La France des invisibles (2/2)
Après la France des délaissés et des invisibles de la vie périurbaine (celle entre les villes) qui touche au moins 15 millions de citoyens – la France des villes moyennes abandonnées et saccagées par le prurit d’une centralisation toujours plus forcenée ? Ce qui touche au moins 17 millions d’autres citoyens. Dans une Europe fédéraliste cela fait tâche et, d’ailleurs, toutes les initiatives des gouvernements successifs desservent complètement les intérêts et la vie de la vraie majorité de la population.
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Les villes moyennes se désertifient vraiment au seul avantage de la capitale et de quelques métropoles. Toute la décentralisation (qui permet réellement au pays de résister aux méfaits de la mondialisation si hiérarchisée) est trahie. Et les résultats se montrent catastrophiques pour le futur. Quelques mouvements de prises conscience tentent d’inverser le mouvement. Mais ce qui complique les choses est la grande difficulté de comprendre la réalité des phénomènes.
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*** - Tant le sabotage des villes moyennes (ou d’équilibre) n’a surgi que de modèles artificiels imposés par des technocrates centralistes à tout crin, ignorants du terrain, et dont nous voyons les effets très négatifs avec 20 à 30 ans de décalage.
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*** - Les solutions sont difficiles à dégager, vu la méconnaissance générale et des réalités (en général, les villes moyennes se meurent) – et - alors que le pétrole va disparaitre toute cette désorganisation maniaco-profit- n’importe- comment aboutit au plan de circulation automobile (…généré par de telles décisions irresponsables) la pire qui soit. Tandis que s’amplifie la pollution de l’air qui tue toujours plus. Trop de niveaux de problèmes s’imbriquent !
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*** - Seul Paris parle, même si c’est insensé, les médias subventionnés par les impôts de tous s’avèrent clairs ennemis de la grande majorité en ne favorisant (illégalement) que le style de vie extrêmement nuisible de la minorité. Avec un tel contexte, les voix sensées sont étouffées. Et la loufoquerie mentale domine. Tout dans le simplisme donc pour l’irréalisme suicidaire !
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*** - Causes réelles et solutions étant tellement méconnues que les assauts de centralisation maximale actuels sont les pires des décisions qu’il restait possible de prendre. ** Etc.
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Tentons une présentation des constats du réel en y introduisant – en même temps – la prise de conscience du maximum de solutions à notre portée !
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« Des bus vides qui tournent en boucle devant des vitrines vides. Les villes moyennes ne savent plus comment sortir de la nasse. Lors du colloque « Faire vivre le cœur des villes », organisé le 15 mars par Villes de France, l’ex-Fédération des maires des villes moyennes, les élus ont décrit, sans détours, la situation à laquelle ils sont confrontés (récit de cette conférence sur le site Localtis).
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Le plus direct est sans doute le maire de Nevers, Denis Thuriot (« sans étiquette ») : « On dit de Nevers qu’elle est agréable, un peu comme on dit d’une personne qu’elle est gentille. Mais la ville a dormi depuis 20 ans. Sa population est passée de 50 000 habitants à 36 000 en 40 ans. Le taux de vacance commerciale atteint 20%, tout comme la proportion de logements vides. La zone piétonne n’a pas été rénovée depuis 35 ans. Il existait dans le centre une navette gratuite qui restait toujours vide ».
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Les villes meurent. Au-delà du phénomène des vitrines abandonnées, tuées par la grande distribution, un enjeu de plus en plus identifié (lire ici : Au pays des villes mortes), le déclin urbain se manifeste aussi par…l’état des transports publics. Dans les préfectures et sous-préfectures départementales, les bus roulent vite, mais le taux de remplissage est au plus bas, le coût au plus haut.
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Les-villes-moyennes-face-au-syndrome-des-bus-vides/
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Des bus rapides, vides et chers ? Selon les chiffres de l’Union des transports publics (UTP), à Thionville (Moselle), par exemple (on aurait pu aussi citer Angoulême, Douai ou Perpignan), un bus roule à 23,2 km/h, mais chaque habitant n’effectue que 44 trajets par an, chacun de ces voyages étant subventionné par la collectivité à hauteur de 2,53 €. A Lyon, par comparaison, les bus ne dépassent pas 15,2 km/h, mais les habitants l’utilisent 328 fois par an, et la subvention ne dépasse pas 84 centimes par trajet. […les économies d’échelles jouent alors en faveur uniquement des grandes villes – dans ces études chiffrées à plus de 200 000 habitants].
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Au colloque de Villes de France, Éric Chareyron, directeur de la prospective du transporteur Keolis, fait son mea culpa. « Nous sommes allés trop loin, en voulant étendre à toutes les villes les services proposés dans les métropoles, qu’il s’agisse des types de véhicules, des distances moyennes entre deux arrêts ou de la tarification ». […le syndrome du centralisme qui rend sourd et aveugle : l’imiter en tout rend, même sans examen préalable, obligatoirement efficace et…intelligent : tout dépend de quel bout de la lorgnette nous nous plaçons. Sûr, désormais, que le centralisme bâcle énormément son pays ! ]
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Et pourtant, souligne M. Chareyron, les transports publics peuvent rendre bien…des services. A commencer par permettre aux personnes non motorisées de se déplacer. « A Laval, 19% des foyers ne possèdent pas de voiture. A Alès, c’est 25%. A Dieppe, Fécamp ou Lisieux, 30% ». A lire : Non, tout le monde ne possède pas de voiture.
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Tropisme scolaire. En outre, les transports publics sont « trop souvent pensés comme destinés uniquement aux scolaires », regrette M. Chareyron. Les bus desservent les établissements, quitte à effectuer des détours, les horaires sont adaptés aux heures de cours et le service allégé, ou supprimé, pendant les vacances. Difficile pour un salarié de s’y retrouver. Et pourtant, « à Tarbes, par exemple, 7 adultes sur 10 n’ont pas d’enfant à domicile », précise le responsable de Keolis.
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Parking et business. Parmi les oubliés des transports figurent enfin « les salariés des magasins qui commencent à 10 heures et terminent à 20 heures. S’ils prenaient le bus, cela permettrait de libérer le stationnement pour les consommateurs ». De quoi répondre au vieil adage « no parking, no business », selon lequel tout client potentiel devrait pouvoir garer sa voiture à proximité immédiate du magasin de destination.
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Un principe discutable, mais de toute manière totalement annihilé par la tentation d’occuper le moindre stationnement disponible, comme le constate François Gaucher, bijoutier à Vannes et président de l’association des commerçants : « Les commerçants et leurs salariés ne paient ni leur parcmètre ni les amendes », témoigne-t-il. Les clients potentiels, les fameux automobilistes « qui ne peuvent pas faire autrement », sont priés d’aller se garer…ailleurs.
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Se garer au culot. L’incitation à un usage mesuré de la voiture, qui se traduit par la multiplication des parkings souterrains, est également un échec, constate le même commerçant : « Dans le centre de Vannes, les 4 parkings souterrains sont vides la plupart du temps. Seul l’un d’entre eux est parfois complet, mais seulement quelques heures par an ». Chacun préfère sa place en surface, le plus près possible de sa destination, quitte à se garer au culot sur un bout de trottoir. Et tant pis pour le piéton qui comptait baguenauder et faire quelques courses. Les villes moyennes ont décidément un problème d’addiction à la voiture. »
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Premier constat qui va contre les frénésies des fausses solutions – celui-ci : ce qui étrangle les villes moyennes est clairement identifié : c’est l’usage exagéré, sourd aveugle et déraisonnable de « sa » voiture…
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Au lieu de ne plus imiter le centralisme ou les grandes métropoles – et d’inventer tous les systèmes alternatifs possibles :
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Faire entrer dans les mentalités que l’usage de la voiture individuelle (dont 3 sur 4 est toujours pour une personne abusivement seule) est fini. Qu’il faille inventer, dès maintenant, un...atterrissage en douceur ! Le sauvetage des villes moyennes (d’équilibre) en est une très grande opportunité !
1 _ Les stationnements payants sont pour la périphérie et les grandes surfaces qui ont tant abusé de ces villes moyennes. Donc rétrocessions aux mairies. Joints avec des places gratuites en centre-ville pour les clients des services. Places limitées aussi aux « essentiels ».
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2 - Réorganisation complète de toute la circulation : des parkings situés à l’extérieur des villes avec beaucoup de navettes très rapidement renouvelées. Navettes qui desserviraient tous les nœuds d’arrêts d’autobus – plusieurs arrêts à la dois pour plusieurs lignes.
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3 - Services rendus communs – soit en lançant ou appuyant les associations de voitures communes à louer de telle heure à telle heure avec places de stationnement réservées. Ou, par abonnements, il reste possible de trouver le véhicule sur place (la liste d’abonnés à laquelle il est adhéré permet la confiance – nous pouvons savoir que c’est d ou f avant nous, etc.).Etc.
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4 - Nouveaux services – l’idée est la fin des concurrences genre escalades paranoïaques des surcoûts pour tout le monde – pour coopérations, mutualisations, prises en compte de tous les problèmes individuels. Et solutions soit par les mairies soit par des initiatives associatives. Par exemple, solutions aux encombrants (les achats ou les produits des services faits en centre-ville), transportés vers les bus ou les véhicules garés en périphéries…Vélos transports d’encombrants par remorques, même chose en motorisés. etc. – qui libèrent des nécessités « addictives » de « sa » voiture et permet des centres-villes très prestataires de services. Dont des nouveaux sans encore de noms.
** 5 – etc.
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La mobilité doit être durable : l’étouffement des villes (dont les moyennes) par l’extrême désorganisation créée par les excès d’égoïsmes qui se nuisent à eux-mêmes en sont des exemples flagrants. La décentralisation concrète, seule, peut inventer des modèles qui libèrent et mettent en valeur tous les atouts locaux !,
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http://www.imagiter.fr/article-les-transports-a-l-heure-de-la-mobilite-durable-66281201.html
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Et puis toutes ces nouvelles manières de penser (que nous mettons tant en valeur dans ce blog notamment la rubrique « méthodes de pensée » qu’il est possible d’appeler dans « rechercher » et de faire défiler devant nous !)…un exemple ? Qui connait ces 3 richesses indépendantes l’une de l’autre ? La connaissance de ces 3 richesses seule rend l’argent…utilement comparable…Les solutions se trouvant dans la prise de consciences des DÉMESURES. Ces poches à redressements républicains (en réPublique pas de privilèges !)…
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Voyons cet extrait du texte daté du 1er février 2013 sur ce même blog … « Comme plus de la moitié de nos concitoyens ont 1 600 € mensuel ou moins pour leur travail, ils s'aveuglent, démesurément, sur ce seul revenu…Or - il y en a 2 autres de très omis et qui sont…énormes en valeur…Oui, les revenus et le patrimoine des ménages de l'INSEE 2010, lui, fait état…d'1 % de la population qui « se monopolise » (mais que fait donc la Commission européenne ?) oui 48 % des revenus dits financiers, 32 % des revenus du patrimoine (plus que les services publics il semble !) et…5,5 % des revenus du travail »…
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http://www.imagiter.fr/article-l-argent-comparable-voyez-donc-plutot-les-3-richesses-114934374.html
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Sûr que les mécompréhensions viennent directement de ces…désinformations flagrantes. Noyer le poisson sous des informations de dixième zone afin de ne jamais aborder (ou tellement vite que nul ne peut entendre vraiment !) les trois informations centrales du domaine d’investigation…
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Comme ceci…« Aujourd’hui, la crise des villes moyennes est devenue telle que les géographes Daniel Béhar et Philippe Estèbe n’hésitent plus à parler «d’espaces en voie de disparition». Il est vrai que le ciel de ces communes n’a pas arrêté de s’assombrir depuis les années 70: fermeture de la «grande entreprise du coin», mise à l'écart du maillage TGV, tribunaux, casernes et hôpitaux rayés de la carte par la RGPP. [….ce centralisme abusif qui se couple avec une claire folie : en tout imiter le privé. Or, les services publics à but non lucratif ont toujours eu un rendement supérieur au privé. Privé si desservi par ses hauts salaires trop destructeurs ! En conclusion, le public coûte moins cher que le privé !]...
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A l’horizon, pas la moindre annonce d’éclaircie, au contraire. Le projet de réforme [anti] territoriale promet de constituer un nouveau coup dur pour ces communes de 20.000 à 100.000 habitants avec le transfert des services départementaux aux conseils régionaux et la diminution du nombre des régions, sans oublier la réorganisation des services déconcentrés de l’État. […euphémisme pour signifier l’abandon dément de toute décentralisation, seul moyen de ne plus subir les méfaits de la mondialisation qui ne « sert » que la minorité des irréalistes : capitales + quelques métropoles]…
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Le plus terrible, c’est que, passé un certain seuil de destruction d’activités commerciales, la crise des centres villes s’auto-entretient, s’emballe et contribue à son tour à devenir un facteur aggravant de la situation générale.
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Cette mort annoncée des villes moyennes est-elle si grave? Oui, et ce pour deux raisons. La première réside dans l’attachement des Français à ces communes qui continuent d’incarner la ville idéale. Ce n’est pas un hasard si 60% des habitants de villes moyennes jugent positivement leur environnement, contre seulement 46% dans les grandes agglomérations et 30% en région parisienne. […d’un côté la majorité est satisfaite, de l’autre c’est la majorité qui est insatisfaite – conclusion ? Paris mécontente absolument tout le monde !]
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Autre raison importante: l’ampleur du séisme économique et géographique que représenterait la mort des villes moyennes. Aujourd’hui, 17 millions de Français sont potentiellement concernés, mais ils sont beaucoup plus si on y intègre les territoires dont le dynamisme est largement dépendant de ces villes. »
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Or – « ce processus est largement ignoré par les politiques nationales (toujours plus déconnectées des réalités !), il avance donc silencieusement. C’est pourquoi l’Association Villes de France, présidée par la maire de Beauvais Caroline Cayeux, porte un manifeste qui propose la mise en place d’un programme national de revitalisation des centres-villes, sur le modèle du programme national de renouvellement urbain.
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La-redynamisation-des-centre-villes-priorité-des-villes-moyennes : leurs projets !
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« La France n’est pas la plus touchée par ce phénomène de dévitalisation des villes moyennes, l’Allemagne, le Japon, le sont davantage, analysait Sylvie Fol, professeur d’urbanisme à l’université Paris 1. Cependant 20% des aires urbaines ont perdu de la population entre 1975 et 2007, et ce processus s’accélère. Les villes les plus touchées sont de taille moyenne, les trois quart comptent moins de 50 000 habitants. ».
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Le problème dépasse la problématique du commerce : il faut partir des usages des habitants actuels et futurs, puis imaginer ce que sera le cœur de ville de demain, qui aura peut-être changé d’emplacement, de taille ».
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L’objectif est de rassembler, dans des projets globaux, les multiples procédures et dispositifs qui se superposent dans les centres-villes, touchant au commerce, à l’habitat, à la protection du patrimoine, aux transports…
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La Caisse des dépôts et consignations travaille sur ce dossier, et s’apprête à faire des annonces pour accompagner les collectivités locales dans leur démarche, notamment en ce qui concerne le montage des dossiers foncier et immobilier. « Nous demandons que le troisième volet du programme d’investissements d’avenir intègre la redynamisation des centres-villes », a annoncé Michel François Delannoy, expert en montages complexes. »
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Conjuguer.fr/extranet-cyberservice
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Un bloc de solutions en action ? Toujours amplifier les associations, les coopérations, les collaborations – et bannir les concurrences. Soit tenter de réparer les désastres des modèles si contraignants parachutés du centralisme : en résumé : étendre à toutes les villes les services proposés dans les métropoles – ce modèle unique – tout surdimensionner et puis sous–utiliser. Gaspillages maximums garantis. Abuser de la mise en concurrence puérile entre les villes moyennes, genre chacune doit tout avoir…comme la voisine… (au lieu de reconnaitre la meilleure compétence de l’une pour ceci et de l’autre pour cela – et de…mutualiser les territoires) ; et tous les méfaits non reconnus des abus de centralismes si ignorants des …réalités), etc..
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Ce blog tente de remédier à toutes ces lacunes béantes ( malencontreusement amplifiées par le trop ignorant…mainstream !) qui empêchent de mener des projets réellement collectifs (…ce pourquoi ce blog est une incroyable mine de raisonnements et d’informations « transversales », celle qui traversent de très nombreux champs sociaux à la fois – que, sûr, il est plutôt sous-utilisé ! Qui se sert de ce blog y trouve, par contre, bien plus que ses espérances de départ)…
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Dans le domaine de « faire gagner du temps » en vous amenant des informations centrales dans tous les sujets, apparemment très…techniques (de la poudre aux yeux : les gravats prétentieux déblayés, les lignes de forces se lisent en français…courant). En plus, travail de réflexion déjà avancé : puisque il y a toujours la structure des arguments qui y est fermement dessiné. Et donc il n’y a pas trop d’efforts à fournir afin d’y incruster l’information centrale…etc.
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La-preuve-par-la-carte du Non-tout-le-monde-ne-posséde-pas-une-voiture (1 sur 5 n'en a pas !)
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« 33% sans voiture en Ile-de-France. La disparité est très forte en fonction des territoires. Ainsi, 13% des ménages de Poitou-Charentes ne possèdent pas de voiture, contre 21% dans le Nord-Pas-de-Calais et 33% en Ile-de-France, une région très irriguée en transports publics. A l’échelle des départements, le taux de non-motorisation est inférieur à 10% en Vendée, dans les Landes, dans l’Ain et dans le Gers. Les départements les moins équipés se trouvent plutôt au nord-est et autour des agglomérations : Rhône, Nord et Alpes-Maritimes à 23%, Bouches-du-Rhône à 22%, Pas-de-Calais ou Meurthe-et-Moselle à 20%. La motorisation est bien entendu plus basse encore dans la capitale (seulement 39% des ménages parisiens), et en petite couronne : en Seine-Saint-Denis (37%), dans les Hauts-de-Seine (33%) et le Val-de-Marne (30%).
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Mais c’est à l’échelle la plus fine, celle de la commune, voire de l’Iris, que l’observation est la plus intéressante. Les ménages des grandes villes et de leurs proches banlieues sont beaucoup moins motorisés qu’on ne l’imagine généralement : ils sont 34% sans voiture à Nice, 35% à Bordeaux, 36% à Nancy, 37% à Strasbourg et 42% à Lille ! A Lyon, entre 28 et 50% des foyers ne possèdent pas de voiture, selon les arrondissements. A Marseille, le taux oscille entre 17 et 60%.
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Le fait que nul (ou quasi) ne pense à toujours à partir des totaux têtus des…faits aboutit aux incohérences qui pleuvent toujours plus des sommets. Ici, nous avons des 60 % qui vivent SANS voiture. Donc c’est…possible ! Et jamais leurs cruciaux témoignages ne sont sollicités et…écoutés. Comment font-ils ? Si, en moyenne dans les métropoles, quasiment 40 % n’utilisent pas de véhicules – il est plus qu’urgent de comprendre comment ils s’organisent face au devenu plus que ridicule diktat « ma voiture c’est non négociable »…hého, cela ne semble pas du tout aller la tête. C’est plus que négociable, votre égoïsme abusif et nuisible est aboli, vous comprenez cela ? Il va être traité comme une addiction dont le sevrage est une nécessité de santé publique ! »
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Régionator-la-carte-de-france-dessinee-par-les-trajets-quotidiens/
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Encore, le taux de… non-motorisation doit être pris en compte partout et tout le monde doit en être informé ! Parce que – une fois déblayées les dictatures d’objets qui peuvent tuer la société entière – clair que les alternatives au moteur individuel disposent d’un énorme potentiel. Et cela va se voir en grand.
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Rapports méconnus entre voitures-logements -et besoins nécessaires ?
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Puisque la « culture de résultats » doit bien recevoir les bonnes fessées qu’elle mérite. Jamais utilisée où il faut. Parce que là les résultats désastreux des prétendues élites (qui empêchent les véritables élites d’être visibles !) explosent :
bus vides
suréquipements et sous-utilisations ensuite (notamment culturelle et consensuelle)
mauvaises volontés envers les associations 1901. Alors que Peter Drucker a démontré que – surtout en France – si le tissu associatif cesse d’exister il ne faudra pas attendre 3 jours avant de vérifier que le pays entier s’effondre. Combien de milliers de solutions auraient pu être mises en action depuis 30 ans ? La morgue d’une grande partie des élus ( trop aliénés) en devient inexcusable.
sabotages idéologiques des solutions (combien de problèmes actuels n’existeraient même pas s’il y avaient eu des décisions…démocratiques. Ce pays regorge d’intelligences mais les dirigeants « centralisés » les empêchent suicidairement !).
rétentions d’informations cruciales aux citoyens « qui doivent participer à l’élaboration de la loi » et… parallèlement, gavages d’informations techniques sans intérêts
bref, un claire nécessité à renouveler partout les personnels politiques…
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Autant dire
……à réorganiser complètement le pays…et pas par/avec les usurpateurs actuels !
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>>>>>>>>>>>>>>>> - Sans omettre - <<<<<<<
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http://www.imagiter.fr/article-pas-tres-populaires-les-classes-populaires-100081236.html
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Quand-les-villes-moyennes-regardent-passer-les-trains sans y monter ?
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Les-villes-moyennes-contre-attaquent ?
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
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(à suivre)
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……………. tous ces posts sont bien reliés à une pensée globale
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et "L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie", onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, LE ROMAN DE L'ECONOMIE, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper ………………………
Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 000 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Liens entre villes moyennes et...
...la france périphérique...
...évidemment (l'idéologie nuit !) toutes les visions des solutions restent plus que superficielles...
...sauf la suivante - d'une extrème intelligence...
Se déplacer en bus express plutôt qu’en voiture ou en train représente une économie substantielle pour les ménages, de l’ordre de « 300 à 1000 euros par an et par usager », selon Carbone 4, qui a concentré son travail sur le réseau de bus express madrilène et sur deux lignes françaises (TransIsère et Chronobus, à Nantes). Les citoyens ne sont pas les seuls acteurs à profiter de la mise en place d’un réseau de bus express. Les collectivités y trouvent aussi leur compte, puisqu’elles peuvent économiser des sommes non négligeables, de l’ordre de 500 à 1200 euros par usager et par an. « Le bus express sera souvent économiquement plus avantageux que les transports en commun guidés comme le TER ou le tramway, ce qui diminue le montant de la dépense publique », explique Jean-Marc Jancovici.
les rapports avec les Fonds européens...
Omission ? du fait que la problématique des villes moyennes n'est pas celle du seul et unique ?...commerce. Mais bien de la réorganisation nécessaire de toute la société !