Les bistrots bistres ?
Bistre se volume le bistrot. S’il n’est pas au galop c’est parce que le trot bistrot. Si tu y accoles caracole, nous nous y retrouverons plus vite.
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Astraux, cadastraux et austraux - tous au bistrot. Si centraux bistrots, maestro. La première attestation du son bistro date, en effet, de 1884 dans les Souvenirs de la Roquette de l'abbé Georges Moreau. Ce qui écarte d’ancêtre étymologique « bistingo » » (cabaret) l’ancêtre des carabistouilles ! Comme du russe « bistro » (en cyrillique : быстро) signifiant « vite » vite, et datant de l’occupation russe qui a suivi la bataille de Paris de 1814.
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Bistre reste le bistrot. S’il n’est pas au galop c’est parce que le trot bistrot. C’est plus raisonnable. De quoi laisser du temps de s’occuper de sa couleur bistre au bistrot !
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«Le cabaret est la salle de Conseil du peuple», confirme Honoré de Balzac. Lieu de fermentation de la politique. Le bistrot c’est le Parlement du peuple, y revient-il. Ce qui semble extrêmement important…et demande de préciser…mais de la goguette, à l'estaminet, la guinguette (ou l'endroit où l'on boit du ginguet), le boui-boui, le bastringue, le bar, le rade (encore pour les marins), le zinc, le marchand de vins, le manzingue (déformation du précédent), nous aurions juste des pages de vocabulaire ! Mieux se centrer sur sa fonction.
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La fonction nouvelle ? Au café, on parle de tout et de rien. Pendant longtemps, et jusqu'au début des années 1980, le café est le lieu où circule l'information nationale. Aujourd'hui encore, c'est dans le café du village ou de quartier que l'on apprend les ragots, bref, la vie de quartier, la vie de village. Le café est par excellence le lieu de la rumeur. C'est aussi le poumon de la flicaille. Balzac, en 1816 campe ce cadre rapide : «Un jeune commis voyageur nommé Gaudissart, habitué du café David, se grise de 11 heures à minuit, avec un officier à demi-solde. Il eut l'imprudence de parler d'une conspiration ourdie contre les Bourbons, assez sérieuse et près d'éclater. » Etc.
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Car la taverne n'est pas seulement un endroit où l'on boit. On y discute, on y critique les autorités, l’amorce d’une contre-société. C'est là que les voyageurs descendent se restaurer, se rafraîchir, que les bourgeois traitent leurs affaires, que les compagnons trouvent de l'embauche. Et oui, le cabaret, c’est aussi Pôle-emploi !
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Pourquoi avons-nous perdu tout cela ?
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Pour la plus grande partie des gens de la ville, le logis était trop petit pour recevoir des amis. C'est donc à la taverne que l'on se rencontre, que l'on discute, que l'on organise sa vie. C’est toujours aussi vrai aujourd’hui pour l’exiguïté des logis. Et ce lieu où naquirent et s’entretinrent tant de bandes juvéniles. Il n’y a aucune raison rationnelle de la perte des bars comme lieu sociaux essentiels.
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Lieu par excellence de la sociabilité dans toutes les classes de la société, le café parisien du XIXe siècle a trouvé une place de choix dans la littérature française : du plus huppé au plus modeste, aucun lieu n’a échappé à la description minutieuse de l’esprit qui les animait. Endroit où l’on voit et où l’on est vu, spectacle à lui seul, il est une sorte de théâtre. Il est aussi un lieu typique de la ville, de la grande ville, de l’urbanité et de la sociabilité, qu’elle soit populaire, mondaine, ou littéraire.
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Pour plus d’anecdotes voir l’université Dionysos du lien qui conclut :
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« Le café est donc un lieu charivarique par essence, ce que les autorités publiques vont s’employer à combattre à partir du XIXème siècle. De nos jours, le cafetier a paradoxalement un rôle pivot ambivalent. Il peut être un rempart contre l’ordre social ou être son plus grand auxiliaire. »
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Le bistrot un prolongement de la rue ? C’est que la rue aussi a bien changé. Lieu de marches rapides des bourgeois, des rapports de guerres froides, de tristesses sociales partout affichées, etc. Nous y croisons mêmes le groupe, devenu plus prolifiques, des robots d’objets. Comment les reconnaissons-nous ? A leur voix détimbrée de qui se situe dans l’indifférence inhumaine. Et ce regard vitreux, qui va avec, de qui ne regarde plus que les objets. Ne voit en vous que des ustensiles. Et dont les yeux éteints ne luisent, tristement, que si elle/il pensent en avoir plus que nous, de meilleurs aussi – oui plus dans ses rêves et ses désirs d’acquisitions. Plus personne n’existe que comme porteurs d’objets qui – en l’occurrence – pourraient être volés ! Affligeante non-vie ! Il n’est jamais parlé d’autre chose que de marchandises dans ces voix sans passions. Lorsque les voix passionnées savent si bien moduler tous les sons.
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Nombres de bistrots sont devenus ces mêmes lieux glaciaux que la rue, où juste un service minimum est rendu, où il n’y plus d’échanges entre inconnus et chacun dans sa stalle et où les rires joyeux ne fusent plus. Et le social n’y chauffe plus du tout. Ce qui permet de parcourir toute la distance des désocialisations depuis quelques décennies. L’inhumanité ne passera pas.
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Et lorsque, malgré tout, des bars (de l’étymologie baron, homme libre) font encore réchauffer le social avant tout – plus de ces voix détimbrées chez le bistroquet (ou mastroquet pour le Nord) – qui balance entre sa faveur aux grands bouleversements sociaux que contre, en fonctionnant alors en indicateur (mais souvent avec pressions policières derrière) – qui font oui durer le Far west. Se déguiser d’une armure d’objets, brandir un bouclier de billets de banques, etc. n’y vraiment sert à rien - il s’y trouve nombres de situations où nous sommes nus comme au wild west dans ces vrais bars. Surtout si nous voulons…communiquer bien au-dessus des préjugés. Expérimenter les vertus de renversements des paroles. Se baigner dans du social. Oui changer en direct le monde.
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Un témoignage à nous confié ? …« C’est que les bars étaient comme des réseaux sociaux internet de l’époque, lieu de rendez vous stratégiques, d’échanges de polycopiés, de plans dressés parfois dans des nuages de fumées de cigarettes. Nous avons du mal à imaginer ce monde sans internet. Mais dans ces lieux privilégiés tout le monde parlait à tout le monde. Nous n’y allions pas pour rester seuls dans son coin, rangés comme des chaises, au garde à vous de la commande à précipiter…oui, il y avait une véritable et chaude ambiance qui semble avoir largement disparue. Il fallait y défendre le beefsteak de sa parole. Le bistrot comme un lieu d’apprentissage efficace de la vraie vie ? Oui un peu de cela. En tout cas, nous y allions, à chaque fois avec le désir porteur d’y apprendre ce « qu’est-ce qui peut se passer de nouveau aujourd’hui ? ». Et qui nous trépidait d’ardeurs !
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L’esprit moyen y était bien plus poétique, paisible, social, ouvert et s’y forgeaient nombres de mots et d’expressions nouvelles. Dont d’aucuns repéraient le temps de «remontées» vers les télés. Les plus promptes avaient toujours de 4 à 6 mois de retard sur les premières lignes inventives des bistrots. Incroyable mais bien comme cela. Aujourd’hui, les glacières sont dans les bars. Rapports humains très limités. Tellement rare que tout le monde parle spontanément à tout le monde. Internet reste froid et sépare largement aussi. Il y a bien là un signe très grave de grande régression collective : tout le monde doit balayer devant sa porte. Cette fonction de « parole publique » en perdition me semble irremplaçable. Il faut ressusciter partout les bars libres ! »…
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………………..merci infiniment de ce témoignage de haute intensité. Qui nous plonge dans le réel comme si nous y étions. Qui nous trace un tableau véridique et efficace des réalités. Qui décape à nu tous les nauséeux sommeils conformistes. Avec la force de ces esprits libres que certains voudraient voir disparaitre. Et nous pas...Disons que – comme mai 68 n’avait pas été prévu – l’âge d’or des bistrots bistres l’a été là. De pré 1968 à début des années 1980. Avec la fête permanente (genre « tirer des pistes » ! se faire des circuits, etc.), la chaleur humaine à hautes doses, l’intérêt pour autrui (…et non pas égaré comme actuellement devant des écrans mercenaires), l’imagination au pouvoir, etc… Bref, une époque politiquement très incomprise !
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Autre période, selon Wikipédia où les bars ont changé le monde ? « Catalyseur du siècle des Lumières, période très importante dans la formation du monde qui a élaboré une nouvelle philosophie mettant l’accent sur la rationalité et la logique dans le but de battre en brèche la tradition, la superstition et la tyrannie qui régnaient alors, le café a changé le monde.
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Les cafés sont devenus très vite un centre de diffusion des nouvelles et actualités. Les cafés étant des centres de transmission des renseignements, les discussions intellectuelles y ont naturellement prospéré. Tout le monde avait droit à la parole dans les cafés, même s’ils n’étaient pas gentilshommes ou riches. « Le comptoir d'un café est le parlement du peuple. » nous honorait de Balzac.
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Dans ces lieux, on discutait et on se disputait à propos de tous les grands sujets, religion, politique, arts. L’écrivain irlandais Jonathan Swift écrivit à un ami, à la suite d'une visite dans un café : « I am not yet convinced that any access to men in power gives a man more truth or light than the politics of a coffee house » (« Je ne suis toujours pas convaincu que les informations des hommes de pouvoir aient plus de vérité ou apportent plus de lumière que les discussions politiques d’un café »). C’est dans cette ambiance que les Lumières pouvaient promouvoir leur philosophie. Circulait plus ou moins librement dans les cafés, celle-ci a ouvert la voie à deux révolutions importantes, la Révolution française et la Révolution américaine. D’ailleurs, durant leur séjour en France, les Insurgents américains John Paul Jones, Benjamin Franklin ou Thomas Jefferson fréquentèrent le café Procope. Ce dernier y conçut même – dit-on – son projet de constitution des États-Unis en 1758. »
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C’est dire ! Une grande leçon ! Afin de réorganiser toute la société en 2016 – là, nous avons de plus que bons modèles !
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« Parmi les Philosophes des Lumières anglais et français, on compte des habitués des cafés, d’après le témoignage de leurs œuvres ou dans leurs biographies : Anthony Collins, John Locke, Denis Diderot, Houdar de La Motte, Montesquieu, Voltaire ou Jean-Jacques Rousseau.
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Dans une biographie d’Anthony Collins6, on lit qu’il fréquentait les cafés où il pouvait discuter avec les déistes et les athées, ce qui lui a procuré beaucoup de plaisir. Dans son œuvre, le Neveu de Rameau, Denis Diderot évoque sa distanciation des évènements et évoque le refuge donné par le café de la Régence où il pouvait jouer aux échecs et observer et converser avec tous, y compris avec des excentriques. Jean-Jacques Rousseau dans les Confessions, parle aussi de ses visites au café à toutes les heures de la journée. Il écrit : « Voltaire avait la réputation de boire 40 tasses de café chaque jour pour l’aider à rester éveillé pour penser, penser, penser à la manière de lutter contre les tyrans et les imbéciles ». Montesquieu, dans la 36e de ses Lettres persanes, écrit en parlant du café Procope : « [Il y a un établissement] où l'on apprête le café de telle manière qu'il donne de l'esprit à ceux qui en prennent ; au moins, de tous ceux qui en sortent, il n'y a personne qui ne croie qu'il en a quatre fois plus que lorsqu'il y est entré ».
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Voici qui décape notre époque si glaciale où nous croyons tout savoir et n’expérimentons plus rien. Où nous ne vivons plus mais…virtualisons. Et donc où l’imagination est quasi morte, où l’intérêt glaciaire pour les autres est trop éteint, où tous les chemins de changements concrets de la réalité quotidienne semblent obstrués, obturés et colmatés. Notamment par nos obstinations à penser à côté de la plaque, pas dans la bonne direction, pas de la bonne façon. Non, non. Il nous faut carrément réapprendre l’esprit bistrot (qui précédait toujours les télés jusqu’aux années 1980 avancées) qui étaient les foyers (où, à la fois nous nous réchauffons et où nous forgeons les changements collectifs concrets !) qui (…inutile d’enseigner les salauds…il s’agit aussi de lire entre les lignes !), etc….
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Avec la non -mondialisation de l’économie, certaines de ces grandes chaînes de…bars sont parties à la conquête du marché mondial, mais…rien ! Toujours plus de banquises sociales…Ils ont tout saboté, ils n’ont toujours rien compris.
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La dangereuse régression sociale en marche concrète… En effet, la France comptait 200 000 cafés dans les années 1950 et seulement 36 000 en 2008 (27 000 débits de boissons, 9 000 café-tabac, 72 % étant des entreprises individuelles). Plus des ¾ des lieux de vie sociale réelle d’éradiqués. De l’hécatombe, une guerre sociale démasquée…Dans les années 1990 il y a eu d’illégales vagues de fermetures des « bars festifs » pour des motifs farfelus et leur …remplacement par des…succursales de banques. La claire anti-civilisation en marche… ?
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Et les réactions de ces personnages prétendus « rationnels » (que nous subissons depuis 40 ans en gros) ? Que des délires plus ridicules les uns que des autres. Selon Wikipédia… « L'Institut de développement des cafés, cafés-brasseries et le Syndicat national des hôteliers, restaurateurs, cafetiers, traiteurs (Synhorcats), préconise pour enrayer cette baisse - le développement de labels (« bistrot de pays » créé en 1993, « café de pays » créé en 2006), de bars à thèmes (par exemple : café culture, poésie, musique, ethnique, artistique), bars à vin, la multiplication d'animations et la diversification de l'offre (coupe-faim, tabletterie). […des idées de nunuches, de boys scouts attardés, des idées sans idées, oui de la non vie active qui s’étale – genre tout dans l’emballage frauduleux et rien dans le contenu réel !].
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L'augmentation des prix entraîne une gentrification de la clientèle qui se retrouve dans les cafés design, aux clients branchés, et les cafés faussement anciens, avec des références populaires ou bourgeoises... ». Bref, l’ennui mortel. Le bourgeois, toujours déjà mort, ne sait pas du tout faire la fête, ne sème que la désolation, empesé dans ses costumes contre-productifs et complètement incompétent pour la chaleur humaine…
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Nous pouvons dire que le monde actuel étale partout l’échec gigantesque de la mentalité bourgeoise qui n’a jamais rien connu à la vraie vie !
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Bref, en gros – à nous de réinventer la fête.
…….La vraie celle où ces arriérés se sentiront intrus ! Oui la… Fête ….
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CHANSON - La Fête-c'est-dans-la-tête
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>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>> - ANNEXES - <<<<<<<<<<<<<<<<<
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Adresses-mythiques-des bars littéraires
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Histoire/-Bar-bistrot-et-compagnie
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Ce qui suit relate une histoire vraie rapportée par les riverains victimes des nuisances.
Elle montre que la Justice n’est ni sourde ni aveugle aux plaintes des riverains dont les nuits et la santé sont perturbées par les nuisances sonores des bars. Mais elle est impuissante à imposer le respect élémentaire des règles de notre société à un exploitant de bar qui a pris l’habitude de s’en affranchir pendant des années en toute prospérité jusqu’à ce que son voisinage obtienne I’intervention du Bureau d’action contre les nuisances de la Préfecture.
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« Les interventions multiples de l’administration, aussi intéressantes que restées pratiquement sans suites ... ont participé manifestement à encourager M. X à se maintenir dans son statut d’impunité, plus qu’elles n’ont servi à le dissuader de mettre un terme à son fonctionnement délinquant. » : c’est un jugement de notre République française qui le dit, avant de condamner ledit exploitant.
Mais l’ultime intervention de la Préfecture et le jugement qui s’en est suivi ont mobilisé les moyens du service public en pure perte : les victimes continuent de subir les nuisances.
Prologue
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(…) Le gérant d’un bar du quartier Pigalle-Abbesses a obtenu 3 fois de suite de la Préfecture de Police l’autorisation exceptionnelle d’ouvrir au-delà de 02H du matin. Ce, en dépit de preuves avérées des graves nuisances qu’il occasionne, des protestations des riverains et des avis négatifs fournis par le commissaire de Police de l’arrondissement. Mme El Khomri, alors conseillère du 18ème arrondissement et adjointe au maire de Paris était pourtant, de son côté, intervenue à plusieurs reprises pour appuyer les victimes auprès du commissaire et du Préfet de Police.
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Des mesures réalisées dans un appartement par le Bureau d’action contre les nuisances (BACN) de la Préfecture ont prouvé qu’au 5ème étage les fréquences basses sont perçues à 3 heures du matin avec une intensité 16 fois supérieure à la norme, 8 fois supérieure à ce qui est toléré (+ 12 db). (…)
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(…) Condamné, il ne « peut pas » payer de dommages et intérêts et…cependant…
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Acte 4 : Épilogue : l’exploitant du bar condamné prospère non seulement dans ce bar, mais bien plus largement.
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En l’occurrence, l’exploitant condamné s’est déclaré non imposable devant le Juge de l’Exécution. Mais, chose sidérante, il parvient néanmoins à continuer de faire fonctionner son établissement, qui n'a jamais été fermé depuis septembre 2013, date de la condamnation de première instance. Mais comment peut-il, cet exploitant, en toute légalité, parvenir alors à payer ses fournisseurs, ses différents employés, son loyer (le propriétaire n'aurait pas manqué de résilier le bail et tenté une expulsions s'il n'était plus payé), son avocate aussi ?
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Plus fort encore : d’après certaines des victimes, ce gérant est à la tête d'au moins 4 bars et restaurants dans un quartier très touristique, les 3 plus récents ayant été acquis entre 2011 et 2014, pour des montants importants cités dans un journal d’annonces légales. Le dernier établissement vient d'ailleurs de faire l'objet de travaux substantiels. Par surcroît, le gérant a créé en juillet 2012 une autre société, dont l'objet social est précisément l'acquisition, la vente et l'exploitation de bars, restaurants, discothèques, hôtels, etc.
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
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(à suivre)
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……………. tous ces posts sont bien reliés à une pensée globale
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et "L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie", onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, LE ROMAN DE L'ECONOMIE, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la …..situation
….. Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 100 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Les premiers dessins se firent avec du bistre à l’aide de pigments de Kremer – Le bistre est un pigment goudronneux issu du traitement de la suie de bois dont la couleur varie du jaune safran au brun foncé. Utilisé dans l'aquarelle et les autres procédés à l'eau (PRV)…… Il est un des pigments utilisés pour les lavis par de grands dessinateurs comme Rembrandt et de nombreux autres. On le confond parfois avec le sépia ou l'encre de noix de galle.
la vie sous plastique – comme l’impression de se trouver dans une baignoire permanente. Afin de rester propre sur soi mais vraiment dégueulasse à l’intérieur – comme du purin dans le cœur ! ( ?)
Un bar moderne pour se tenir bien relax. Relaxé depuis peu alors ? Ah bon : relax cela veut dire relaxisme, m’sieur, m’sieur !?
c'était pas une bonne idée
Nous nous devons ce qu’ils ont à se shaker ainsi, se higer, se secouer, s’évrouer, se piaffer - c’est pour avoir l’air agités et servez frais ?
voici qui donne envie de visiter la géographie...
Remettons sacrément l'Histoire en cours...