Peut-il être joué avec la vraie culture ?
Oui, vont-ils aller jusqu’à interdire de vivre dans la réalité ? Supprimer des savoirs est-ce que cela peut empêcher de savoir ? Les autodafés ont-ils empêché de lire ? Manipuler la culture ne touche jamais çà la vraie culture…Ce n’est pas parce qu’on interdit une chose que cesse son action, sa nécessité ni sa permanence interrogative…sinon il faut tout interdire, la réalité, la pensée sans omettre le…cerveau !
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Cette fâcheuse tendance des prétendus dirigeants actuels de tout ramener à un crime de lèse–majesté prouve à quel point ils ont perdu, en plein vol, tout sens de l’intérêt général : ainsi toute sagacité, toute perspicacité, toute intelligence en actes ne sont pas du tout dirigées…contre eux. Mais se destinent surtout au bien commun.
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Outre ces déviances mentales, le goût exclusif pour les …apparences (à toujours sauver aux détriments de nos survies…) nous semble devenu…dangereux. Préférer l’image à la réalité n’est pas digne de dirigeants. Nous les voyons toujours plus auto-centrés : alors qu’ils devraient se monter extravertis, attentifs aux autres, inquiets de tout comprendre, d’écouter et de vérifier par eux-mêmes. Ainsi, les liens que nous allons voir n’ont que des mots décrivant des images figées, des apparences – jamais qui recherchent le réel global et complet. Ce réel qui préfère et de loin les inclusions aux les exclusions…ici, l’exclusion des sciences politiques du ciel de ces majestueuses insuffisances…ne peut que nuire à la société entière…
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« L’Association internationale de science politique, sorte de coupole qui représente les intérêts des politologues à l’échelle mondiale, vient d’annoncer la relocalisation de son congrès mondial d’Istanbul vers une nouvelle ville hôte, Poznań. Cette décision s’explique par des questions évidentes de sécurité. Elle tient aussi au fait que l’association ne peut pas garantir « un environnement propice à des échanges intellectuels ». En effet, les récents événements en Turquie ont mis à mal la liberté d’expression et la liberté académique dans ce pays.
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En janvier 2016, quelque 1 128 chercheurs turcs – dont de nombreux politologues – ont signé une pétition appelant à l’arrêt des violences dans les zones à majorité kurde et à l’ouverture de négociations. En réaction, les autorités turques ont entrepris de poursuivre pénalement les signataires pour « insulte à la nation turque et à l’Etat turc » et « incitation à l’hostilité, à la haine et à l’humiliation du peuple ». Sous la pression, certains de ces signataires ont déjà été expulsés par leurs universités respectives ou ont vu leurs crédits de recherche coupés. Plus grave encore, d’autres sont d’ores et déjà poursuivis devant les tribunaux et emprisonnés.
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La-science-politique-entravée-parce-qu'elle-est-percue-comme-dangereuse
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Aussi préoccupante et choquante soit-elle, cette situation n’est pas un cas isolé. Régulièrement, des informations inquiétantes sur des décisions politiques mettant à mal le développement de la science politique, ou plus généralement des sciences humaines, nous parviennent de l’étranger.
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Une éducation plus professionnelle et technique
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A l’été 2015, le ministre japonais de l’éducation, Hakubun Shimomura, a adressé un courrier aux 86 universités publiques japonaises les incitant à réorganiser leurs départements d’enseignement pour supprimer les domaines qui ne seraient pas « directement utiles aux besoins de la société » […donc des personnages incultes et irresponsables décideraient, sans débats, de ce qui est utile et bon pour le futur de la société ?] afin de favoriser une éducation plus professionnelle et technique… et donc moins théorique […très grave erreur : sans théorie rien n’arrive. Tuer la théorie c’est tuer la société entière ! ]. Les sciences humaines (dont la science politique) étaient explicitement visées. Cette réforme – qui se traduirait par une réorganisation des subsides publics alloués aux universités publiques – s’inscrit dans une politique de recentrage de l’offre d’enseignement et de la recherche vers des domaines directement rentables pour le marché de l’emploi japonais. »
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Pour qui l’ignorerait encore ce qu’ils nomment marchés (et qui n’existe pas comme organisme concret mais uniquement comme conglomérat de personnes reliées par la folie du profit…à tout prix !) oui marchés c’est barbarie, inculture notoire et destruction de toute…intelligence !
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« Ce même été 2015, et dans un tout autre contexte, le président de l’Ouzbékistan, Islam Karimov, a tout bonnement fait retirer la science politique de la liste des domaines enseignés dans les universités ouzbèkes. Les ouvrages académiques de cette discipline devront quitter les fonds généraux des bibliothèques pour être recensés dans des fonds spécifiques qui nécessiteront une autorisation spéciale pour y accéder. » Les personnages incultes ne connaissent qu’autodafés et inquisitions obscènes. Ceci commence à devenir lassant que ce soient toujours des dirigeants qui désorganisent toute la société à ce point. Et pour des motifs d’une frivolité immontrable !
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« Il n’y a pas si longtemps, au printemps 2013, le Sénat américain a été à deux doigts de couper la part de financement réservée à la recherche en science politique dans le budget de la National Science Foundation. Au bout du compte, et face à certaines réticences politiques, il a été décidé de réorienter les fonds disponibles pour les seules études scientifiques promouvant la sécurité nationale ou les intérêts économiques du pays, au grand dam, bien entendu, de l’Association américaine de science politique. » Ce qui surgit c’est qu’eux seuls ont le droit de faire de la politique (et il faut voir comme) et personne d’autre…ce monopole de « despotisme oriental » sur tout – en fait – les disqualifie de pouvoir exercer toute fonction politique. A vie.
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« Des analyses critiques libres
Quelle que soit la diversité des contextes, la base de ce type de décision politique est que la science politique (et les sciences humaines en général) est considérée comme une source de dépenses publiques inutiles […mais pas leurs émoluments largement excessifs et sources exagérées de dépenses publiques (inutiles ?]. Mais très souvent, l’argument de l’inutilité cache un désir de contrôle et de soumission de la pensée et de la connaissance par le pouvoir en place. Car la science politique est perçue comme dangereuse [ils ne jugent que d’après leurs propres comportements qu’ils avouent donc…dangereux ?] : elle ouvre la voie à des analyses critiques libres qui pointent du doigt les pratiques politiques non démocratiques, autoritaires voire totalitaires menées par un gouvernement ou toute autre autorité politique. […pourquoi se sentiraient-ils visés ? Non mais trop de paranoïa disqualifie…]
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Les associations membres du réseau francophone des associations de science politique, non seulement condamnent avec force de telles décisions politiques, mais tiennent aussi à rappeler que l’analyse scientifique des faits sociaux et de toute production humaine en général (que ce soit l’analyse du pouvoir politique ou celle de la production culturelle, technique, scientifique, idéologique, ou encore la compréhension des comportements humains individuels et collectifs, etc.) est fondamentale pour la maîtrise collective et démocratique de notre destinée humaine. […en effet, la société est dirigée pour le bien de tous non pour un…]. Sans sciences sociales et humaines, les pouvoirs politiques gouverneraient le monde en aveugle, en amnésie et pour le pire… La bonne santé de ce type de sciences implique qu’elles restent totalement libres dans la détermination de ce qui est important et nécessaire d’étudier, de rechercher et d’enseigner. »
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Voilà le retour furtif du « despotisme oriental » (et son paternalisme) avec la perte du sens de la séparation des pouvoirs, la confusion des limites du là où ‘arrête tout pouvoir rationnel (soit avec décisions cruciales précédées de toujours de très larges débats) et…le droit de vie et de mort sur les cultes et la…culture (bizarrement toujours amalgamés dans ces têtes égarées pour qui tout citoyen ne reste que, sempiternellement, son…enfant !)…etc. Il est temps de tracer des lignes de solutions. Nous avons choisi la méthode d’illustrations (2 ici) puisque la réponse est trop complexe pour la formuler en une seule phrase. Il faut de nombreux rapprochements peu effectués. Des échanges interdisciplinaires plus guère osés, etc. il faut bien que le meilleur de la pensée réagisse à ces coups d’états franchement illégaux !
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*** - ILLUSTRATION 1 )))) -
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Lorsque dire c’est ne pas le faire. Se tromper à ce point sur les méthodes qui permettent la concrétisation de ses propres buts – c’est du fanatisme dans l’entêtement. Insister pour adopter les comportements qui renforcent ce contre quoi nous prétendons lutter est-ce bien censé ? Ne sont pas exclus impunément ceux qui détiennent les solutions…
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Les mauvaises méthodes de pensée qui ont aidé à conduire à ces nouveaux despotes de la culture de tous horizons, sévissent encore dans les universités, les prétendues expertises et les méconnaissances des …prises de décisions ! Ici nous aboutissons à des dénonciations de ce à quoi les dénonciateurs mêmes… contribuent !.
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« La France est à un moment singulier. Le triste record du nombre de chômeurs, les incertitudes économiques mais aussi géopolitiques, énergétiques et financières mondiales freinent la reprise économique. Les radicalisations de tout bord, les bouleversements migratoires, le réchauffement climatique, les opportunités mais aussi les impacts du progrès technique et du numérique rebattent les cartes et les cadres dans lesquels nous avions l’habitude d’analyser le monde.
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Les réponses inadéquates […bien trop peu de le dire], le manque de débat apaisé et la saturation d’affrontements binaires ont pour conséquence une perte totale de confiance de nos concitoyens dans les institutions et les politiques. Nous risquons aujourd’hui un point de non-retour.
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Nous-refusons-la-rétrogradation-de-notre-économie-et-l'effritement-de-la-cohésion-de-notre-société
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Voilà pourquoi, à l’initiative du Cercle des économistes et avec Le Monde, quinze représentantes et représentants d’institutions de réflexion et de think tanks ont lancé, en 2015, l’opération totalement inédite de se regrouper, acceptant leur désaccord, autour de questions qu’ils jugent primordiales dans la perspective de l’élection présidentielle de 2017.
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C’est ainsi qu’Attac, le Cercle des économistes, Coe-Rexecode, la Fabrique de l’industrie, la Fondapol, l’Institut Montaigne, GenerationLibre, Les Economistes Atterrés, l’Institut de l’entreprise, la Fondation Concorde, l’OFCE, la Fondation Jean-Jaurès, la Fabrique Spinoza, Terra Nova et le CEPII ont engagé un cycle de débats publics afin de faire progresser la réflexion sur l’économie française et les voies à emprunter pour en améliorer le fonctionnement, l’efficacité et le rang dans le monde.
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Nos premiers échanges ont permis une confrontation des points de vie autour de trois sujets : les incertitudes de la trajectoire de l’économie mondiale ; le rôle des banques centrales, notamment en Europe ; l’ouverture du marché du travail à la jeunesse.
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Refuser le renoncement
Car même si la situation est difficile, nous refusons le renoncement, la rétrogradation de notre économie et l’effritement de la cohésion de notre société. Nous refusons que notre pays compte durablement plus de six millions de chômeurs, que notre système éducatif produise autant d’échecs et d’inégalités, que l’Europe ne survive que grâce aux crises.
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Par nos travaux, par nos réflexions, par nos échanges en France et ailleurs, nous savons que les solutions existent. Il est de notre responsabilité de les partager, de les discuter le plus largement possible afin que la campagne électorale qui s’ouvrira bientôt soit porteuse d’espoirs et d’un nouveau souffle.
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Notre objectif est ainsi de pouvoir donner au plus grand nombre, sans logique partisane, les clés et les outils d’analyse à la compréhension des enjeux économiques et sociétaux afin de pouvoir agir. »
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Solutions déjà existantes, agir, etc. : c’est là que s’ajoutant à la langue de bois, la « mentalité de bois » émerge. Rien de concret ne surgit. Ce ne sont que diagnostics jamais suivis de soins. Tout est lisse, les mots n’accrochent plus loin. Les institutions ne sont pas empoignées : les mots qui en parlent les regardent de très loin. Rien de nouveau ne peut surgir de ces attitudes routinières ! Vérifions-le nous-mêmes dans le paragraphe suivant…
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« Des réponses concrètes aux défis
Le logement. La préoccupation qu’il représente pour notre jeunesse, ses liens étroits avec le marché du travail, son impact sur l’organisation des territoires, notamment des périphéries délaissées que sont les banlieues et le monde rural, sont autant d’entrées pour cette question primordiale.
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L’évaluation des politiques publiques. Nous interrogerons ainsi la fonction de la puissance publique, l’efficacité et la pertinence des politiques économiques, notamment pour favoriser l’emploi, et les innovations politiques à mettre en place.
Lire aussi : Emploi des jeunes : un devoir de résultats
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Le système de production de soins. Il ne doit y avoir aucun tabou sur le fonctionnement de notre système social et de son financement, notamment en termes d’innovation. »
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Clair que ces méthodes de descriptions de la réalité ne sont pas, ici, adaptées. Elles ne peuvent pas…fonctionner. Inopérantes. Elles flottent dans un air inactivé où il n’y a que des effets interdits de causes, il n’a pas de dirigeants et de dommages par leurs politiques, de liens entre l’absence complète de débats et l’irruption de l’arbitraire dans les décisions toutes plus nocives les unes que les autres, etc… L’impact de celles-ci. L’inadaptation flagrante de ces décisions aux réels besoins. Le hors sujet souvent de ces gouvernements par décrets. Et que – donc- il ne peut être mise en place de solutions opérantes qu’en critiquant utilement ce qui aura créé la situation actuelle. Rien de ce qui est dit là n’apportera quoi que ce soit. Ce n’est pas le réel c’est sa version…super allégée ! Sans plu aucun principe actif !
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**** - ILLUSTRATION 2 )))) -
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Comment la problématique de la surveillance peut, ainsi et aussi, être la plus mal posée possible ? Commençons par ce commentaire.
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« Bientôt l'obligation de poster son courrier dans des enveloppes non cachetées...? [effet d’annonce qui ne sera jamais suivi de concrétisation : cette lubie est tout simplement irréalisable…] Pour permettre aux autorités de contrôler toutes […divinisation exagérée des pouvoirs des prétendus dirigeants ] les communications en circulation...? Les demeurés qui disent n'avoir rien à cacher applaudiront encore...?
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Avec le chiffrement des données, on met en échec la censure […comme si tout étair aussi simpliste…], et on se sent sûr... de pouvoir tout dire, tout dévoiler, sans dévoilement de sa vie privée.
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Sans chiffrement, pour cause d'interdit au nom de la sécurité du pouvoir qui prétend que son devoir est de contrôler tout ce qui se dit et s'écrit, les écriveurs et les parleurs [ ? ] seront contraints à l'autocensure [flagrante malhonnêteté : si l’on est « contraints » ce n’est plus de l’autocensure supposée…spontanée] s'ils souhaitent s'épargner amendes et autres représailles. […ceci ressemble à la publicité de pro-surveillance : tremblez ! nous avons tous les pouvoirs et vous aucun…]
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Voici ce qu'en dit Amnesty International :
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« Le chiffrement est un prérequis de base pour la vie privée et la liberté d’expression à l’ère du numérique. Bannir le chiffrement serait comme bannir les enveloppes et les rideaux. Cela retire un outil fondamental pour que votre vie privée reste privée.
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Les gouvernements qui tentent de fragiliser le chiffrement devraient y penser à deux fois avant d’ouvrir cette boîte de Pandore. Affaiblir la vie privée en ligne pourrait avoir des conséquences désastreuses pour les sociétés libres, particulièrement pour les activistes des droits de l’homme et les journalistes [cette liste des esprits est fortment rédutrice et ne donne guère confinace à qui la produit…] qui demandent des comptes à nos dirigeants ».
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Ce commentaire répondait au texte ci-joint. Mais de manière si hors-sujet et si péremptoire que nous n’y avons ressenti qu’un effet contre-productif. Qui l’a émis e connait pas le sujet et ne veut qu’user de la peur dissuasive, bref effacer la pensée d’autrui !
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http://www.imagiter.fr/2016/04/autocensures-censement.html
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Il y a maldonne complète dans ces manières despotiques de commenter…à côté – le thème du texte n’est pas la surveillance – mais l’autocensure qui augmenterait face à la …surveillance…3 études ayant mis en évidence un clair rapport entre les 2. Donc il n’est pas nié les éléments concrets de la surveillance – mais il n’est examiné que son impact. Impossible de tout faire et de tout dire en même temps…
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Les conclusions sont que justement ce sont ces argumentaires de bulldozer (avec méconnaissance derrière de l’impact réel de la surveillance) qui sont en train d’augmenter les autocensures si nocives à la survie de la société. Et pas la surveillance en elle – même.
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Il y reste trop méconnu un ensemble de faits concrets concernant la surveillance. Qui se voit alors fortement surévaluée. Comme un dieu tutélaire planant au-dessus de nous. Nous menaçant uniment. Et n’ayant, pourtant, aucune attache « dans » la réalité – alors que c’est là son point très faible. La réalité.
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*** 1) qui aura pris le temps de lire des comptes rendus de surveillances aura pu noter des observations utiles : genre il y a tellement de données, dont de nombreuses dérisoires, qu’il ne peut être fait usage de ces données. Cela prendrait trop de temps de les traiter. En clair la surveillance cela ne fonctionne pas très bien. En plus, les professionnels savent bien masquer leurs visages : il n’y aura donc que les honnêtes gens qui sont harcelés pour rien. Et les conclusions assez unanimes ? La surveillance c’est surtout symbolique, maintenir l’idée d’une présence - qu’opératoire effectivement. Dont acte. Beaucoup de virtuel dans surveillance.
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**** 2) d’où une ribambelle de sous-événements. Omis eux-aussi dans les effrayés devant le dieu générique (la surveillance sans vérifications) oui la surveillance c’est surtout des…effets d’annonces. Effets qui ne sont pas suivis de concrétisations (soit aller le vérifier soi-même plus tard dans le temps) Puisque – c’est triste à dire mais la surveillance n’a jamais autant d’effets psychologiques (…uniquement par qui le veut bien) que lors de ces…annonces virtuelles.
*** 3) - dans ces annonces déjà beaucoup éléments sont matériellement inapplicables – il faudrait des moyens gigantesques. Et en finances et en hommes. L’administration n’est pas non plus une machine unique et monolithe mais reste hétérogène. Son application des décisions n’est jamais lisse. Ce qui provoque ou non obstacle aux résultats. Le « succès » de la surveillance n’y est pas très grand. Donc…
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*** 4) - afin d’assumer ceci (une surveillance universelle) il faut une stature morale que ni la droite ni la gauche n’ont plus. Puisque c’est une posture d’être dans les cordes, oui de perdants que d’user de tels moyens ( le vérifier par l’Histoire). Surveiller c’est se mettre au-dessous, ça disqualifie dru (mais « ça ne se fait pas, Madame » !) oui ça rabaisse (ce n’est gouverne que…d’espionner !) et c’est principalement un effet de désorganisation de la société, de peur et de perte de confiance des citoyens entre eux qui est recherché : pas évident doncque le taux « d’impactés » soit si grand que cela. Parce que ?
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**** 5) il a été remarqué, aussi, que si nous ne sommes pas du tout impressionnés par ces dispositifs ils ont moins d’impact sur nous
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**** 6 ) à des périodes cruciales (pré 1789) comment a-t-il été fait avec les autocensures ? C’est qu’il en y en a eu très peu…et que donc (but de l’article) s’il y a tant d’autocensures proclamées dans ces études – l’utile est bien de savoir pourquoi qui ne s’autocensure pas du tout, le fait. Ce à quoi le commentaire déconnecté ne se colle pas…Et que, de la sorte, malgré tous les tirs dissuasif d’une surveillance (à laquelle nous ne croyons pas) eh bien nous ne trouvons aucun motif à s’autocensurer !.
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Mais que – par contre - nous repérons cette attitude ANORMALE. Gonfler à ce point les dangers « réels » de la censure. Le postulat caché est que la surveillance fonctionne à la perfection et qu’il y a des surhommes qui, 24 h sur 24, nous surveillent impeccablement. Or ce tableau rêvé n’existe pas. La surveillance existe plus dans ses effets d’annonces que dans la réalité. Et que qui n’utilise que ces effets d’annonces pour nous…SIDERER ne peut se ressentir comme honnête. Devant ce mur immense d’omnisciences de la surveillance nous ne pouvons – en effet - qu’abandonner toute pensée, toute action, tout esprit critique. Et nous figer dans l’immobilité terrifiée. Puisque c’est quoi le but de tant surévaluer la surveillance ? Nous aider ou bien nous ensevelir sous les impossibilités de faire quoi que ce soit ? Maintenant relisons le commentaire. Il opère comme un coup de massue. Nous sommes étourdis, sans voix, sans réactions devant le poids que nous recevons là. Ce n’est certainement pas les bonnes méthodes de pensée afin de sortir de ce système. Bien au contraire…c’est afin d nous forcer à y rester. De le présenter faussement comme sans issue. Sans alternative. Nous ne pouvons souscrire à ces commentaires si peu…sensés !!!
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Ces trois approches nous offrent la même réponse : face aux problèmes les sphères dirigeantes ont la pire des approches rationnelles possibles. Défauts graves de méthodes, manques d’esprit pratique, anomalies inquiétantes d’analyses de la réalité, excès de points de vues préconçus qui aveuglent toute la problématique. Et empêche toute solution utile.
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Une partie des prétendus opposants de ces prétendus dirigeants sont contaminés par ces mêmes travers : nous l’avons vu dans ce commentaire si raté qui nous dit beaucoup sur son émetteur et rien sur la réalité complète. Ou ces « mentalités de bois » (pires que les langues de bois) qui ne font que renforcer ce qu’elles prétendent dénoncer…Faute de le faire bien !
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Ces deux dysfonctionnements mentaux ouvrent la voie à tous les abus des politiques qui perdent, totalement, le sens des mesures en tout : et se permettent de jouer avec les savoirs et la culture. Sans en avoir, à l’évidence,…
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……………………………….jamais eu les modes d’emploi !
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
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Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
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(à suivre)
……………. tous ces posts sont bien reliés à une pensée globale
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et "L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie", onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, LE ROMAN DE L'ECONOMIE, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il y a d’opinions très différentes moins le monde risque de se tromper ………………………
Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 000 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
si nous ne sommes plus dans la réalité comme cela va être facile de nous entuber...mémoire d'éléphant ça dure plus longtemps.
grâce à qui ? Nul ne peut savoir comme cela ce qu'on lui cache si fort..
réponse de politiques ? A rien...parce que c'est...dangereux ! Quel sens de l'argumentation, non ?
filières décrétées "sans utilité sociale"...
et cette manière de faire de l'économie n'est pas utile pour la société ?