A ce point surpris de nous voir ?
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Oui très surprise de nous apercevoir. Les animaux-machines n’existent donc pas. Ils n’auraient aucune expression de visage. Et surtout pas de ce genre. Qui nous ramène juste à nous-mêmes. De telles mimiques faciales démontrent une panoplie d’émotions qu’une mécanique ne pourrait jamais improviser. Plus tout un arrière-fond de vie intérieure qui nous laisse vraiment sur le cul. Et nous en découvrons tant d’autres dans ce texte.
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Ce qui reste déstabilisant c’est que toutes les espèces animales demeurent si baba de nous voir. Que nous sommes donc encerclés de vies animales qui voudraient bien que nous comprenions ce que nous n’avons toujours…pas compris ! Une telle unanimité (contre nous !) devrait nous interpeller. Au lieu de geindre après de prétendus maitres du monde qui le sont si peu. Que si nous ne les tolérons plus, ne les écoutons ou ne regardons plus, ils disparaitraient des actuelles actualités – oui inventons, créons (créer c’est résister (ou l’inverse !), disent-ils et…aussitôt, ils arrêtent toutes créations jusqu’à en empêcher celles…des autres !)…
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Découvrons, engendrons la nouvelle civilisation. Étonnons-nous, étonnons les autres. Concevons, réalisons, imaginons. Nous avons l’entière responsabilité du monde : son futur dépend de ce que nous composons et formons. La créativité, miment les prétendus dominants (qui ont perdu toute spontanéités donc sens créatifs !) c’est le futur. S’ils l’avouent, c’est que crimes ils commirent…Soyons- y et innovons donc.
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Des animaux-à-lexpression-hilarante-qui-n'en-croient-pas-leurs yeux
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Voyons des animaux (non machine) qui prennent la pose. Une foule de questions « nourrissantes » surgit : les animaux nous observent alors ? Et puis, ils ont donc une vie intérieure même lorsque nous ne sommes pas là ? Et puis, prennent-ils la pose afin de nous plaire ou afin de prouver qu’il est trop facile de nous imiter ? Que pensent-ils de nous, au fait ? Puisque le jeu de leurs émotions faciales prouve qu’il y a une vie mentale structurée en eux. Pas celle de concepts dirigés entièrement par le langage – mais de plages d’observations, de réactions, d’apprentissages, de nouveaux comportements et donc…d’inventivités. Voyons ces chatons qui mettent la patte sous le menton qu’on les dirait très songeurs. Est-ce spontané ou réfléchi ? Cette posture enclenche-t–elle des sensations internes ? Oui émerge un évènement très important : une information cruciale. En tout (ou presque ?) les animaux semblent …si spontanés. Oui…naturels ! A leur place, chez eux ! Adaptés ! Ce qui nous perturbe. Est-ce eux qui nous copient alors ou nous qui les imitons singement ? Nos neurones-miroirs détectent une parenté d’affects. Partagent-ils les mêmes émotions que nous ? Toutes ? Mettons ces bébés animaux dans des tasses – ce qui, pour nous, nous déstabiliserait – et voyons avec quel à propos ils…s’adaptent…une élégance…naturelle. Charme et grâce – sans maquillage aucun. Des ports souvent princiers !
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Des animaux-qui-posent-comme-de-véritables-stars
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Enfin – il y a tant à découvrir que nous sommes inexcusables de demeurer si congelés et glacialement inhumains dans une vie…si insensible et que, de la sorte, la preuve de ceci est que : une fois le déclic émis, tout un-e chacun-e peut continuer la découverte enchantée de la nouvelle civilisation, celle qui commence par un changement intégral de …mentalités – oui, ce texte reste une ouverture. Ouverture sur…l’immensité. Tout le monde peut vivre sa vibrante spontanéité ensuite. Des photos prouvent l’esprit de tac au tac des animaux (toutes espèces confondues)…ici, un appareil photo et une pléthore de réactions animales envers l’appareillage photographique. A chaque fois, nous avons à apprendre des animaux. Leur manière neuve d’approcher, d’observer, d’examiner les objets techniques est une mine prolixe d’informations. Ils ne sont jamais blasés de rien : ce qui se nomme le vrai savoir-vivre que de ne pas être blasé, usé, indifférent, toujours prêt à vomir, saisi des nausés des satiétés qui dessinent bof les stupides… gloutons…Oui leurs miroirs (aux animaux !) est un coaching très gratuit afin d’améliorer tous nos travers. Un filon est à chaque seconde à côté de nous attendant nos regards enfin…rendus à la vie. Les médias sont morts de trop d’argent : jamais un sursaut de vie n’y transparait. C’est à nous d’émerveiller. Eux ils ne sauront plus jamais. Ces animaux qui découvrent ces techniques nous ramènent au sens originel, oui aux pourquoi ces inventions purent nous plaire au…départ. Et, de fil en aiguille, la société va s’assainir. Elle qui aura tant été salie par ses sommets, ses prétendus aigres élites mêmes ! C’est de cœurs purs que nous avons le plus urgent besoin – arrêtons de tricher !
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Des animaux-qui-se-prennent-pour-des-photographes-pros ?
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Dont l’essentiel – ne perdons jamais nos spontanéités. Ces fraicheurs de regards sans lesquelles nos cœurs vont pourrir à l’intérieur. Sans plus d’élans. Sans plus d’essors, d’ardeurs, d’empressements, de fougues … de zèles : oui de ces mots qui se sont tirés de la vie courante comme la galanterie ou la bienveillance. La faute à qui ? La vie c’est la spontanéité dans toutes ses facettes !
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Photos-trop-mignonnes-d'animaux-dans-des-tasses - l'affaire ne se tasse pas !
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Et le surgissement intact de puissantes réprobations contre les hypocrisies assassines qui éteignent toute civilisation. Ces apparences venimeuses, ces calculs inhumains de toujours faire semblant (mais pour qui ? pour quoi pourquoi?). Ces tortures illégales des sincérités et franchises (qui franchissent tous les obstacles…). Ces répressions iniques sur le…nul ne doit dire la vérité, tout le monde doit toujours…mentir, mentir, mentir. Abuser. Frauder.. Déguiser, escamoter, ourdir, travestir, tramer (mais sans jamais…comploter, ça va de soi !) – jusqu’où sommes-nous prêts à descendre et chuter ? Jamais nous n’accompagnerons la chute. Les animaux sont trop d’accord avec ce comportement. Jamais.
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Et toutes ces artificialités qui pourrissent tout. Là où la spontanéité disparait la vie sociale disparait…donc nous sommes face à des brutes incivilisées ? Ah oui ! travestis en gens du monde…sans le monde !
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Et , après cela, nous nous hébétons…
…….. du regard ahuri, étonné que les animaux portent sur nous ?
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……….Très sûr qu’ils ne sont pas…D’ACCORD AVEC NOUS !
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>>>>>>>>>>>>>>>>>> - SANS OMETTRE - <<<<<<<<<<<<<<<<<<
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LaMettrie - l'Homme-Machine ? Un machin qui se machine dans notre dos ?
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L’homme machine sur le modèle de…l’animal, décrété machinal et non…animé de vie, animé animal ?
"L'animal -machine" ne-parle-ni-ne-pense, venima Descartes
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Et le simplisme outré de Descartes : l’animal ne parle ni ne pense (croit-il) donc il est une… machine. D’où la machinerie de la cruauté insensée humaine…puisque machines… les animaux n’ont pas de sensibilité et ne ressentent rien ! Et malgré les signes évidents de leurs souffrances aiguës, le machinal machin continue !
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
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(à suivre)
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre", onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" et "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou, encore, "Présent !", onglet 3 "La diction du dictionnaire" ou comment rendre tous les mots physiques", et "Rien de plus solide que le solidaire", sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper ………………………
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 000 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Les animaux dans toute leur splendeur
La Mettrie au 18ème siècle proposa que l’Homme, qui est un être humain, est aussi une machine. Sur le modèle des…animaux - machines. La machine étant, désastreusement, considérée alors comme une évolution par rapport au respect dû aux animaux ou aux humains.
Pourquoi décréter que c’est un monstre et montrer en couverture des hommes avec des fusils qui ne sont pas des monstres. Cet élan naturel est très beau, lui.
Discussions avec un philosophe autour de l’«animalisation» de nos technologies. Nos artefacts «s'animalisent», et notre relation aux machines devient si intense qu’elle se substitue à nos rapports aux animaux réels.
Sans machine c’est bien plus spontané
Les animaux qui se parodient – donc qui ont une distanciation et un humour envers eux-mêmes. Que des humains n’ont pas !
Qu’est-ce qui fait peur aux humains ? Un poisson qui marche ! La perche grimpeuse, c'est son nom, est capable de marcher jusqu'à 6 heures hors de l'eau grâce à ses nageoires et survivre sur la terre ferme plus de six jours. Après avoir colonisé l'Indonésie et la Papouasie-Nouvelle-Guinée, ce poisson s'attaque désormais à l'Australie. Une fois installés, l'espèce se multiplie rapidement et s'approprie la nourriture disponible jusqu'à faire disparaître ses concurrents. Un danger considérable pour la faune australienne. Si la perche grimpeuse inquiète autant, c’est à cause de sa capacité à voyager même dans des eaux très salées.
S’occuper d’animaux pour eux- mêmes pas pour nous…ne semble pas rendre…animal. Mais plus humain ! Au contraire de qui jamais ne s’occupât d’un animal qui en devient…tellement moins humain. Donc plus animal ?
Tiens les animaux sont « chez eux » dans la Nature ? Et pas nous ? Où est notre chez nous alors ? Au sommet de la montagne désertique de l’égoisme et de la sécheresse mentale ? Ou seulement là où la…spontanéité nous mène ?