Diriger ou SE diriger ?
Les limites du Do it yourself. Y a–t-il un kit pour diriger les autres ? Se diriger soi-même aide-t-il à diriger autrui ? Autant dire que, dans le contexte actuel, il pleut beaucoup de formules et de questions ! Mais combien d’études de fond existent vraiment ?
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« Routiers, dépôts d’essence et raffineries, zones logistiques, envahissement des voies ferrées, « baisse de charge » du côté de l’électricité, c’est d’une attaque tous azimuts contre les flux qui font tenir cette société que nous sommes témoins. Alors, qu’une nouvelle fois, la stratégie du blocage s’impose comme la pratique la plus immédiate, la plus évidente et la plus efficace dans un conflit politique, il est impossible de ne pas penser au chapitre que le Comité Invisible lui consacrait dans son dernier opus, À nos amis. À la lecture de « Le pouvoir est logistique. Bloquons tout ! », les échos avec la situation présente sautent aux yeux. C’est pourquoi lundimatin a décidé de mettre en accès libre ce chapitre. S’il recèle des considérations utiles à penser le conflit en cours, ce passage d’À nos amis ne nous dit rien, bien évidemment, du moment présent.
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L’économie n’est pas seulement ce que grévistes et manifestants tentent de bloquer, elle est surtout ce qu’entend éveiller en chacun le gouvernement en agitant le « spectre de la pénurie ». La peur du manque, voilà le fondement même de l’économie, en chacun de nous. Voilà ce qui motive l’ensemble des comportements économiques, qui règlent, bien au-delà de la sphère du travail, la vie normale avec sa mesquinerie de bon aloi : n’est-il pas « normal », de nos jours, de calculer en toutes choses, en amour comme en vacances, en famille comme entre amis ? Or voilà, si, du fond de son isolement glacé, il est bien compréhensible que l’individu craigne de manquer et calcule, cela n’a aucun sens pour des millions de gens en révolte, ni a fortiori pour un pays entier : on n’a jamais vu cinquante millions de personnes se laisser mourir de faim. Dès lors que nous sommes ensemble, dès lors que nous sommes liés, dès lors que nous nous faisons confiance, la peur du manque n’a aucun sens. Elle n’existe que pour les rats. Bloquer l’économie véritablement, bloquer l’économie aussi en nous, c’est laisser derrière soi la peur de manquer, et ne pas craindre, en conséquence, que vole en éclat l’organisation présente de la vie. Nous n’avons jusqu’ici connu que la vie organisée, nous allons connaître la vie vivante. Celle où les inconnus se parlent dans la rue et trouvent une façon de faire quand l’un ou l’autre rencontre un problème ; celle où les voisins ne se détestent pas nécessairement et cessent de s’épier ; celle où l’on n’est plus jamais pressé ; celle d’où la bagnole, les supermarchés ou les Iphone vont disparaître sans même que nous nous en apercevions ; celle où se goûte la richesse véritable, dont nul n’est glouton ou jaloux ; celle, enfin, qui a une forme et un sens. Bloquons tout, donc. Nous n’avons rien à craindre. Rien ne nous manquera. » [puisque nous ne manquons aucun but !].
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Le pouvoir est logistique. 2. La vie quotidienne n’a pas toujours été organisée. Il a fallu pour cela, d’abord, démanteler la vie, en commençant par la ville. On a décomposé la vie et la ville en fonctions, selon les « besoins sociaux ». Le quartier de bureaux, le quartier d’usines, le quartier résidentiel, les espaces de détente, le quartier tendance où l’on se divertit, l’endroit où l’on bouffe, l’endroit où l’on bosse, l’endroit où l’on drague, et la bagnole ou le bus pour relier tout cela, sont le résultat d’un travail de mise en forme de la vie qui est le ravage de toute forme de vie. Il a été mené avec méthode, plus d’un siècle durant, par toute une caste d’organisateurs, toute une grise armada de managers. On a disséqué la vie et l’homme en un ensemble de besoins, puis on en a organisé la synthèse. Il importe peu que cette synthèse ait pris le nom de « planification socialiste » ou de « marché ». Il importe peu que cela ait abouti à l’échec des villes nouvelles ou au succès des quartiers branchés. Le résultat est le même : désert et anémie existentielle. [donc…pénuries maximums…]. Il ne reste rien d’une forme de vie une fois qu’on l’a décomposée en organes. De là provient, à l’inverse, la joie palpable qui débordait des places occupées de la Puerta del Sol, de Tahrir, de Gezi. De là la joie qui s’attache à toute commune. Soudain, la vie cesse d’être découpée en tronçons connectés. Dormir, se battre, manger, se soigner, faire la fête, inspirer, débattre, relèvent d’un seul mouvement vital. Tout n’est pas organisé, tout s’organise. La différence est notable. L’un appelle la gestion, l’autre l’attention – dispositions en tout point incompatibles.
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Rapportant les soulèvements aymara du début des années 2000 en Bolivie, Raul Zibechi, un activiste uruguayen, écrit : « Dans ces mouvements, l’organisation n’est pas détachée de la vie quotidienne, c’est la vie quotidienne elle-même qui est déployée dans l’action insurrectionnelle. » Il constate que dans les quartiers d’El Alto, en 2003, « un éthos communal a remplacé l’ancien éthos syndical ». Voilà qui éclaire en quoi consiste la lutte contre le pouvoir infrastructurel. Qui dit infrastructure dit que la vie a été détachée de ses conditions. Que l’on a mis des conditions à la vie. Que celle-ci dépend de facteurs sur quoi elle n’a plus de prise. Qu’elle a perdu pied. Les infrastructures organisent une vie sans monde, suspendue, sacrifiable, à la merci de qui les gère. Le nihilisme métropolitain n’est qu’une façon bravache de ne pas se l’avouer. (…) Non un retour à la terre, mais un retour sur terre. Ce qui fait la force de frappe des insurrections, leur capacité à durablement ravager l’infrastructure de l’adversaire, c’est justement leur niveau d’auto-organisation de la vie commune. Que l’un des premiers réflexes d’Occupy Wall Street ait été d’aller bloquer le pont de Brooklyn ou que la Commune d’Oakland ait entrepris d’aller paralyser à plusieurs milliers le port de la ville lors de la grève générale du 12 décembre 2011 témoignent du lien intuitif entre auto-organisation et blocage. ». Etc.
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Ceci est le discours vivant où aucune crainte de pénuries fantasmées, de peurs de manques dus à des beuveries à l’égoïsme (chacun tout seul, chacun à part !), de perte de cocons réconfortants par narcissismes glacés, etc. - ceci reste tout LE POSSIBLE disponible à chaque seconde. Autant dire le plus grand des réalismes à notre portée ! Automatiquement, tout le monde sait comment et où SE diriger. Le sachant, la globalité s’aperçoit que le mouvement dirige l’ensemble des vouloirs individuels. Et qu’il n’y a pas à s’inquiéter de ses futurs déroulements ! Il s’agit que ce vaste possible reste caché, dissimulé, escamoté. Voyons, alors, les arguments mesquins qui vont leur être opposées ?
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« Le rationnement et la pénurie sont propices au développement humain ! Bien au contraire, la pénurie produit toujours des sociétés de classe, et si le capitalisme a ouvert la voie au socialisme, c'est par sa faculté à développer de façon phénoménale les forces productives. [à quels prix ]. En vérité, une semaine de ce genre de "blocage", et la populace [( !)] va se retourner contre les grévistes. Prés d'un siècle de crapuleries anti-ouvrières syndicales, et les illusions continuent. La CGT qui il y a une semaine encore prêtait main forte aux flics dans les manifs ne se radicalise pas, elle ne fait qu'accompagner le mouvement pour mieux le saboter. » A ce point ? En tout cas, voici une toute autre description de la réalité, un discours autre. Mais agiter, ainsi, les prétendues pénuries est-ce bien s’adresser à des adultes capables de réfléchir ?
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Donc nous ne savons que ce qu’il est voulu que nous sachions ? Ce qui recèle des pouvoirs très surhumains que de déterminer aussi justement ce qui correspond à ce que nous avons « besoin » de savoir, ce qu’il « faut » tout de même que nous sachions (sinon tout se télescope et se rentre dedans !), ce qu’il « ne faut pas » que nous sachions, plus le liant afin que tout ceci glisse fluidiquement. Et le tout entrelacé très serré. Alors que nous sommes masse différenciée, se trouvant à des niveaux distincts, possédant des formations dissemblables et qui donc nécessite des messages particularisés à chaque cas : la complexité la plus grande ! Vraiment des dons qui surpassent les habitudes. Vérifions – en chemin – que ces assertions restent…palpables ! Nous « pouvons » en apprendre…toujours plus, en fait !
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« La démocratie n’est pas une idéologie mais une forme d’organisation plus efficace que le dirigisme. [….nom bien inadapté puisque nul ne peut « se » diriger à l’intérieur du « dirigisme », et que c’est plus imposer, contraindre que diriger, orienter, faire comprendre le pourquoi de telles…directions prises !]
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Définitions : Dans les régimes autoritaires le pouvoir appartient au(x)…dirigeants.
En démocratie, le pouvoir appartient aux citoyens.
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Une démocratie est, soit directe (le peuple exerce sa souveraineté lui-même, au moyen de référendums), soit représentative (le peuple exerce sa souveraineté par l’intermédiaire de ses représentants).
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Ce qui, concrètement, peut obtenir ceci …
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Monnaie-pleine-un-référendum-en-suisse-pour-brider-la-finance
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« Les Suisses ne plaisantent pas avec la monnaie. L’initiative populaire « Monnaie pleine » a recueilli 111 819 signatures. La chancellerie fédérale a, donc, confirmé, le 24 décembre 2015, l’organisation d’un référendum […date non encore fixée !] invitant les Suisses à se prononcer sur la fin du pouvoir de création monétaire par les banques. […ce qui signe que les choses peuvent changer énormément à conditions de s’y atteler et de poursuivre avec patience !]
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L’initiative prévoit d’obliger les banques privées à couvrir intégralement les dépôts (règle du « 100 % money ») et de réserver le pouvoir de créer de la monnaie ex nihilo – c’est-à-dire sans fonds propres ou réserves préalables – uniquement à la Banque nationale suisse (BNS). On reconnaît ici l’influence du Chicago Plan et de l’économiste américain Irving Fisher (1867-1947) qui, dans les années 1930, avaient proposé un retour au monopole public de la création monétaire.
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La proposition constitutionnelle a pour objectif de limiter la spéculation financière, en empêchant les banques de créer de la monnaie pour financer des opérations qui mettent en péril l’économie suisse. Les Suisses ne veulent plus supporter le coût des bulles spéculatives et assumer les plans de sauvetage supportés, en définitive, par les contribuables. » […ce qui fait que les spéculateurs soient les « fonctionnaires » des impôts des autres, vivant à leurs crochets dans cette aberration illogique de privatisations des bénéfices et de nationalisations des…pertes, soit la mise en place du…parasitisme !].
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Ceci est-il plus de la démocratie ou plus du dirigisme ? Est-ce plutôt être dirigé ou « se » diriger ? Et si c’est démocratie – le mot « diriger » retrouve son sens très sain ? Développons plus encore !
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« Mais le « Do It Yourself » n'a-t-il pas des limites ? N'est-ce pas illusoire de penser que c'est à l'échelle des individus, et non des appareils et des structures qui prennent l'ensemble des décisions militaires et économiques pour les collectifs nationaux, que l'on peut changer vraiment la donne et, surtout, combattre nos ennemis – ô combien puissants ? Alain Badiou vous dirait que les micro-organisations locales n'ont rien à voir avec la politique, en ce qu'elles ne connectent pas les masses populaires à une idée de « transformation globale » !
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revue-ballast.fr/emmanuel-daniel/
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Faire du yoga dans un habitat coopératif en mangeant des légumes bio ne suffit pas à détruire le capitalisme. Il n'y a que collectivement que nous pourrons faire exploser les cadres qui nous contraignent. L'échelle des individus n'est certainement pas la plus pertinente pour cela, mais je doute que l'échelle des États-nations actuels le soit beaucoup plus. C'est justement parce qu'il existe « des appareils et des structures qui prennent l'ensemble des décisions », comme vous dites, pour des collectifs nationaux, que nos ennemis sont si puissants. Un groupe humain de la taille de la France ne peut être administré que de manière autoritaire. Je crois au contraire que ces micro-organisations sont fondamentalement politiques. Elles ouvrent des espaces qui n'existaient plus, des temps et des lieux du politique, où les gens peuvent se rencontrer, élaborer des argumentaires, écouter des opinions insoupçonnées, apprendre à s'organiser sans chef. Chaque initiative est à la fois une agora et un espace d'éducation populaire. On discutera des marges des grandes surfaces, des conditions de travail et des circuits de distribution mondialisés dans une épicerie autogérée. On parlera des dangers du nucléaire dans un projet collectif de production d'énergie. On dénoncera la civilisation de la bagnole dans un atelier d'auto-réparation de vélos. Partout, on apprendra à mettre des mots et des concepts sur les chaînes qui entravent notre liberté, et on s’évertuera à les rompre, ensemble. C'est précisément la taille réduite de ces organisations qui permet aux personnes de vivre la démocratie à portée de voix dont parlait Rousseau, et non de laisser la chose politique entre les mains de spécialistes. […il y a bien renversement de la pensée sur « diriger » selon une méthode fédéraliste…changements au niveaux communaux, départementaux ou…régionaux – demeurent donc « envisageables » ?]
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Nous savons tous que la société marche sur la tête ; reste à attendre le soulèvement, le grand, celui qui décidément tarde à venir — d'ici là, continuons d'annoter les marges des essais et d'écrire des articles de « confort et réconfort dans le radicalisme de papier des enclos universitaires* ». Emmanuel Daniel, l'auteur d'un Tour de France des alternatives paru en 2014, se porte en faux : pourquoi attendre quand tant se trouve déjà à portée de mains ? Il a sillonné le pays durant deux ans, à la rencontre de nombreuses expériences locales et concrètes (qui, pour la plupart, ne font pas parler d'elles), et en revint avec une certitude : les citoyens ordinaires peuvent, ici et maintenant, sans État ni partis, mettre en place à leur échelle la société égalitaire dont beaucoup rêvent. Mais ces micro-révolutions, même reliées entre elles, sont-elles vraiment suffisantes ? Nous en parlons ensemble. »
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Diriger c’est, alors, placer toutes les initiatives dans la même direction, les unifier, les flécher, les tracer dans la même efficacité….Est-ce diriger ou « se » diriger ?
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« Ce qui choque nos entrepreneurs et patrons, ce n’est pas l’incapacité des politiques à faire face à un écosystème extrêmement difficile ou une conjoncture internationale très tendue.
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Non, c’est l’inaptitude à diriger de groupes d’hommes, l’incapacité à gérer des situations complexes, l’incompétence technique ou juridique. Les raisons pour lesquelles une entreprise ne supporterait pas des dirigeants comme ceux qui sont aujourd’hui à la tête de l’État sont multiples. Retenons-en cinq.
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5-raisons-pour-lesquelles-les politiques-actuels-seraient-incapables-de diriger-une entreprise ?
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Raison n°1 : Ils cherchent tous à concilier les contraintes de court terme avec leurs objectifs de carrière à long terme. Les hommes politiques sont obsédés par le court terme. Ils veulent tous plaire au JT de 20h. Ils s’assoient sur les décisions lourdes de long terme par peur de l’impopularité. Un chef d’entreprise est soumis à l’impérialisme des marchés financiers qui, par un cours de bourse, peuvent le sanctionner très rapidement. Ceci dit, la majorité sait expliquer et faire admettre aux actionnaires qu'une décision peut être douloureuse à long terme, si elle porte des effets positifs. Un homme politique ne sait pas gouverner à long terme. Il a trop peur de ne pas être réélu. […il ne dirige donc jamais – il laisse d’autres forces peu visibles diriger…à sa place !].
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Raison n°2 : Les hommes politiques ne savent pas compter. L’existence de déficits récurrents et entretenus avec l’idée que ça n’est pas grave est épouvantable pour l’avenir. Un chef d’entreprise peut emprunter pour investir dans des projets. Il n’empruntera pas pour payer ses dépenses de fonctionnement. Il ne le pourra pas.
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Raison n°3 : Les critères de gestion des responsables politiques ne sont pas clairement exprimés. Un chef d’entreprise a des comptes à rendre à ses clients, à ses actionnaires, à ses salariés. Les commissaires aux comptes, les banquiers et le fisc sont autrement plus sévères avec un chef d’entreprise que la Cour des Comptes peut l’être avec un gouvernement. Ne parlons pas du laxisme de la Commission de Bruxelles que l’on considère pourtant comme particulièrement intrusive. Mais en réalité, le travail du FMI ou de la Commission européenne sont des aimables plaisanteries par rapport à ce que doit supporter un chef d’entreprise.
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Raison n°4 : Un homme politique a la culture du bouc émissaire. Il trouvera toujours un coupable à ses propres incapacités. "La BCE ne fait pas le travail…, Bruxelles est trop exigent… Les économies internationales ne jouent pas le jeu… L’Allemagne fait tout pour nous empêcher de sortir de la crise…. ". En parlant d’Allemagne, il y a même des observateurs politiques qui, le jour anniversaire de la chute du mur de Berlin, se sont laissé aller à dire publiquement que le climat de liberté qui s’était installé depuis la réunification était préjudiciable à notre propre progrès. C’est assez scandaleux d’avoir laissé dire des choses pareilles. [… « l’irresponsabilité » de leur parole les disqualifie gravement ces politiciens…déboussolés !]
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Les hommes politiques n’aiment pas la concurrence internationale, ils n’aiment pas le libéralisme et la liberté. Mieux vaut l’État fort. Les chefs d’entreprise ne vivent que par la concurrence et l’innovation technologique. Il n’y a pas un seul chef d’entreprise privée qui regrette que l’économie de marché se soit imposée dans le monde entier depuis 20 ans. […sauf que si elle est « imposée », elle n’est pas naturellement acceptée. Ce n’est pas spontané et sincère - c’est être juste pris dans la nasse des choix…des autres ! Dommageables mimétismes !].
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Raison n°5 : Les hommes politiques ne sont préoccupés que par la vie de leur petit milieu et par la forme. La semaine passée en offre une terrible caricature. D’abord, un président de la République qui a beaucoup parlé pour ne rien dire. Rien dire sur lui, rien dire sur ce qu’il voulait faire. Le lendemain, c’est au tour d’un chef de l’opposition (qui a lui aussi beaucoup parlé de lui sans jamais apporter aux Français de réponses crédibles à leurs inquiétudes quotidiennes). La conquête du pouvoir, toujours et encore.
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Aucun chef d’entreprise ne pourrait tenir le quart de ce type de tonalité à son Comex, son conseil d’administration ou à son comité d’entreprise. Il serait pris pour un fou. Un chef d’entreprise parle de ses clients, des ses produits, de son organisation, de ses financements et de ses actionnaires ou encore de ses salarié mais surement pas de ses états d’âme. Il assume.”
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Ce texte très professionnel jamais n’emploie les mots dirigeants, diriger, direction, orienter ou guider. Ces mots et leurs exigences semblent bien être sortis des consciences ! Surtout aux plus niveaux qui tournent…en rond dans leurs seuls narcissismes. Il n’y a que moi qui parle donc…j’ai raison. La déraison corrompt toutes les visions saines !
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Pour ta gouverne soit tu gouvernes soit tu es gouverné – sauf si nous trouvons un mouvement “organique” où nous nous sentirions tous faire partie d’un CORPS social, où plus personne n’est perdant. Et où tout le monde se sent vraiment à sa place. Utile et utilement traité et valorisé…
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gouverne-gouverner-gouvernement-governa-governare-governo/
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Que voulons-nous ? Jusqu’où irons-nous ? Jusqu’où désirons-nous ? Voulons-nous gouverner et gouverner c’est quoi ? Sommes-nous assez adultes et responsables pour nous diriger nous-mêmes ? Ne gouvernes pas autrui comme tu n’aimerais pas être gouverné !
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« Diriger sans contraindre, oublier l'antique politique de la carotte et du bâton, parier sur la confiance et l'adhésion à de vraies valeurs partagées.
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Diriger, piloter, conduire, gérer, sont des termes qui font plus penser à l'univers de la circulation automobile qu'à l'accompagnement, la co-construction , le soutien, le conseil, l'orientation, la délégation, le renforcement, l'aide à la décision, la consolidation, l'écoute participative, la pondération, la stimulation, la confiance, l'équité. L'identification et la métabolisation des outils et méthodes douces de management pour faire émerger et maintenir au plus haut potentiel d’excellence les talents/ aptitudes particulières et complémentaires des membres d'une équipe, ne va pas sans remise en question fondamentale des structures hiérarchiques et du rapport entre les communications verticales versus les échanges horizontaux. […le 49-3 vu comme une inaptitude grave à la communication, se mettre à la place des autres ]…
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La création d'espaces d'expérimentations informels dans lesquels tout sujet ou projet peut être discuté/débattu sans contrainte participe aussi du sentiment de liberté au travail - lui même lié à l'adhésion aux valeurs fondamentale de l'entreprise. Il est prouvé que l'initiative ne doit pas être soumise à l'ultra-contrôle, mais encouragée dans toute la mesure du possible, les meilleurs projets sont issus de cette méthode. La mise en commun des problématiques, la recherche négociée de solution sur mesure, ouvre des perspectives plus durables et humainement plus fiables, que la technique archaïque de la carotte et du bâton…cette dernière s'étant révélée coûteuse en termes d'absentéisme/présentéisme, de congé maladie de longue durée, de relâchement, et j'en passe. […Diriger c’est communiquer !]. Il ne s'agit pas de bannir toute notion d'autorité, mais de bien assimiler le fait que l'autorité n'est une que si elle vise à la promotion des qualités des uns et des autres.
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Une autorité basée sur le respect des règles de civilité communicationnelle, ancrée dans la prise en compte des besoins : dotations - outils de production - adaptation des postes. Le personnel ne cherche pas à fuir ses responsabilités et les mandats qui lui sont confiés. Bien au contraire, se voir confier des missions qui impactent positivement sur les résultats est valorisant et insuffle du sens dans un univers professionnel où le paradigme de la rationalisation s'est substitué à la véritable efficacité managériale co-produisant par l'exemple un output d'une valeur ajoutée unique : le sentiment d'appartenance et la fierté de faire partie intégrante d'une force en marche, innovante, performante, et attentive à la promotion du bien-être de tous. »
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Diriger-sans-contraindre : oublier-l'antique-politique-
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Nous sommes bien là devant le descriptif physiologique de…diriger. Diriger comme chacun-e sait très bien s’y diriger. Pas de différences entre les vécus intérieurs et cette forme « diriger » qui se construit par l’accord de tous. Donc c’est très possible !.
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Nous dirigeons-nous vers le possible en grand ? Ou nous laissons-nous faire par l’écume des apparences qui nous ôtent tous nos moyens…réels ? N’y reconnaissons-nous pas dans les scénarios toujours les mêmes ? Ces ballets concoctés pour détourner des véritables objectifs ?
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Effectivement Blocus par les intersyndicales - « Les organisations syndicales annoncent qu’elles « déploieront dès le début de la semaine prochaine » leur « votation citoyenne » — une grande consultation sur le projet de loi de réforme du code du travail qui doit être menée jusqu’au 14 juin dans « les entreprises, les administrations et lieux d’études ».
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Avec la mise en place habituelle du calendrier : « Si elle souhaite « des temps forts de convergences de luttes interprofessionnelles (…) dans les prochains jours », elle garde en ligne de mire la date du 14 juin pour sa neuvième journée de mobilisation, avec « une puissante manifestation nationale » à Paris, une date choisie pour coïncider avec le début des débats au Sénat sur le texte controversé. » Toujours des échéances repoussées pour éteindre les mèches, user les volontés et semer des colliers de…déceptions, jusqu’à la déception finale !
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Et - soit congés soit weekends - les coups de force s’y dissimulent…où est diriger dans ces événements routiniers de la « guerre de positions »…où les fronts jamais ne bougent mais s’installent afin de ne rien…changer ? Trois vraiment petits tours afin que nous y s’en vont. Le but c’est « d’obstaculer » les réalisations concrètes c’est de nous « flipper », nous balles rebondissantes, nous flipper les prises de décisions. Bref, de nous éjecter de nos vies. Une fois de plus – qui n’intériorise jamais les discours anesthésiants des pouvoirs voit les choses…comme elles sont. Et donc impossible de le manipuler, de jouer au flipper avec ses raisonnements ! Il/elle « se » dirige très bien…sans eux ! Qui ne survivent que par les peurs…artificielles …peur des manques, pénuries fantasmées…manques des drogués à la…consommation (acheter n’importe quoi pour ne pas…penser, regarder courageusement la réalité !)…les choses comme elles sont ? Ces non-dirigeants ne sont que pitoyables, dérisoires leurs gesticulations. Impossible de les…suivre…donc ils ne « dirigent » que leur ombre. L’inertie de la raison ressemble à la passivité non violente, sit-in et autres. Comment « diriger » du vide ? Faisons le vide d’eux à l’intérieur de nous !
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« En milieu d’après-midi vendredi, le ministère des transports a annoncé que « tous les dépôts pétroliers » avaient été débloqués, sauf un, celui de Gargenville, dans les Yvelines, toujours en grève. Dans la matinée, les forces de l’ordre avaient évacué celui de Donges (Loire-Atlantique), occupé depuis le 17 mai par ses salariés et des opposants à la loi travail. »
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Seule nouveauté qui fragilise (puisque s’y montre que la majorité des citoyens ne veut plus d’un tel fonctionnement des institutions !) ? Le « c’est vous les minoritaires ». Et c’est vrai, gouvernement – mais de droite pareil – et syndicats ne sont plus…représentatifs ? Qui dirige alors en cas de… minorités persistantes ? Des non élus, non vus, non icônés, non personnalisables, etc.…qui fuient entre les doigts, n’ont absolument aucun droit de diriger, etc. Diriger c’est hors Droit ! Parade ?... ôter de nos têtes tous leurs discours (nous avons vu qu’il en existe bien d’autres et tellement plus constructifs et réalistes !), démonter leurs faux arguments, ne plus leur permettre de formuler du structurant collectif. Bref attaquer leurs idéologies et très peu ceux des gouvernants. Hors sol et hors course de la réalité !
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« Derrière une façade où chacun montre ses muscles, les deux adversaires qui se font face s’accusent mutuellement d’être minoritaires, non sans arguments de part et d’autre. Mardi 24 mai sur France Culture, François Hollande déplorait « un blocage » décidé « par une minorité ». « Le président n’a plus la majorité », a répliqué le secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez, jeudi 26 mai, avant le début de la manifestation parisienne. « La minorité qui nous gouverne » doit retirer « un projet refusé par les trois quarts des Français », a renchéri Eric Beynel, porte-parole de Solidaires. »
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Qui est alors l’ennemi ¿ De qui ne voulons-nous pas être dirigés ? Pénuries, manques ne sont-ce pas les mots de l’addiction drogué à la consommation ? Eh oui ! Sous les pavés des apparences, la plage des vraies compréhensions. Qui sont…
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« Le domaine de la grande distribution présente de nombreuses dérives. Celles-ci, méconnues du grand public, sont pourtant la base de la réalité la plus envahissante. De l’appropriation illégale de mètres carrés au non-respect des normes environnementales, le détournement des règles administratives par les grandes distributions engendre la disparition des petits commerçants. Mais que font les pouvoirs publics, lorsque nous savons que le total des amendes non perçues par l’état trop modeste relève de la modique somme de 418 milliards d’euros ? De plus, il est intéressant de constater que seulement un dixième de ce montant permettrait à la France de sortir de la crise financière. »
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LES MOYENS FINANCIERS LEGAUX DES VRAIS CHANGEMENTS EXISTENT DONC ! 418 milliards d’euros c’est un pactole collectif ! C’est la consommation droguée l’ennemi et aussi les moyens légaux et déjà existants de sortir de la crise et de son illégale austérité. Où trouver l’argent osent les menteurs professionnels. Il est déjà là et bien là. 418 milliards d’euros c’est la nationalisation de …leurs pertes et donc de nos gains. Les impôts redeviennent progressifs et nous progressons ! 418 milliards d’euros progressistes. Ave la fraude fiscale, etc. autant dire qu’un revenu d’existence à 2 000 € devient tout à fait envisageable !
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« En Allemagne, entre la fin des années 1960 et le début des années 1970, les militants de gauche croyaient en une théorie du chaos selon laquelle un Etat devait être graduellement déstabilisé jusqu’à s’effondrer. Après ça, un nouveau monde socialiste pouvait émerger sur les ruines du précédent. Il semble qu’en France, la CGT n’avait pas mis en place cette doctrine. Jusqu’à aujourd’hui.”
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Alors que la CGT paralyse des raffineries, une partie des transports et des centrales nucléaires et que l’Euro 2016 démarre dans quinze jours, “la France se prépare à un été brûlant”, présage-t-elle.
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Une fois de plus, la France est ingouvernable, et les investisseurs internationaux fuient [mensonge ]. Le gouvernement faible et impopulaire d’Hollande doit se battre pour sa survie […] et le syndicat détruit la relance économique dans laquelle François Hollande avait placé tous ses espoirs. »
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Décryptages ? Il n’est parlé que des…gouvernements. Mais, Aux U.S.A. qui « gouverne » sinon la Fed, consortium privé qui se fait passer pour la banque centrale des USA – et le complexe militaro-industriel qui occupe tranquillement toutes les services publics le plus illégalement du monde ! – en France, c’est différent. La grande distribution a un chiffre d’affaires SUPÉRIEUR au budget de l’état (faut le faire). En gros, plus de 2 000 milliards d’€ pour autour de 1 800 milliards € - La bancassurance c’est 1 700 milliards d’€. Donc ne s’en prendre qu’à …l’état c’est se tromper lourdement de cibles. (consommation et argent fou, en l’occurrence).
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Qu’avons-nous vu : dès que la « pénurie » est agitée et les conformistes rampent. Alors que ce sera encore plus de pénuries existentielles qui seront au bout. Et ces étranges austérités où une partie de la population s’enrichit lourdement et ouvertement de cette prétendue austérité (sic) pour qui pour tout le monde, l’austérité ? Indice et preuve présentables en justice d’une spoliation que de voir, d’un côté, la somme de l’austérité passer au centime prés dans la poche des enrichis par…l’appauvrissement des autres.
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Qui dirige ? Les organisations syndicales ne le peuvent puisqu’elles ne désirent s’attaquer ni à la consommation drogue dure ni à l’argent comme bien commun avec crédit en service public.
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Et donc seul – une fois de mieux – les anticonformistes « se » dirigent très bien (impossible de les manipuler !) dans ces chaos ( mais juste agités dans l’étroitesse d‘une vieille casserole !) « organisés » !
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Nos liens ici auront décrypté donc et dénudé les manipulations, les deux en même temps.
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Le potentiel est là – un mouvement qui « s’engage » dans une fausse pénurie (à noter le désastreux Libération avec son « Où est la sortie ? » afin de faire ressentir comme un horrible piège - d’où les conformistes vont se ruer vers l’exit ! – et le malencontreux Marianne avec son ordre hurlé « Débloquez », lorsque ce sont eux qui « débloquent » en roulant pour qui ? les grandes surfaces ou les banques ?) Il est très possible en Juin de ne pas débloquer mais ce reste une option. L’éventail des possibles reste immense – qui est drogué aux médias ne verra que des vies rétrécies…je trahis tout et je me casse en vacs. En tout cas l’acte premier c’est de ne jamais obéir au privé avec, dans l’ordre, multinationales, argent et consommation drogue dure ! Si ce privé dit attaquer l’état c’est pour faire comme Al Capone et son « programme politique » : 1) détruire tous les services publics 2) une fois tout le monde sans protection ni aides publiques, rançonner chacun-e …à part. A part que chacun-e sera rançonné du fait de sa bêtise. D’avoir tant « obéi » au privé. C’est le privé (sauf PME –PMI) l’ennemi principal. Obéir à ses médias c’est s’auto-trahir en grand. Tirer contre son camp. Les services publics sont nettement à protéger : c’est d’ailleurs le « but constitutionnel » des…impôts. Pas de …subventionner le privé déjà trop riche. Ce qui est un abus de biens sociaux, un bris des avoirs publics, un cassage en grand des biens de l’intérêt général. Faire de l’assistanat des trop riches c’est s’avouer être…
……………………………………..les vrais casseurs !
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Cassons-nous donc de ces tournages de non-raisonnements en rond. Nous venons de laisser des traces impeccables. A quel point nous savons nous diriger vite et bien dans tous leurs chaos peu probants. Oui cassons-nous loin des casseurs au pouvoir !
………..Nous savons, nous, ce qu’est « diriger » et « se » bien diriger.
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…………Ici auront été les travaux pratiques. Et cela seul importe !
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>>>>>>>>>>>>>>>>>> - SANS OUBLIER - <<<<<<<<<<<<<<<<
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http://www.wikiberal.org/wiki/Citations_sur_la_politique
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Genre …. « La politique est le seul métier qui se passe d’apprentissage, sans doute parce que les fautes en sont supportées par d’autres que par ceux qui les ont commises. »…etc.
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Comment-s'organise-un parti-politique ?
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Tout parti dispose d’un texte constitutif qui précise son organisation interne. L’existence de structures est une condition nécessaire pour que les partis puissent perdurer, s’implanter dans le corps électoral, travailler avec efficacité à la conquête du pouvoir, convaincre les électeurs afin de mettre en œuvre le programme politique qu’ils auront élaboré.
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Espagne-le-système-politique-"bloqué"-par-une-combinaison-d'intérêts-politiques-et-personnels
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Podemos a une stratégie très claire : ils veulent, dès les prochaines élections, dépasser le parti socialiste, faire ce qu'on appelle en espagnol 'el sorpasso', c’est-à-dire dépasser les socialistes et reconstruire une gauche espagnole. Ils feront tout pour retourner aux urnes. Et puis, de l'autre côté, vous avez le Parti populaire, avec Mariano Rajoy qui est encore le président en fonction. Or, le Parti populaire est lui aussi dans un état de très grande fragilité, éclaboussé par des scandales de corruption incroyables. Mariano Rajoy contrôle tout ça d'une main de fer. S'il abandonnait la moindre parcelle du pouvoir, il serait inquiété par la justice et peut-être même mis en examen et soumis à un procès…nouvelles élections législatives le 26 juin 2016 !
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il n’y a pas d’autres solutions
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On-bloque-tout : la-force-des-sans-pouvoir
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L'émancipation sociale doit donc porter sur le domaine moral, intellectuel, politique et économique. Les hommes et les peuples ne pourront se dire totalement émancipés que lorsque toutes ces formes d'asservissement n'existeront plus, quand ils seront les maîtres de leurs sentiments, de leurs idées, quand ils pourront librement acquérir les connaissances désirées, quand aucun obstacle ne s'opposera plus à la diffusion des opinions, à la liberté de parole, de presse, de réunion, d'organisation ; quand, enfin et surtout, les fruits de leur travail ne leur seront plus confisqués par une classe de privilégiés, quand ils s'organiseront librement et à leur guise, tant pour régler entre eux les conditions du travail que pour répartir les produits.
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Rien-ne-justifie-l'instrumentalisation-politique-du-maintien-de-l'ordre
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CRS = 49-3 ? Rien ne justifie l’instrumentalisation politique du maintien de l’ordre. Limiter diriger à cogner et rien d’autre. Lors de manifestations, les médias ne parlent que de cela est un signe nouveau de lâcheté politique ! Et de déchéance collectve : "limiter" les débats à ce point c'est tuer le futur !
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Les-vraies-ruptures-qui-attendent-la-gauche ?
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Ce serait oublier que l’intérêt général ne peut se réalise pas sans contraintes, et même – disons le mot – sans autorité. Mais il suffit de relire les grands auteurs républicains et socialistes pour voir que certains mots ne sont pas infâmes en eux-mêmes : tout dépend de ce qu’on en fait.
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Ce sont donc les machines et ordinateurs qui nous « dirigent », soit nous « canalisent » comme des troupeaux sans justifications argumentées ni recours possibles. Les chiffres ont raison – l’humain n’existe plus ?
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
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(à suivre)
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……………. tous ces posts sont bien reliés à une pensée globale
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et "L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie", onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, LE ROMAN DE L'ECONOMIE, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la …..situation
…..Faisons le vide d’eux à l’intérieur de nous !
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 000 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
GOUVERNAIL : cap de ce qu’a décidé le peuple - gouvernant qui ne doit pas isoler son choix, le décoder et l’égarer dans une direction différente – un chef n’est pas un maitre, et nous ses serfs – le chef est juste délégué par les autres et non pour lui – personne ne peut représenter le peuple – le sens diriger (orientation) est perdu !
se diriger sans voir
Frédéric Lordon est un économiste et philosophe français d'inspiration spinoziste. Il est directeur de recherche au CNRS et chercheur au Centre de sociologie européenne (CSE). Il est membre du collectif « Les Économistes atterrés ».
afin de créer une nouvelle civilisation...
diriger dirigeable...
de la consommation drogue dure et de l'argent fou, etc.