Pas d’autre survie que par le biomimétisme ?

Comment la nature peut-elle se débrouiller sans produits de nettoyage ? En tout cas mieux que nous ! Comment cette nature, trop délaissée, produit de si magnétisantes couleurs qui parent les végétaux et les animaux ? Et nous pas, naturellement ? Comment parvenir à se coller à des parois verticales ? Comment…et tout un fourmillement de questions qui admettent que, avec 3,8 milliards d’années de recherche et développement, la Nature semble avoir vraiment énormément d’avance sur nous. La sagesse semblant, enfin, accepter de changer une grande partie de nos idéologies – plutôt que de détruire cette nature comme des cancres ! Et de la polluer - ce qui « devient » donc polluer ce que nous respirons, buvons ou mangeons tout aussi bien – Devant tant de stupidités, il devient infiniment plus efficace et performant d’imiter la nature. Et c’est cette nouvelle branche des connaissances qui rend si fier d’entrer dans ses savoirs – elle se nomme le biomimétisme. L’idée réconfortante y est que la nature possède toutes les réponses à tous les problèmes – et que, jusqu’à aujourd’hui, nous n’avions jamais eu la patience de l’écouter. Et que la prise de conscience va, actuellement, très vite !

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« C'est Janine Benyus qui, au début des années 1990, a permis l'émergence de cette nouvelle approche avec son ouvrage Biomimicry: Innovation Inspired by Nature. D'après cette biologiste, les leçons que nous donne la nature sont notamment que la nature :

• utilise une source d'énergie principale : l'énergie solaire ;
• n'utilise que la quantité d'énergie dont elle a besoin ;
• adapte la forme à la fonction ;
• recycle tout ;
• récompense la coopération ;
• parie sur la biodiversité ;
• exige une expertise locale (les chimpanzés sachant trouver leurs médicaments dans leur environnement) ;
• limite les excès de l'intérieur ;
• utilise les contraintes comme source de créativité.

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Janine Benyus insiste sur la capacité de la nature à synthétiser et structurer la matière organique ou minérale (ex : coquille) via des processus d'autoassemblage de matière à laquelle le vivant intègre de l'information.

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Un petit aperçu (non limitatif !) ?

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 Les plantes sont une source importante d'inspiration. La phytoépuration (et la fongoremédiation) ou la plupart des stations d'épuration s'inspirent des écosystèmes pour épurer l'eau, l'air et les sols. Des projets de hardwares, softwares, senseurs, actuateurs et robots cherchent à s'inspirer du monde végétal et en particulier de ses capacités de phototactisme, chimiotactisme, photosynthèse et biosynthèse. Leurs systèmes racinaires pourraient inspirer des systèmes robotiques d'exploration, monitoring ou exploitation des sols et sédiments ou réseaux faillés, dont en en utilisant éventuellement la force osmotique, en y détectant des ressources ou conditions particulières.

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 L'aquaculture multi-trophique intégrée (ou IMTA :Integrated multi-trophic aquaculture pour les anglophones) est notamment testée en Norvège et au Canada. Elle s'inspire du fait qu'en mer, algues, filtreurs et animaux sont complémentaires, les uns consommant les déchets des autres, les filtreurs épurant l'eau. Elle pourrait être associée à un récif artificiel et/ou à un dispositif de concentration du poisson ;

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 Le velcro est inspiré des crochets de la propagule renfermant les graines de la bardane ;

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 La soie d'araignée est un polymère dont la configuration moléculaire peut varier et rapidement s'adapter à la température et l'humidité. Elle est notamment capable de « Supercontraction » (de 10 à 140 MPa de tension) quand elle s'humidifie (en plusieurs minutes quand l'hygrométrie dépasse 70 %), et plus rapidement quand elle est subitement mouillée ;

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 Les turboréacteurs créés sur le modèle du nautile ;

 Les parois de douche, les fenêtres autonettoyantes et certains revêtements de l'industrie aéronautique ont été créées grâce à la découverte de "l'effet lotus" ;

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 Certains types d'éco-habitat reprennent les principes des termitières, et pourraient dans le futur utiliser les progrès de la construction par fabrication additive (« architecture imprimée ») ;

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 En créant des pantographes en formes d'ailes reproduisant la structure de celles du hibou, le bruit du Shinkansen est diminué, pour le confort des passagers. De plus, le profil des motrices de ce train est analogue au bec du martin-pêcheur ;

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 des robot-calmars, robot-poissons ou robot-méduses capables de se déplacer dans l'eau, des robots disposants de tentacules souples (comme ceux d'une pieuvre) ou bien plus fins, des robots pouvant voler marcher ou courir comme un animal (en portant de lourdes charges, parfois), ou capables d'explorer des environnements radioactifs ou extraplanétaires sont mis au point aux États-Unis dont par divers acteurs (ex : JPL, SCHAFT Inc, CMU NREC, l'Université de Drexel, le RoMeLa de Virginia Tech pour le compte de la Nasa/JPL et/ou l'armée (via le DARPA) et en lien avec le MIT (MIT Robot Locomotion Group) des spécialistes de l'intelligence artificielle et des interfaces homme-machine (ex : « Florida Institute for Human and Machine Cognition » ou IHMC). La plupart des prototypes de ces robots sont plus ou moins inspirés d'organismes animaux ou de l'organisme humain) ;

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 des micro-robots marchent sur l'eau comme les gerris, en exploitant la tension superficielle de l'eau ;

 Des chercheurs du CNRS ont mis au point des « micro-nageurs artificiels » se déplaçant par biomimétisme, cette découverte laisse entrevoir de possibles innovations dans le domaine de la médecine car ces micro-nageurs peuvent transporter de petites quantités de médicaments à travers les vaisseaux sanguins ;

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 Un système (Wi track) évoquant d'écholocation, mais basé sur des ondes radio passant à travers les murs mais réfléchie par le corps humain, permet de repérer la position et les mouvements du corps humain "à travers les murs" et de commander des objets à distance, dont au travers d'un mur

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 La structure métallique de la tour Eiffel présente des analogies avec celle du fémur ;

 La combinaison de natation Fastskin s'inspire de l’épiderme du requin mako ;

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 Les essais de la compagnie Lufthansa pour améliorer le glissement dans l'air du fuselage des Airbus A340-300 grâce à un vernis à effet "peau de requin" ;

 La carapace chitineuse des scarabées Stenocara a inspiré des systèmes de récupérateur d'eau dans l'air (collecteur de rosée) ;

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 Après plusieurs décennies de recherche sur le traitement du signal d'écholocation chez les cétacés et les chauves-souris les neurosciences comprennent mieux comment ces animaux différencient des objets d'intérêt dans un environnement et un arrière-plan complexes, via les échos qu'ils reçoivent (par l'ouïe) et un processus dit « temporal binding ». Ces mécanismes pourraient « conduire à des technologies sonar et radar intelligents ».

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*** - Des chercheurs tentent de développer des biocatalyseurs permettant la production de protéines ou polymères minéraux (biominéralisation) à froid, à pression ambiante et dans de l'eau. On tente aussi de créer des systèmes de production d'hydrogène ou d'électricité imitant le processus de photosynthèse. Un filtre à eau ultra-pure pourrait être constitué de membranes et portes protéiques imitant les systèmes à l'œuvre dans la nature. »

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Etc.

............(source : Wikipédia);

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Il s’agit de savoir expliquer en plongeant toujours dans le cœur de cible, dans l’essentiel, en ce site verbal même où coulent le plus d’informations. Ainsi la vraie biomimétique intègre 3 niveaux à la fois :

Les formes, les processus et les écosystèmes !

Des industries vont copier la forme mais pas les processus. La plupart, d’ailleurs, ne pensent jamais aux écosystèmes. Malheureusement. Or les 3 niveaux à la fois c’est la véritable durabilité – celle qui n’a besoin d’aucun marketing parce qu’il n’y a nul mensonge en elle. La nature ayant survécu si longtemps et sans aucune aide extérieure n’a pu que peaufiner les processus les plus opératoires et concevoir les écosystèmes les plus efficaces…ne pas l’imiter en ce domaine est donc inconcevable : et pourtant tant d’humains immatures se targuent d’être des casseurs de la nature, ses pillards si inconscients !

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Un seul exemple ? La peinture Lotusan imite une feuille autonettoyante. La poser sur une façade d’immeuble c’est s’aider de la pluie qui va nettoyer toute la façade. Sans aucune autre aide ! Et sans nuire à quoi que ce soi dans la nature. Le biomimétisme ne nuit pas. Tout au contraire. En ce domaine, nous avons bien tout à apprendre !

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Cette admiration pour ces processus doit savoir réfléchir encore plus loin. Sur les matériaux qui ne doivent plus jamais être toxiques. Puisque nous avons les choix, respectons plus l’écosystème que les prétendus profits (qui coûtent si chers à la société?) qui se montrent si incapables de le faire, eux. Soit la réflexion – désormais - englobe toute la vie des produits ; du conditionnement, aux transports jusqu’à leurs…recyclages finaux. Surtout ne plus nuire à la nature ! Enfin des humains…adultes et responsables. Les meilleurs recyclages c’est de remettre les matériaux à leur place, dans les lieux mêmes où ils ont été trouvés. Cette conception « intégrative » (qui inclut tout et n’exclut rien) peut nous former à une économie tellement neuve qu’il reste impossible de la décrire en peu de mots…pour le moment !

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Pourquoi ? Parce que, déjà, nous devons user de beaucoup d’énergie pour trouver les meilleures formulations à la hauteur du si fertile savoir qu’est le biomimétisme.

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** // Améliorer toujours la nature plutôt que de la détruire – pour les machistes qui veulent toujours avoir raison. Et donc poser leurs pieds conquérants sur la tête de la nature à terre. Améliorer, amender, réformer, retoucher, faire progresser, etc. Cela leur plait aux gamins encore immatures…

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** // Comprendre et respecter tous les principes de la vie : réduire en tout la toxicité et les dépenses en matériaux et énergies. Comment ? D’abord comprendre les processus de la nature. Les apprendre et puis, au final seulement, les imiter.

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Le-biomimétisme-expliqué-par-Janine-Benyus

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** // Tirer le meilleur parti de tout ce qui existe – afin de paraitre tout de même plus adultes. Or tirer ce meilleur parti s’accompagne d’un respect scrupuleux de la nature. Ne plus lui nuire puisque c’est nous nuire à nous encore plus. Si nous la polluons c’est ce que nous buvons, mangeons ou respirons que nous intoxiquons. Donc nous. Et sans posséder les processus auto-réparateurs de la nature. Autant de cumuls de bêtises ne doivent plus être tolérés. Une seule connerie à la fois. Et pas plus ! Jusqu’au sevrage complet !

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** // Etc.

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Le biomimétisme en devient une globalisation de tous les savoirs existants : quelques exemples ?

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** - 1 - en ce qui concerne les relations entre espèces, la matrice nous décrit des interactions qui vont de « symbiose- mutualisme » (+, +) à « compétition » [-, -). La compétition est donc la PIRE des relations. Celle qui n’entraine que des effets négatifs. C’est une véritable honte que l’espèce humaine s’adonne encore à cette stupidité ! Puisqu’il n’existe pas une espèce non humaines, pas une, qui ne veuille sortir de la compétition. Seuls des dirigeants humains, complètement coupés des réalités, veulent nous conduire vers la plus grande des régressions de la vie : la compétition. Mutons mutuels ! Oui mutuels c’est muter comme des champignons qui étendent leur empire réticulaire sur des 15 000 kilomètres, en contacts sans interruption. Mieux qu’internet ? Oui bien mieux. Infiniment mieux ! Puisque c’est pour des buts pour lesquels nous sommes plus qu’en retard, plus que nuls, plus qu’inexcusables – de grands…arriérés. Comme de…gouverner les arbres. Les champignons gèrent les arbres, répartissent les ressources, en prennent de la nourriture à des arbres solides afin de la donner à des jeunes ou des arbres affaiblis. Et d’un ! Mais c’est tellement plus encore – oui en très grand – les champignons ? Une organisation qui veille à la…santé de l’ensemble. Selon le principe : veiller à la santé du voisin c’est…augmenter la nôtre – ce qui nous prouve, ainsi, que ces champignons nous sont comme…socialement supérieurs, etc. Que nous sommes loin derrière. Y arriverons- nous un jour à être ainsi : veiller spontanément à la santé de tout le monde ? Que nous avons tant et tant à apprendre. Déjà en la fermant sur notre arrogance si inadaptée. Imitons bien la nature, ce sera déjà ça !

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** - 2 - en ce qui concerne l’organisation des sociétés, la pire des organisations reste le CENTRALISME. Et la meilleure : l’organisation naturelle distribuée et auto organisée. En effet il existe trois grands flux que l’imitation de la nature nous permet de mieux utiliser : les flux de matières, les flux d’énergies et les flux d’informations. Fort malheureusement, le centralisme monopolise ces trois flux au très grand détriment de l’ensemble. La Nature s’organise sans qu’il n’y ait jamais le moindre déchet – n’est-ce pas une preuve flagrante de sa supériorité organisationnelle ?

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** - 3 - les principes de la vie sont simples puisqu’ils incluent tout : la Vie crée et entretient les conditions propices à la Vie. Et le tout sans jamais de déchets, tout est proprement intégré. Et, d’ailleurs, toutes les espèces (sauf l’espèce humaine – enfin une partie !) suivent, à la lettre, ces principes de vie. Et toutes leurs stratégies de vie sont bonnes sauf la...nôtre (voir des exemples plus bas). En effet le bouleversement climatique (qui n’est sûrement pas un atténué « changement », trop mièvre pour être honnête !) demandera des millénaires dans des secteurs lourds ou (si nous réagissons tout de suite !) des siècles pour certains autres secteurs…afin de réparer tous « nos » dégâts. Les êtres humains ne sont pas toujours des exemples à suivre. En ce qui concerne ses rapports avec la nature – c’est un exécrable élève (le pire ?). Qui à tout à rectifier !

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**- 4 - les principes d’agressivités, de destructions et de maîtres et possesseurs de la nature sont les…pires. Ils ont tort à 100 %. Ceux-là même qui ne peuvent qu’accélérer le suicide de l’Humanité. Sinon, le biomimétisme démontre que plus les interactions sont bienveillantes, envers la nature ou les espèces et plus les meilleures conditions de survie se présentent. Savoir s’insérer c’est…savoir vraiment !

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** - 5 – apprendre ne plus utiliser nos vœux indicateurs (tels P.I.B., croissance, etc.) comme…oui les rendements absolus. Rendements qui restent abstraits, extraits de la vraie vie. Et pas les calculs par « unité d’empreinte écologique » qui ne peuvent que démontrer, rapidement, la supériorité de l’économie…écologique. Par exemple, coupler les plantations côte à côte de blés et de peupliers. Encore, prendre conscience que nos méthodes de bâtir et construire sont les plus toxiques possibles, de vrais patachons…(…de la construction, à la vie dedans et à la…démolition, tout est dégueulasse !). En effet, bétons, enduits, etc. ne sont pas du tout… recyclables. La Nature nous offre tous les matériaux, formes, processus et intelligences afin de construire tellement mieux et au mieux pour nos…santés ! Par exemple, bois boue et paille remplacent le béton très bénéfiquement.Etc. Pourquoi alors nous entêter à nous être encore..nuisibles ?

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** - 6 - réinitialiser toutes les activités actuelles. Par exemple, les frivoles joueurs de jeux vidéo peuvent devenir de redoutables dépollueurs, d’excellents résolveurs de problèmes écologiques collectifs, etc. Des formateurs à l’intelligence collective peuvent apprendre à encore mieux polliniser la bonne parole (suivre les principes de la vie). C’est que – motivations au maximum des possibles – absolument tout le monde peut participer aux biomimétismes. Observer, comprendre et faire pareil. Imiter les pigments photosensibles des plantes et leurs feuillages pourrait – sans doute – permettre d’installer des futurs panneaux solaires tout autres partout…

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** - 7 - toutes les imitations de la nature que nous comprenons fonctionnent bien :

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// Remplacer la colle hyper toxique (un de nos plus grands polluants intérieurs) en imitant les tapis de feuilles tombées à l’automne.

// Remplacer le latex très allergène par le pissenlit

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// Imiter la topographie de la peau du requin qui ne présente jamais de films bactériens (en clair, qui est la plus propre possible !). Soit reproduire les mêmes traits que dessinent les denticules de sa peau – pour les hôpitaux, les enfants, etc. Ce qui obtient l’avantage immense d’écarter les bactéries sans les détruire. Alors que notre artillerie lourde « antibiotique » tue tout… sauf 0,10 % des bactéries. Ce 0,10 % qui développe les résistances très dangereuses aux antibiotiques…Imiter la nature nous transmet aussi sa bonne santé permanente. En elle, il y a infiniment plus de solutions qu’en nous !

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// Convertir l’énergie des courants marins. Par les mêmes ondulations que la raie, par exemple. Ce qui - à travers une membrane qui oscille dans les courants – nous offre de l’énergie gratuite. Prévisible (les courants sont connus à l’avance). Et - une fois de mieux - sans impacts négatifs sur la vie marine. Ce qui n’est pas le cas de l’homme entêté à « ignorer » la nature omnisciente ! Ses impacts négatifs oui il ose les porter, fou mégalomane, au revers de sa veste !

Etc.

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La Nature n’a rien à apprendre de nous – nous, par contre, avons tout apprendre d’elle…

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Assez de temps perdu et gâché – le biomimétime c’est la « grande » survie !

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>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>> - ENCORE - <<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<

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Vidéos de Janine-Benyus-enfin-publiees/

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Nous avons tout à apprendre de la nature

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

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(à suivre)

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……………. tous ces posts sont bien reliés à une pensée globale

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et "L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie", onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, LE ROMAN DE L'ECONOMIE, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

…..Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la ….situation

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 000 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu