toute notre vie durant…le durable !
Les pouvoirs économiques vivent frauduleusement sur des mots dont ils ne sont sûrement pas dignes. Mais, malheureusement pour eux, l’usage des mots se montre à 100 % contre eux. Ainsi, si c’est durable nous avons mille fois le temps de le …savourer. Qui se précipite ne connait donc rien à la réalité du durable. Son avidité l’a trahi.
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La patience durable aura rendu durable la patience. Et ceci se prouve parce que cela …s’éprouve. Pas de preuves véritables qui ne se ressentent. Qui ne résonne intérieurement. Qui affiche son plein accord avec la sensibilité. La vérité inclut tout : une démonstration qui la découpe en lots imperméables ment et ne respire pas pour cela. Si la sensibilité appartient à la réalité la réalité ne veut pas se priver de la sensibilité. Ainsi la pitoyable phrase « on ne mélange pas les sentiments et les affaires » n’est que l’aveu chuinté de lâches si terrifiés par les…sentiments. Incapables d’affronter la réalité…parce qu’ils n’ont jamais aucun…cœur à l’ouvrage. Tout en étant la preuve que l’argent n’appartient pas vraiment à la complète réalité. Mais voudrait se faire passer pour elle. Alors qu’il n’est qu’une greffe temporaire qui a pour fonction de nous hisser à un état supérieur de conscience ( les escaliers se prouvent par le refus de l’argent comme « le » structurant social unique et s’éprouvent par la découverte enchantée de ce qui va le remplacer…). Les traces de l’imposture de l’argent peuvent, de ce fait, être entièrement décryptées par qui aime ce qui dure…
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Ainsi, nous atteignons que c’est durant le durable que les cœurs purs se voient tels. Si cela dure c’est durant que cela dure que nous éprouvons de toute notre sensibilité cette durabilité. Premier constat : le coû®t-termisme est un vagissement puéril qui veut tenir tête à la réalité. Si imprudemment. Le système n’est qu’un révolté puéril qui refuse de voir la réalité en face. Ce pourquoi le capitalisme semble, trop souvent, si enfantin. Infantile. Et dans ses mots et dans ses prétendues solutions et dans ses comportements. Tout débat de fond l’abat : il n’a strictement aucune profondeur. Pas de maturité. Ce pourquoi il n’apprend jamais rien. Et nous oui !
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Durant la durée des phénomènes – et ayant pour but de rester durable. Ces deux phrases, non le système ne les comprend pas. En est même incapable de les comprendre. Ce n’est pas sa sphère mentale. Tellement minuscule – si rétrécie…Celle de la responsabilité, du sérieux, de la pondération, des précautions et de la conscience. Lui c’est juste fuites (fuite des responsabilités, des conséquences de ses gesticulations désordonnées, etc.), inconsciences et lâchetés.
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C’est durant le durable que nous savons si vous y croyez ou non.
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Les mots servent de systèmes de mesures particulièrement performants. De sismographes comme de balances de précision. Le logos grec (celui que nous retrouvons en suffixe –logie de tant de mots – socio-logie, psycho-logie, etc.) c’est, à la fois, peser mesurer et penser. Penser comme peser : l’expérience confirme, en effet, que nous pouvons (à la lecture) déceler tout le trajet intérieur parcouru pour écrire telle phrase. Ressentir la pression pondérale mise sur tel mot : savoir, de la sorte, les intentions réelles. Déceler la position intérieure du personnage. Sa vérité qu’elle/ il ne veut pas s’avouer… Ou, enfin, de détecter si la personne ment plutôt ou dit plutôt la vérité. L’usage désintéressé des mots rend très perspicace…
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Ce pourquoi les financiers, les médiatiques ou les politiciens vont, bientôt, surgir de leur boite close. Tout enfarinés et ébouriffés, affolés de découvrir tout ce que nous avons expérimenté et accumulé pendant qu’ils perdaient leur temps à pédaler dans le vide. Leur héritage est nul (sinon un gigantesque soulagement lorsqu’ils seront tous démis de leurs fonctions)…le notre dépasse toutes les possibilités de calcul…qui dure ?
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Durant le temps où il semblait dominer le monde (et où les lâches et les endormis perdaient « notre » temps à faire tourner en boucle leurs si inutiles discours) , nous parcourions toutes les sensualités cosmiques de …faire durer durant. Et nous nous entions, antions dans l’indestructible…durable. Y prenions des forces colossales. Eprouvions. Et prouvions. Nageant dans l’immensité du savoir comme …un oiseau dans le ciel.
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Durable ? Qui peut tout endurer ? Et endurant qui se décline par la sensualité de s’étendre et tendre à rester tendre. Qui se prolonge et se longe lui-même afin de faire durer les frissons de sons. Qui sait se maintenir et qu’est ce qui se prouve savoir vraiment tenir sinon le maintenant maintenant tout ce qui la fera encore durer. Qui se pérennise jusqu’à en voir se multiplier ses rennes pérennes.
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Et durant le durable ? Tout ce stable qui s’establit (vieux français qui nous avoue mieux le…stable !). Et comment voulons-nous trouver du stable dans les glissements égarés du court-termisme ? Durabilité qui se pare de permanence – et où trouver de la permanence dans l’insensé dérégulé ? Ce refus barbare du régulier, de l’honnête, du réglo, de la parole tenue, de promesses honorées, de la… confiance ? Qui détruit toujours la confiance (le capitalisme) voudrait, dans sa folie déréglante, que nous la lui accordions sans cesse. Un peu comme la demande d’un enfant ? Durable tel le vivace, le tenace qui sait de qui tenir et le présent – celui qui se présente comme un éternel cadeau. Durant tout le durable tout n’est que cadeau éternel. Présence indépassable du présent. Présent requérant, parant, concourant à nous faire…
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… durer le plaisir durant toute la durée ! Et à se détourner des monnaies de singe.
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Et tout comme le sportif qui fait ses exercices – nous allons effectuer les exercices pratiques de ce que nous venons de découvrir : le durable c’est…durant sa durée que nous apprenons le gigantesque des sensualités. Et que le trésor nous appartient. Tout ce qui est négligé par le système a, de fait, le…
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……………...............…maximum de valeur !
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Nous avons tout le temps – et ne le perdons jamais, nous.
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1) - Comment réagissons-nous devant ceci : Tout ce qui nous arrive en permanence a une infime probabilité d’arriver. Oui lorsque tout est contre-intuitif – soit ce que nous croyons si bien savoir est sans cesse contredit, contré par les expériences et les conclusions que nous en retirons. Ceci va contre le sens commun et les habitudes ! Vérifications ?
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«Certaines choses dans nos vies nous étonnent et d’autres pas… Et c’est précisément cela que je cherche à comprendre.» Nicolas Gauvrit étudie la notion de hasard depuis plus de quinze ans. Il était tout désigné pour le faire après avoir suivi des études a priori sans rapport. D’un côté, les mathématiques, donc les probabilités, à l’Ecole normale supérieure de Lyon. De l’autre, par correspondance, des études de psychologie qui lui ont permis de plonger dans les tourments de l’âme humaine.
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Ce qui nous arrive reste toujours...improbable ?
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Le résultat de ses recherches a quelque chose de déstabilisant pour les agents rationnels et prévoyants que sont nos petites personnes. «Tout ce qui nous arrive en permanence a une infime probabilité d’arriver, explique-t-il. Si, par exemple, on mesurait avec une précision de trois chiffres après la virgule la température qu’il fait en ce moment, par exemple 6,401 degrés, on aurait une infime probabilité de tomber sur celle-ci et, pourtant, on tombe dessus!» Selon la même logique, la probabilité de tomber sur cette température plutôt que sur 6,400 ou 6,402 est comparable, de l’ordre de l’infime. De même pour l’humidité, le vent, l’ensoleillement… Si l’on multiplie ne serait-ce que tous les facteurs météorologiques possibles à un instant T, la probabilité d’arriver à la réalité qui est la vôtre au moment où vous lisez cet article est infinitésimale. Elle est pourtant la seule qui vaille. «Si l’on comprend ça, on comprend que la plupart des choses qui nous arrivent est hautement improbable», continue Nicolas Gauvrit.
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[Ceci constitue un nouveau paradigme – nous devons comme réapprendre à vivre ! ]
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Les sciences ont prouvé que notre cerveau ne savait pas comment se comporter avec le hasard, car nous ne savions pas «gérer» le fait de ne pas réussir à «prévoir» ce qui va se produire. Déstabilisés, nous cherchons donc, pour nous rassurer, à émettre des intuitions que nous transformons en pronostics. Dans certains cas, nous surestimons la probabilité que quelque chose arrive. Dans d’autres, au contraire, nous sous-estimons cette probabilité.
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Contre-intuitif
Dans la vie, tout est affaire de défaut de perception. Ces défauts articulent tous nos raisonnements. «Si je vous dis qu’en réunissant vingt-trois personnes dans une salle, il y a plus d’une chance sur deux pour que deux personnes aient la même date de naissance (jour et mois)… Vous y croyez? interroge le scientifique. Il faut admettre que c’est totalement contre-intuitif, mais les mathématiques prouvent que c’est pourtant le cas.» La plupart des gens ont le réflexe de comparer le petit nombre de personnes (23) avec le grand nombre de jours dans l’année (365). En fait, des bases de 3e ou 2nde en «probabilités» permettent, selon Nicolas Gauvrit, de calculer qu’il y a 253 paires de dates possibles – (23x22)/2– et de conclure qu’il y a plus d’une chance sur deux –51% exactement– que deux personnes dans le groupe aient la même date de naissance.
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Suivant le même principe de sous-estimation des probabilités, l’esprit humain a une tendance assez étrange à s’imaginer que les événements dramatiques ne peuvent pas tous survenir en même temps, «comme si le hasard les répartissait de manière uniforme sur l’année», ironise Nicolas Gauvrit. Cette tendance erronée est appelée la «loi des séries». Elle éveille parfois les soupçons de «malédiction», comme lorsque plusieurs accidents meurtriers de train (en juillet 2013) ou d’avion (en 2014) se succèdent. »
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Le basculement de la vision qu’effectuer de pénétrer cette pensée vraiment neuve (et qui donc n’intéressera que peu les égarés) c’est 1) – la sensation que nous avons là un filon inépuisable… 2) – ce filon est constitué de pastilles d’imaginations que nous pouvons ingérer pour nous booster à volonté… 3) – sa réserve d’images dépasse l’incommensurable… 4 ) – s’approprier dans nos sensibilités ces apports si fertiles c’est un coup de maitre. Celui qui révèle le « vrai » sens des affaires ( alors que le système ne connait rien aux affaires – suffit de vérifier les gaspillages monstrueux qu’il entasse pour « ne pas réussir » une si minuscule non-affaire !)
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2) - Durable toujours ? Le temps et la durée selon Henri Bergson.
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« Le temps se distingue de la durée. Abstrait, il n’est qu’une succession d’instants extérieurs les uns aux autres qui se juxtaposent comme des cases vides identiques où viennent se loger les événements. Le temps est, comme l’espace, un milieu homogène; les instants ne se distinguent que par l’ordre.
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Mystères du temps et de la durée
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Ce concept ne convient pas à la réalité de notre vie psychologique, déroulée au contraire dans la durée. Un moment vécu n’est jamais le même qu’un autre ; chaque moment est plus riche puisqu’il est gonflé de tous les précédents. Ils ne sont pas séparés, mais se prolongent les uns dans les autres.
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La durée, fuyante, n’offre aucune prise à l’intelligence humaine; c’est pourquoi elle la stabilise comme temps en la projetant sur une ligne. La science prend la durée, qui s’accumule, pour le temps, qui glisse sur les choses inertes sans les pénétrer: en tombant, la pierre est la même à tout instant, mais l’homme ne vit jamais deux fois la même chose.
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C’est de l’espace que s’inspire le concept du temps sur lequel le sens commun et la science s’appuient: comprendre le temps, c’est le représenter par une ligne dans l’espace. Car l’espace est un milieu homogène et extérieur, qui symbolise notre action sur les choses: c’est le moyen que l’intelligence, pragmatique, se donne de quadriller l’étendue concrète pour la maîtriser.
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L’espace est une tentative de cristalliser les changements en états fixes, pour avoir prise sur eux. Au mouvement réel en train de s’accomplir, l’intelligence substitue la suite des positions, fixes, du mobile, et se rend ainsi incapable de comprendre le mouvement.
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Le langage est pétri d’espace: nous délimitons et fixons des choses en les nommant, les juxtaposant et les simplifiant. L’âme n’est pas comme une bulle qui renferme des parties, ses sentiments. Les nuances qualitatives de la durée sont inexprimables dans des termes généraux ; ses noms ne sont pas taillés à la mesure de la singularité des moments de la durée. »
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Ceci (cet indicible…) peut s’illustrer par des images véhiculées dans les mots : le moment n’est-il pas momentané ? Et la durée se comprend mieux de la ressentir durant un bon laps de temps. Durant durer nous déplie tout ce qui reste de singulièrement singulier dans ce « temps » de la durée tangible, palpable, concrète…durée c’est courant, mouvement, mobilité, trajet…etc. – tous des synonymes de durée auxquels nous ne attendions pas ! Durable en est ainsi exubérant de beautés sensuelles !
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3) - Et durant la durée ?
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Le temps de la durée avoue le couple de sens inséparable. Son renversement en la durée du temps rapproche seulement de la mesure, de la mensuration, de la ligne sur le papier où nous tentons de saisir cet invisible (le temps) et de le figer en des…espaces espacés ! Comment ceci peut-il se passer le plus tactilement possible ?
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« D'une part, la « durée pure de tout mélange », donnée immédiate de notre expérience vécue lorsque « notre moi se laisse vivre », lorsque nous nous laissons porter sans tenter d'abstraire, de diviser, de séparer, ou de compter cette continuité cette « succession sans distinction ». Bergson utilise souvent pour faire comprendre ce qu'est cette durée pure l'exemple de la perception d'une mélodie dans laquelle « les notes se succèdent les unes dans les autres » sans solution de continuité, ou encore l'unité organique de l'être vivant « dont les parties, quoique distinctes, se pénètrent par l'effet même de leur solidarité ». Cette durée pure est « une succession sans distinction, et comme une pénétration mutuelle, une solidarité, une organisation intime d'éléments, dont chacun, représentatif du tout, ne s'en distingue et ne s'en isole que pour une pensée capable d'abstraire ».
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http://pierre.campion2.free.fr/mornej_bergson.htm
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- D'autre part, la « durée où intervient subrepticement la notion d'espace ». L'image n'est plus ici celle de la mélodie mais celle de la chaîne dont les parties se touchent sans se pénétrer. Dans cette perspective, obsédés que nous sommes par l'espace, nous juxtaposons nos états de conscience de manière à pouvoir les comparer, les ordonner selon l'avant et l'après ; nous nous les représentons donc simultanément. Mais il y a alors contradiction entre la volonté d'établir une succession entre les termes, et la pensée simultanée qu'elle implique. Contradiction entre l'intention (penser la succession) et les moyens par lesquels on prétend y arriver (poser la simultanéité). On ne peut en effet distinguer des états de conscience selon l'avant et l'après que si préalablement on se les représente séparément à un même instant pour ensuite les trier selon une perspective temporelle. « Si on établit de l'ordre dans le successif, c'est que la succession devient simultanéité et se projette dans l'espace. » C'est là un cercle vicieux qui consiste à supposer l'antériorité de l'espace alors qu'on prétend la démontrer. »
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Cette plongée dans une pensée qui empoigne le réel à bras le corps (et nous fait y participer) peut nous suggérer que : « cela va durer et durer avant que de résoudre toutes ces difficultés ! »
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Ces apports foisonnants (mais limités en nombres pour la taille de l’article) nous font entrouvrir un monde d’une richesse intérieure à couper le souffle. Pendant que ce système, toujours plus piteux et miteux, ne fait que courir après l’ombre des choses. Et ne vit que du morne et de la grise tristesse – nous sommes si saupoudré(e)s de tous…
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……………..les trésors durables. Et donc réellement…inépuisables !
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
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(à suivre)
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre", onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" et "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou, encore, "Présent !", onglet 3 "La diction du dictionnaire" ou comment rendre tous les mots physiques", et "Rien de plus solide que le solidaire", sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il y a d’opinions très différentes moins le monde risque de se tromper ………………………
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 000 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
les 2, moussaillon
ceci semble adulte - et le profit séparé de la vie une gaminerie inexcusable...
agriculture intensivement morte : la terre est un trésor et ces êtres brouillons et désordonnés l'auront trop saccagée...
créer pour durer fait basculer l'obscolescence programmée au rang de fumisterie de cancres indéfendables. Qui ne provoquent que...total dégoût !
durant...8 années...ça dure !
cela semble un milliard de fois plus RAISONNABLE que la malbouffe (la bouffe créée pour nous...faire du mal)...
durable est déjà un développement durant tant et tant...