons pas nager d’extases dans notre propre silence, nous ne savons pas recevoir le ciel !) – oui ces êtres de vacarmes sont des êtres de manques : incapables, inaptes, incompétents, ignorants, maladroits…le danger qu’ils représentent ? C’est le rejet mécanique de tout ce qui ouvre, amène des solutions, change les données, fait basculer les visions, etc. Et leurs murs ligués de tintamarres empêchent de percevoir ce qui est bon. Incapable de savourer les mots prononcés elles/ils ne vivent que dans un tourbillon qui efface, au fur et à mesure, le vécu. Tout cela pour l’incongru refus trop obstiné…d’expérimenter par soi-même !

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Piquer aux autres l’apparence de l’expérience leur parait une meilleure idée. Après tout elles/ils vivent les dangers à notre place. Sauf que les apparences restent vides (derrière la mince enveloppe) et que nul ne peut sucer un bonbon dont nous venons d’avaler la dernière miette. Et puis les pubs le montrent bien (pensent-ils) il suffit de l’emballage pour parader. Sauf que l’emballage reste l’arnaque qui permet : 1) soit de vendre un produit sans intérêt 2) soit de vendre plus cher le même produit nu 3) que le premier geste reste de jeter l’emballage 4) rare qui jette le beurre et se découpe l’aluminium, 5) - etc.

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Si la pub vous empêche d’expérimenter par vous-mêmes, détournez-vous aussi sec de la pub. Nous ne sommes pas des êtes passifs, emplis de soporifiques, des corps assis hypnotisés, etc…afin de devenir…disponibles pour avaler sans esprit critique toute bouillie cupide. D’ailleurs l’assertion « temps disponible » se trompe à fond. Par le simple fait que si l’on endort trop, l’être humain n’aura plus ni la force ni l’énergie de désirer le produit. C’est qu’il en faut des forces énormes afin de se désencastrer du fauteuil. Et un désir gigantesque de faire tant d’efforts alors qu’une nouvelle pub nous aspire toute notre attention. La pub ne rend pas disponible, elle matraque et fait dormir…Le temps devenu trop rapide (dans cette assertion aventureuse…) devenant toujours oui plus…indisponible. Puisqu’il rend…indisponible à tout autre chose. On ne pilonne pas impunément les êtres. On ne peut tuer qu’une fois la poule aux œufs d’or…Le calcul est erroné lorsque le phrasé ne parait pas musicalement posé !!! Expérimenter nous évite bien des tracas, des pénibles vacarmes et détourne les agités loin de notre présence.

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Qui refuse d’expérimenter en direct et par soi-même…

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……………………Ne vivra jamais rien d’essentiel dans sa vie !!!

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>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>> - ENCORE - <<<<<<<<<<<<

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Qui vit les expériences par lui-même risque de devenir hyper-créatif. Et ce vécu authentique nous fait cadeau, tous les jours, …d’inventions inattendues

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Ainsi la création de nouveaux mots-concepts. Des mots qui contiennent des idées, des émotions, des esthétiques ou des sentiments qui ne seront développés que plus tard. Un peu comme la graine attend l’arbre (un arbre immense)…pour se voir telle qu’en elle même. Ce sont donc tout le contraire de mots décoratifs ; ce serait, plutôt, des mots racines…

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*** - EXTERIENCE pour extérieur « et » expérience

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*** - INTERIENCE pour intérieur “et” expérience

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

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(à suivre)

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre", onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" et "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou, encore, "Présent !", onglet 3 "La diction du dictionnaire" ou comment rendre tous les mots physiques", et "Rien de plus solide que le solidaire", sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Plus il y a d’opinions très différentes moins le monde risque de se tromper ………………………

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 000 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu